Bonjour à tous,
Voici mon report de retour de notre séjour à Punta Cana. C'est durant cette semaine que l'ouragan Maria (catégorie 3) a frappé l'île. Heureusement, nous n'avons rien eu (plus de peur que de mal). On en dira pas autant de l'hôtel et d'autres infrastructures de l'île.
Pour rappel, voici le routing
CDG-PUJ le 16-09-17 consultable ici
PUJ-CDG le 23-09-17 vous êtes dedans
Nous partons de l'hôtel par une navette mis à disposition par le voyagiste
Il n'y a pas grand chose à voir durant le trajet si ce n'est quelques arbres tombés et des baraquements
Le trajet dure 25 minutes et nous arrivons à 16h00 précises au terminal B de l'aéroport
Celui-ci est de construction récente il me semble.
Les vols au départ ce soir, peu nombreux
A notre arrivée, les comptoirs d'enregistrement AF étaient en train d'ouvrir. L'ensemble des files dédiées (SP ou non) sont vides. On ne peut donc pas faire mieux en matière de fluidité !
Quelques minutes plus tard, nous voici en possession de nos BP.
Le passage des différents contrôle (sécurité et frontière) s'est aussi avéré très fluide. On a juste attendu une minute en tout lors de cette phase. Encore une fois, on ne peut pas mieux faire.
Nous voici donc airside. Le terminal comprend quelques boutiques, mais on a très vite fait le tour.
Une photo prise sur le trajet
Nous nous posons donc en salle d'embarquement quelques instants…
… avant d'aller prendre un café sur la terrasse d'un bar où nous pourrons observer l'arrivée de notre avion du jour
Il sera suivi quelques minutes par ce Westjet
Notre Boeing 777-300ER au parking
Il s'agit de F-GZNF, il est âgé de huit ans et est configuré COI
L'embarquement commence à 18h25, avec dix minutes de retard. Les priorités sont respectées et un chien renifleur sera présent dans la passerelle.
Bienvenue à bord
Notre rangée duo
Pour le départ du vol, je prendrais le hublot. Puis, une fois décollé, je regagnerai mon siège couloir. Voici le pas (mauvais)
Et la vue depuis le hublot
La cabine se remplit rapidement
Le contenu de la pochette plastique
L'avion quitte la porte d'embarquement avec quinze minutes de retard. Il fait nuit, les photos extérieures sont donc inexploitables avec la luminosité de la cabine. Durant le roulage, les filles font leur show.
Le service démarre une heure environ après le décollage. Au menu aujourd'hui, une salade de choux, du riz et quelques morceaux de poulet, un petit fromage président (façon kiri) et un gâteau au chocolat et une double ration de planteur. Au passage, le menu végétarien de mon ami a été oublié.
La salade de choux est bonne, le riz poulet correct (je m'attendais à pire), mais le gâteau au chocolat est pouf pouf. Côté pain, cela passe.
L'hôtesse passe ensuite proposer des cafés ou thé. J'opterais pour le cappuccino (servi à partir d'un stick).
Puis, la cabine se trouve plongée dans le noir, à l'image de l'extérieur
Difficile de dormir dans cette cabine, tellement je juge l'installation et le confort mauvais.
Je vais donc choisir l'option film pour ce vol. Malheureusement, l'IFE buggera à de nombreuses reprises. Cela, malgré, la réinitialisation opérée par l'hôtesse.
Le service de petit-déjeuner démarre une heure avant l'heure d'atterrissage prévue.
Le seul produit chaud est le chocolat. Dommage. Pour le reste, j'ai troqué les fruits contre un deuxième morceau de pain (correct). Le muffin sera, pour sa part, très bon. C'est une bonne surprise !
Le retour sur les côtes françaises (par la Basse-Normandie) se fait par dessus les nuages
La descente le long des méandres de la Seine
Nous approchons par l'Ouest sur CDG
Atterrissage sur la 8R avec un freinage fort
Roulage jusqu'au 2E où nous croiserons de nombreuses dérives tricolores
Nous devrons patienter une quinzaine de minutes pour sortir de la cabine.
Je plains les passagers non SP au contrôle frontière. 90 minutes d'attente sont annoncées (désolé pour la mauvaise qualité de la photo).
Pour notre part, nous passerons le contrôle en dix minutes
Après un passage aux toilettes (sales), nous récupérons nos bagages vers 10h25 en ayant dû mettre la main à la patte.
En effet, le tapis à bagages était plein et aucun personnel de CDG n'était présent pour décharger. Du coup, de nombreux bagages ne pouvaient arriver sur le tapis faute de place. Il a fallu que l'on "décharge" nous même une trentaine de bagages pour que les nôtres arrivent sur le tapis et que l'on puisse les récupérer. On allait certainement pas attendre que les gens arrivent, vu le temps d'attente à la PAF.
Ce petit exercice matinal effectué, nous repartons tranquillement vers le PX pour récupérer la voiture.
Merci de m'avoir lu.
Merci pour FR.
Une expérience pas vraiment relaxante pour un retour de congés.
Pas de salon à PUJ pour les Y avec statut. Une cabine COI limite, un IFE qui bug et qui est ancien, et l'arrivée à CDG terrible.
90 minutes d'attente, c'est scandaleux. Toutes les aubettes étaient elles occupées ou non ?
Merci pour le commentaire. Non, il n’y avait que trois postes ouverts en tout. C’est aberrant !
Vraiment la Paf Francaise ,reflète bien ce qu'est le Pays en général ( bordelique) en attendant , merci pour ce FR