Review of Air France flight from Bogota to Paris in Business

Dreamliner, un cockpit de rêve, des passagers de rêve…

Et voilà, notre périple en Amérique latine de 5 mois s'achève par un retour en dreamliner, avec pour dernière étape Bogota. La capitale Colombienne est certes jolies mais pas de quoi y passer plus de quelques jours, pour moi c'est tout à fait l'inverse de notre ville d'arrivée: Buenos Aires.

La place principale où l'on retrouve le palais de justice incendié par un certain Pablo E, et le parlement.

Après avoir été en contact si régulièrement d'histoires incas tout au long de notre périple, c'est avec une certaine émotion que nous visitons le musée de l'or, une concentration unique de l'orfèvrerie pré-colombienne et qui a miraculeusement survécu aux fonderies et à la spéculation espagnole.

Apparemment pour eux l'or n'était que la transpiration du soleil, mais n'avait pas la valeur cupide que lui attachait les conquistadors. Mention spéciale pour ce radeau tout petit (j'ai dû bien zoomer avec mon reflex) qui semble raconter l'aventure de la colonisation de l'île de Pâques selon certains.

Est-ce que cela en rajoute à ton tableau de chasse Lefrid? 

Miles Flying blue accumulés: 4821
Points statut: 36 XP

 Rappel du routing aérien de notre voyage qui nous emmènera en Argentine, Chili, Perou, Bolivie, Equateur et Colombie.

L'Aller:
Londres - Paris CDG: Air France A320 rapport ici
Paris CDG - Buenos Aires EZE: Air France B777-200 rapport ici

Argentine
Iguazu - Buenos Aires AEP: Latam A320 rapport ici
Buenos Aires AEP - Salta: Latam A320 rapport ici
Salta - Cordoba: Aerolineas Argentinas B737-800 rapport ici
Cordoba - Mendoza: Aerolineas Argentinas (Austral) E190 rapport ici

Chili
Santiago - Antofagasta: Sky Airlines A320 rapport ici

Perou
Lima - Iquitos: Viva Air A320 rapport ici
Iquitos - Lima: Viva Air A320  rapport ici
 
Colombie
Medellin - San Andres: Latam  A320 Rapport ici
San Andres - Cartagena: Latam A320 rapport ici
Santa Marta - Bogota: Latam A320 rapport ici

Le Retour
Bogota - Paris CDG: Air France B787-9 rapport ici
Paris CDG - Londres Heathrow: Air France A318 rapport ici

Pour un open-jaw depuis Londres avec Buenos Aires / retour par Bogota, Air France est plutôt bien positionnée, avec environ £900 A/R par personne en Y, nous regardons en J juste pour "le fun" et là je bondis de mon canapé comme un gosse: £1659.


Mon statut de silver à l'époque me permet de rajouter 1 baggage, en plus de ce qu'offre typiquement la Business soit au total pas moins de 3 baggages en soute, et 2 en cabine, ce qui est assez conséquent.
Nous ne partirons qu'avec un sac en soute et un sac à dos pour 5 mois… si si (Nico83et13 je peux t'expliquer comment c'est possible!)

L'avion du jour est un B787-9 de 276 sièges. 

Sur le site Air France, vous avez tout un laïus des services proposés qui vous attendent à bord, c'est aussi ça le côté intéressant des archives: on peut comparer avant et après covid…
On se rend compte que l'apéritif semble avoir disparu depuis… tout comme les mules d'ailleurs. 

Le reste du protocole, lui semble bien avoir survécu. 

L'application d'Air France n'a que gère changé, on retrouve d'un coup d'œil toutes les infos de service sur la classe J, ainsi que l'appareil.

La carte d'embarquement elle n'a pas changé depuis, mais l'application s'est nettement améliorée, je me souviens l'avoir vu disparaître à plusieurs reprises.

Air France a été dans le premier peloton des compagnies aériennes à proposer une presse digitale et variée à dispo de ses passagers, à l'époque, en plus de la presse papier disponible en passerelle d'embarquement.

En étant gold ou en Business, nous avons accès à toute l'offre.

J'ai aussi essayé pour vous l'application Skyteam, pour ne rien perdre des différentes possibilités.

L'application était assez vieillote dans son interface utilisateur, et d'ailleurs SKyteam a arrêté de la proposer. Néanmoins l'ensemble des programmes de vols de tous les membres skyteam était téléchargeable sur l'appli, ainsi que l'ensemble des salons Skyteam de la planète et ce qu'ils proposent.

à bogotà - aéroport el dorado

Si vous aviez des doutes quant à la traduction d'El Dorado, les murs de l'aéroport vous offrent un rapide cour d'espagnol! 
L'aéroport est à 50 min du centre, ce qui est tout de même assez loin, mais étant donné la géographie locale, j'imagine qu'il n'a pas été facile de trouver un terrain plat à proximité. Le trajet coûte environ 35 000 COP (enfin en 2019 pour vous aider à comparer).

L'aéroport n'est pas des plus grands de l'Amérique Latine mais il est très propre et bien organisé, tout est agréable: les tons, panneaux, annonces etc.

Nous voici devant la file prioritaire. Une préposée passe régulièrement pour s'assurer que les resquilleurs ne trichent pas et nous lâche tout de go "la file éco c'est par là".
Après 5 mois passés en voyage c'est vrai que nous étions bronzés et surtout pas en chemise: les chaussures de marche sont lourdes et il est préférable de marcher avec pour garder quelques précieux kilos dans la valise pour le rhum et vin; mais l'habit ne fait pas le moine, même habillé comme des pouilleux soit-il.
Ma réponse fuse directement en espagnol "ah oui tiens on dirait que l'éco est par là mais cette file est la notre nous sommes en J". 
Elle part puis revient avec un gorille de sécurité nous demandant carte d'embarquement et passeport, je ne manquerais pas de lui dire "Entonces?"

C'est un peu dommage de ne juger que par l'apparence mais l'incidence n'est pas très grave.

Une fois enregistrés, la charmante dame au comptoir nous imprime nos cartes d'embarquement que voici. Vous remarquerez que je suis grand prince et que j'ai laissé le hublot à ma moitié. 

La PIF / PAF se passe très rapidement, d'ailleurs avec un petit souvenir que les scripophiles/aérophilatélistes apprécieront.

L'aéroport est vraiment agréable je trouve - je sais je me répète.

au salon el dorado

Chers Esteban et Chevelan, voici le salon dont je vous avais parlé… Qui, douce naïveté du jeune FRIste oblige, est rentré directement dans mon top 5!

Le salon est partagé avec les membres Skyteam, mais aussi Latam, Iberia et American Airlines..

Une autre dragonne surveille jalousement l'entrée du salon et n'apprécie guère que je prenne des photos on dirait…

En bas de l'escalier on fait face à cette superbe porte. 

Une fois passés la porte et les employés au comptoir, on passe devant ce mini musée de l'or aux pièces authentiques… Tout simplement superbe, pourquoi ne voit-on pas ce genre de collection plus souvent?

Le buffet est agréable visuellement, mais on a connu mieux niveau gustatif.
Par contre on note la présence de fruits frais, ce qui d'habitude suffisamment rare pour ne pas être remarqué. 

En se promenant un petit peu on passe devant plusieurs salles où se reposer comme celle-ci

Une salle de VR - de ouf j'y ai passé un peu de temps.

L'autre endroit où j'ai passé pas mal de temps aussi c'est au bar (normal instant AA) et vous savez quoi, non seulement le bar est beau, mais en plus il est FONCTIONNEL avec pas moins de 2 bartenders qui attendent le client avec une liste de 10 cocktails à disposition (coucou le salon First Air France je pense à toi!).
Par contre le côté léopard imprimé faut aimer paracerque ça fait très quatin si j'ose le mot (ce mot a une résonance qui m'a toujours fait sourire). J'ai essayé un présidente puis me voici revenu à un sage Malbec Argentin.

Côté douches, il faut prendre RDV au comptoir. Les SDB sont plutôt grandes, et les contenus produits de vanité sont légion, bien au delà du simple savon / shampoing.

Le côté négatif du bar réside dans le nombre incalculable de bons qu'ils distribuent au passager business, il en faut pour le bar, le buffet, la douche, la salle de jeu… C'est un peu fatiguant à la longue, on se croirait un peu à la boucherie.

Un rapide coup d'oeuil sur le FIDS…et nous quittons le salon 45 min avant l'heure de décollage direction la porte 47 qui se trouve à même pas 30mètres du salon.. Royal!

Voici une photo 100% dreamliner! Ma première fois en dreamliner d'Air France.

C'est F-HRBB, pour l'anecdote toute symbolique, c'était cet avion qui était à côté de notre B772 lorsque nous embarquions pour Buenos Aires 5 mois plus tôt, une belle façon de boucler la boucle. 

Appareil: Boeing 787-9
Immat: F-HRBB
Moteurs: 2x GEnx
Age: 2 ans (à l'époque en 2019)
Config: J30  W21 Y228
Observation: Second dreamliner reçu par Air France, a participé avec F-HRBA au rodage des équipages sur les rotations vers Lyon. On voit bien que la livrée "gros titres" a démarré avec le dreamliner chez Air France.

à bord du B787-9

L'embarquement débute avec les pax J/gold par l'unique passerelle, qui est positionnée en porte 2L ce qui permet aux passagers Business de filer à gauche et aux autres de ne pas passer devant les sièges J et de jeter des regards un peu malsains.

Le coin de l'avgeek
Air France a reçu ses 10 dreamliners, avec au départ une commande pour 15, les 5 derniers étant partis chez KLM en échange des A350 provenant de la compagnie batave. Dans la stratégie de la compagnie, le 787 est le parfait outil pour les routes LC à la demande plutôt basse, (un peu plus que les A332) et à ce titre le parfait remplaçant de l'A340 qu'on retrouvait sur des routes identiques comme c'est le cas ici, mais aussi en comparant leur cabines (275 contre 276 sièges). Si l'on fait abstraction du B773 F-GSQY testant le wifi, le dreamliner a été le premier type a recevoir le wifi de série.
Le Dreamliner est enfin aussi utilisé sur des nouvelles routes où la profitabilité est encore à consolider comme Osaka, Malé etc.

Le superbe siège Cyrus de la cabine Best disposé en 1-2-1, c'est le siège classique qu'on retrouve sur B772, certains B773, B787 et comme l'a rédigé QuentinNZ sur le blog, certaines similarités avec les nouveaux sièges.

Voici quelques observations:
- La boîte à pieds est convenable, voire généreuse par rapport à d'autres sièges J que j'ai pu lire sur FR
- L’accoudoir est solide et se rétracte
- Tous les sièges sont positionnés en avant de la marche, ce qui semble évident mais pas automatique (oui British Airways je pense à toi)
- Beaucoup d'espaces de rangements, encore plus si vous comparez à d'autres majors européennes: sous la boite à pieds où se trouvent les pantoufles offertes par Mémé Air France, deux sur les côtés du siège le petit placard à porte rouge et son miroir de vanité, les petits élastique noirs pour attacher mon appareil photo ou ma bouteille d'eau… Un vrai effet boudoir! Sans oublier bien sûr l’énorme coffre à bagage au dessus. 
- Différentes options lumineuses, sous la table et dans le boudoir, sur le côté du siège comme en TGV, et le plafonnier. On regrette l'absence de mood lighting comme présent sur les derniers B773 COI.
- J'aime beaucoup le cocon qui entoure le siège en position assise, ce qui offre une petite intimité par contre si vous voyagez avec votre moitié de l'autre côté du couloir c'est assez dur pour se parler. On ne peut pas tout avoir…
- Les grands classiques de branchement électroniques avec des prises USB, EU et UK
- Bien sur ces sièges sont full flat
- On retrouve le cintre sur le siège, prêt à être emmené par l'équipage, une spécificité toute Air France.  

- J'aime beaucoup le cocon qui entoure le siège en position assise, ce qui offre une petite intimité par contre si vous voyagez avec votre moitié de l'autre côté du couloir c'est assez dur pour se parler. On ne peut pas tout avoir…
- Les grands classiques de branchement électroniques avec des prises USB, EU et UK
- Bien sur ces sièges sont full flat
- On retrouve le cintre sur le siège, prêt à être emmené par l'équipage, une spécificité toute Air France.
- L'IFE pivote comme montré et assez grand, la télécommande est un brin lente par rapport à l'écran mais rien de méchant.
- Petite mention spéciale pour le coussin vraiment très confortable, la couverture pourrait être un petit peu plus grande.
- Le casque anti-bruit n'est pas non plus un Bose mais plutôt correct - je pense que le test mérite d'être fait en éco à côté de deux enfants qui pleurent pour être certain.

A cette époque, Joon était enterrée depuis peu, on sent bien qu'il fallait recycler le matériel… J'aurai donc des chaussons "bleu électrique" comme disait l'autre.

Mon compagnon, pourtant non avgeek a d'emblée remarqué que les hublots étaient différents… Le bouton jour/nuit est bien dispo mais à cette heure tardive les tons sont contrôlés par l'équipage.

La fameuse musique d'embarquement d'Air France de l'époque.

Une fois arrivés au niveau de votre siège, le personnel vous offre de prendre votre manteau, un protocole assez rare dans l'aviation.

L'équipage semblait aimable, mais peut-être un peu plus fatigué ou "mécanique" que lors de l'aller. Nous avions eu au départ un PNC assez froid, qui oubliait la moitié de ce que nous lui demandions comme un verre d'eau etc.. Je ne sais pas si quelqu'un a fait une remarque pendant le vol mais ce n'était plus la même personne depuis le diner.

A la différence de l'aller cependant, du champagne nous est offert pendant l'embarquement et après le décollage. 

Santé à tous et au grand leader suprême.

Après le repoussage et pendant le taxi, le capitaine prit la parole, d'une voix enjouée et clairement très ravi d'opérer sur 787 pour nous nous souhaiter la bienvenue à bord de ce dreamliner, que vous le savez peut-être mais dream en anglais veut dire rêve et que nous avons un équipage de rêve, et que nous étions nous même des passagers de rêve.

Un joyeux luron qui ne manqua pas de faire d'autres annonces amusantes pendant le vol, certains trouveront ça ringard, perso j'apprécie - c'est un petit pas vers les mamies Delta non?

La - dorénavant - ancienne vidéo de sécurité qui se voulait très chic.

Le taxi était un peu long, avant d'entendre le doux ronronnement des GE90 pendant le décollage de la 31R. Je dis doux car il n'y a pas de comparaison possible avec le boucan des GE90 en B77X.


La modélisation assez réaliste de l'appareil je trouve…

Une fois le signal des ceintures éteint, l'équipage passa très rapidement proposer des oshiboris chauds. 

La petite carte de sécurité du dreamliner pour les fans.

La trousse de toilette est distribuée juste après le décollage et peu après le deuxième verre de champagne post-décollage que ma politesse doublée de bienveillance à l'égard de la PNC me commandent de ne pas refuser.

Cette fois exit les belles trousses aux couleurs des 85 ans d'Air France mais des petites trousses toutes bleues.
 On notera:
- Les chaussettes
- Les crèmes hydratantes et revitalisantes Clarins
- Un stylo
- Un essuie-lunette
- Le masque moelleux pour dodo fructueux
- Chausse pieds
- Brosse à dents et dentifrice
- Bouchons d'oreilles
- Protège casques hygiénique
- Le peigne (maintenant disparu)
- Les chaussons pour déambuler comme chez mémé (maintenant disparu) 

Le service du soir est rapidement sorti, je pense pour permettre à tous d'attaquer une bonne nuit.
Il est signé du chef étoilé Guy Martin qui oeuvre au Grand Vefour de Paris.

LE REPAS
En entrée: Saumon mariné et carottes acidulées + La salade de jeunes pousses + compote de cerises

Plat: Le tournedos de bœuf, sauce aux poivrons rouges et purée créole pommes de terre, épinards et champignons

Fromage

Dessert: Tarte aux aux poires et fruits de la passion

 Les plus
- Visuellement c'est très intéressant je trouve, et bien présenté, pas de soucis d'explosion sur l'assiette par exemple
- le "trio" d'entrée avec l'éternelle salade manque certes d'un brin de folie
- Gustativement il n'y avait rien à redire le poulet n'était pas sec, le foie gras se tenait ainsi que le dessert
- Nappe, serviette en tissus
- Vrais couverts en métals siglés de chez Christoffle (c'est quand même pas du Ikea)

Les Moins
- Pas de choix d'entrée
- Pas de choix niveau dessert comme le fameux chariot à desserts qu'on retrouve ailleurs
- Le service au trolley c'est dommage aussi,

Le service au plat et l'absence de plateau auraient emmené le service à un 10. Pour rester chez Skyteam, Air France tient le haut du panier pour moi avec Alitalia. 

LA CAVE, mon instant!
Apéritif: oui il est proposé en théorie, mais les PNC proposent systématiquement du Champagne, peut-être par raison de simplicité.
On trouve néanmoins tous les grands classiques du whisky au pastis.
Champagne: Laurent Perrier
Blancs: Languedoc ou Chablis 2016 (mon choix)
Rouges: Crozes-Hermitage 2017 (mon choix) et Pessac - Léognan 2014 (aussi goûté pour le fromage!)
Digestif j'ai pris de la chartreuse verte.

La cave est de bonne tenue, avec des appellations au dessus de la moyenne en terme de réputation, et je dirai même qu'elle était de meilleure composition avant le covid. J'ai été surpris de voir que la cave avait changé en juste 5 mois.
Les grands terroirs Bourguignons, Rhôdaniens et Bordelais sont bien représentés mais on regrette qu'il n'y ait plus un brin de folie (sans parler de vins étrangers dans la carte qui serait une véritable Révolution - la 'ème si j'ai bien compté), les terroirs Provençaux, Occitans, Alsaciens ou Corses pourraient faire leur entrées.

L'instant que je reproduis à chacun de mes vols, sans exception: la revue du magazine qui en dit long.

Air France offre deux magazines: le sien et un spécialement élaboré pour la gente féminine.

Le magazine Air France qui est assez épais et regroupe pas mal d'articles.

Pas moins de 330 pages avec une section assez épaisse sur les pages corporate d'Air France.

Ma page préférée: celle de la flotte… Je suis assez nostalgique de ne plus voir l'A380 ni l'A340 d'ailleurs (pensée émue à LucasA330)

Je commence à regarder la sélection de films mais je n'ai rien trouvé qui me donne vraiment envie, je finis par m'endormir repus.

Je ne sais pas si c'est à cause de l'humidification nettement meilleure en 787 qu'en 777, mais j'ai dormi royalement et me suis reveillé que 2 heures avant l'atterrissage, je n'ai donc pas profité du "buffet" à volonté.

Le wifi a bien fonctionné toute la nuit, et d'ailleurs j'ai eu la bonne surprise de découvrir que Flightradar24 passait sur le forfait gratuit messages.

La cabine, encore plongée dans le noir, allait bientôt être rallumée.
J'en profite pour aller prendre le bar en photo, et discuter avec la PNC de la stratégie de Ben.. Le retour que j'en ai est qu'ils sont ravis du 787, de voir la montée en gamme côté business mais que l'éco allait souffrir de cost cutting. 

Les toilettes ont des eaux revitalisantes Clarins, un grand classique chez AF.

Le petit déjeuner est servi un peu une heure avant l'atterrissage, pour vraiment nous permettre de finir la nuit prorprement.
On a un café, un yaourt, des fruits frais (tellement mieux que les cochonneries sucrées), jus d'orange, viennoiseries écrasées et des crèpes aux fruits rouges et banane. Somme toute assez complet.

Je fais mon petit tour en cabine… Voila le réacteur gauche avec un souci de carrosserie déjà…

et le gauche avec le si typique wing flex du dreamliner.

La décente commence juste au dessus de Caen, encore avec une annonce amusante du capitaine et qui nous précisait que nous étions 13 minutes en retard car nous avions du rallonger un peu le parcours au dessus de l'Atlantique pour éviter une zone orageuse.

L'inconvénient d'être au siège du milieu c'est que j'ai peu de photos à vous proposer.

Sauf celles de l'atterrissage, enfin une vidéo du téléphone de mon compagnon.
 
On atterris sur la 27R.

à paris - aéroport charles de gaulle

Du coup après un long taxi nous voici arrivés au terminal 2E hall L, avec une dernière vue sur notre zozio.
Le Hall L était prévu pour accueillir l'A380, ce n'est donc pas les passerelles qui manquent, c'est toujours sympa de pouvoir débarquer par une passerelle dédiée. 

On passe devant GZNC, ce beau B777-300ER. 

je vous laisse ici pour ce vol, merci de m'avoir lu.