Avis du vol entre Paris et Stockholm en classe Economique avec SAS

Bonjour à tous, le routing de ce FR, destination San Francisco avec un petit crochet par stockholm:
- CDG-ARN en date du 21 Avril avec SAS en classe éco (vous êtes ici ;)
- ARN-CDG Air France en business au 22 Avril
- CDG-SFO Air France en business au 22 Avril
Arrivée donc à CDG 1 déjà muni de ma carte d'embarquement sur mon téléphone portable (fait très rapidement et facilement la veille en ligne), je me présente directement au Bag Drop. Mais obligation de repasser par les bornes libre service pour imprimer l'étiquette bagage.

Passage aux bornes communes à plusieurs compagnies.

Je m'amuse des questions concernant les bagages. On comprend vite que le départ se fera vers un pays froid !

Tout est très vite imprimé, il n'y a quasiment pas d'attente au bag drop et c'est en 5 min chrono que tout est fait.

Petit passage obligatoire par les "tubes de CDG1" pour grimper vers l'embarquement.

Au premier étage, le grand classique des aéroports, boutiques de parfums, d'alcool et de produits français. Pas de très belle vue sur les avions, je m'oriente donc rapidement vers la salle d'embarquement.

Le temps d'attente à la sécurité et les vols du soir partant de ce satellite.

Arrivé en salle d'embarquement, mis à part du spotting, il n'y a pas énormément d'activité : une librairie et de quoi boire et manger des sandwichs. On passe donc aux photos (désolé pour la qualité, je n'avais que mon téléphone ce jour là…)

Pas de salon pour ce soir mais bon, vu de l'extérieur à chaque ouverture de porte, celui-ci avait l'air un peu froid et bien rempli.

Un 330 de Turkish en provenance d'Istambul.

Un Norwegian en partance pour les Etats-unis (il a quand même une belle petite tête ce 787…).

Un collègue scandinave qui partait lui vers Copenhague.

C'est alors que je reçois la mauvaise nouvelle. SMS envoyé de la part d'SAS nous informant que le vol était retardé.

Une fois l'avion repéré sur Flightradar, effectivement, il n'était pas encore prêt d'arriver à Paris (45min de retard).

Qu'importe, on va continuer à photographier les différents avions.
Petite séquence émotion avec l'arrivée des pompiers qui se sont tous disposés sur les cotés d'une des pistes, gyrophares allumés. Quelques curieux ont été attirés par ce spectacle, dans l'attente de voir arriver l'avion en perdition. Au final, c'est le vol de Ljubljana d'Adria airways qui a été escorté par les pompiers et qui a fait un atterrissage sans particularité. Je n'ai pas retrouvé sur internet l'incident qui avait pu provoquer ce déploiement mais l'organisation des pompiers était intéressant à voir.

Air Astana.

Un Bombardier CS100 de Swiss (que je n'avais jamais encore vu). Très bel avion.

Copenhague s'en va…

Il est temps de recharger les batteries avec les prises disposées dans le terminal.

Et enfin, notre petit appareil du soir se pose comme une fleur au loin.

En attendant de le voir arriver à son point de parking, je m'amuse de l'inscription notée sur la boiboite pour mesurer les valises de WOW.

Et le voilàààà ! Après 2h dans un minuscule satellite à ne rien faire d'autre que les cent pas, on est très content de voir arriver son avion !
Moi qui trouve la livrée assez sympa en photo, je trouve qu'elle fait un peu terne en réel. Ca manque un peu de couleurs…

Un bref coup de ménage et c'est un embarquement très rapide qui se fait pour récupérer le retard.
Appel des Business et des Elites puis les sièges situés derrière l'issue de secours centrale.
L'accueil à bord est poli sans plus. L'équipage avait l'air pressé de faire avancer l'embarquement (on ne peut pas leur en vouloir).
Les sièges bleus foncés rendent la cabine un peu sombre et pas très chaleureuse. En revanche, malgré la rotation très courte, l'avion est d'une propreté impeccable.

Un coup d'oeil au siège que je vais occuper pendant les 2 prochaines heures.

Le pitch est franchement très confortable, avec quasiment autant de place qu'un long courrier AF.

Mon voisin de 2m n'a pas l'air aussi à l'aise que moi…

L'embarquement se poursuit dans le calme et l'organisation.

Petit coup d'oeil au menu pour s'occuper. Pour l'eco chez SAS, le café et le thé sont gratuits mais pour le reste, tout est à la vente.
Le menu diffère si l'on vole en Europe, en Charter, ou en Scandinavie.

Voici donc le menu pour l'Europe.

Pour les charters.

Et pour la Scandinavie.

Les magazines proposés.

La flotte SAS.

Embarquement clos, inspection de la cabine par notre stew coiffé comme un joueur de foot.

Petit mot du commandant pour s'excuser et nous expliquer les raisons du retard (problème technique à Stockholm), nous donner notre parcours et les conditions de vol.
Et c'est parti pour le repoussage avec une heure de retard sous un couché de soleil qu'on n'avait pas vu depuis longtemps en Ile de France.

Le roulage est rapide. Dernier coup d'oeil à notre terminal avant le décollage, cap à l'Est.

Le 2F.

Et petit virage sur la gauche pour prendre la direction de Bruxelles (premier point de passage énoncé par le commandant).

Le service commence alors que le jour tombe rapidement dehors.

Je ferai mon radin ce soir et ne prendrai qu'un café. Les PNC étaient très agréables et détendus durant le vol. Passage à plusieurs reprise avec le sourire pour reproposer des boissons chaudes "free of charge".

Reste du vol sans particularité et approche vers Stockholm.

Cabine préparée pour l'atterrissage, toujours avec le sourire.

Et arrivée dans le fief d'SAS avec 1h de retard.

Livraison des bagages très rapides.

Pour moi, ce sera une courte nuit dans un hôtel de l'aéroport avant de poursuivre mon trajet le lendemain matin vers san Francisco.
Merci d'avoir lu !