Avis du vol entre Porto et Paris en classe Economique avec easyJet

EZY

U2 - easyJet

Vol effectué le 22 septembre 2024
U27721
18:00 02h 15m 21:15
Appareil Airbus A320
Classe Economique
Siege 25D
marathon
220 · 95 · 2 · 11

Introduction


C’est le récit d’un A/R Paris-Porto (mais partant le vendredi matin de CDG, rentrant le dimanche soir à ORY), effectué au tarif minimum, car n’ayant qu’un bagage réduit pour ces trois jours sur place. 


Enchainement de vols


OPO airside (et landside)


Arrivée en Bolt partagé à trois à l’aéroport, pour à peine plus de 10 €, un tarif compétitif avec celui du tram, pourtant particulièrement faible (2,55 €).


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Le FIDS où l’on voit beaucoup d’orange (easyJet) et de jaune (Ryanair)


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Pas d’indication particulière au sujet de notre vol


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… alors que nous savons déjà, de source autorisée, que le vol risque de ne pas être à l’heure.


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Le PIF est rapidement franchi


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Nous sommes très en avance, même si le vol était à l’heure : commençons par un petit tour du propriétaire, airside en zone Schengen.
y a apparemment parfois des concerts airside


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L’accès avec reconnaissance biométrique aux portes non-Schengen est accessible aux porteurs des passeports habituellement reconnus en Europe pour cet usage, auxquels s’ajoutent les passeports brésiliens, en raison évidemment des liens culturels et linguistiques avec ce pays.


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Des « boutiques d’aéroport » banales


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Un espace de restauration à l’enseigne typiquement portugaise


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La francesinha est un incontournable plat local dérivé du croque-monsieur français (d’où son nom), constitué de viandes diverses dans un sandwich de pain, le tout couvert de fromage fondu ensuite, avec un optionnel œuf sur le plat, le tout baignant dans une sauce à la tomate. Hyper-calorique, mais peut-être bien adapté avant un vol un peu long en LCC !


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Francesinha servie la veille dans un restaurant de Porto

Pour ce qui est de l’alimentation de son matériel électronique, c’est plutôt régime. J’ai trouvé deux bornes mal situées (quasiment sans aucun siège à côté)


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Et deux prises secteur situées en bas de ces séparateurs :


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Elles sont officiellement utilisables par les PAX… mais pas alimentées


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Pour le 230 V, la seule possibilité semble être d’installer une multiprise ici


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Espace jeu pour enfants


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Spotting brumeux


La vue est bloquée par des boutiques sur une grande partie du terminal, mais à l’extrémité sud, il y a une zone avec une vue dégagée sur le tarmac


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« Dégagée » n’est peut-être pas le meilleur adjectif, car le problème est justement qu’il y a du brouillard, avec quand même une visibilité suffisante pour ne pas paralyser l’aéroport, contrairement à la veille.
PH-BGM, un 737-700 KLM


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La densité du brouillard est d’ailleurs changeante : HB-JBH (un A220-300 Swiss) est certes beaucoup plus près du terminal à la fin de son repoussage que PH-BGM, mais la luminosité est manifestement meilleure à cet instant.


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OO-SBE, un A320neo Brussels Airlines


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Au large, un 737-800 Smartwings


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CS-TNR, un A320ceo TAP Air Portugal


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EC-NUY, un 737-800 Air Europa


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Le ciel s’éclaircit pour la photo de cet A220-300 Air France


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CS-TXB, un A321neo TAP Air Portugal


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N480CH, un 737-700 en version BBJ


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CS-TNM, un A320ceo TAP Air Portugal


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YU-APK, un A319 Air Serbia


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Fin de repoussage pour F-HZUE, l’A220-300 qui ramène plusieurs Fristes à CDG


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Le voici qui s’envole; pour tout savoir sur le déroulement de ce vol, lisez ce récit !


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EI-EMN, un 737-800 Ryanair


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EC-MTO, un Mitsubishi CRJ-1000 Iberia


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Un A320ceo Eurowings


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D-AIRK, un A321ceo Lufthansa


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EC-MXG,un A320ceo Vueling


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CS-TFU, un A319ceo, fait du béton ici depuis 2018. Ses réacteurs ont été déposés et tous les hublots ainsi que les vitres du cockpits ont été obturées.


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G-UZHR, un A320neo easyJet, certainement pas pour nous, car comme son immatriculation britannique le présage, il se dirige vers la zone non-Schengen du terminal


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Par exemple pour effectuer le vol vers Luton qui a près de deux heures de retard


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Embarquement à pied


Je vous épargne les trois A320ceo easyJet vus ensuite, d’autant que j’ai raté celui qui va effectuer notre vol, dont la porte est enfin affichée au FIDS.
La porte 22 est à l’autre extrémité du terminal, sans surprise au niveau inférieur, car les appareil easyJet sont tous stationnés au large, mais accessibles à pied


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Les portes d’embarquement à pied ou en PAXbus


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Le pré-embarquement a déjà commencé


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Il est 18h25 : le vol va avoir une heure de retard


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Les appareils easyJet sont stationnés ensemble au large


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L’engin d’embarquement / débarquement de PMR pour avion stationné au large


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Embarquement des PAX de la moitié avant de l’avion par l’avant


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Et l’autre moitié, dont nous sommes, par l’arrière


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LE 737-700 privé vu depuis le terminal


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Gros plan sur l’arrière du réacteur gauche de notre A320


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Fuselage shot


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Instant porte


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La cabine d'un A320 easyJet


Sans surprise un dimanche soir, l’avion est (quasiment ?) complet


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Largeur entre accoudoirs toujours un peu moins généreuse que dans les A320 AF


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Et cette fois-ci un pitch dans le bas de la fourchette pratiquée en éco dans des appareils CC/MC


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La fiche de sécurité recto-verso


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La tour de contrôle d’OPO


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La météo s’est dégagée, mais pas pour longtemps


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Les sièges sont équipés d’un petit bouton censé servir de porte-manteau


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… quand ils ne sont pas cassés.


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Vol de nuit en siège milieu


Repoussage à 18h48


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Roulage vers la piste


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Nous ne sommes pas les premiers


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Décollage


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Vol de nuit pendant lequel il ne se passe pas grand-chose, et arrivée à ORY


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Arrivée à ORY


La sortie de l’avion s’effectue de nouveau par les deux extrémités de l’avion
Fuselage shot nocturne


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Passage sur le tarmac, mais on est trop près pour pouvoir photographier l’avion en entier.


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F-GUGN, un A318 Air France au contact à une porte voisine : à ce jour, il n’en reste que cinq en exploitation chez AF.


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Dernier coup d’œil à OE-ICM


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Passage par des aubettes désertes


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… et dans une salle de livraison des bagages tout aussi déserte


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Paris vous aime…


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… mais vous informe que la ligne 14 du métro ferme à 22h quatre soirs par semaine, et aussi certains dimanches, mais pas celui-ci.


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Reste à atteindre sa station, qui est mal signalée quand on arrive landside ici, car ce n’est qu’en dépassant ce panneau, puis en se retournant que l’on peut voir l’indication de la ligne 14


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Le trajet m’a semblé long – le chronométrage des photos ne révèle pourtant que 11 minutes entre la photo ci-dessus et l’installation dans la rame qui était à quai à notre arrivée, achat de nos billets compris


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Descente aux niveaux inférieurs


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Et après l’achat de billets spécifiques à des distributeurs dont l’IHM ne brille pas par la clarté pour le primo-utilisateur, arrivée dans une rame d’apparence flambant neuve


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… où nos téléphones qui crient famine vont enfin pouvoir retrouver de l’autonomie, car ce n’était ni dans le terminal, encore moins dans l’avion que nous aurions pu les recharger.


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Merci pour votre lecture !


Bonus : un aperçu de Porto


Vous le découvrirez en cliquant au-delà du verdict et de la conclusion.

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Bonus touristique

travel illustration

marathon te propose de poursuivre la lecture de ce Flight-Report à travers un récit touristique bonus de son voyage :

Notes des produits

Compagnie aérienne

easyJet 4,8

  • Cabine7,5 / 10
  • Equipage8,0 / 10
  • Divertissements0,0 / 10
  • Carte payante3,5 / 10
Aéroport de départ

Porto - OPO8,3

  • Fluidité6,5 / 10
  • Accès10,0 / 10
  • Services6,5 / 10
  • Propreté10,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Paris - ORY8,4

  • Fluidité8,0 / 10
  • Accès7,5 / 10
  • Services8,0 / 10
  • Propreté10,0 / 10

Conclusion

Les sièges sont légèrement plus étroits que dans un A320 de legacy, mais ce n'est pas pire que dans un 737.
L'équipage a fait son travail, qui était minimal
Divertissements ? Quels divertissements ? Pas de prise USB, pas de wifi, pas de presse à télécharger, et, à moins de payer pour le choix du siège, guère de chance d'avoir un hublot.
Restauration : rien non plus - j'ai un doute : y avait-il une vente à bord ? probablement.

Pré-embarquement typique des LCC, qui dégrade la note de fluidité d'OPO, mais le passage du PIF était rapide
OPO est accessible en tram ou bien en VTC depuis le centre ville, à des tarifs qui dans les deux cas sont à des tarifs presque imbattables.
Affichage tardif de la porte d'embarquement, mais mieux valait attendre au seul endroit spotter-friendly airside

Fluidité correcte à ORY, dont l'accessibilité a fait un bout depuis qu'il est desservi par la ligne 14 du métro (à un tarif surtaxé, et avec des distributeurs de billets dont j'ai trouvé l'interface homme-machine déroutante).

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Commentaires (2)

  • Merci pour le report,

    Décidement les retards en cascade s'enchainent depuis OPO après ce repas gold. Je ne me souviens pas d'être un jour allé à Porto sans pluie - et pourtant j'y suis allé 3/4 fois.

    auxquels s’ajoutent les passeports brésiliens,

    Et Vénézuéliens, il me semble qu'en France ils ne font pas partie des passeports à avantage .. mais ça me semble bizzare qu'il n'y ait pas de controle personnel pour le Brésil et Vénézuela...

    Francesinha servie la veille dans un restaurant de Porto

    Sûrement une erreur de photo .. bon certes la Francesinha est souvent noyée de sauce mais peut-être pas directement dans le Douro

    matériel électronique, c’est plutôt régime

    Je déteste les aéroports sans prise, où il faut se tenir debout à côté d'une borne

    Et deux prises secteur situées en bas de ces séparateurs :

    C'est ici que j'avais passé deux heures par terre justement pour charger mon téléphone

    que le tout nouveau prolongement de la ligne 14 du métro ferme à 22h

    Pas que le prolongement , l'entièreté de la ligne ferme à 22h. D'autant plus rageant que nous n'avions plus ce soucis dans la période J.O. Pendant trois mois, la ligne a fonctionné a merveille à pleine capacité, avec des intervalles d'une minute en heure de pointe et des horaires assez étendue, etant une ligne automatique elle fermait plus tard. Et maintenant on doit revenir aux interruptions de trafic comme avant... c'est vraiment pénible ce retour en arrière surtout qu'il n'y a pas de date annoncée pour un "retour" à la normale (ça fait bien longtemps que la 14 n'a pas été normale)

    A bientôt!

    • Je ne me souviens pas d'être un jour allé à Porto sans pluie - et pourtant j'y suis allé 3/4 fois.

      Cela ne m'incite pas à y revenir une 3ème fois !

      la Francesinha est souvent noyée de sauce mais peut-être pas directement dans le Douro

      Haha, j'ai corrigé avec la photo de ce plat !

      Je déteste les aéroports sans prise, où il faut se tenir debout à côté d'une borne

      Et pire, ceux où il faut se brancher de manière sauvage sur une prise qui n'est pas destinée aux PAX

      Pas que le prolongement , l'entièreté de la ligne ferme à 22h.

      Merci pour la précision; j'ai corrigé

      Et maintenant on doit revenir aux interruptions de trafic comme avant... c'est vraiment pénible ce retour en arrière surtout qu'il n'y a pas de date annoncée pour un "retour" à la normale (ça fait bien longtemps que la 14 n'a pas été normale)

      La RATP n'a pas ou peu communiqué sur le fait qu'elle fait moderniser la signalisation (= les automatismes) de l'intégralité de la ligne. Cela exige beaucoup d'essais à réaliser de nuit, entre la consignation de la ligne d'une part, et les essais de bon fonctionnement avant restitution au service commercial, d'autre part. Si c'est une "nuit courte" (sans fermeture anticipé du trafic passager), on n'a guère plus qu'une heure pour les essais, d'où la mise en place de "nuits longues", avec fermeture à 22h.

      Le retour à la normale de l'exploitation de la ligne dépend du taux de réussite de ces essais : les choses seraient tellement plus simples si les passagers n'existaient pas ! 😄

      Merci pour le commentaire, à bientôt !

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