A mon tour de reprendre la voie des airs, après de longs mois passés à galérer avec le Covid me maltraitant les poumons !
Avec la triste perspective de passer la majorité de l'été à travailler de chez moi (mon entreprise n'ayant toujours pas rouvert les locaux), avec la chaleur lyonnaise, et avec la lassitude de longs mois passés les fesses vissées sur le canapé/au bureau/au lit, nous nous prévoyons avec Madame une petite semaine de travail/vacances ailleurs en France pour le courant du mois d'août. Nantes étant une des seules grandes villes françaises n'ayant jamais eu l'honneur de recevoir nos deux augustes personnes (enfin, juste de rapides passages), et la ville étant assez bien desservie par AF depuis Lyon (autre prérequis, utiliser un de mes nombreux vouchers AF post-Covid), c'est l'ancienne capitale du duché de Bretagne qui nous accueillera.
Le trajet est simple, un vol d'après-midi Lyon - Nantes le dimanche 9 août, en direct et en A320, et un retour en train Intercités, pour redécouvrir la ligne classique par Bourges, Nevers et Roanne.
Deux semaines après la réservation, le 14 juin, notre vol initial est annulé, faute de remplissage suffisant sans doute, et nous sommes replacés sur AF1488, le vol du soir, arrivant à 22h, ce qui nous arrange moins, mais effectué en CRJ1000, ce qui me plait beaucoup plus qu'un A320 ! Je voyagerai par ailleurs finalement seul, Madame étant en Bretagne la semaine précédent notre séjour, il était assez peu utile pour elle de revenir à Lyon pour reprendre un vol direction Nantes…
Au-delà de l'aspect "Youhou je revole enfin" du vol, ce trajet a une saveur un peu particulière, puisqu'il me rappellera LE vol qui déclencha chez moi la passion du voyage aérien, un Marseille - Nantes, effectué fin janvier 2011, à bord de F-HMLA, premier CRJ1000 de Brit Air, alors dans sa magnifique livrée "Triskell" et avec sa cabine sentant encore bon le neuf, un peu moins de cinq semaines après son vol inaugural. Grâce à (ou à cause de, diraient mon banquier et ma compagne) ce vol, 165 autres vols, en grande majorité avgeeks, se sont enchaînés en un peu moins de dix ans !
Trêves de billevesées, commençons !
Le retour du Kethu
Très exactement six mois jour pour jour après mon dernier vol (que je reporterai… un jour ^^ ), je prends la route de la gare sous une chaleur écrasante. Le TER 17815 est à l'heure, mais n'est que vaguement climatisé dans le compartiment où je m'installe. Les joies de l'entretien minimaliste de ces rames Corail en fin de vie…

L'arrivée à Part-Dieu se fait à l'heure, en même temps qu'un TER en provenance de Marseille, la sortie se fait donc dans le non-respect total des distanciations sociales. Après une délicieuse attente de 15 minutes du Rhônexpress (qui ne circule que toutes les demies-heures), je peux monter à bord et m'installer à ma place favorite, derrière la cabine du conducteur. Heureusement, c'est climatisé ici (en même temps, avec trois rames en service sur les six de la flotte, ça serait quelque peu choquant).

Après un trajet sans encombre, que j'occuperai en appelant la ligne Flying Blue pour me replacer suite à une annulation de vol en octobre (avec aucune attente et un interlocuteur on ne peut plus efficace et sympathique, comme toujours sur cette ligne), me voici arrivé dans la gare TGV. Je ne traîne pas trop ici, il y fait plutôt chaud…

La passerelle reliant gare TGV et aéroport me rappelle avec émotion mon mois passé à travailler dans une serre au mois d'août il y a une dizaine d'années, la chaleur y est étouffante…

Comme s'exclame l'homme devant moi lorsque nous entrons dans l'aérogare : "Bon Dieu qu'il fait meilleur ici !". Et en plus, mon vol est prévu à l'heure, et l'enregistrement a déjà commencé, malgré les trois heures d'avance que j'ai.

Mis à part les parois plexiglas aux comptoirs et les masques sur les visages, LYS n'a pas trop changé…

Peu d'attente au comptoir Skypriority (comme aux comptoirs classiques), ma valise part dans les entrailles de LYS, et je passe le PIF très rapidement également, les deux étapes avec le sourire des employés !
Comme tous les vols sont regroupés au T2, c'est bien rempli malgré la baisse de trafic… Dommage pour les précautions sanitaires.

Après avoir acheté de quoi me caler l'estomac jusqu'au soir, direction les jetées Hop!, par ce couloir désormais bien vide, depuis que les sièges ont été retirés pour une raison qui m'est inconnue…

Comme d'habitude, petit coup d’œil sur les bestioles en porte U ! Ca manque un peu de variété (et ça n'est pas prêt de s'arranger vu la simplification de la flotte Hop!), avec trois CRJ 1000.

Ca me semble plus calme par ici…

Les murs portent les traces du confinement, avec cette exposition hors les murs de La Sucrière portant les dates "20 février au 10 mai 2020"… En tout cas, par cette météo, la photo est pour le moins rafraîchissante !

Instant collector : Le FIDS du T2 avec des vols Transavia, Easyjet, Turkish, Lufthansa… Les low-cost partent même des jetées Hop! Mon vol pour Nantes partira quant à lui de la porte U06.

Nouveau coup d’œil sur le tarmac, avec un bout de CRJ1000, et un A320 Easyjet qui part avec une demi-heure de retard pour Figari.

Après un détour aux sanitaires, qui sont curieusement assez peu propres, chose rare à LYS (le dernier nettoyage a eu lieu à 10h d'après le panneau d'infos à l'entrée, un peu incompréhensible vu la situation), je m'avance dans la jetée U. Les racks à journaux sont évidemment vides…

Je m'installe à proximité de ma porte, le Bombardier CRJ1000 qui m'emmènera en pays nantais est déjà là. Il s'agit de F-HMLJ, livré à Brit Air en septembre 2011. Un nouveau venu dans mon logbook, chic !
L'appareil squatte le tarmac lyonnais depuis deux jours maintenant, il y est arrivé courant vendredi après-midi en provenance de Brest.

Petit coup d’œil sur les documents de voyage. AF réalise désormais ses embarquements par zone, mais les billets imprimés au comptoir ne comportent pas la mention de la zone, un peu dommage !

Instant tout aussi rare, cet A320 Easyjet en provenance de Rennes qui vient s'installer en passerelle au T2 ! C'est le bon plan du moment, plus de satellite low-cost désert et déprimant, et plus d'embarquement à pied dehors avec Easyjet à LYS !

Plongé dans mes pensées pendant l'embarquement, j'en oublie quelque peu de faire des photos… L'embarquement est lancé à l'heure, avec tout d'abord les familles avec enfants, puis les Skypriority en zone 1 et 2, puis enfin la zone 3 avec les FB Silver. Aucun SP sur mon vol, et je serai le seul à me manifester pour la zone 3, la joie des vols en plein mois d'août…
Petit détail amusant, le vol est annoncé comme "vol Air France opéré par Brit Air"… Il serait temps de se mettre à jour, Brit Air a disparue depuis sept ans maintenant !
Bref, après avoir été chaleureusement accueilli à bord (mon faux sac Air Inter aide à se faire repérer par l'équipage) je m'installe à bord en 22A, une rangée avec le hublot mal aligné, mais tout de même suffisamment visible pour le passager au hublot.

L'embarquement se fait assez lentement, il n'y a pas foule, malgré le SMS envoyé par Air France annonçant un vol complet… Malheureusement, qui dit vol du mois d'août dit aussi marmaille en grand nombre, avec sept UM et de nombreuses familles avec enfants, dont un assez agité qui finira juste devant moi.

Notre voisin est également un CRJ1000, qui partira le lendemain matin pour Brest.

Coup dur pour ma collection : Le magazine Air France n'est pas disponible ! Même si on comprend bien pourquoi.

Les lingettes rafraîchissantes ont été remplacées par des lingettes antiseptiques, moins agréables mais plus utiles pour nettoyer tablette et accoudoirs…

Outre les sièges épais et confortables, les CRJ1000 proposent également un pitch tout à fait raisonnable pour des vols régionaux !

Que serait une tablette et un siège gris clair sans les inévitables marques de stylo ?

La tablette est propre, pas de trace de miette : La réduction du service à bord permet aussi de réduire le besoin en nettoyage !

La ceinture, malheureusement non siglée.

L'embarquement est annoncé terminé, et j'ai les meilleurs voisins du monde : Une ceinture qui restera sagement posée sur le siège pendant tout le vol, accompagnée de son amie la petite tâche noirâtre sur le tissu ! L'appareil n'est finalement rempli qu'à 60% environ.
Le capitaine prend la parole pour nous souhaiter la bienvenue à bord, et nous annoncer un temps de vol d'une heure avec des orages sur le parcours, et du beau temps à l'arrivée, avec 30° prévu à 22h…

Pendant que nous repoussons, avec deux petites minutes de retard, l'équipage commercial réalise l'annonce sanitaire réglementaire, avant de nous souhaiter la bienvenue à bord.
Cet A319 U2 en provenance de Toulouse en profite pour se glisser subrepticement derrière nous…

Les démonstrations de sécurité sont réalisées uniquement en tête de cabine… Pour les passagers à l'arrière, dur de voir quelque chose ! Dommage, d'autant plus que l'équipage de ce CRJ1000 est composé de 3 PNC au lieu de 2 habituellement. Je me rabat donc sur les notices…

A bientôt, brave jetée U !

Je ne peux résister à l'envie de prendre mon habituelle photo de Saugnieu et de son église Saint-Roch.

On bifurque vers la piste 35L au premier taxiway disponible. On disposera tout de même de 3060m sur les 4000m disponibles, ça devrait suffire !

On s'aligne face aux terminaux historiques, avec l'oiseau aux ailes déployées de la gare TGV en fond…

Et on s'élance à 20h54, alors qu'un A321 AF repousse pour Nice…

Les trois kilomètres de piste auront amplement suffit, nous voilà dans les airs ! Ça fait du bien de voler à nouveau !

Pusignan et la ZAC de Satolas apparaissent très vite, avec les monts du Lyonnais au fond qui se découpent devant le soleil couchant…

Meyzieu et sa riante zone d'activités, et derrière le grand rond blanc de la toiture du Grand Stade de l'OL.

Le Rhône à droite, Jonage et le Rhône canalisé à gauche, le réservoir du Grand Large en fond…

On commence à virer plein ouest au niveau de Montluel et Jailleux… A l'ouest de Montluel, La Boisse, les viaducs autoroutier et ferroviaire de La Côtière, Beynost et Miribel.

Désolé d'avance pour les photos suivantes, touchées par la bleuïte aiguë de mon appareil (au moins le cliché est plus ou moins net malgré la faible luminosité…). On survole la Saône, vers Fontaines-sur-Saône et Couzon au Mont d'Or au bas de l'image, l’île Roy, et Caluire-et-Cuire sur les hauteurs entre Saône et Rhône.

Lyon est difficile à distinguer au fond, au premier plan, les Monts d'Or à gauche, au centre l'A6 qui file vers Lyon à travers la zone tertiaire du Techlid.

Et les nuages mettent fin à votre supplice des photos bleues !

Ah, non, les nuages s'écartent quelques secondes pour nous laisser apercevoir L'Arbresle et Saint-Bel !

Et nous revoilà entre deux couches de nuages, dans une ambiance un peu violacée de fin de jour…

Le service est réalisé en tenailles, avec un trolley à l'avant, un autre à l'arrière. Je suis rapidement servi, avec la prestation réduite se limitant à un choix de boissons, sans prestation solide. J'opte pour un nectar de pomme, qui est servi presque glacé, appréciable !

Allez, fêtons dignement ce premier vol post-confinement, et trinquons au jus de pomme !

De courtes mais intenses turbulences secouent l'appareil, sans doute traversons nous la zone orageuse annoncée par le cockpit avant le départ.

Les secousses cessent rapidement, et les nuages que nous traversons s'illuminent soudainement d'un rose intense du plus bel effet…

Après un court passage par un jaune doré tout aussi charmant, nous sortons du banc de nuages et filons vers le soleil couchant.

On survole alors la région d'Aubusson…

Encore quelques secondes pour profiter des rayons du soleil, alors que les habitants du Limousin à nos pieds sont dans le crépuscule depuis de nombreuses minutes.

Quelques instants plus tard, vers 21h30, nous entamons notre descente. On vire peu après vers le nord-ouest, dans les environs de Niort…

Le marathonage des déchets est encore plus simple qu'à l'accoutumée…

C'est ensuite l'océan Atlantique qui apparaît, avec à droite l’Île de Ré et la Réserve naturelle nationale de la baie de l'Aiguillon à l'embouchure de la Sèvre niortaise, juste devant l'aile.

Le Pertuis Breton, qui borde le nord de l’Île de Ré… L'horizon avec les lueurs du soleil couchant est vraiment magnifique, ça donne envie de filer tout droit et de traverser l'Atlantique tout ça… Mais ça devra attendre un peu (beaucoup) !

Luçon vers le centre de l'image, au cœur de la plaine vendéenne…

C'est ensuite La Roche sur Yon qui défile sous nos yeux, avec son centre-ville au plan géométrique, suite à la reconstruction ordonnée par Napoléon. La ville se nommera d'ailleurs tout simplement "Napoléon" sous le Premier Empire et la Deuxième République (de là à dire que le monsieur était quelque peu mégalo…).

Le littoral vendéen au fond, la ville d'Aizenay juste avant le bout de l'aile, et la Vie, fleuve qui serpente jusqu'à la mer, juste après l'aile.

Palluau en bas à gauche, à une trentaine de kilomètres de La Roche sur Yon. Le château de Palluau, au sud de la commune, est un ancien château-fort du XIIIe siècle, qui fut remanié aux XVIe et XVIIe siècles pour en faire un château plus accueillant… Mais son incendie pendant la période révolutionnaire le rendit finalement nettement moins convivial. Les restes du château du XVIIe, et les quelques vestiges de celui du XIIIe siècle, ont été inscrits aux Monuments Historiques en 1998.

On vire vers le nord-est à la frontière Vendée-Loire Atlantique, pour s'aligner avec la piste de NTE.

Machecoul au premier plan, avec les vastes serres du groupement maraîcher Vinet Frères, qui me rappellent les vastes serres horticoles au nord de Rotterdam, lors de l'approche sur Schipol que je connais par cœur. Derrière, on aperçoit scintiller les marais salants de Noirmoutier, et au large, l'Île ayant donné son nom au sel récolté sur le continent…

Rapide coup de spoilers pour diminuer la vitesse… Au fond, la Loire qui en est sur ses derniers kilomètres avant de se jeter dans l'Atlantique.

Saint-Lumine-de-Coutais sur la gauche, sur la droite on aperçoit le tracé des "douves", canaux construits en périphérie du Lac de Grand Lieu pour délimiter des prairies humides, dans un terrain auparavant plus marécageux. Elle permettent de faire pâturer des bovins en été dans des prés inondés en hiver.

Alors que les volets sont sortis, on survole le Lac de Grand Lieu en lui-même, avec les levis, sortes de forêts flottantes, dans les zones stagnantes du lac.

Les quatre kilomètres du lac sont traversés en quasiment exactement une minute, ce qui nous donne une vitesse de 240 km/h, 130 nœuds. Les experts en vitesse d'approche sauront me dire si mon calcul au doigt très mouillé a une once de véracité…

Les habitants de Saint-Aignan-Grandlieu peuvent profiter du doux bruit des réacteurs CF34 de notre appareil passant à environ 150 mètres au-dessus des habitations.

La piste d'atterrissage est proche… Enfin, je l'espère, du moins, je n'ai pas trop de souvenirs de l'approche, n'ayant pas atterri à cet aéroport depuis le vol de janvier 2011 dont je parle en intro !

C'est bon, la piste 03 est là ! L'arrondi prend un peu de temps…

… Mais du coup, le toucher est très doux, et le freinage pas trop intense. Il est 21h49, seulement 54 minutes de vol.

On libère la piste au troisième taxiway…

… Et les pilotes annoncent le dernier virage peu après.

Notre arrivée au bloc se fait à 21h51, 9 minutes d'avance, parfait !

L'équipage commercial demande aux passagers de rester assis et de ne se lever que quand la rangée précédente a quitté ses sièges, demande assez bien respectée par l'ensemble des passagers. J'échangerai à nouveau quelques mots avec les PNC à la sortie de l'appareil, puis je réparerai l'erreur faite à l'embarquement, en tirant le portrait de F-HMLJ sous le ciel crépusculaire nantais !

Petit coup d’œil au téléphone, qui m'indique que mon bagage sera livré sur le "tapis no null". Ça doit signifier "tapis 1" en breton, à n'en pas douter.

Un peu de marche pour se dégourdir les jambes jusqu'à la zone d'arrivée… Tous les agents au sol guidant les passagers le long du cheminement répondront à mes salutations, avec le sourire qui plus est, petit détail appréciable.

Après un passage aux sanitaires (propres mais en quantité vraiment insuffisante, j'ai du faire la queue alors qu'il y avait 60 passagers dans l'appareil, et aucun autre vol en arrivée simultanée), je vais patienter à côté du tapis numéro 1.

Le tapis se met en marche à 22h05, ma valise sort deux minutes plus tard. Un vil enfant, croyant reconnaître son bagage, tente de la prendre, mais je le tancerai vigoureusement avant de récupérer mon dû ! (Pour les adeptes du premier degré, j'ai simplement signalé avec le sourire à la mère qu'il s'agissait de mon précieux, et non pas du sien).
Retrouvailles avec Madame en zone landside, sortie de l'aérogare, je suis à l'arrêt du bus 48 face à l'aéroport à 22h10, et nous atteindrons la chambre de l'hôtel une heure plus tard !

Et oui, avide lecteur, c'est déjà la fin de ce récit. Pour les aficionados des cartes et trajectoires de vol, voici le suivi radar du trajet…

… Et pour tout le monde, je vous dis à bientôt sur vos FR (je reprends doucement la lecture), et à un peu plus tard pour la reprise de ma série de vol vers New-York, datant de mars 2019, et dont le premier récit a été publié début 2020 ! Chi va piano, va sano e va lontano, comme diraient nos amis transalpins !
Merci pour ce fr !
Comme beaucoup d’aéroport, LYS a préféré fermer des terminaux plutôt que d’assurer la distanciation sociale. Dommage pour les commerces, et le non-nettoyage des toilettes
Une cabine agréable sur ces CRJ1000, et une petite prestation qui a le mérite d’exister. L’équipage sympa est un bon point chez AF et hop.
A Nantes un personnel agréable, une livraison rapide, mais pas assez de toilettes !
Bon week end, a bientôt !
Hello, merci pour le commentaire !
Je peux comprendre que l'aéroport doive rester rentable, mais bon, il serait quand même mieux de faire un minimum pour protéger les passagers. Bref ^^
J'ai en effet très peu de mauvaises surprises avec les équipages AF, une des raisons qui font que je vole principalement sur notre compagnie nationale, d'ailleurs...
A bientôt !
Bonjour et merci pour ce super FR !
À bientôt !
Hello, merci pour le commentaire !
A bientôt :)
Merci Robin pour ce FR de reprise !!!
Nantes est une ville très agréable à visiter, vous avez fait le bon choix...
J'adore les compartiments dans les trains.
L'aéroport est bien vide et l'avion loin d'être complet, c'est le lot de beaucoup de voyageur de se faire re protéger sur un autre vol en ce momen.
La cabine de la saucisse est toujours aussi sympathique et les sièges confortables, sans compter que le CRJ1000 est un avion silencieux.
Je ne comprends toujours pas poursquoi AF continu à ne plus distribuer de salé/sucré actuellement !? Des économies de bout de chandelles assurément.
Un peu plus tu finissais sans bagage à l'arrivée, il est vrai que certaines valises se ressemblent beaucoup...
Merci pour le partage, à bientôt.
Hello, et merci pour ton commentaire Hervé !
En effet, on a beaucoup apprécié Nantes, même si on n'a pas pu tout faire... Une bonne raison pour y retourner prochainement du coup :)
Les compartiments se font rares dans les trains français, on n'en trouve plus que sur quelques TER malheureusement...
Quand on sait que seul le T2 est ouvert à LYS, on ressent bien l'énorme baisse de trafic en effet... Et il ne se passe pas une semaine sans qu'un de mes prochains vols soit modifié/annulé depuis juillet, au moins je ne m'ennuie pas :P
J'aime beaucoup le charme de ces saucisses volantes, que je préfère aux ERJ170 ou 190, qui ressemblent "trop" aux banals A320/737 à mon goût.
Oui, je ne vois pas trop de raisons non plus de ne pas distribuer de solide, à part pour limiter un peu les pertes de la compagnie...
D'autant plus que c'était la première fois que je voyageais avec cette valise, je n'étais même plus exactement sûr de sa teinte exacte, j'ai bien failli laisser la famille partir avec ^^
A bientôt :)
Merci pour ce FR de reprise :)
Un vol classique et qui fera bientôt parti du passé, TO devant reprendre la ligne^^
A +
Merci pour ton commentaire Nico !
On ressent bien le changement dans le paysage aérien à Lyon, entre les lignes qui disparaissent par dizaines et celles qui vont passer à TO... C'est assez frustrant.
A bientôt !
Un FR de Kethu, ça faisait longtemps ! L'aéroport de Lyon, c'est une honte de privilégier les économies d'argent par rapport aux mesures sanitaires. Le service dégradé est désormais la norme =_=
Bon retour parmi nous en tous cas !
Hello ! Eh oui, outre la partie physique compliquée, le Covid m'a aussi bien miné le moral, je n'avais plus trop la foi d'écrire ou de lire des FR malheureusement...
Et oui, je trouve aussi cela assez honteux... Ne pas ouvrir tous les terminaux, je peux comprendre, tant qu'il y a de la place, mais diminuer le nettoyage, c'est incompréhensible.
Je crains malheureusement que le service "dégradé" ne devienne prochainement le service "normal".
Merci beaucoup en tout cas, ça me fait plaisir de voyager à nouveau par procuration sur le site !
Merci Robin pour le partage et ravi de te retrouver à bord !
Les deux photos au coucher de soleil en vol sont superbes.
A bientôt !
Merci Stephan, ça me fait plaisir de revenir ici, j'avais un peu perdu le goût du voyage pendant quelques mois, et donc de fréquenter FR...
Et comme souvent, les photos ne font pas honneur à la beauté réelle du spectacle... Quand la cabine s'est illuminée d'un rose vif, un murmure d'émerveillement a parcouru la cabine :D
A bientôt !
Merci Robin pour ce retour sur le site.
que je reporterai… un jour ^^ => tu n'es pas le seul à avoir du retard de publication.
Un premier vol post covid pour l'auteur.
Je ne t'imaginais pas comme cela.^^
A bientôt
Hello Valérie, merci !
C'est pire que du retard de publication que j'ai actuellement, j'ai de quoi tenir de longs mois encore, vu comme je suis lent à écrire :D
Je suis très calme, sauf quand on me vole ma valise pleine de caleçons ^^
A bientôt :)
Merci pour ce FR "à bord de F-HMLA, premier CRJ1000 de Brit Air, alors dans sa magnifique livrée "Triskell" avion que j'ai pris durant l'été 2011 avec bien peu de connaissance AVGeek mais un certain attrait pour cet avion charmant. Une bonne prise car à priori avec Hop son avenir est condamné tout comme avec Mistsubishi... Tristesse.
Vol efficace dans l'ensemble.
Merci et à bientôt
Merci pour le commentaire !
En effet, belle prise que d'avoir pu prendre le F-HMLA avec sa livrée Triskell ! Je regrette toujours que cette livrée n'ai pas été conservée, quitte à rajouter un petit "Hop!" dans un coin... Je n'ai pas bien suivi l'avenir de Hop! et de sa flotte dans les détails, mais j'ai peur de ne bientôt plus pouvoir voler à bord de ces saucisses volantes.
A bientôt !
Merci pour ce FR
LYS qui brille toujours par l'entassement de ses vols au T2
Un vol Hop classique si ce n'est la disparition du sucré/salé
A bientôt
Ben non puisque KLM offre son « Holland Herald » en version papier, celui-ci est recouvert d’une recette anti-microbienne
Merci pour le commentaire !
LYS n'a pas tout à fait saisi le concept de "distanciation sociale"... Heureusement que la jetée Hop! est moins fréquentée.
Disparition du sucré/salé, et je pense qu'il ne reviendra pas de sitôt...
J'ai vu ça pour le Holland Herald en effet (après avoir écrit le FR), une bonne raison de voyager sur KLM plutôt que sur AF du coup !
A bientôt :)
Merci pour ce FR Robin!
Cela fait toujours plaisir de revoler!
Et pourtant je trouve que cela s'arrange depuis juin... C'est un peu la misère à LYS et avec l'augmentation des vols/pax, le T2 n'est clairement plus adapté.
A bientôt
Merci pour ton commentaire Noellie !
J'attendais ce retour dans les airs depuis plusieurs semaines voire mois, jusqu'à la fin j'ai eu peur de l'annulation de vol... Heureusement tout s'est bien passé ^^
Vivement la réouverture des autres terminaux, au moins du T1B, surtout que la situation sanitaire nous prouve qu'on n'est pas vraiment sortis de la crise... Je n'ose pas imaginer comment c'était en juin du coup !
A bientôt :)
Merci pour ce FR!
Reprise des airs, voilà qui est agréable!
À bord, on trouve une cabine qui semble très agréable avec ses couleurs claires: on est bien mieux que sur les terribles A319/20 "métropole" avec leurs planches à repasser.
Les couleurs du coucher de soleil sont impressionnantes.
À bientôt!
Merci pour le commentaire :)
Oui, lorsque les roues de l'appareil ont quitté la piste, j'étais vraiment comblé de voler à nouveau !
La cabine des CRJ1000 est très agréable, même si les sièges ont un peu vieilli en dix ans... On est loin de la planche à repasser en effet !
La météo et le soleil se sont donnés à fond pour que mon retour dans les airs se fassent dans de belles conditions !
A bientôt :)