Bienvenue à tous sur ce Flight Report,
Comme certains - j'espère la plupart d'entre vous, l'auront remarqué j'ai quitté le Maroc en juillet 2019. Mais je ne suis pas pour autant rentré définitivement en France.
Aujourd'hui, je repars mais cette fois ce sera en Italie. En effet, je m'installe à Turin pour une période de 11 mois et pour ne pas expliquer 2 fois les raisons de ce séjour (et aussi pour vous inciter à lire la suite ?), j'expliquerais les détails de cette opportunité de pouvoir passer ces quelques mois à Turin dans le prochain épisode.
Le routing de ce jour commence par un vol de pré-acheminement vers Paris CDG, le vol AF7515 que j'apprécie particulièrement pour son horaire juste après le déjeuner cette fois opérée en Airbus A320 contrairement à la dernière fois où c'était en A321. Ensuite, le second vol sera effectué en British Aerospace Avro RJ85, au départ du terminal 2G. Pour moi ça sera une première sur cet appareil et dans ce terminal. Mais ce sera aussi la dernière fois pour moi car Cityjet sera remplacé par Air France Hop.
Enchainement de vols
- 1AF7515 - Economique - Toulouse → Paris - Airbus A320
- 2
- 3AF1703 - Economique - Turin → Paris - Embraer 170
- 4AF7524 (opéré par Air France Hop) - Economique - Paris → Toulouse - Airbus A321
Commençons donc par le vol de pré-acheminement, et comme vous l'avez vu sur la miniature : une bonne séance de spotting est au programme avec notamment un hélicoptère vu pendant le roulage.
Enregistrement en ligne
Je m'enregistre en ligne sur le vol vers Paris CDG dès l'ouverture de l'enregistrement 30 heures avant le départ. Le vol n'est pas tout à fait complet, il reste pas mal de places disponibles.
J'opte pour le siège 8A parce qu'il est à l'avant et offre une vue dégagée contrairement aux sièges proches de l'aile. A noter que la rangée 7 n'est pas proposée sur ce vol, certainement une histoire de GP.

Aéroport Toulouse-Blagnac
Cette fois-ci, je me rends à l'aéroport de Toulouse-Blagnac en voiture grâce à la mamamobile. Nous nous garons au parking P0 (courte durée) juste en face du hall B, ce qui change de d'habitude lorsque j'arrive en tramway.
Étant donné que j'emménage à Turin, j'ai pris un deuxième bagage en soute de 23 kg en plus de celui qui inclus avec ma carte jeune. En fait, ça peut paraître beaucoup mais pour un si long séjour c'est assez peu. Dommage qu'Air France ne vende pas les franchises de 32 kg pour les passagers en classe économique.
C'est donc pour cette raison que je me rends à l'aéroport en voiture et non en transport en commun qui sont bien plus pratiques habituellement. A vrai dire, en y réfléchissant un peu, partir de l'aéroport de Montpellier aurait été plus intelligent, outre la différence tarifaire liée aux taxes.
Au fait, si vous vous demandez pourquoi il y a une signature sur le fronton de l'aéroport, je l'ai expliqué ici.

Direction le hall D où Air France a ses propres comptoirs.

Je récupère mes étiquettes bagages directement sur la borne, cette fois ça fonctionne.

Lorsque je me présente dans la file pour déposer mes bagages, une agente d'Air France m'indique qu'il faut que j'aille au comptoir D09 ou D10 ceux-ci étant réservés à la dépose automatique.
Je tente d'envoyer le premier bagage sur lequel j'ai un doute au niveau du poids. Il sera pesé à 24,0 kg et la borne me demandera si je veux payer 70€ d'excédent bagage pour les 100 grammes que j'ai en trop. Évidemment, je refuse de payer autant pour si peu et je décide d'enlever une bricole que je prendrais dans mon bagage cabine.
Par contre, ce qui me surprend c'est que j'avais pu envoyer un bagage de 24,9 kg à Paris CDG et 24,0 kg ne sont pas acceptés à Toulouse.
J'envoie donc le premier bagage avec 23,4 kg et le second avec 21,5 kg, soit un total 44,9 kg sur le total des 46 kg des 2 franchises, un très bon score de 97,8% !

Ensuite, je me rends à l'embarquement mais avant je dois dire au revoir à ma mère qui m'a accompagné jusqu'ici. C'est toujours un peu compliqué lorsque l'on part à l'étranger pour plusieurs mois même si pour moi c'est loin d'être la première fois.

Tiens, Ryanair affiche fièrement ses destinations dans la file d'attente pour le contrôle de sûreté (désolé la photo est floue).

Le contrôle de sûreté sera passé rapidement comme d'habitude à Toulouse même s'il y avait pas mal de monde.
Puis, je me retrouve dans le Duty Free où j’achèterais du vin car je pars en Italie pour plusieurs mois - non pas que le vin italien soit mauvais mais j'aimerais emporté du vin français avec moi.
Au passage, je me renseigne sur le miel Beezou produit à l'aéroport, c'est pas donné.


Une fois le Duty Free passé, je remarque cette boutique qui propose des produits pour avgeeks, ça donne envie de tout acheter. J'aime beaucoup l'astronaute avec la boule à paillettes dorée, mais pour le coup ce n'est pas donné non plus.

J'arrive au niveau où les chemins se séparent, techniquement je dois continuer tout droit pour rejoindre la porte d'embarquement 20 mais pour le moment, je préfère aller voir les avions qui sont vers la zone internationale.

Un Airbus A320neo tout neuf de Vueling qui s'envole pour Majorque (EC-NDB).

Dans la zone internationale, il y a 2 Boeing 737-800 Next Generation d'Air Algérie qui iront à Alger et Oran dans pas très longtemps.

Vueling s'en va vers Majorque après avoir été repoussé.

Il est temps pour moi de rejoindre ma porte d'embarquement, je n'aurais pas le temps de profiter du salon aujourd'hui, j'y retournerais pour une autre occasion.

En me rendant vers les portes d'embarquement utilisées par Air France je tombe sur cet Airbus A321 immatriculé F-GTAO que j'ai eu l'occasion d'emprunter cet été pour le même vol AF7515.
Je me demande si le Wi-Fi est opérationnel à bord maintenant. Et bien, j'étais loin de me douter qu'il y avait un autre contributeur dans les parages qui allait prendre cet avion pour Lyon et allait m'apporter la réponse à cette question. Pour ceux qui se demandent, la réponse est ici.

Et au fond, pour les plus observateur, il y a l'Airbus A350-1000 avec la livrée 1000 qui est en train de rouler.

Je poursuis mon chemin vers la porte d'embarquement 20, il faut passer par ce couloir pour rejoindre cette porte au hall B. Mais la route n'est pas bien longue, rassurez-vous.

Une fois arrivé vers les portes d'embarquement 20, j'ai facilement trouvé un endroit où m'installer. Ce que j'aime bien dans cette partie de l'aéroport c'est qu'il y a un endroit qui conviendra à chacun, il y a des fauteuils, des tables hautes, des canapés proches de portes, etc.

Pour le moment, notre avion qui effectue l'aller-retour entre CDG et Toulouse est un peu en retard, rien d'inquiétant mais suffisamment pour que l'embarquement soit retardé.

Après avoir mangé, je décide de préparer mes affaires même si l'avion n'est pas encore là, et de me trouver une place proche de la porte d'embarquement et aussi faire un peu de spotting en attendant que l'embarquement commence.
Et voilà justement la place au calme que je me suis trouvé près de la porte d'embarquement 21.

Un avion que j'adore, un Bombardier CRJ-1000 d'Air Nostrum qui s’apprête à partir vers Madrid. Je l'avais vu arrivé tout à l'heure et il repart déjà, le temps passe vite.

Tiens, regardez ce que je vois!
L'avion qui est en train d'atterrir à l'arrière plan est celui qui m'emmènera à Paris CDG et que je vous présenterai un peu plus tard.
Et au premier plan nous avons un Embraer 145 immatriculé G-SAJL qui appartient à Loganair et qui se rendra à Bristol en fin d'après-midi (j'ai pas réussi à trouver de billets sur ce vol ?). Et l'autre avion qui ressemble un peu à celui que je vais prendre pour aller à Turin est Dornier 328-300 (version jet) de Sun-Air immatriculé au Danemark (OY-NCI) qui ira à Brême en Allemagne.
Je suis surpris d'apprendre l'existence de ces lignes, je ne me doutais qu'elles pouvaient exister.



Et voici justement l'avion que je vais prendre qui vient juste d'atterrir, on peut encore voir la fumée blanche où les roues ont touché le sol.

Pendant ce temps la saucisse est en train d'être repoussée.

Notre avion pointe le bout de son nez, il s'agit d'un Airbus A320 immatriculé F-HBNH qui est destiné au réseau national.





J'ai encore une petite demie-heure avant de pouvoir embarquer entre le débarquement des passagers, la préparation de la cabine et l'embarquement des passagers Sky Priority.
La saucisse s'en va vers Madrid., je le répéterais jamais assez mais j'aime beaucoup l'allure de cet avion.

Tandis qu'un Embraer 170 (F-HBXK) d'Air France Hop arrive de Lille où il retournera.

En attendant que l'embarquement ne commence, je m'installe confortablement sur cette méridienne.

Embarquement
Les passagers Sky Priority sont appelés en premier et je me rends compte que la moitié des passagers ont la Sky Priority, enfin bref moi je ne bouge pas pour le moment. Je rejoindrais la porte d'embarquement à la fin de l'embarquement.

La file avance assez vite, et je me retrouve rapidement dans la passerelle. L'offre de presse semble avoir été en grande partie épuisée, il ne reste que quelques journaux mais bon j'ai l'application AF Play au cas où.

Ça bouchonne dans la passerelle.

Fuselage shot

L'accueil en porte était très bien, j'aimerais avoir un accueil comme cela à chaque fois. Puis, une fois à bord, je découvre la cabine avec les sièges Recaro sans surprise pour un appareil destiné au réseau national. La seule chose qui me semble un peu différente, c'est le liseré rouge sous les coffres à bagages (toutes les photos sont floues).
Je rejoins ma place 8A, et bonne nouvelle pour le moment je n'ai pas de voisin au milieu. Depuis ma place, j'ai une super vue sur le réacteur et l'environnement extérieur.

Une fois l'embarquement terminé, l'hôtesse proposera à mon voisin qui devait avoir un statut d'échanger sa place avec un collègue pour une place aux issues de secours.
Mon nouveau voisin s’avérera être plutôt sympathique, il est steward sur des vols long-courrier et s'envolera demain pour Detroit aux États-Unis en Boeing 787-9. Nous échangerons un peu sur les avions et notamment à propos des hublots bloqués sur la position opaque sur le Dreamliner (ça dépend de l'équipage apparemment).
Il pensait que je travaillais dans l'aéronautique, m'ayant vu prendre des photos, mais je lui révélerait que je partage mes aventures sur ce site tout en lui indiquant de ne pas révéler mon identité à ses collègues en service (je préfère être incognito). Il gardera le secret.
Le roulage
Nous sommes repoussés à 14h33, une partie du retard du vol précédent a été rattrapé car nous n'avons que 13 minutes de retard. Je ne me fais pas de soucis pour la correspondance à Paris CDG. Puis, la mise en route a été rapide.



Deux appareils de fret fréquemment vus à Toulouse dont je vous passe les présentations.

Nous passons devant un Beech King Air 350i immatriculé F-HFGP de APG Airlines qui effectue des vols entre Toulouse et Lorient (anciennement entre Nice et Bergame). Si vous voulez en savoir plus sur cette compagnie, je vous recommande de lire ce très bon Flight Report de Lucky Luke.

Les ruches du miel Beezou produit à l'aéroport dont je vous parlais précédemment.

Puis, juste avant de rentrer sur la piste, nous avons le droit à un spectacle un peu particulier : il y a un hélicoptère qui semble vouloir atterrir. Je ne suis pas un expert en hélicoptère mais je dirais que ça semble être un NH90, j'ai aucune idée de ce qu'il peut bien faire ici.

Le vol
Nous nous élançons sur la piste 32 droite (32R) à 14h42, les moteurs rugissent et nous décollons.




Sur notre gauche, nous avons le centre de livraison d'Airbus.

Au fond, vous pouvez apercevoir la centrale nucléaire de Golfech.

Le service commence quelques minutes plus tard, étrangement notre rangée sera la dernière à être servie. J'opterais pour une bière qui sera fraîche et un gâteau pour conclure le déjeuner que j'ai pris à l'aéroport.

Il est temps pour moi de me rendre aux toilettes avant que l'approche ne commence.

Je retourne à ma place et je profite que mon voisin ne soit plus là pour faire une photo, le siège du milieu est resté libre pendant tout le vol. Enfin, il a tout de même été occupé par mes affaires !

Nous tournons en vue d'une approche de la piste 26 gauche (26L) par la gauche.

Pendant un court instant, j'ai pu voir les terminaux 2E et 2F de Paris CDG mais le temps de prendre la photo, les nuages sont revenus.

La suite de l'approche



Le chef de la cabine prend la parole et nous annonce que sur notre gauche nous pouvons voir la ville de Meaux connue pour le Brie de Meaux, en français puis en anglais aussi. Je voyais pas du tout cette ville à côté de cet aéroport.

Nous atterrissons à l'aéroport Paris Roissy-CDG à 15h45 sur la piste 26 gauche (26L).





L'inverseur de poussée est déployé pour nous permettre de ralentir.

Aéroport Paris Roissy-CDg
Nous sortons de la piste mais nous resterons bloqué à un point d'arrêt pendant plusieurs minutes pour je ne sais quelles raisons.

Tandis qu'il commence à pleuvoir, bienvenue à Paris.

Au loin, j’aperçois quelques gros porteurs dont un Boeing triple 7 Air France Cargo et 2 autres d'Air France. Je me demande de quelle partie de l’aéroport il s'agit.

Peut-être que nous avons du laisser passer ce Boeing 747-8F immatriculé VQ-BVR de la compagnie de fret Russe AirBridgeCargo qui vient justement de Moscou.


Nous repartons vers le terminal 2F après avoir été arrêté pendant pratiquement 5 minutes. Nous passons devant les locaux de Servair où quelques membres de Flight Report ont eu l'opportunité de se rendre.


Nous passons devant le célèbre Concorde et un Airbus A320 d'Aigle Azur. Deux avions qui ne sont pas près de voler à nouveau avant un long moment, cette scène est quelques peu déprimante.

Puis nous passons devant le siège social d'Air France.

Et nous arrivons juste à côté du terminal 2E où est garé un Airbus A350-900 presque tout neuf d'Air Mauritius immatriculé 3B-NBQ qui va aller à Port Louis.
Dernier virage

Nous rejoignons notre porte de débarquement après un roulage particulièrement long puisqu'il aura duré 17 minutes.

La passerelle a été déployée relativement rapidement, et je suis sorti parmi les premiers passagers. Je me retrouve dans les entrailles de je ne sais quelle jetée du terminal 2F.
Devant, il y a un mur, à droite, il y a un mur donc je suis obligé d'aller à gauche.

Tiens, je suis arrivé près d'un des salons du terminal 2F, ça fait bizarre de voir le salon directement en sortant de la passerelle.

Plan et données de vol
Comme d'habitude, je vous mets le plan de vol ainsi que quelques données de vol trouvées sur flightradar24 après le vol.


Dommage que je n'ai pas pris le vol du lendemain, les passagers ont eu le droit à un go arround avant de pouvoir atterrir.


Je vous abandonne donc ici mais ce n'est que pour mieux vous retrouver d'ici quelques jours pour la correspondance à l'aéroport et le second vol vers Turin et quelques détails sur mon séjour.
Ce sera également l'occasion de fêter un évènement particulier avec vous, je vous en dis pas plus non plus.
J'espère que vous aurez apprécié ce Flight Report, j'ai essayé de faire en sorte que ça ne soit pas un vol de pré-acheminement banal. Si vous l'avez apprécié, n'hésitez pas à laisser un like pour me faire comprendre que vous voulez la suite.
A bientôt
Bonjour et merci pour le report,
C’est étrange que des fois on ai une marge pour le poids du bagage en soute et dès fois non
Malheureusement sur les vol navette en France beaucoup de personnes sont SP.
En voyant la photo de Meaux je me suis dit « mais c’est Meaux ?! » Le CDB a confirmé ce que je pensais !
Meaux c’est pas très loin de CDG car y habitant je met moins de 30 minute pour rejoindre l’aéroport.
Merci et à bientôt!
Salut Mehdi, merci pour le commentaire.
Effectivement, ça dépend de beaucoup de paramètres. Les déposes automatiques ne sont pas forcément plus tolérantes que les agents d'enregistrement et réciproquement. Les compagnies à bas coût ne sont pas forcément moins tolérante, je me souviens avoir enregistré un bagage de 22,1 kg avec Ryanair.
Pour le coup, j'avais dépassé ma franchise et même si ce n'est pas de beaucoup, ils sont dans leur droit.
Personnellement ça ne me dérange pas, mais je ne vois pas l'intérêt d'avoir une priorité si la moitié des passagers l'a aussi. Je trouve que ça fait une séparation des passagers en 2 groupes qui n'est pas nécessaire. Une raison de plus pour ne pas avoir spécialement envie du statut Flying Blue Silver.
Eh bien, j'ai été surpris, j'imaginais cette ville complétement ailleurs. Je ne pouvais pas imaginer que le Brie de Meaux venait d'une ville si proche de l'aéroport.
A bientôt
Effectivement vue les photos on a du se croiser de près !!
Avec plaisir !!
Je suis d'accord sur le passage SP, je me fait la même réflexion depuis que j'en fait parti, autant avant de l'être je trouvais ça sympa, autant maintenant je me rend compte que quand tout le monde est prioritaire plus personne ne l'est... (ça reste néanmoins intéressant pour l’enregistrement et le PIF).
Merci Sébastien pour le commentaire, c'est un peu rageant effectivement.
La priorité est intéressante pour le PIF / PAF et les vols vers l'étranger.
A bientôt ?
Merci Guilhem pour le partage !
Merci Esteban pour le commentaire.
Un vol classique entre la cité des violettes et la capitale
Bon vent dans le Piémont !
Merci Guilhem pour le partage, à bientôt.
Salut Hervé, merci pour le commentaire.
Nous sommes presque voisins maintenant !
A bientôt pour la suite.
Bonjour, je vais répondre (ça devient une habitude :) ) à vos interrogations :
Vous avez été maintenu avant la 26R pour laisser des départs décoller. C'est une gestion tout à fait habituelle des doublets de CDG, l'idée est de faire partir un paquet de départs, puis faire traverser un paquet d'arrivées et ainsi de suite, ce qui est plus capacitif que de faire au compte-gouttes une traversée, un départ, etc.
Il s'agit de postes utilisés pour le fret (sauf pour FedEx, dont les grandes installations se situent au NW de la plateforme) ou bien, comme vous pouvez le voir sur le cliché avec certains appareils AF, Ethopian ou Air Austral, utilisés pour stocker des avions pendant quelques heures, avant de les tracter vers d'autres points de stationnement.
Pour pinailler, le 747 n'est pas un -8I mais un -8F, le I étant la version passagers dont nous avions parlé sur un de vos FR précédent !
Meaux est effectivement proche de CDG, et même très proche à l'échelle aéronautique ! Le contour de la ville était même dessiné jusqu'à il y a quelques années sur les radars afin que les contrôleurs d'approche n'évitent de faire passer des avions au-dessus dans la mesure du possible...
Bon dimanche!
Merci pour vos précisions, cette gestion est globalement intéressante pour l'aéroport.
Vous avez raison, je vais corriger cela tout de suite.
Intéressant...
Bon dimanche à vous aussi !