Bonjour à tous!
Bienvenue sur le segment retour de ce long week-end à Amsterdam décidé à la dernière minute ce qui m'aura permis de tester le produit moyen-courrier d'Air France.
Pour le vol aller, c'est ici.
Amsterdam
Ceux qui connaissent déjà cette magnifique ville peuvent passer directement au FR. Je vous réserve cependant, une chouette surprise aéronautique…
Comme dit précédemment, nous avons décidé de dormir au Ramada Apollo Amsterdam réservé par l'intermédiaire de miles & more hotels afin d'augmenter mon crédit de miles sur ce programme. M&M serait-il plus généreux en réservant des hôtels plutôt qu'en volant? En tout cas, bien que situé un peu à l'écart du centre-ville, c'est un hôtel très agréable avec une station de tramway à quelques mètres de l'entrée.
Malgré le mauvais temps, la balade en bateau sur les canaux est très agréable.
La brasserie historique d'Heineken…malheureusement, ma moitié n'a pas voulu visiter!
Des problèmes de parking?
Il est temps de visiter le fameux Rijksmuseum.
Ah la laitière! En vrai de vrai et pas au rayon laitages d'Auchan.
Voilà ce que j'appelle une bibliothèque bien remplie.
Quelques impressions artistiques.
Charmante petite ruelle.
Encore des canaux, mais vus depuis le plancher des vaches.
Le Dam.
Direction le Musée Van Gogh.
Bon ben je vais rester au lit alors…
SURPRISE
De passage sur le Dam, une foule était rassemblée. Curieux, on décide de s'avancer et c'est alors…
…qu'un éclatant EC145 en configuration ambulance approche et se pose sur cette place. Aucune idée de la raison de ce poser de circonstance car il ne me semble pas qu'il ait embarqué un blessé. En tout cas, chouette animation pour un avgeek!
Après ces quelques jours, il est temps de rentrer à la maison. Le Ramada Apollo Amsterdam dispose d'une navette desservant l'aéroport à horaires fixes. Charmant trajet à travers les coquettes banlieues d'Amsterdam.
À L'AÉROPORT
La navette de l'hôtel nous dépose directement devant le terminal.
Une place fort agréable devant l'entrée principale du terminale.
Pas de doute sur l'endroit où nous sommes!
On dépose nos bagages et on revêt notre costume d'agent au sol…où comment reporter les coûts de production sur le consommateur. Mais non…c'est une expérience client "enrichie"!
Bon, même si cela m’horripile, le processus d'enregistrement est rapide et efficace. Je me dis qu'au moins, si mon bagage se perd, ce sera de ma faute lol. Dans le même registre, le passage de la sûreté était rapide. J'ai beaucoup aimé le design de cette zone et rapidement, nous nous retrouvons airside.
Encore une fois, la zone est bondée. Assez peu de boutiques mais un food court est situé à l'étage et il y en a pour tous les goûts.
On s'installe au food court qui offre des vues magnifiques sur le tarmac : British Airways et United en Boeing 767-300ER, Corendon en Boeing 737-800 et FlyBE en Bombardier Dash8-Q400.
Les américains débarquent! United en Boeing 767-400ER et -300ER ainsi qu'American Airlines en Boeing 757-200.
Les néerlandais veulent décidément m'impressionner! Magnifique passage bas pour ce Dornier 228 des Nederlandse Kustwacht!
Mais ce n'est pas tout! Je suis gâté avec ce DC-3 opéré par les passionnés de DDA Classic Airlines qui effectue des vols touristiques autour des Pays-bas.
Direction le Concourse C. Les portes d'embarquement sont situées de part et d'autre du travelator.
Cet Airbus d'Air France devait être en panne car il n'a pas bougé de notre arrivée à AMS jusqu'à notre départ pour MRS.
Après cette agréable attente, il est temps de rejoindre notre porte bondée.
Rapidement après notre arrivée, l'embarquement est lancé et une foule assez chaotique se forme pour embarquer le plus rapidement possible : savez-vous que le vol ne partira pas sans vous?
Le vol
Il y a quelque chose de naval dans ces passerelles.
Le fleuron national de la finance est bien présent.
Encore une fois, un appareil en configuration La Navette, on voit bien comment Air France considère ses bases en province. Nous nous dirigeons vers les sièges assignés lors de l'OLCI.
Le pas, pas grand chose à dire si ce n'est la tablette ridiculement petite et l'inconfort de l'assise. La seule chose positive réside dans l'impossibilité d'incliner le siège et donc, pas de malotru réduisant notre espace vital.
Notre voisin, un Boeing 737-800 de KLM alors qu'un cousin de Transavia Holland repousse avant de s'envoler vers IBZ.
Roulage avec, de gauche à droite : un Airbus A321-200 de Turkish Airlines, Aer Lingus en Airbus A32x, KLM en Boeing 747-400 et Delta en Airbus A330-300 qui va s'envoler vers MSP.
On passe le Terminal 2F…pardon, on se serait cru à CDG avec tous ces bubus d'Air France.
En attente de l'autorisation de décollage.
On rentre rapidement les traînées et c'est parti, direction la Provence.
On émerge entre deux couches nuageuses.
Quelques corrections de trajectoire, nous allons voler dans l'un des espaces aériens les plus denses d'Europe.
Nous nous retrouvons finalement au-dessus des couches nuageuses où un magnifique soleil nous attend.
Quelque part au-dessus de la Belgique.
Depuis le vol aller, je n'avais pas spécialement d'attente quant à la prestation. J'ai été agréablement surpris de recevoir un sandwich plutôt bon même si le packaging fait plutôt artisanal.
Parallèle au massif de la Chartreuse, en Isère.
Début de descente, le temps est plutôt perturbé.
La vallée de la Durance, on approche.
Virage appuyé à droite. Il me semble que seuls les vols AF (peut-être A5) effectuent ce type d'approche au lieu d'aller faire une boucle sur la rade de Marseille. Si quelqu'un a une explication, je suis preneur.
Du coup, pas de jolie vue sur Marseille que l'on peut apercevoir au loin.
Plein reverse et full spoilers
On quitte la piste active et on débute le roulage vers la porte.
MRS semble bien vide en ce dimanche après-midi du mois d'octobre.
Avec une exception notable! Un magnifique Boeing 767-300ER d'El Al.
Nous ne sommes pas à TLV…comme le Port Salut, c'est marqué dessus : Aéroport Marseille Provence.
Arrivée
Débarquement rapide et immigration passée sans souci. Nous voilà donc prêts à récupérer nos bagages. Nous sommes le seul vol à attendre la livraison des bagages.
On récupère rapidement nos biens et la voiture nous attend sagement au P7. Le retour sur Avignon par l'A7 est, là encore, rapide.
Voici donc la fin de ce TR, j'espère que vous avez apprécié. N'hésitez pas à liker et à commenter, ça fait toujours plaisir.
À bientôt, lysflyer
Merci pour le FR :o)
Le choix des sièges chez AF est conditionné aux contraintes cumulatives suivantes:
1°) Les raisons techniques (siège cassé, centrage, etc.)
2°) Les raisons liées à la classe de voyage (F, C, W ou Y)
3°) Les raisons liées au billet (Statut du pax, statut du voisin, tarif, etc.).
A supposer que dans ton 320, 100 % des places soient accessibles (full Y, pas de limite de centrage, etc.), selon ton statut seules un nombre réduit de rangées seront accessibles...
Les "explorers" (ex Ivoire) et tarifs mini sans statut seront limités généralement à compter des rangs 8 à 15 jusqu'à la fin à l'exception des issues de secours.
Au guichet ces préférences peuvent être contournées, pas en ligne ou sur les bandits manchots.
Un exemple est parfois plus simple pour se faire comprendre:
Quand j'étais Silver sur mes "navettes domestiques" j'avais droit gratuitement aux rangs 8 et s.
Quand j'étais Gold, c'était 4 ou 5 et s.
Depuis que je suis platinum c'est open bar :o)
Quand je prenait un billet flex (ie classes de voyages W ou Y selon l'époque), c'était aussi open bar.
En gros et sauf appareil vide ou limite technique, les premiers rangs sont réservés aux tarifs à haute valeur ajoutée ou aux pax à statut :o)
:o)
Merci pour ce FR,
Beau bonus d'Amsterdam même si je trouve que la ville commence a être réellement saturée de touristes.
A bord on retrouve un sandwich largement plus adapté à la durée du vol!
Comme expliqué par BESMRS, selon le taux de remplissage de l'appareil ou le statut, la disponibilité ou le choix des sièges est largement différent.
Excellente semaine et à bientôt
Merci pour le partage !
J'ai été également surpris de voir le sandwich proposé sur ce vol, c'est parfaitement adapté pour le vol.
Tout a été dit pour la disponibilité des sièges, rien à rajouter :)
A bientôt !
Pour l'explication de l'approche, l'approche effectué est une approche a vue, donc généralement ce sont des pilotes qui connaisse bien l’aéroport qui ce "permettent" d'atterrir par la
Merci pour l'explication, je pensais bien qu'il s'agissait d'une raison dans ce genre car les vols faisant cette approche sont principalement des AF. Elle n'offre pas les magnifiques vues sur la rade de Marseille mais permet de gagner de précieuses minutes (et quelques kg de kérosène accessoirement)