Après une série de vols ayant momentanément interrompu la rédaction de ce routing pré-Pâques, série se terminant en beauté par l'inoubliable CDG-SEZ-CDG, retournons à nos petits moutons !)
- Vol AF 1290 CDG-CTA (319, Y) : Cliquez ici - "A la conquête de la Sicile"
- Vol AF 1291 CTA-CDG (319, J) : Cliquez ici - "L'effet Okapi"
- Vol AF 7648 CDG-LYS (320, Y) : Vous y êtes ! - "Leçon de resquille n°1"
- Vol AF 7401 LYS-ORY (AR1, Y) : Cliquez ici - "Un moyen de locomotion rapide pour gens pas pressés"
- Vol ???????? CDG-??? (???) : Prochainement… - "Les ibères sont rudes"
- Vol ???????? ???-??? (???) : Prochainement… - "Le plus long de tous"
- Vol ???????? ???-CDG (???) : Prochainement… - "Wait and see…"
La veille, nous étions, Okapi et votre serviteur, en train de festoyer de façon indigne et décadente à bord d'un A319 plein de luxure pour un surclassement en classe avant.
Aujourd'hui, faut être sérieux ! Déplacement professionnel important à Lyon oblige. Et vu le barème de miles généreux à vite rentabiliser avant la fin de la fin, c'est en avion que je rejoindrais la ville des lumières et c'est CDG qui remporte pour une fois le meilleur prix et le meilleur horaire au détriment d'Orly, malgré que je demeure bien plus proche de ce dernier.
Mais comment se rendre à Roissy depuis Massy en évitant l'inévitable RER B et ses 13,10€ de trajet ? Il existe une solution de repli moins chère pour les titulaires d'une carte jeune SNCF, légèrement plus rapide et surtout beaucoup plus confortable ! Les horaires sont toutefois assez limités mais ce jour-ci, ça coïncide à merveille ! Il s'agit de prendre un des TGV interrégionaux qui contournent Paris via Massy, Marne-la-Vallée et CDG.
Je tombe sur un TGV me faisant arriver à 15h12. Le départ du vol étant à 17h55, la marge est à la fois confortable et sécurisante.
Le jour J, le carrosse à destination de CDG sera un TGV Duplex. Temps de trajet : 47min. A comparer avec les 1h10 du RER B ! ^^
Miracle (ou pas) de la digitalisation, l'ensemble des documents nécessaires à ce petit trajet est contenu dans la carte de fidélité.
Mais parce que je préfère le papier et ses indications complémentaires (comme le kilométrage, ici de 85km), j'imprimerai peu avant le départ la confirmation du billet, ce qui me permet de vous dévoiler le prix de cette opération gagnante sur tous les points : 11,50€ !
Le trajet du TGV est on ne peut plus simple ! Après avoir quitté la LGV Atlantique en sortant de la gare de Massy, nous circulerons sur la ligne de la Grande Ceinture aux côtés des rames du RER C. Nous passerons donc tout prêt d'Orly.
737-800 Transavia en finale piste 26.
Quelques dizaines de minutes plus tard, nous y sommes !
Passage devant le célèbre FIDS.
Mon vol est toujours prévu à l'heure, bonne nouvelle !
Paris vous aime, ne l'oubliez pas ! Mais il faut avouer que ses trottoirs roulants sont parfois fatigués, comme celui-ci qui s'est momentanément offert une petite sieste. Une équipe technique s’affairait en amont pour tenter de le réveiller.
En chemin, je croise la nouvelle bleue.
Mais avant de passer le PIF, il y a un problème de taille à régler ! L'OLCI n'a pas été généreuse avec votre serviteur et lui a gracieusement offert… un siège couloir ! Et aucun autre siège dispo, le vol étant probablement complet. Je choisis donc de me rentre à la zone 7 du terminal 2F où existent encore des comptoirs à l'ancienne avec des agents qui résistent encore et toujours à l'envahisseur.
2 agents sont présents en poste et il me faudra patienter 15min avant d'accéder au comptoir.
Je me présente à un agent d'escale souriant et sympathique. Je lui explique que ma requête est minime et peu importante et que, par un extrême et heureux hasard, y aurait-il un siège hublot libre sur l'AF7646 ?
Un brin étonné, il regarde les dispos mais aucun siège n'apparait libre. Mon dernier espoir allait s'envoler aussitôt lorsqu'il me dit qu'il va essayer autre chose.
Prenant son téléphone, il appelle un collègue : "Salut, j'ai un truc à te demander, une connerie, pour l'AF7646, est-ce que tu pourrais me trouver un siège hublot pour le pax en 16C ? …… Oui ? …… Parfait, je te remercie !"
Puis se retournant vers moi "Pardon, la connerie ce n'était pas pour vous, c'est juste le système qui bloque et qui m'énerve. On est obligé d'appeler pour chaque modif. Mon collègue vous a bloqué le 24A, c'est tout ce qui restait.".
"C'est parfait ! Merci beaucoup" lui dis-je avec un grand sourire.
Ouf, voilà qui va mieux ! Et en plus, je suis du bon côté (car sur PAR-LYS, la place gauche est vivement recommandée pour la diversité du paysage offert).
Je m'empresse de passer le PIF. Ce dernier sera franchi en une dizaine de minutes.
Puis, je vais retrouver le gourou milanais qui hante lui aussi les lieux en ce torride pluvieux après-midi ! Grâce à meetup, nous avions pu constater que nos routes se croiseraient à nouveau ce jour puisque le maître ne s'est pas contenté d'un A/R sur Catane la veille ! Il s'est rendu le matin même à Lyon aux aurores pour revenir à CDG en milieu d'après-midi, heure à laquelle j'arrive pour embarquer de mon côté pour Lyon (attention, faut suivre !).
Direction la jetée "au piano", notre point de rendez-vous.
En attendant sa venue, j'immortalise pour mon avant-dernier vol en temps que "jeunot" le BP et ma carte FB Jeune désormais vintage.
Paris vit d'amour et d'eau fraiche qu'ils disaient… Ce n'est peut-être finalement pas que du marketing, comme le prouve ce sceau qui se remplit doucement au gré d'un plic plic régulier provenant de la verrière…
…à moins que ce ne soit la dame de l'affiche qui ait mal fermé sa bouteille achetée en Duty-Free.
Okapi me rejoindra ensuite et nous irons nous installer dans la jetée pour discuter. Un moment sympathique où nous débrieferons entre autres les vols de la veille. Je lui parlerai également de mon test du jour qui consistera à réussir à embarquer avec 2 bagages cabines au lieu d'un normalement autorisé, qui plus est dans un vol complet. Rassurez-vous, je ne me trimballe pas avec 2 valises, Lyon a beau être ma deuxième ville du moment, je n'ai pas nécessité d'aller y placer mon argent ! Non, j'ai bien une valise cabine, un sac à dos plus la sacoche de mon appareil photo et en cas de problème, l'accessoire et le sac à dos peuvent être glissés dans la valise. Je fais part à mon hôte de ma volonté d'embarquer dans les tous premiers afin que cette valise ne finisse pas dans la soute, histoire de gagner quelques minutes de sommeil à l'arrivée pour la journée du lendemain qui s'annonce bien active et chargée. L'Okapi décide alors de faire lui-même un test : me faire embarquer en tout premier, devant les skypriority. Je lui dis que, Pâques oblige, je pourrai toujours prétendre que ma valise est pleine d’œufs de Pâques en chocolat et que ces derniers ne peuvent voyager avec le tout venant des valises pour leur sécurité mais Okapi a encore un meilleur plan ! Je vous invite d'ailleurs à lire son FR en cliquant ici !
En attendant l'arrivée de notre oiseau, petit tour du propriétaire. J'y rencontre pour la première fois l'A340 version Baobab qui me réservera un mois plus tard l'un des meilleurs vols de ma vie.
Celui-ci est à destination du Caire.
Son voisin part à Bogotá.
L'instant presse pleine…
… et l'instant presse vide.
L'immense verrière commence à être illuminé par un timide soleil.
L'embarquement aura lieu en F55.
Un A320 pointe le bout de son nez et se positionne face à nous. Pas de doute, c'est notre oiseau du jour. Il arrive d'ailleurs bien en retard.
Peut-après, l'A340-300 pour Bogotá repousse. Je ne me lasse pas d'admirer ce quadruple semeur de nuages.
Le retard est désormais officialisé sur l'écran. Cela laisse le temps au Maître de m'enseigner la leçon de resquille numéro 1 !
C'est armé de son nouveau fétiche que l'exorciste milanais va démontrer à la face du Monde ses talents inégalés.
Okapi se présente à l'agent d'escale et lance la conversation sur le trousseau posé sur le comptoir, celui-ci contenant en effet plusieurs flammes rares comme celle du S3 (photo made by Okapi)
Le courant passe instantanément entre mon bienfaiteur et l'agent d'escale. Il se prêtera d'autant plus volontiers à notre petit jeu qu'il ne se passe rien à ce moment, l'avion n'ayant toujours pas finit de se vider.
Au fil de notre conversation, nous évoquons divers sujets, l'actualité d'AF, ce qui nous amène à Roissy aujourd'hui etc… , puis Okapi se lance dans le vif du sujet.
- "Voilà, je suis platinium et cela ne me servira pas à grand chose pour le reste de la journée vu que je viens d'arriver de Lyon. Mon camarade ici présent s'y rend à son tour. Comme il ramène à Lyon des œufs en chocolats dans sa valise, il aurait aimé embarquer dans les premiers pour éviter d'avoir à le ranger en soute. Pourrait-il profiter de mes avantages ?
- Donnez-moi votre carte d'embarquement, répondit l'agent. Je vais voir ce que je peux faire. [……] Tenez, je vous la rends. Je vous ferai passer avec les Skypriority."
L'effet Okapi vient encore de fonctionner, une nouvelle fois ! Je remercie successivement l'agent d'escale et le voyageur milanais pour leur geste et nous prendrons congé. Nul doute que nos prochaines retrouvailles aéronautiques ne sauront tarder !
L'embarquement débute et c'est avec grand sourire que je foule en premier la passerelle non aveugle.
Notre voisin A321.
Instant Esteban ;)
Direction le fond de cale, profitant pour une fois de la cabine vide pour l'immortaliser sans trop de contraintes.
C'est par ici !
Tiens ? Ce vol aurait-il fait auparavant un Moyen-Long courrier vers l'Afrique ou la péninsule arabique ?
Toujours est-il que ce coussin est aussitôt approuvé par Houk, mon fidèle compagnon lui aussi du voyage.
Le test Marathon se solde par un raté indiscutable !
Le test Horatius s'en sort beaucoup plus honorablement.
Le pas me va comme un pied ;)
Petit focus sur la rangée encore vide.
Instant patère.
Instant millénium-baobab qui, blague à part, est vraiment très pratique.
Pour les amateurs !
Petit effet artistique avec les consignes.
Instant F-OITN. Vous noterez que nous sommes dans une cabine de 2e génération, le F-HEPE datant de 2010.
L'embarquement se terminera assez rapidement mais nous repousserons tout de même avec 45min de retard.
Notre petit voisin A318 que je trouve toujours aussi mignon. ^^
Flight control checks.
Direction la piste 26 droite pour un départ face à l'ouest.
En finale piste 26 gauche, un ERJ-170 Hop!
On s'aligne pour un départ immédiat.
Avanti !
Ça secoue plutôt pas mal, ce qui n'est pas pour me déplaire.
En direction de Paris.
Petit morceau du Bourget avant de se glisser dans les nuages.
Hop, nous sortons rapidement de la couette.
Puis c'est le moment de virer à gauche plein sud, puis sud-est via le VOR d'Orly.
Le stade de France et ses environs.
Clichy et Levallois, séparés par la branche ferroviaire de Saint-Lazare.
Dernier vision sur Paris, la Gare Saint-Lazare.
Nous continuons la montée dans un environnement plus calme sous l’œil bien veillant d'Artémis.
Mais très vite, le ting "si bécarre" de la consigne "attachez vos ceintures" retentit alors que nous approchons d'une couche de nuages élevés est signe que la suite du vol sera plutôt agitée.
Nous surferons ainsi au raz d'une jolie couette de nuages, aussi jolie que les secousses ressenties seront fortes. Le service à bord en sera interrompu.
La proximité avec les nuages permettent d'observer une nette et magnifique gloire du pilote.
10min plus tard, cela se calme légèrement (je dis bien légèrement !) tandis que la descente est entamée.
Cela permettra néanmoins aux PNC de reprendre le service. Sélection salée aujourd'hui arrosée au breuvage aquatique neutre en éthanol.
Instant signature.
Derniers instants au pays du beau temps éternel.
Descente accélérée tout réduit et spoilers sortis. Le temps est plutôt maussade.
Pour ne pas dire torrentiel !
Le village de Villard-les-Dombes et l'Etang Turlet.
Courte finale molto agitato entre les averses.
Toutefois, la couette nuageuse est assez basse et laisse passer au loin le reflet du soleil couchant sur les premiers contreforts alpins. Le spectacle est magnifique (mais difficile à immortaliser avec mon appareil photo).
On se pose fermement en 36 gauche et freinage fort pour dégager rapidement la piste.
Bienvenue à Lyon ! Température 9°C.
Lockheed Tristar et CRJ-700.
A320 Air Arabia.
757-200 DHL et 777 Emirates en arrière plan.
A320 Air France et ERJ-170 Hop! au contact.
A319 et A321 Air France.
Embraer 145 et CRJ-700 Hop!
Nous irons nous positionner aux côtés de cet A319.
Dernière tentative de fuselage shot en sortant de la passerelle, malgré un fâcheux et inévitable reflet.
Direction la sortie !
Je rejoindrai ensuite Lyon en Tram en ayant in extremis trouvé de quoi sustenter mon appétit, les commerces de LYS fermant à 20h00, restaurants compris.
Merci pour votre lecture :)
A très bientôt !
Vu la qualité des photos, il aurait été dommage de ne pas réussir à faire l'appareil et ses sacs nécessaires à leur réalisation dans les meilleures conditions !
Merci pour le commentaire :)
Merci bien pour ce partage !
Toujours sympa de retrouver un autre Flight Reporter ! Et quand celui ci te fais profiter de ses avantages encore plus cool.
Très belles photos aériennes !!
A bientôt !
Merci Stephan ! :)
Merci Cyrillle pour ce FR.
Du grand art d’optimiser les liaisons banlieue sud et CDG. Il se pourrait que je te demande des conseils.
« En chemin, je croise la nouvelle bleue. » le péril bleu !
Bien joué pour le siège en hublot, qui ne tente rien n’a rien !
« plic plic régulier provenant de la verrière… » Charming ! Cela fait vraiment tiers monde.
Cédé la resquille ou Batman et Robin se sont bien joué de l’agent d’embarquement. Mais après tout à qui appartenait ces fameux oeufs au chocolat, après tout !
Test marathon hyper beurk.
Le reste du vol est sans surprise mais de toute beauté !
Merci Quentin :)
"Du grand art d’optimiser les liaisons banlieue sud et CDG" => Pas vraiment du grand art, ou alors de l'art en péril en temps de grève, assez contraignant car peu d'horaires disponibles au heures désirées (sinon, je prendrai le TGV systématiquement au lieu de la voiture ou du RER pour me rendre à CDG). Ce jour là, ça passait nickel et en prenant le billet assez à l'avance et grâce à la carte jeune, le tarif était plus bas que le RER, mais ce n'est pas toujours comme cela avec le yeld management, ça peut vite grimper à 18€, voire dépasser 20€, et là c'est moins rentable forcément.
"Bien joué pour le siège en hublot, qui ne tente rien n’a rien !" => Cela prouve que même lorsque l'OLCI n'affiche plus de siège avec hublo disponible, on peut toutefois débloquer la situation grâce à un interlocuteur humain.
"Charming ! Cela fait vraiment tiers monde." => Le terminal en toit de paille de Manihi est plus étanche que la verrière des jetées du 2F ;)
"Mais après tout à qui appartenait ces fameux oeufs au chocolat, après tout !" => Okapi avait prévenu que j'étais mythomane (au 36e degré bien sûr), en voici l'exemple parfait avec ces œufs fictifs ! Sur une navette CDG-LYS qui n'a rien à offrir d'autre chose que du déjà connu, il faut bien s'amuser un peu et faire des expériences intéressantes qui sortent de la routine.
"Le reste du vol est sans surprise mais de toute beauté !" => Ce ne fut pas sans mal car il y avait honnêtement pas grand chose à voir ce jour là, mais on trouve toujours des choses intéressantes et belles à voir, même quand la météo ne suit pas.
A bientôt :)
Un bon FR bien complet ! Quelques allusions à des termes techniques que j'apprécie particulièrement et qui trahissent une bonne connaissance en aéronautique par le biais de simulation ? Un vol agréable et un okapi généreux! Au plaisir de te relire !
Merci Greg :)
Quelques centaines d'heures sur simu il y a quelques années encore, il est vrai. Mais aussi avec un frangin tout fraichement formé sur A320, cela aide pour mieux apprécier les différentes phases du vol et s'immerger encore plus dans le merveilleux monde de l'aviation. C'est toujours intéressant de comprendre l'origine de chaque bruit entendu, de chaque action selon la phase du vol. Cela occupe ! ;)
Je comprends mieux du coup ! Oui tous les bruits sont intéressants ! Même la PTU^^ ?
Merci pour ce FR,
Une idée astucieuse pour rejoindre CDG dans le calme, sans se prendre la tête avec un long trajet en RER.
Un vol sympathique dans une cabine AF toujours aussi sobre et à mon sens confortable, et beau spotting en plus.
Le tarif du tram à Lyon est extrêmement prohibitif.
Bonne soirée!
Merci Benoit :)
"rejoindre CDG dans le calme, sans se prendre la tête avec un long trajet en RER." => Surtout quand ça coûte moins cher, pourquoi s'en priver ? ;)
"une cabine AF toujours aussi sobre et à mon sens confortable" => J'ai une préférence pour l'originalité et moins la sobriété mais son confort est vraiment très agréable et les prises USB sont très pratiques.
"Le tarif du tram à Lyon est extrêmement prohibitif." => J'allais finir par m'habituer à verser 14€ par A/S mais c'est lorsque Mademoiselle a décidé de tester un Ouigo Marne-la-V. > LYS à 10€ qu'on s'est
Il faut bien comprendre que le Rhône Express n'est pas conventionné et qu'il faut bien assurer les coûts d'exploitation et de maintenance. De plus, le confort est tout de même au RDV et la rapidité est également très appréciable. Ce que je reproche n'est pas envers l'entreprise exploitante mais envers la région et le département qui n'a pas jugé bon de financer une partie du coût du billet pour réduire le coût payé par les passagers. Si encore il y avait une offre alternative moins chère mais plus longue (ce qui existe dans bon nombre d'aéroports) telle qu'une ligne de bus omnibus desservant l'est de Lyon et qui serait prolongé jusqu'à l'aéroport, ça ne me choquerait pas. Là, on doit payer une somme relativement importante sans autre alternative (à part le covoiturage, qui est très aléatoire), et ça me dérange que la Région et le département n'en ai strictement rien à faire.
A bientôt :)
Tu ne trouveras aucun covoiturage direct pour LYS mais pour les alentours. C'est officieusement interdit. Un peut comme dire que l'on peut covoiturer vers Le Mesnil Amelot mais pas CDG. Zéro concurrence, zéro avantage pour le consommateur usager qui du coup se fait arnaquer plein pot puisqu'il ne peut exercer son droit de regard.
Petit bug passé inaperçu laissant une phrase inachevée : "décidé de tester un Ouigo Marne-la-V. > LYS à 10€ qu'on a perçu le paradoxe qu'il était moins cher de rejoindre paris à lyon que de relier l'aéroport de LYS au centre ville ^^"
Pour le covoiturage, c'est que m'avait dit mon collègue lyonnais mais je n'ai pas cherché à en trouver.
Merci de ce récit Cyrille. Pas sur que l'avion soit le moyen le plus rapide pour aller à Lyon, mais pour un avgeek la question ne se pose même pas. PNC et agent d'escale sympatiques, cabine smart and beyond et très jolie vues par le hublot !
Merci Christophe :)
Dans certaines circonstances et sur certaines lignes court-courrier, l'avion est un moyen de transport rapide pour gens pas pressés ;)
Mais quand on aime, on n'est jamais pressé ! ;)
A bientôt :)
"La veille, nous étions, Okapi et votre serviteur, en train de festoyer de façon indigne et décadente à bord d'un A319 plein de luxure pour un surclassement en classe avant." -> Je vois que tu insistes dans ta mythomanie. J'ai les preuves que ce que tu racontes est très loin de la réalité. Tu vas finir par m'obliger à te démasquer.
"Cela laisse le temps au Maître de m'enseigner la leçon de resquille numéro 1 !" -> enseigner est un bien grand mot. Je préfère partager ;-)
"Le courant passe instantanément entre mon bienfaiteur et l'agent d'escale." -> je t'ai déjà dit que j'ai une formation en électrotechnique. Faut bien que les rares fois où je ne séchais pas les cours aient servi à quelque chose. Et puis, en face de moi, j'avais un expert de magie... noire! Tout comme sa délicieuse collègue.
"Voilà, je suis platinium, (...)" -> tu as oublié le reste de la phrase, "et cela ne me servira pas à grand chose pour le reste de la journée"!
Le moment passé ensemble t'a surtout permis de voir des photos de voyages que je ne partagerai probablement pas ici et d'écouter des doléances bien affligeantes. Heureusement que j'ai repéré le Baobab qui allait te convoyer vers un des plus marquants vols de ton histoire avgeek.
Tout le reste que l'on pourrait dire serait inutile ou superflu. Les images que tu as su capturer lors de ce vol banalissime au possible valent le détour. Formule consacrée?... Merci pour ce(s) partage(s). Que la force de l'amulette soit avec toi (elle fonctionne vraiment!)
"Je vois que tu insistes dans ta mythomanie. J'ai les preuves que ce que tu racontes est très loin de la réalité. Tu vas finir par m'obliger à te démasquer." => Damnation ! Je pensais réagir dans un esprit authentiquement sicilien. Le justicier milanais fera bientôt justice sur cette ombre dans un récit qu'il ne faudra absolument pas manquer ;)
"tu as oublié le reste de la phrase." => Voilà ce que c'est que de rédiger dans le désordre, certain détails disparaissent. Je m'empresse de rajouter ce qui manque !
Merci pour ce sympathique moment ! Les doléances étaient aussi affligeantes que navrantes.
"vol banalissime au possible" => Mais le banal l'est-il véritablement ? ;)
"Que la force de l'amulette soit avec toi (elle fonctionne vraiment!)" => Pour fonctionner, elle fonctionne ! (sauf en Suède, mais tout ne peut pas marcher à tous les coups !)
A très bientôt !
"sauf en Suède" -> N'est pas Marathon qui veut. Il te (nous) faudra encore courir bien des kilomètres pour arriver à ce niveau de compétition. Aurais-tu manqué de foi à un certain moment?