Avis du vol entre Wrocław et Frankfurt en classe Economique avec Lufthansa

Bonjour à toutes et tous.
Après une très bonne après-midi et une bonne soirée, une petite nuit et c’est déjà l’heure de mon taxi pour l’aéroport.
Le trajet est rapide jusqu’à WRO pour une quinzaine d’euro.

Le routing
04/08/18 : LH3753 XER-FRA : chouette un bus
04/08/18 : LH1372 FRA-WRO : CRJ900
05/08/18 : LH1359 WRO-FRA : CRJ900
05/08/18 : LH3756 FRA-XER : pas de bus-report

A WRO, c’est assez facile pour se repérer, à droite la partie de l’aérogare dédiée aux départs et à gauche ce sont les arrivées.
Mon chauffeur me dépose au bon endroit.

Voici l’entrée, il y a un peu de monde mais pas plus qu’au mois de mai.

Les comptoirs LH, je n’aurais pas besoin de les utiliser ayant imprimé mon BP à FRA la veille.

Là c’est l’enregistrement d’un vol charter avec EnterAir pour Bodrum.

Un bureau de change et des petites boutiques.

Bon ce n’est pas tout mais il y a la queue pour le contrôle de sureté.

Consultation du FIDS en chemin, pas de retard annoncé.

Pochette à liquide et ceinture dans un bac, j'attends que la passagère devant moi finisse de préparer son bac, elle y a mis 3 sachets de liquide, je suis curieuse de voir si c'est accepté car normalement c'est un sachet et c'est tout.
Je passe rapidement le contrôle et évite le dépistage aux explosifs.
En attendant mes affaires je constate que le bac de la passagère cité précédemment est mis de côté, l'agente lui demande d'ouvrir son bagage cabine, et à l'intérieur elle aura plusieurs flacons "grand format", ceux ci seront jetés mais les 3 sachets seront acceptés. Petite tentative de passage en douce, on peut se poser la question.

Un escalator.

Demi-tour pour une photo du PIF.

Au moins on n’est pas obligé de transiter par le DutyFree.

Bien, le vol est toujours à l’heure.

Une belle affiche pour mettre en avant le vol Air France que certains prendront après moi.

Comme déjà décris dans mon FR du mois de mai sur Wizzair, les parois vitrées sont pivotantes pour séparer les vols non Schengen et passage de la PAF.

Quelques douceurs typiques.

Je prends la direction des toilettes, qui seront propres.

La bataille des low cost.

Mon BP (j’ai oublié de mettre celui pour XER, pour l’anecdote, je voyage en business pour le bus car j’ai la place numéro 1, l’inverse aurai été plus sympa).

Et la une

Entre temps la « saucisse » est arrivée.

Et un PMR est en chemin.

J’ai de nouveau succombé à ces sièges colorés.

Annonce pour l’embarquement de la classe affaires et des prioritaires.

Puis à nous de nous mettre en route.
Pas de passerelle, mais un escalier.

A gauche pour laisser les bagages cabines les plus volumineux.

Et une toute petite marche vers l’appareil.

Pas de porte pour le complice.

Un beau fuselage.

Séance de rattrapage : une porte de cockpit pour Esteban

Rangée de 2.

Ryanair est encore là.

Le pas. Mon voisin est coréen et s’amusera avec une grande politesse de mes multiples photos.

L’embarquement est rapide, on quitte notre parking.

L’avion est très propre.

Et c’est parti… rapide montée.

La campagne polonaise.

Le rideau frontière.

La safety card.

Ayant déjà étudié le magazine à l’aller, étudions le world shop.

Alors que vais-je mettre sur ma liste du père Noël cette année :
1) Ces sacs « bag to life »
2) Ce trolley « bordbar »
3) Ces tableaux

Je suis la première à recevoir le sandwich et l’hôtesse me propose le choix entre volaille ou fromage, moi contrairement à Chevelan j’adore le fromage.

Et pour fêter ce weekend une petite Warsteiner bien fraiche.

Na zdrowie.

La composition du sandwich.

Petite information pour certains Avgeeks collectionneurs…

Des nuages pour cette traversée de l’Allemagne.

On commence la descente.

Le Rhin.

Peu de monde sur l’autoroute.

C’est bien sec.

Toucher un peu ferme.

Nous roulons vers notre parking.
Aucun doute on est chez tatie luftie.

La J n’était pas complète.

L’instant Nez.

Delta s’en va chez Donald.

Un employé me voyant prendre l’avion en photo me propose de me prendre en photo avec, c’est gentil à lui mais je déclinerais sa proposition (je m'attendais plutôt à un no-photo !).
Nous sommes tous à bord du bus, mais nous devons attendre les poussettes qui ne sont pas encore débarquées de l’avion.
Et il fait chaud.
Je dois être à 13 heures à la station de bus.
Le bus démarre enfin, nous faisons quelques mètres et voilà que celui ci s’arrête.
Le chauffeur appuie sur tous les boutons, retente de démarrer mais rien n’y fait.
Bien sur pas de climatisation non plus, et nous sommes sur le tarmac à attendre.

Finalement le chauffeur sort du bus et ouvre le capot à l’arrière de celui-ci.
Après un peu de bricolage, nous retentons de démarrer et ouf le moteur se met en route, le chauffeur ferra un trajet sans arrêt jusqu'au terminal, quel stress que celui-ci ne s’arrête de nouveau.
Je me précipite hors du bus, pas besoin de consulter le tableau des connexions, je connais le chemin.

Direction la sortie.

Escalators ou escaliers

Pas de jackpot pour moi.

Rien à déclarer.

Je traverse le hall d’arrivée et passe par le sous terrain pour accéder à la gare.
Et là impossible d’aller plus loin.

Des agents ont fermés la gare en raison d’une alerte au feu en cours.
Je demande à l’agent si il y a un autre chemin, elle me répond, non il faut que nous attendions là.
Soit, un quart d’heure plus tard, on nous annonce que c’est une fausse alerte et que nous pouvons monter.
Sauf qu’à l’étage, les portes coupe feu sont encore en place, juste une petite porte est ouverte et les passagers de l’autre côté ne nous laissent pas passer, bref avec un peu de forcing je passe et me met à courir à travers la gare.
Je n’ai jamais vu autant de policiers qu’à ce moment là.
J’arrive à 13h01 au bus, le chauffeur étant étonné qu’aucun des passagers n’attendent à l’arrêt.
Les 7 autres arriveront dans les 20 minutes suivantes
Départ pour Strasbourg, je dormirais une bonne partie du trajet.
Merci pour votre lecture.
Et maintenant l’attente sera longue, pas de vol avant fin septembre, mais il y aura des voyages fort sympathiques cet automne.