Cette fois-ci, j’ai une valise de cabine, mais contrairement à mon habitude ce printemps, je vais conserver mon siège à l’avant de l’appareil. Pas question pour autant d’avancer au 3A (je n’aime pas être au ras du rideau, ni de reculer au 7A que je sais avoir un hublot mal aligné (tout comme le 5A, d’ailleurs).
Le vol AF1063 sera-t-il à l’heure cette fois-ci ? Flightradar24 m’a appris que sa ponctualité a été calamiteuse cette semaine passée, avec deux retards de 2h45’ et 5h21’. Je serais curieux de savoir si AF s’est opportunément rappelé que je les ai contraints d’admettre que CDG-ARN, c’est peut-être 926 miles selon Flying Blue, mais c’est 1542 km selon la route orthodromique, et qu’ils m'avaient donc dû 400 EUR pour un retard de plus de 3h, et non 250 EUR (pour un vol de moins de 1500 km, auquel cas la barre est à 2h de retard). Le calcul de la distance du grand cercle, ce n'est vraiment pas le truc du service client d'AF, même quand on lui fournit obligeamment la formule mathématique et les coordonnées des aéroports.
Mais cette fois-ci, le vol AF1062 est parti raisonnablement à l’heure, et il est possible de parier que le vol de retour fera de même. Arrivée à la gare centrale par la ligne bleue du métro, comme les parois du tunnel l’indiquent.
C’est mon dernier passage devant ces portes fermées : le lundi 10 juillet, la nouvelle gare souterraine de banlieue entre en service. Les trains passeront par le tunnel qui a fait l’objet du bonus de ce FR.
L’Arlanda Express, lui, n’est pas prêt de changer de voies (ni malheureusement de tarif ou de cadencement)
A défaut de circuler fréquemment ou d’être bon marché, il va vite et permet d’atteindre Arlanda Sud en 20 minutes.
Les vosl d’AF partent du Terminal 2, mais à moins d’arriver au dernier moment, un détour par le Terminal 3 landside s’impose toujours pour un FRiste.
Ce serait en effet dommage de ne pas profiter de cet aéroport fantastique !
Il y a même des goodies pour le rappeler
Cela tombe bien, mon étiquette griffée AF est un peu fatiguée
Pour les bagages hors gabarit, c’est ici
Il y a du matériel de manutention à la hauteur des besoins.
Mais pas de souci, mon bagage à main respecte scrupuleusement les règles édictées par AF (et que l’on n’a pas la mesquinerie de contrôler à ARN), et je peux le prouver
…grâce à ce matériel à gauche ci-dessus
Gabarit OK
Et masse inférieure à 12 kg, en supposant que l’accéleration de la pesanteur a été correctement calibrée. (En cette période d’oral de rattrapage de physique pour des lycéens un peu tangents, ce n’est pas le moment de parler d’un poids de 12 kg).
On m’objectera peut-être que ce bagage a main va s’alourdir d’au moins dix Newton de salmonidé pêché airside ? Objection rejetée, Votre Honneur, car ce qui n’est pas du tout calibré, c’est le zéro de cette balance.
Après m’être ainsi rassuré sur la légitimité de mon bagage à main, je peux passer à la véritable raison de mon détour ici, que mes lecteurs connaissent bien : le spotting, car c’est ici l’un des meilleurs endroits d’ARN. La piste 01R/19L est trop éloignée, et ce n’est pas avec des décollages piste 19R que l’utilisation de cette dernière est le plus favorable (l’idéal, hélas assez rare, ce sont des atterrissages en 01L). Donc pour mémoire, deux 738 Norwegian Air Shuttle et SAS
Et la version un peu moins longue du précédent, un 737-700
Au sol, à de petites variantes près, c’est comme d’habitude. Une variante, par exemple, c’est ce CRJ-900 SAS au contact du Terminal 4, alors qu’il n’y a d’habitude là que des 737 SK et DY.
Passage d’un 737 en livrée commémorative vu régulièrement à ARN
Autour du Terminal 3, ce sont les biturboprops de Nextjet : Saab 340 et Bae ATP
En zone de fret, surprise ! il n’y a qu’un 757 DHL esseulé. Où est donc passé son jumeau ?
Ayant fait le tour du sujet landside, je rejoins le PIF du Terminal 2. (Les photos qui illustrent la saynète qui suit ont bien sûr été prises airside, rien ne justifiant de braver l’interdit photographique cette fois-ci)
Un PIFman intercepte ma valise et me demande successivement :
- Je peux l’ouvrir pour contrôler ?
- Oui, bien sûr (Je me demande ce qui se passerait si un PAX répondait non…)
- Vous avez de la nourriture dedans ?
- Euh, non…
Ce n’était pas la bonne réponse, car je me souvenais surtout que c’était le voyage où je restituais le stock mensuel d’emballages isothermes à ma boutique airside préférée (les emballages ne sont pas consignés, mais je diminue comme je peux mon empreinte carbone)
Mais j’avais surtout oublié que ces navettes hebdomadaires sont dues à mon gagne-pain. Littéralement
Cette fois-ci, j’ai fait la razzia à mon épicerie de quartier qui était en rupture de stock de cette variété précise la semaine précédente, et comme ce genre de pain se conserve bien dans un appartement suédois (en revanche, il se conserve très mal dans un appartement parisien, vu comme il file vite), je l’ai acheté deux jours plus tôt et mis directement dans la valise.
Le PIFman prend l’un de ces paquets, et demande d’un geste muet à sa collègue « Ça passe, ça ?. La collègue répond de manière tout aussi muette (mais néanmoins souriante) d’un pouce en l’air. Je savais que les pains de plastic ne sont pas les bienvenus en cabine (en soute non plus, d’ailleurs), mais je ne savais pas qu’un rågbröd, version suédoise du vollkornbrod allemand pouvait être suspect. Le risque de confiscation d’un pain potentiellement explosif étant levé, je plaisante :
- Vous savez, d’habitude, on tartine le fromage sur le pain, mais pas le pain sur le fromage !
Il sourit, et me dit de prendre mon temps pour remettre mes affaires en place.
Mais oui, j’étais satisfait de ce PIF : la courtoisie et le sens de l’humour du personnel face à ce PAX qui avait prétendu n’avoir pas de nourriture dans un bagage où elle occupait une grande partie du volume étaient très sympathiques.
Inutile de vous faire un dessin sur l’étape suivante à la sortie du PIF, je suppose ?
Ayant fait mes courses de la semaine, je passe aux loisirs airside, et bien sûr un peu de spotting, avec ce CRK hispano-croate qui a ses habitudes cet été à ARN
Un 767 BA, c’est aussi incontournable à cette heure là.
Et c’est tout pour le moment. J’utilise l’excuse un peu légère d’une valise un peu lourde (bien que réglementaire) pour prendre l’ascenseur au lieu de l’escalier pour monter à l’étage où se trouve le salon.
Rien à dire sur le côté PMR-friendly de cet ascenseur : arrivé au niveau supérieur, la porte intérieur s’ouvre automatiquement (c’est banal), et la porte extérieure qui est motorisée s’ouvre également, puis se referme derrière moi.
Arrivée au salon, le seul de ce petit terminal.
Après m’avoir accueilli avec le sourire, le cerbère s’esquive pour quelque tâche domestique (le personnel d’accueil est polyvalent : ce sont les mêmes qui peuvent être à l’accueil et cinq minutes plus tard en train de réapprovisionner le buffet), ce qui me permet d’immortaliser son poste de travail.
Qui donc voudrait agresser ce sympathique colosse à l’épaisse barbe noire jais, typique de certains des Suédois du XXI° siècle ?
Des présentoirs de presse quotidienne dans le court corridor donnant accès au salon après le comptoir d’accueil.
Cette fois-ci, la presse française est plutôt fournie avec Le Monde, Libération et le Figaro, ces deux derniers étant marqués à l’impression « Exemplaire offert par Air France ».
Pour ce qui est des magazines, en revanche, c’est plutôt maigre. Le seul newsmagazine est un exemplaire de Newsweek.
C’est la fin du service d’après-midi, mais il n’y a pas eu énormément de convives : il reste encore beaucoup de nourriture chaude, toujours la même : des lasagnes banales, des boulettes de viande que je trouve très bonnes.
… et des cubes de pommes de terre et de viande rissolées
Mon choix
Peu après, le personnel apporte les fromages et les tranches de viande froide du soir, mais je n’ai pas très faim.
Gros plan sur les différents condiments disponibles.
Il y a bien sûr thé et café, et au fond de l’eau plate et de l’eau pétillante.
Si j’ai pris le risque de choisir un siège à l’avant de l’avion malgré la nécessité de trouver de la place dans les coffres à bagages pour cause de valise de cabine de taille maximale, c’est parce que je sais que je ne prends aucun risque : les Suédois sont des juillettistes, et cet avion va être rempli de vacanciers. Conséquence immédiate : ce salon est beaucoup plus vide qu’en juin.
Cela me permet de vous en proposer un tour du propriétaire sans importuner les rares usagers. En arrivant du comptoir d’accueil, on voit à gauche des baies vitrées donnant une vue plongeant sur l’accès au PIF (le buffet est hors champ à gauche).
Au fond, du côté opposé à l’entrée, on tombe sur ces espaces. Ce sont les seuls fenêtres donnant sur l’extérieur (de mémoire, c’est un envers du décor landside sans intérêt)
Un PAX a oublié son vêtement : il y était encore quand je suis parti
A gauche au fond, le principal intérêt de cette salle « business room » est de fournir la meilleure vue sur le PIF
On continue à droite avec cet autre espace, et des fenêtre donnant sur ces mêmes zones landside
Et pour finir, encore un virage à droite pour revenir dans le sens opposé : le comptoir d’accueil est tout au fond à gauche ; on aperçoit un présentoir à magazines à gauche d’un PAX debout. Le buffet est caché par la décoration de verdure au centre.
Et c’est d’ailleurs pour moi l’heure de continuer tout droit pour aller à ma porte d’embarquement. L’A321 du jour n’est pas celui-ci, sous-exposé, qui part à LCA (Larnaca).
Mais celui-ci
Sans surprise, la queue est encore plus longue que d’habitude pour l’embarquement des PAX sans statut, et beaucoup plus courte côté Skypriority. Encore un signe de cette période de vacances, trois PAX ne connaissant pas le concept d’embarquement prioritaire se font refouler successivement après avoir fait en toute bonne foi la queue du mauvais côté. Cela se passe en toute courtoisie de part et d’autre. A leur décharge, je reconnais que les employés ont négligé d’installer le panneau rouge/bleu indiquant les files SP / non SP. Ils devaient se dire que pour moins de dix PAX (oui, les PAX SP se comptaient sur les doigts des deux mains sur ce vol !) , cela ne valait pas le coup.
Deux PMR embarquent, mais ils ont été précédés par d’autres, comme j’ai pu le deviner à l’arrivée à CDG.
Les deux derniers fauteuils de PMR sont remontés dans la passerelle
L’instant portes (au pluriel)
La preuve du mauvais alignement des hublots au 5A (à droite) et 7A (à l’extrême gauche). Mais au 6A (à gauche), c’est pile comme il faut.
Le pitch est standard, et comme PAX5A ne va pas incliner son dossier, il sera suffisant pour l’espace vital nécessaire à mon PC.
La moquette et l’aumônière sont propres.
AF fait de la promotion sur son site pour du chewing gum (pardon, de la gomme à mâcher) et je lance un grand jeu concours : qui trouvera le premier un chewing gum griffé AF collé à son siège ?
C’est un A321 rénové, avec des prises USB en bout d’accoudoir, mais il faut en connaître l’existence pour les voir, et les PNC n’en souffleront mot.
Il n’y a que deux rangs de J dans cet A321, un signe parmi d’autres que c’est une période de vacances.
Un 737-700 KLM est arrivé au contact entre temps. On repousse,
Ce qui permet de voir derrière le 737-700 KLM un Saab 340 Nextjet en faux contact
La zone de fret, avec les deux 757 UPS et DHL. Un 738 Norwegian Air Shuttle arrive à gauche
Il va falloir le laisser passer
Il part à LLA (Luleå, la grande ville du nord suédois)
Fokker 50 Amapoli Flyg
Bae ATP et Saab 340 stationnés au large
PNC, préparez-vous pour le décollage
(le 738 norvégien est déjà en l’air)
Flou, parce que nous avons déjà pris de la vitesse, un Dash 8 air Baltic
De gauche à droite, la première jetée du Terminal 5, les jetées des Terminaux 4 et 3 et le Terminal 2 presque entier (ce dernier n’a pas de jetée, ce qui limite beaucoup sa capacité)
Haha, voici le 757 DHL qui manquait !
Ici sous l’aile, il va rejoindre son jumeau en zone de fret à droite.
Au second plan, la piste 01R/19L
Alors que l’espace ne manque pas dans la campagne suédoise, qui aurait l’idée saugrenue de construire un hameau aux maisons tassées les unes contre les autres entre une autoroute, la voie ferrée de l’Arlanda Express et les axes des deux principales pistes d’ARN ?
En fait, personne n’habite là : c’est Nybygget, un parc de maisons témoins construite chacune par un promoteur différents ; une sorte de showroom en plein air.
Il y a quelque chose de changé le long de l’autoroute E4
Les foins ont été fauchés, et emballés de plastique blanc
Le château de Rosersberg
La presqu’île traversée par l’autoroute E18, avec Kungsängen au prremier plan
C’est sous cet angle-ci que l’on peut discerner que la jonction sous l’autoroute qui fait que ce n’est pas une île
Incontournable quand on décolle vers le sud, la vue certes un peu lointaine sur BMA, l’aéroport presque uniquement domestique de Stockholm.
En revanche, on passe un peu trop loin du château royal de Drottningholm, signalé ici par une flèche rouge.
Södertälje, un point de repère impossible à rater si les nuages ne sont pas trop bas.
L’aéroport de Nyköping, desservi principalement par Ryanair, qui l’a inévitablement fait renommer «Stockholm Skavsta », alors qu’il est à 100 km de la capitale.
C’est une semaine sans gluten pour moi (du moins tant que je suis au-dessus de 30 000 pieds). La bouteille d’eau occupe de la place sur le plateau, mais comme le PNC ne m’a pas proposé de boisson avant de s’occuper du service ordinaire, elle était la bienvenue.
Voici l’ensemble après déballage. Le poulet + riz + brocolis + ratatouille cachée en dessous du poulet remplit son office de nourrir le PAX sans le faire rêver de gastronomie.
Le gluten, c’est ce qui manque dans un pain sans gluten. Quand on étale dessus une portion de fromage fondu, ça donne quelque chose de trop bourratif pour être compensé par 25 cl d’eau. Je n’ai pas tenté d’utiliser de la margarine sans lactose pour remplacer l’eau qui venait à manquer.
Pendant ce temps voici le plat chaud reçu par mon voisin. Fondamentalement, le riz a été remplacé par des pennes bourrées de gluten, et la ratatouille a été versée sur le poulet, et non l’inverse.
Les résultats des partiels d’emballageologie alimentaire AF sur Flight Report étant satisfaisant, je ne pense pas nécessaire de détailler le processus pour compacter ainsi mon repas, même spécial.
Après réception (enfin) d’un verre d’eau et d’un verre de café pour étancher ma soif, la serviette de papier a été utilisée réglementairement pour essuyer le gobelet de café, et l’ensemble est glissé dans l’aumônière, avant d’être restituée à la PNC qui a remarqué ce compactage inhabituel.
Deux tentatives d’air to air, un peu trop lointains et obscurs. Le premier est probablement un Bristish Airways ; le second a tout de la couleur d’un KLM
La petite ville d’Apeldoorn
Le Kootwijkerzand, un parc naturel de 700 hectares de dunes de sable
La base aérienne de Deelen, près d’Arnhem
Arhnem, au premier plan, L’Allemagne se trouve juste hors champ en haut de cette photo : la frontière avec les Pays-Bas suit brièvement le cours du Rhin juste en amont.
Les aménagements sur les berges du cours inférieur du Rhin, que je suppose être destinée à lutter contre leur érosion, le rendent très facile à identifier.
Nimègue
Caramba, j’ai eu de la chance avec celui là !
Normalement, il est impossible de saisir en train de s’éloigner un avion ayant coupé ainsi la trajectoire de son avion, faute de l’avoir vu venir, mais j’étais en train de photographier Nimègue et j’ai appliqué le principe de base « déclencher d’abord, réfléchir ensuite ».
C’était le vol BA706 LHR – VIE, assuré par G-EUUI, un A320
L’aéroport d’Eindhoven (EIN)
Je dois à Jpmilou (merci à lui !) l'identification de la centrale nucléaire de Tihange, sur la commune de Huy en Belgique; c'est la deuxième fois que je vois ces trois tours de refroidissement au loin.
Je les ai aperçues en même temps que je photographiais la base aérienne de Beauvechain (EBBE)
C’est mon appareil photo qui a le mieux vu l’aéroport de Charleroi (CRL), car l’avion est passé presque à la verticale du terrain. Desservi par Ryanair, il est inévitablement renommé « Bruxelles – Sud ».
Là en revanche, j’ai réussi à identifier sans erreur possible les deux tours de refroidissement de la centrale nucléaire de Chooz
… grâce à un traitement d’image qui fait ressortir le méandre de la Meuse où elle est située. Elle était donc à une trentaine de kilomètres de distance quand je l’ai photographiée.
Les différents projets de création d’emplois sur l’ancien aérodrome de l’OTAN de Rocroi – Régniowez ont été à ce jour autant de fiascos ; son isolement géographique y est sans doute pour quelque chose.
Le CENZUB (Centre d'entraînement aux actions en zone urbaine), installé dans le camp de Sissone, reproduit différents environnements urbains pour entraîner les forces armées à ces formes de plus en plus fréquentes de combats en zone plus ou moins densément construite.
Air to air et pleine lune
Alignements d’éoliennes
Lizy sur Ourcq. Au premier plan, la LGV Est franchi l’Ourcq et le canal de l’Ourcq.
La Marne, et Meaux au second plan à droite
Les pistes en herbe de l’aérodrome de Meaux se voient mal, surtout au crépuscule
Avec un traitement d’image, ça va mieux
Juilly, et son collège qui a fermé en 2012 – il avait été créé en 1638, l’année de la naissance de Louis XIV. Sic transit gloria…
Arrivée au crépuscule à CDG : le Terminal dans son ensemble
Le Terminal 2G
Le Terminal 2E
Le Terminal 2F, la gare TGV – RER, et le Terminal 2D
La double taxiway d’accès au doublet nord le long du parking pour avions long courrier
Hall M (à gauche) et L (à droite du Terminal 2E
Décollage d’un probable A321 AF du doublet sud
Course d’élan d’un 787 Oman Air sur la piste 27L alors que nous sommes en train d’atterrir piste 27R. pas très net, mais je voudrais vous y voir dans ces conditions d’éclairement, de mouvements relatifs et de secousses.
Le Terminal 1 pas encore illuminé
Un A330 Air China au contact
Au contact de gauche à droite : Qatar Airways, Wow Air et Lufthansa
Encore moins net que l’Oman Air, pour les mêmes raisons : le départ d’un 777 PIA
Un Irlandais rentre à son pub favori
Le Hall L du Terminal 2E
Arrivée au contact à la première porte à droite (en venant du PIF) de la jetée 2F2, ce qui minimise à la fois le roulage pour l’avion et le cheminement pour les PAX quittant l’avion.
Il fait encore jour
Nuex minutes de retard, c’est négligeable pour un vol AF1063
Une demi-douzaine de fauteuils pour PMR à l’accueil de ce vol
Les PAX en transit vers un long courrier partent vers là ; cette fois-ci, ils auront leur avion.
Au moins trois ou quatre rabatteurs de motos-taxis m’ont proposé leurs services sur le court trajet vers la station de taxi ; à cette heure-là, ce mode de transport n’est pas du tout justifié par rapport à un taxi ordinaire, d’autant que l’attente est négligeable.
Merci de m’avoir lu !
C'est agréable de pouvoir plaisanter avec les agents du PIF, c'est souvent l'inverse...
Les aliments du salons ne varient pas beaucoup !
Menu sans gluten, ça n'est vraiment pas mon truc...
Comme toujours, description exhaustive des paysages survolés
Dommage que tu es loupé le air to air, (avion et pleine lune)
Les rabatteurs moto taxi étaient au rendez vous à CDG, ils se passent le mot avec ceux officiant en voiture ?
Merci pour ce FR, à bientôt !
De mon expérience, qui n'est pas celle d'un contrevenant de mauvaise foi, les Suédois chargés de tâches de contrôle et de sûreté savent effectuer leur travail sérieusement et avec le sourire. Le probable faible taux de fraude aide à cela.
Il n'y a vraiment pas de variété alimentaire au salon Aurora d'ARN, et il n'y a pas de menus spéciaux pour changer.
Il ne faut pas dire "je n'aime pas" sans avoir goûté; maintenant, je peux écrire que je préfère le pain avec gluten.
J'ai été un peu trop lent à déclencher; je l'aurais vraiment regretté si l'avion était passé devant la lune, et non dessous.
J'ai trouvé les rabatteurs de moto-taxis moins agressifs que ceux des VTC plus ou moins légaux les fois précédentes.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR... une fois de plus intéressant. chapeau bas pour réussir à nous passionner avec des navettes en répétition.
Les 3 tours de refroidissement me semblent être celles de la central nucléaire de Tihange sur la commune de Huy en Belgique
à une vingtaine de km au SOO de l'aéroport de Liège Bierset.
Quand je pense que je suis passé trois fois dans ce coin de la photo satellite sans voir cette centrale… :(
Pas d’hésitation : la distance et le cap approximatifs sont compatibles, merci beaucoup pour cette identification !
Hello ! Merci pour ce FR !
Ce menu sans gluten n'est pas trop appétissant, vivre sans gluten impose un régime très strict.
Beaux paysages, à nouveau, bravo !
A bientôt !!
Il faut profiter des paysages pendant ce vol, car la saison pendant laquelle il y a suffisamment de lumière est très courte.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR.
“Ce serait en effet dommage de ne pas profiter de cet aéroport fantastique !“
- Far from being one IMO haha.
Nice spotting shots at ARN!
“La presqu’île traversée par l’autoroute E18, avec Kungsängen au prremier plan“
- This freeway and the surrounding areas have become more familiar to me nowadays :). Nice shots as always.
Interesting pieces of bread, I do not think I have ever had gluten-free bread (at least not being aware of it), only seen them in the stores.
Fantastic aerial shots and great air-to-air shots.
Nice shots of CDG before landing this time!
I really like the spotting shots at CDG in the end.
Have a good one, see you!
Sidenote: I was on the inauguration of Citybanan, it feels good that they've finally improved the commuter train experience at the central station.
“Far from being a fantastic airport IMO haha.”
- Communication people often seem to be using a specific dictionary
“This freeway and the surrounding areas have become more familiar to me nowadays”
- I’ll rely on your growing expertise to identify the details !
“Interesting pieces of bread, I do not think I have ever had gluten-free bread (at least not being aware of it), only seen them in the stores.”
- My advice is to leave it in the stores; it is not worth stealing :)
“I really like the spotting shots at CDG in the end.”
- It takes both early summer daylight and a flight AF1063 on time, an unusual combination in my experience :)
Thanks for your comments !
Merci François pour ce FR.
Skypriority qui est plus utile lorsque les priviélégies sont moins nombreux à se disputer la priorité.
Le salon est lassant, mais rares sont les gens qui prennent si fréquemment la même route chaque semaine. Ou alors il faut changer de compagnie pour changer de salon :-P
Menu sans gluten qui sur la photo ne détone pas par rapport au standard. N'ayant jamais essayé ce type de pain, je m'imagine le pire.
Il me faudra beaucoup de créativité pour me renouveler dans le salon d'ARN, mais j'ai eu une bonne surprise cette semaine (teaser...). Quant à repartir du bas de l'échelle de statut pour finir par accéder aux salons de SAS, non merci !
Le riz ne contenant pas de gluten, le plat chaud était tout à fait standard. Inutile d'essayer le pain sans gluten : ton imagination est très proche de la réalité ;)
Merci pour le commentaire !