Bonjour à tous,
Je vous retrouve pour le vol retour de ce petit routing italien :
22.03.2018 : Aéroport Bruxelles-Sud Charleroi (CRL) - Napoli Capodichino (NAP) B737-8 (Ici)
25.03.2018 : Napoli Capodichino (NAP) - Aéroport Bruxelles-Sud Charleroi (CRL) B737-8
Après un week end riche en découvertes il est l'heure de rentrer à Bruxelles.
Cette fois-ci l'avion est à 9:55, ce qui est en fait le vol de retour vers CRL de celui que nous avons pris pour venir.
Pour se rendre à l'aéroport on prend le Alibus depuis la gare centrale de Naples à 7:50.
Le bus se pointe à 7:40, ce qui laisse le temps à tout le monde d'embarquer sans qu'on se mette en retard. On paie 5€ cash au chauffeur en entrant.
On arrive à l'aéroport à 08:10 ce qui nous laisse amplement le temps de petit déjeuner.
Je vous l'avais dit à l'aller, l'aéroport est vraiment proche du centre ville, en 20 minutes on y est !
J'aime bien la grande façade vitrée du terminal.


Le tableau des départs pour ce matin, et une vue de l'entrée du terminal depuis la corniche.
De ce que j'ai pu voir, les check-in se font au rez de chaussée, et il faut ensuite monter sur la corniche pour passer au PIF.


Quelques magasins se trouvent à l'étage donc un magasin de souvenirs où je laisserai des cartes postales à la vendeuse qui se chargera de les envoyer pour moi quand elle rentre en ville… Très sympathique attention.

Maintenant l'heure de manger :
Un dernier Espresso, et un beignet pour moi, et un capuccino et une mini pizza pour ma copine (oui oui pas de sfogliatelle mais on en a déjà goûté en ville ;) )

Ensuite on se dirige vers la PIF:

Où il est clairement indiqué qu'on ne peut pas prendre son pot de Nutella à bord si il dépasse les 100ml:

Il faut scanner son BP avant d'accéder à la PIF :

Quand même un petit 10minutes d'attente à cette heure animée de la journée.
J'aime qu'il soit inscrit clairement comment s'y prendre avec les bacs:


Un siège où on est surs d'être à l'aise s'il faut enlever ses chaussures:

ERJ Alitalia cityliner juste après avoir passé la PIF.

Ensuite un duty free où il faut passer obligatoirement.
J'aime qu'il y ait une grande section dédiée aux produits locaux.
On peut ramener des mozzarella toutes emballées.. Produit local, j'aime bien.



Nous suivons les gates B comme nous l'avons vu indiqué en entrant dans l'aéroport.


Il faut descendre pour les gates B, on passe devant un petit airbus Aegean :


On se rend compte que la gate ferme à ce moment (à 9:25), mais qu'en fait notre gate n'est pas en porte B mais en C…
On avait fait le mauvais chemin, pensant que l'embarquement se faisait en B comme affiché au hall des check-in, mais on ne s'était pas rendu compte que ce qui était indiqué là était le comptoir check-in et non la porte d'embarquement.
C'est alors que l'on s'élance dans un sprint des plus mémorables pour nous retrouver dans les derniers passagers à embarquer !

Bon BP bipera 'faux' plusieurs fois avant que l'agente me laisse passer, et on ne vérifiera pas la taille de nos bagages.
On descend.


A nouveau, on donne nos bagages à main avant d'entrer dans l'avion, qui ont été taggés lors du scan de BP :

J'embarque par l'arrière puisque je suis assis à l'avant dernier rang, sympathique pour faire des photos de l'appareil :



un EZY prend son élan :

La cabine de derrière :

Mon espace pour les deux heures qui suivent :

La vue :

L'environnement est très simple : Pitch très limité, petite tablette, plafonnier classique, et consignes collées à l'arrière du siège de devant.




Des passagers embarquent à bord du Germanwings d'à côté :

Pendant ce temps là, il y a de la place libre à l'arrière, et beaucoup de passagers enverront des messages à leur partenaire de voyage pour qu'ils les rejoignent. Je fais de même avec ma copine qui est assise à l'avant de l'appareil, elle me répond qu'elle me rejoindra après le décollage.
Les PNC sont très proactifs dans la démarche de repositionnement des passagers.
THY en Boeing, et EZY en Airbus à l'atterissage :


La cabine ne dispose pas de moodlighting comme à l'aller, il doit s'agir d'une version antérieure du B737.

à 9:50 le capitaine annonce un temps de vol de 2h05.
Les consignes de sécurité sont données sur une bande sonore préenregistrée. Les PNC sont répartis bien trop à l'avant de l'appareil et je ne distingue presque rien de leur démonstration.
Nous repoussons à 9:55 pile c'est à dire exactement l'heure de départ annoncée.

Le hublot est tâché, et je suis tellement à l'arrière que je distingue une partie de l'empennage de notre appareil.


On remonte un peu la piste et s'aligne :


A 10h00, décollage, on aperçoit nettement le Vésuve ! Je vous laisse admirer la vue:



A 10:15 les PNC passent prendre les commandes pour le service.
En attendant, on survole la campagne italienne. Je ne la savais pas si vallonnée:

Ma copine vient me rejoindre puisque le siège à coté de moi est libre. En même temps, la copine de mon voisin arrive, elle convoitait le même siège !
Très courtoisement, ils demanderont à la personne assise devant qu'elle échange avec eux car il y avait un siège libre à la rangée de devant également. Ainsi, je conserve ma place au hublot, et tout le monde est assis avec son/sa compagnon/ne !!
En dessous, les reliefs se couvrent de neige :

A 10h40, l'annonce pour gagner un million d'Euros est faite, dans toute sa finesse et son tact, suivie 10 minutes plus tard d'une annonce plus qu'alléchante pour les parfums (le parfum préféré du PNC était-comble du hasard n'est ce pas- le même que celui à l'aller) !
Les Alpes approchent, et le sommeil me gagne :


Je me réveille 30minutes avant l'atterrissage avec l'annonce du commandant.
Peu après nous survolons Namur et son Grognon :

La campagne belge :

Nous sommes au sol à 11:55, 25 minutes avant le STA. Une dernière bande son Ryanair (mais qui est leur DJ ? ) passe pour dire à quel point ils sont ponctuels. C'est vrai que je n'ai jamais eu de retard avec eux.


Bloc à 11:58 sous le soleil belge :

Ensuite il faut marcher un long corridor, d'abord à l'extérieur (couvert) puis à l'intérieur.

Pub pour la navette reliant CRL au centre ville de Bruxelles:

On arrive aux tapis à bagages rapidement, une attente d'environs 10 minutes suivra pour voir arriver nos valises, qui seront là à 12:17.

Enfin, on sort du terminal en suivant les indications pour la navette :



Nous arrivons à la navette en 4 minutes de marche, elle partira à 12:30 (dès que remplie il me semble).


A l'intérieur c'est assez confortable, rien de particulièrement plaisant non plus.

Nous serons à Bruxelles à 13:15, c'est à dire 1h15 après l'atterrissage, ce que je trouve convenable était donné la localisation excentrée de l'aéroport.
Avant de terminer, un petit bonus de Naples :
Première chose que l'on voit en arrivant près de la gare: une manif des taximen !

La station de Metro Toledo… Magnifique architecture, ça change des métros de Bruxelles qui sont ou bien vieillots ou bien modernes et sans âme…

Le théâtre san carlo

La piazza del plebiscito avec un bel éclairage une fois que l'obscurité tombe:

Les traces du passé glorieux du SSC Napoli avec Maradona sont partout dans la ville;

Le duomo… le contraste entre l'opulence de l'église et les rues délabrées et sales est frappante.

Catacombes de san gennaro.

Le parc du Capodimonte

La baie de Naples… Une vue inoubliable !

Dante Alligheri ! Enfin je le rencontre après avoir étudié son oeuvre en classe il y a bien des années…

Vue du toit du MADRE, le musée d'art contemporain

Une dernière vue matinale depuis notre Air Bnb avant de reprendre le chemin de l'aéroport

C'est la fin de ce FR, je vous donne rendez-vous très bientôt là où je vous ai laissés, c'est à dire à CRL pour un vol très spécial ce 30 avril !
Merci pour le partage !
RYR ou l'art de faire du voyage utilitaire : pas de chichis, on embarque, on écoute les annonces, on achète (ou pas) et on débarque :)
Superbe bonus de Naples qui donne grandement envie d'aller visiter cette jolie ville.
A bientôt !