#22 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
6118 avis
Bonjour à tous,
Les conditions du début du voyage n'étant pas vraiment compatibles avec la réalisation des prises de vues nécessaires à la rédaction d'un FR, le reportage qui suit ne devrait pas exister. Toutefois, il me paraît nécessaire de débuter le routing en triptyque qui va suivre par son commencement. C'est pourquoi je me suis permis, au début du récit, de reprendre des photos antérieures de l'aéroport de TLS à titre illustratif pour donner une logique au récit qui va suivre.
Nous rejoignons depuis Figeac l'aéroport de TLS en un équipage un peu particulier, la voiture remplie de 10 bagages : certes, la famille NiCourgette trouverait notre chargement à peine suffisant pour 2 semaines de vacances mais il s'agit pour nous d'un aller simple. Voilà pourquoi il ne sera guère loisible de s'adonner à des prises de vue avant l'installation dans l'avion. Un ami proche est venu récupérer la voiture.
La zone SP permet d'enregistrer notre chargement sans attente. Le troisième segment étant effectué en code-share par une compagnie qui n'est pas membre de Skyteam, il y a un doute sur le nombre de bagages autorisés. D'ailleurs l'agente semble éprouver des difficultés pour enregistrer les deux derniers. Mais elle y parvient après quelques manipulations.
Nous pouvons donc poursuivre vers le PIF, franchi rapidement.
Nous rendons visite au salon La Croix du Sud où il ne reste pas grand chose de l'offre chaude méridienne.
Puis vient le moment de rejoindre la porte 51 au Hall D, juste avant les contrôles PAF.
La dame qui prend son envol accompagne le nôtre vers une nouvelle vie dont la localisation apparaîtra au fil de la trilogie à venir.
L'embarquement est chaotique et Ryanair en aurait validé l'organisation. Un pré boarding après le contrôle BP / identité, un nouveau pré boardind dans la nourrice. Nous voilà enfin à bord au rang 1 de la cabine J qui en compte deux sur ce vol.
Notice de sécurité de l'A321 du jour.
L'embarquement est relativement efficace, rythmé par la rengaine du rangement des bagages. Nous repoussons avec une vingtaine de minutes de retard qui ne seront pas rattrapés. Notre correspondance et le passage au salon n'en sont pas compromis pour autant.
Au revoir Toulouse. Nous ignorons à cet instant le moment du retour.
Quelques spécimens cargo. Celui au premier plan semble avoir eu une première vie chez Delta?
Saucisse IB / Air Nostrum pour MAD.
B-738 de West Atlantic âgé de 21 ans.
Nous rejoignons la piste et nous élançons.
Livraisons à venir.
Belugas XL.
Un A350 en attente de rejoindre BA.
Le centre de livraison et la campagne toulousaine.
Le Midi toulousain n'a pas encore connu de canicule en de début août mais la végétation est déjà sèche.
Nous prenons une route à l'ouest et suivons la Garonne. Au loin, les tours de refroidissement de la centrale de Golfech.
De haut en bas : la centrale nucléaire de Golfech, le confluent Tarn - Garonne et la ville de Moissac.
Le Confluent, la Garonne et le canal qui alimente la centrale de Golfech.
Le service est effectué en mode automate par la CC. La pax assise derrière moi demandera du champagne ce qui oblige, sans enthousiasme mais sans mauvaise grâce, la CC à repartir au galley. Elle m'en proposera mais je décline.
Mini sablés (et non pain court) dont le principal mérite est d'être fabriqués en France.
Les voici en gros plan.
Je découvre que les Français, représentés par une demi-tête de grenouille, ont leur chocolat. Il n'est extra que pour les Anglais.
En observant les nuages altérer progressivement la vision du plancher des vaches, je ne puis m'empêcher de penser à ces compagnies qui servent un plat chaud en Y sur un vol d'une durée moindre…
Les nuages prennent peu à peu le pouvoir.
La couverture se déchire alors que la descente touche à sa fin.
Nous approchons de CDG par l'ouest.
Méandre de la Seine.
La plaine céréalière du BP.
Atterrissage, roulage, attente, roulage. Quelques photos dont, pour une raison qui m'échappe, seule celle-ci a subsisté.
Nous débarquons rapidement et nous dirigeons vers les portes L
A bientôt !
Un vol de préacheminement classique, retard inclus.
Chacun tient son rôle.
Aucune considération particulière pour la classe avant.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 69 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Toulouse (TLS) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 28 minutes.
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6 Commentaires
Je remarque un coussin sur le siège.... C'est nouveau sur court courrier ?
Quel beau catering digne d'une business française !!
Champagne décliné : tu laisses une place pour le Bellevoye sur le vol à venir ?
Bon je ne spoil pas la destination finale... !
A bientôt pour la suite.
Ce n’est pas un coussin mais une ancienne trousse de courtoisie devenue sac de rangement de câbles.
Tu as compris le sens de ma retenue sur le champagne.
À bientôt l’ami !
Moi aussi j'ai pensé que tu avais un coussin sur ton siège, comme quoi.
Je suis subjugué par ce magnifique service proposé par Air France, ces superbes gobelets en cartons, ces pains courts au basilic, ce chocolat extra avec des nibs, ces équipages d'un enthousiasme extraordinaire. Absolument incroyable. Futur 5 étoiles au classement skytrax à n'en pas douter.
A bientôt pour la suite !
PS: Désolé d'avoir spoilé mais tout le monde a bien compris que tu partais en retraite aux USA, sinon pourquoi avoir mis une photo du 767 Cargo ex Delta qui transportait tout ton fret à côté ? :p
Eh oui ! Comme tu le notes avec une envie non dissimulée, chaque instant de ce vol fut un étonnement enthousiasmant, un pur moment de grâce.
C’est donc sous les meilleurs auspices que débute ce vol de preé-retraite dans les sources de Palm.
À bientôt cher ami !
Un vol qu'on a plaisir à suivre avec la localisation des lieux survolés.
La suite en cabine avant justifie la têtière rouge pour un vol où elle n'a pas vraiment d'intérêt.
> je ne puis m'empêcher de penser à ces compagnies qui servent un plat chaud en Y sur un vol d'une durée moindre…
Autres lieux, autres mœurs et peut être une culture syndicale différente?
A bientôt pour la suite
Avec beaucoup de bagages oui ! Les armes ont été retenues au PIF. ^^
La zone Moissac-Golfech m’évoque des souvenirs d’étudiant… alors j’étais content de la détailler. Il m’est aussi arrivé de me régaler du méandre du Lot à Cahors lorsque la trajectoire est moins occidentale.
L’IFE naturel constitue l’agrément du voyage.
Pour le reste, RAS dans toutes les acceptions de la formule.
À bientôt pour la suite.
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