Avis du vol entre Paris et Palermo en classe Economique avec Transavia

Il est temps de revenir avec une exclusivité, car étonnamment cette ligne Paris –> Palerme n'a jamais été reportée.
Cette année il y a un grand pont possible en mai, on ne va pas rater cette occasion et on se prépare très tôt pour éviter les gros prix. C'est la Sicile qui va obtenir nos faveurs et Transavia qui offrira le meilleur combo date, horaire, aéroport et prix.
Nous arriverons à Palerme pour 59€/pers et nous repartirons de Catane pour 94€/pers. Dommage que Transavia n'offre pas la possibilité de réserver en multi-destinations car nous serons obligés de faire deux réservations distinctes.

Au moment de la réservation notre vol devait partir à 6h35, mais quelques mois avant l'horaire passera à 7h25 ce qui ne me dérange guère mais c'est toujours trop tôt pour l'atteindre en transport. On se fait déposer en voiture, le parking minute est complétement saturé, on nous dépose dans le P3 qui est très mal agencé et où les manœuvres sont très compliquées et faire une entrée/sortie en moins de 10 minutes est un véritable défi.
Le signalétique n'est pas franchement claire, indiquer le hall que l'on peut atteindre serait bien plus clair … Parce que là on sait que l'on peut aller à gauche ou à droite …

La zone d'enregistrement est spacieuse, bien plus agréable que l'ancienne. On y retrouve le dépose bagages d'Air France et de Transavia.

Par contre le PIF dispose d'une file d'attente trop petite, ça avance vite mais l'espace entre le contrôle des billets et le passage du PIF est trop serré. Sympa ce mur d'eau.

Ouf on n'évite pas le temple de la consommation, ça aurait été vraiment dommage de ne pas croiser cela avec les mêmes produits qu'ailleurs….

Première séance de spotting avec du 737-800 Transavia et de l'A320 Aigle Azur.

On trouve une zone pour s’asseoir, c'est confortable mais l'aménagement n'est pas très beau.

Mais je peux surveiller de loin l'avancement de notre embarquement.

Un 737-800 de Transavia sur le départ. J'en profite pour aller me balader dans le terminal.

Je croise le bel A350-900 d'Air Caraïbes, autant dire qu'il donne un coup de vieux à l'A330 de la même compagnie que j'arrive à attraper. Et pour terminer, un petit 737-800 Transavia (quoi encore ?) avec la battle nouvelle livrée et ancienne livrée sur la dérive. À vos votes :p

Notre avion n'est pas au contact, on devra faire une longue balade en pax-bus pour rejoindre notre 737-800 qui est parqué au bout du monde. Vu le personnel présent, je fais une photo de notre avion en entier depuis le bus histoire de ne pas subir le dangereux "no photos".

Mais je tente quand même ma chance ahah, et c'est mission réussie. Je tombe à nouveau sur l'ancienne livrée de la compagnie, elle fait vieillotte mais je l'aime bien tout de même. On peut la comparer avec la nouvelle grâce au voisin.

Nous volerons aujourd'hui à bord du F-GZHB, un avion de 12 ans d'âge qui appartient à Transavia France mais qui fait chaque année la navette de prêt avec Canjet et désormais AirTransat.

Une cabine qui a la green attitude, mais pas de têtières. Dans le monde du LC en Europe je me demande si Transavia n'est pas la dernière à garder des couleurs criardes pour ses sièges même lors des renouvellements.

Je profite de cette photo pour la cabine pour vous parler de cette situation ahurissante, désormais Transavia ne garantit qu'aux 70 premiers passagers qui ont une valise(en dehors de ceux qui ont le tarif Max) de pouvoir embarquer avec, soit. Mais sur ce vol je me demande si le personnel au sol n'a pas juste compter les bagages… Les passagers se sont fait prendre leurs valises avant de monter dans l'avion alors que sur l'avion les compartiments pour ranger les bagages n'étaient remplis qu'au tiers … Résultat le personnel devait essayer de justifier du mieux qu'il pouvait…

Hublot en mode "l'avion n'est pas tout neuf dit donc".

Vous aimez l'A350 et la compagnie AirCaraïbes ? C'est votre journée alors car notre voisin est l'A350 de sa filiale low cost FrenchBlue/ee.

Oulala ça commence à sérieusement se dégrader. Le reste de la cabine était, fort heureusement, en bien meilleur état.

On recule et dit au-revoir à notre voisin, le hublot est sale, rayé dedans et dehors … Chaque photo relève d'une véritable gageur pour obtenir quelque chose de correct.

Aigle Azur team, le tout accompagné par un 737 Air Algérie.

Le grand patron au fond pendant que le petit caneton low-cost s'en va.

Un 777-200er, bonne nouvelle pour ses passagers qui pourront bénéficier de la cabine Best & Beyond.

Contrôle, voir réparation, en cours sur ce 777-300er.

Un A320-200 de SmartLynx Estonia, à priori il opère des vols pour le compte d'Air France aux dernières nouvelles. Dommage qu'il soit tout blanc car c'est un avion qui ne doit pas souvent trainer en France.

La grande saucisse!

On s'aligne afin de partir au plus vite vers Palerme.

Décollage réussi et le tout sans trop  de vibrations.

La banlieue sous un ciel grisonnant.

Durant le vol je profite de l'IFE naturel, le magazine (oups pas de photos) de bord n'est pas transcendant je n’achèterai rien à mon pote BoB.

Les nuages commencent à disparaitre.

Ou pas… On passe dans une zone de turbulences guère agréables.

Freinage léger en passant à côté d'une petite ile.

Terre en vue, ce moment est relativement impressionant car on voit que les terres sont encore lointaines mais l'avion lui est déjà très bas.

Vraiment très bas! Doit-on se préparer à un amerrissage ?

Non c'est bon, ouf! Cet atterrissage me fait penser à celui à Nice.

Freinage maximum.

On libère la piste.

On va stationner ici durant plusieurs minutes.

Le temps de laisser cet italien atterrir.

On reprend notre belle route.

Oh un ex Méridiana qui a gardé son ancienne livrée mais qui porte son nouveau logo AirItaly, je ne sais pas si cette compagnie sous le contrôle de la Qatar fonctionne bien en ce moment.

Terminus.

Le voilà l'italien le vrai, le seul et l'unique le tout en A321.

On quitte notre avion par l'arrière sous un soleil canon!

Je ne sais pas si cette femme a trouvé ce qu'elle cherchait mais je ne rate pas l'occasion de spotter mon avion ^^ avant d'embarquer dans le bus.
Heureusement que notre bagage est resté avec nous, car la salle pour récupérer ses bagages était une zone de désespoir vu le bazar qu'il y régnait. 

Pour rejoindre Palerme nous optons pour le train (tout de suite à gauche en sortant de la zone de douane) qui nous emmène confortablement au centre de Palerme pour 5.90€. Il faut compter sur deux trains par heure.