Avis du vol entre Bastia et Paris en classe Economique avec easyJet

Bonjour à tous,
Eh oui quant on est en vacances, les jours passe toujours aussi vite qu'il déjà l'heure de quitter la somptueuse Ile de Beauté tant réputé. Autant vous dire que j'y serai rester plus longtemps. Une nouvelle fois, le choix du plus bas prix fait que l'on décolle assez tôt de BIA avec EZY: 08:40.
Vu ma position non loin de Corte, réveil à 04h30 du matin, le soleil commence à pointer son nez tout juste peu après Corte à 05h45:

Arrivée à BIA à 06h23, on rend la loc avec quelques traces de saleté à l'intérieur qui ne nous serons pas facturé heureusement:

Check au FIDS qui sont des petits écrans LCD. Notre vol est déjà ouvert à l'enregistrement et nous allons de ce pas mettre la valise en soute:

Passage au comptoir plutôt vide bien que le vol sur GVA soit encore ouvert. La cerbère sera agréable mais un peu automatique. Elle nous remettra une étiquette pour les bagages à main, chose qui n'a pas été faite à l'aller.
Après cet instant, je vais m'attabler aux baies vitrées du hall ou se situe le seul café de l'aéroport côté enregistrement. Evidemment, BIA c'est pas CDG alors le spotting se trouve bien réduit. 320 Air Corsica en livrée 25 ans pour commencer:

Des petits XK qui rallient les côtes françaises à la Corse mais aussi Dôle et Clermont-Ferrand:

L'avion d'EZY en provenance de GVA arrive et c'est HB-JYF qui se dévoue pour la rotation:

320 Air Corsica au décollage piste 34:

C'est Satab qui assure au sol à BIS:

Passage à la sécurité agréable sans plus. C'est bien de pouvoir passer dans un environnement calme, cela fait oublier CDG et ses queues (parfois) longues…
un ATR72 (XK208) démarre ses hélices pour Nice:

HB-JYF avale ses derniers passagers:

Un équipage Air Corsica prend ses fonctions:

Hb-JYF s'en va pour GVA:

Puis arrive notre appareil qui atterrit en 34:

G-EZFY arrive à sa place en provenance de CDG. Il termine son 1er vol de la journée:

Après le mauvais bout d'inverseurs de poussée sur G-EZAO, voilà que G-EZFY a des bouts de métal scotchés un peu partout sur le réacteur droit:

L'embarquement est appelé, personne n'a les Speedy Boarding ou la Easyjet+ Card, on passe directement à l'embarquement général:

Avec EZY, on patiente toujours quelques minutes avant de renter dans l'appareil. Et ce qui est bien à BIA, c'est qu'on patiente à l'extérieur à la fraîche à la chaleur du petit matin sur le tarmac au doux son de l'APU. Le plein se fait et je voie un pratique que je n'ai jamais vue: un camion de pompier se positionne nez à nez avec notre 319 lors du refuelling. sans doute pour parer en cas d'incendie:

Cela doit sans doute s'expliquer par la petite taille de l'aéroport qui autorise un déplacement plus rapide des véhicules d'intervention par rapport aux grands aéroports, auquel il faut ajouter un grand nombre de refuelling en même temps:

Monté à bord du destrier avec un regard sur le cockpit:

Arrivé en 6 DEF, on est refulé au Jet A1, le kérosène classique en aviation:

Photo trop connu du pitch:

Toujours ces petits bout de métaux qui s'en vont sur les coins du siège:

Je retrouve aussi le bug des bouts du tissus qui manquent, mais je sanctionne moins: ici, lors de l'abaissement de la tablette, cela laisse apparaître des scratchs pas trop horrible à voir alors qu'à l'aller c'était des bouts de bois pas beau à voir du tout:

Et le même problème ne touche pas que moi:

Condensation au sein de la cabine:

Embarquement terminé, on repousse et on roule au point d'arrêt S piste 34. c'est alors que mon Lumix tombe en panne (erreur système de zoom apparemment). Je passe donc sur mon portable. La suite du Fr sera pas terrible avec des photos parfois de moyenne qualité bien que je demande la résolution max à mon Wiko. Passage au nord du Cap Corse, bye bye l'Ile de Beauté…

Nous sommes en croisière et on arrive vers Vintimille:

Le massif alpin a une belle couverture nuageuse:

Il reste un peu de neige tout de même, des NV lol:

La vallée de la Maurienne:

Verticale Chambéry et le lac du Bourget juste à côté:

PNC, Top Of Descent, nous sommes non loin de Dijon, arrivée DJL 7E. Le winglet, noirci faute d'absence de mise au point:

Passage au toilettes:

Si une dépressurisation survient, les masques ne tomberont pas aux toilettes:

On descend avec vue sur la Bourgogne:

J'en profite pour regarder le Traveller: le nouveau n'est pas arrivé donc toujours l'absence de Friedrischafen:

On arrive et j'ai CDG à ma droite, le gros point blanc c'est le mérou EK. C'est vrai que je suis mal placé pour spotter Paris:

Le Bourget:

La banlieue Nord et la LGV Nord qui démarre depuis le RER D:

Mais j'allais oublier qu'avec le demi-tour pour l'alignement, j'ai moi aussi le droit à une belle vue sur Paris:

Perspective sur Auber:

Approche pour une ILS08R:

Au Bourget, Gear Down et réduction à la vitesse d'approche:

Paris à droite:

500 pieds:

100 pieds:

Et touché par un beau kiss landing à -130 pieds/min. GroundSpoilers, Reverse Green:

Sortie par S6 puis roulage par E, GE4 et G:

T2G avec HOP! et flybe en E195:

Une église très prisé des spotters:

Un des restaurants d'ACNA qui assure le catering:

Des AF majoritairement du LC:

Arrivée à GE4, on tourne et s'on arrête. le CDB prend la parole et annonce que l'avion qui occupe notre place n'a pas encore pushbacké et il va falloir attendre. Au passage remarquer les travaux du tunnel qui engendre une fermeture partielle du twy E entre GE4 et GE2:

Nouvelle annonce du CDB, l'avion commence à reculer encore 2 min. Mais qu'il est bien ce CDB avec son accent flamand il va nous tenir informé de tout ce qui se passe lol.
Après 10 min d'attente, on bouge enfin de GE4. Nous avons perdu nos 10 mins d'avance:

Je passe alors sur un endroit pour la 1ère fois: en effet, à CDG le twy G n'est plus séparé par une barrière mais traverse bien tout CDG comme E. On voit bien le béton nouveau:

Baybus code-barrre:

Nous sommes en D20. Derrière nous, 3 EZY avec 2 319 et 1 320 au roulage:

Nous afons rendez-vous avec nos amis lettoniens!

Coupure des moteurs et extinction de la consigne de ceinture marque la fin du vol:

Dernière vue de G-EZFY qui va repartir sur NCE. Ce qui est bien à CDG, c'est qu'il y a aucune baie vitrée empêchant de voir les écrans de départ. En plus, on passe par la zone d’embarquement, hyper pratique Alors qu'à ORY, impossible de connaitre la prochaine destination à cause des baies vitrées:

14 min d'attente pour les bagages, c'est long mais il sortiront avec 30 sec d'avance:

Bagage récupéré, on se dirige vers le RER B et au passage le toujours légendaire FIDS de CDG:

Et c'est dans cet MI79 non rénovée qu'on s'assoit pour gagner la maison:

Mais pour moi les vacances ne sont pas finis car d'ici quelques jours un autre transport m'attend:

Et c'est sur ce que je cloture ma série de l'été (la seule). Merci à vous d'avoir lu mon FR et je suis bien sûr sincèrement désolé de la panne de mon appareil photo qui est absolument indépendant de ma volonté. Après inspection, un petit coup à l'appareil aurait suffi à le mette en route. J'ai sur le coup un peu ragé car si j'avais su, le FR aurait été plus attractif.
Merci de m'avoir lu.
A pluche ;)
Gojorges dit Jojo