Bonsoir à tous !
On repart aujourd'hui pour un routing un peu plus fifou que le précédent, un aller-retour vers Toronto ! Avec, sans plus attendre, le détail de la construction du routing.
Le routing, en détaillé puis en résumé
A la base de ce voyage, une simple recherche pour un routing bien plus tordu (Un Bruxelles - Porto via Toronto pour prendre un 767 EuroAtlantic Airways opérant pour le compte d'Azores Airlines, bref). Je remarque alors notamment que KLM vole toujours vers Toronto en 787-10, un appareil que j'ai connu justement sur un YYZ-AMS, et que j'aimerais bien reprendre…
Comme le voyage pour Porto n'a finalement pas pu se faire, quelques jours plus tard, une petite pulsion me prend, et hop, je regarde pour passer quelques jours à Toronto début septembre !
Dans mes critères donc, revoler à bord de ce 787-10 de KLM, en Business pour continuer ma collection de Delft Houses KLM (bon, et aussi pour le plaisir de voler en J). Un enchaînement BRU-AMS-YYZ, , départ au matin, quelques heures à AMS pour profiter du salon hors-Schengen, et une arrivée à Toronto à 13h, pour profiter d'une fin de journée au Canada, est parfait, et à un tarif raisonnable (moins de 1.500€).
Pour le retour, je suis ouvert à toute suggestion. Et justement, Air France me propose une solution fort sympathique, avec un retour sur Delta AIrlines, YYZ - JFK en CRJ900 suivi d'un JFK - BRU en 767-300.
C'est un grand oui pour moi : je n'ai jamais pris Endeavour Air qui opère le vol YYZ - JFK en CRJ900 (j'aurais du tester en 2022 mais j'étais finalement parti sur un autre délire avgeek), je n'ai jamais pris de Boeing 767, et je n'ai jamais pris Delta en long-courrier.
Si le tarif en J est rédhibitoire (de mémoire plus de 3000€ juste le retour), le tarif en Y est beaucoup plus raisonnable, quelques centaines d'euros, un tarif "classique" donc.
L'horaire est en plus correct, avec un départ à 11h de Toronto, 6 heures de correspondance à New-York pour tester le salon Delta, et une arrivée à Bruxelles de bon matin le 10 septembre, juste à temps pour choper un Eurostar pour aller sur Londres fêter l'anniversaire d'une très chère amie !
Le récap du routing, pour y voir plus clair :
Enchainement de vols
- 1KL1700 - Business - Bruxelles → Amsterdam - Embraer 190
- 2KL691 - Business - Amsterdam → Toronto Pearson - Boeing 787-10
- 3DL5098 - Économique - Toronto Pearson → New-York JFK- Bombardier CRJ900
- 4DL140 - Économique - New-York JFK → Bruxelles - Boeing 767-300
Placements, stats, le classique
Sur ce premier vol, le choix du placement à bord est assez simple : La première rangée est libre, et sur Embraer 190, elle est assez généreuse pour les jambes. Le hublot droit est préférable, il devrait être possible de voir les lumières du soleil levant à l'Est…
On peut noter que KLM a la désagréable habitude de ne pas bloquer de siège sur ses Embraer en J, la différence déjà limitée entre Business et Economy est encore plus ténue, donc…
L'OLCI prévoit 4 rangées de J, dont les 2 arrières indiquées comme occupées. Peut-être dans le maigre espoir d'avoir assez de surclassements payants pour les remplir (et les débloquer ensuite si la J est assez remplie, sinon la mettre en Y) ? Si c'est bien la stratégie, j'ai quelques doutes…
Curieusement, la base de données n'est pas si fournie que ça sur ce vol "navette" entre ces deux capitales : Seuls 4 récits, dont 3 par ce cher Esteban, le dernier en 2017. Une petite mise à jour de l'offre proposée par KLM sur ce vol exceptionnellement court ne fera pas de mal (même si on se doute tous qu'on n'est pas passé à un service complet entrée plat dessert)…
De mon côté, si j'ai déjà volé plusieurs fois sur cette navette (3 fois dans ce sens, 2 fois dans l'autre), ça n'a jamais été le cas en Business.
Ca sera également mon 11e passage sur la plateforme bruxelloise (un nombre amené à augmenter vu que c'est devenu l'aéroport international le plus proche de chez moi), mon 16e vol chez Cityhopper, et mon 55e vol en Embraer !
Arrivée à BRU
Je commence ce FR la veille du départ, avec un pré-acheminement vers mon hôtel à proximité de BRU en TER, Flixbus puis train régional belge (que j'attendais ici sur le quai de Bruxelles-Midi).
Je passerai la nuit non pas au Sheraton BRU, comme j'en ai l'habitude, mais au NH Brussels Airport, qui offre, pour un prix moitié moins cher, un confort très bon, un restaurant sympathique (et trèèèèèèèès généreux en alcool), et une vue sur les trains et les avions au décollage (oui, on n'en voit pas sur ce cliché, mais je vous assure qu'on les voit bien !).
Et pour se rendre à l'aéroport, une navette gratuite cadencée à la demi-heure est proposée, dès 4h du matin, donc pas de soucis pour choper les premiers vols de la journée.
Je jetterai mon dévolu sur la navette de 4h30, qui déposera son petit lot de passagers à 4h40, à proximité immédiate de l'entrée de l'aéroport.
Je ne suis pas le seul à arriver tôt, s'il n'y a pas encore de transports en communs, le dépose minute (hors-champ à droite) ne désemplit pas, avec beaucoup de pax se hâtant vers le terminal.
Dans le hall du check-in, ce magnifique panneau fait de la résistance face à la modernité. Mon vol est bien prévu à l'heure, c'est d'ailleurs l'un des rares vols de la vague de 6h00 qui ne part pas sur une destination "loisirs".
Après être passé au comptoir pour récupérer ma carte d'embarquement (sans attente et avec le sourire), direction le PIF.
Juste avant le PIF, un rappel des consignes, avec des sacs transparents à disposition, et des petites tables pour refaire ses bagages. Quelque chose de simple, mais pas assez répandu à mon goût…
Du monde pour passer ce contrôle sécurité, mais fort heureusement, j'ai l'accès à la Fast Lane.
Direction le salon
En quelques minutes, je suis airside. Globalement, BRU a été bien efficace, ça fait à peine 15 minutes que la navette de l'hôtel m'a déposé devant l'aéroport.
Traversée du duty-free, spécificité belge, les alcools mis en avant sont des bières ! Bon, je résisterai assez facilement à la tentation d'acheter une Leffe, j'en ai déjà assez dans mon cellier…
Ca par contre, je n'en ai pas ! Mais c'est un poil plus encombrant.
Après la traversée de la galerie marchande, toujours aussi longue, direction l'étage des lounges, avec un peu d'attente pour entrer au Loft de Brussels Airlines.
Pas de jaloux, c'est pareil au Diamond Lounge qui accueille notamment les passagers de KLM.
Le lounge est bien fréquenté, et son offre matinale est toujours aussi appréciable, avec pas mal de plats chauds, du salé et du sucré, bref, de quoi se faire plaisir.
Bon, moi je n'ai pas très faim, alors ma sélection sera modeste…
Maintenant que je suis posé, je peux enfin vous présenter la documentation de voyage !
Les Seq Number trahissent mon enregistrement quelque peu tardif…
Le principal défaut de ce salon, au final, ce sont les assises, que je trouve peu confortables (j'ai du à peu près toutes les tester), c'est joli et "design", mais on ne peut pas s'affaler comme une larve pour somnoler, et s'il y a bien une chose dont je suis incapable, c'est de m'asseoir normalement sur un fauteuil pendant plus de 30 secondes.
Le salon offre également une vue sur les pistes, avec ici les trois appareils Transavia Holland basé à BRU (base que j'ai découvert à ce moment-là, d'ailleurs).
Au premier plan, les barrières délimitant les parcours d'embarquement des différentes portes "low-cost", avec une bonne portion non abritée… Heureusement qu'il ne pleut que très rarement en Belgique.
Embarquement avec le sens du timing
Je quitte le salon une dizaine de minutes avant l'heure prévue d'embarquement.
Au passage, cliché d'un FRiste faisant son devoir de tester tous les plats du lounge.
Je n'aurais pas à beaucoup marcher, mon vol part de la porte A45, juste à droite au début de la jetée A.
Décidément, Leffe a bien investi l'aéroport, avec ce charmant bar à Leffe. Mais il est un peu tôt pour ça…
Entre les reflets et l'éloignement de la baie vitrée, je ne pourrais pas mieux apercevoir mon appareil du jour. Au moins, il est bien là, et la cabine allumée est le signe que l'équipage y est également !
Mon timing est parfait puisqu'au moment où j'arrive devant la porte, une hôtesse au sol appelle les passagers Business, me voilà donc deuxième à embarquer.
Instant porte-de-loin, l'accueil est souriant (comme au comptoir d'embarquement d'ailleurs).
Je ne vais pas bien loin pour rejoindre mon 01F, avec son pas assez généreux pour un siège en bulkhead.
C'est bon, je suis bien à bord de la bonne compagnie ! Le nom "cityhopper" sans majuscule me perturbe, par contre, d'autant plus que la majuscule est bien présente sur le logo extérieur sur la carlingue de l'appareil.
La cabine J est passée de 4 rangs au check-in, à deux rangs. Les offres de surclassement à l'enregistrement en ligne n'ont visiblement pas convaincu les passagers (surprenant !). La cabine J reste pour le moment bien vide…
Dehors… Euh, je suppose que c'est un appareil Iberia à côté de nous, mais j'aurais bien du mal à en dire plus !
Retour à l'intérieur, où la boucle de ceinture n'est pas siglée, et le bandeau rouge est assez peu accordé avec la cabine. Bien triste tout cela.
La documentation de bord pourrait par contre me réconforter… Ah, et j'ai récupéré un voisin (en sandale, en plus).
Le magazine de bord, une espèce en voie de disparition
Comme d'habitude, KLM propose un magazine de bord, ce qui est fort appréciable. Et une safety card, ce qui est aussi rassurant (commune aux E175 et E190 malgré la grosse différence au niveau des issues de secours entre les deux modèles).
Comme d'habitude, une destination est mise en avant, ici Portland.
Transition toute trouvée pour vous présenter la carte du réseau d'Amérique du Nord, où les hubs de Delta sont "un peu" visibles.
Mais pour le moment, on reste en Europe. Dur de voir la courte liaison BRU-AMS, par contre je note que la carte affiche encore des vols Air France au départ de Lille (vers Lyon et je ne sais où). C'est malheureusement terminé, c'est mal de retourner le couteau dans la plaie, KLM.
Passons à la page de la flotte, où l'A321neo a fait son apparition !
Le gros plan sur le Boeing 737-800… Et une magnifique bourde dans la rédaction, puisque d'après le paragraphe, on peut voler vers New-York à bord d'un 737-800 chez KLM. Moi, je ne tenterai pas le coup, ou au moins pas sans une escale pour refueling !
Je suppose que c'était plutôt Newcastle qu'ils avaient en tête…
Enfin, une dernière page, avec l'annonce de l'arrivée de SAS chez Skyteam ! Une annonce qui me réjouit, j'aime beaucoup la compagnie scandinave (pas spécialement pour son service à bord, on est d'accord). SAS qui arrive d'ailleurs au printemps 2025 à Lyon.
Départ embué
La porte est fermée à 5h58, le commandant annonce que nous sommes prêts au départ pour ce court vol de 30 minutes.
Mais dans la cabine, plusieurs passagers se sont assis où ils voulaient, et refusent de céder leur place aux pax assis théoriquement là, les hôtesses devront hausser le ton pour que les récalcitrants regagnent leurs sièges initialement prévus… Tout ça pour un vol navette de 30 minutes, franchement.
Mon voisin aura lui la bonne attitude, en demandant d'abord à l'hôtesse s'il peut se décaler en 01A et C, vu que ces deux sièges sont finalement restés vide. La demande est acceptée avec le sourire, ce qui nous rendra à tous deux un espace vital un peu plus acceptable pour de la Business.
On repousse finalement à 6h08, avec deux petites minutes d'avance. L'état du hublot ne s'étant pas amélioré, je suivrai d'autant plus attentivement les démonstrations de sécurité.
La cabine est ensuite éteinte, seul reste l'éclairage menant aux issues, qui donne une touche fantomatique à la cabine.
L'absence de lumière intérieure n'améliore pas plus les prises de vue extérieures. Vu les lumières et le trajet suivi par l'appareil au roulage, je peux dire que l'on s'aligne sur la piste 25R… (bon, et aussi vu la trace radar du vol hein).
Et là, on reconnait sans peine la partie militaire de l'aéroport, la base aérienne de Melsbroek ! Oui oui, j'ai bien dit "sans peine".
Et on décolle tout en douceur à 6h26…
Ce vol est à une heure parfaite pour la saison, je vais pouvoir admirer l'aube pendant tout le vol !
Les lumières du port d'Anvers, sous une fine couche nuageuse, tente de rivaliser (sans succès) avec la lumière de l'aurore…
La lumière dans la cabine est rapidement rallumée, adieu donc les photos sans reflets. Anvers toujours (un charmant endroit !).
La gargantuesque prestation
La lumière a été rallumée une bonne cause, la distribution de la prestation ! Sur ce vol très court, c'est un petit sac "petit-déjeuner" qui est proposé, moins de 5 minutes après le décollage.
Le contenu est en mode "minimum syndical", mais pour un vol où le temps de service est aussi court, dur de proposer quelque chose de plus complet. La présentation n'est pas très "Business" mais ça a l'avantage d'être facile à servir et ramasser.
On a donc un smoothie, un muffin au chocolat et un bonbon à la menthe.
Smoothie qui n'est pas mauvais (le muffin non plus mais c'est plus classique).
Contemplation du soleil levant en approche
Après une petite minute de croisière à 18.000 pieds, on commence notre descente, direction la couche nuageuse qui reprend au niveau de la frontière néerlando-belge.
Attention, je vais enfoncer une porte ouverte : On n'a pas trouvé plus beau paysage qu'un lever de soleil depuis les airs !
A 6h40, le capitaine nous annonce un atterrissage dans 12 minutes, et un taxi de 10mn jusqu'à notre point de stationnement, ce qui laisse présager une arrivée sur la Polderbaan.
Présage confirmé par la trajectoire d'approche quelques minutes plus tard, on part survoler la mer du Nord. Le commandant précise également que nous serons amenés au terminal par bus, tant mieux, ça évitera la longue remontée à pied de la jetée B et du couloir B > C.
Petite séance de surf sur la mer de nuages…
… Avant de se décider à plonger dedans !
La couche est assez fine, et il fait déjà bien jour dessous, mais on est plus dans un nuancier de roses ici.
On vire vers l'est pour regagner la terre ferme, un peu au nord d'IJmuiden, reconnaissable aux énormes panaches de fumées qui sortent de l'aciérie de la ville (ça me rappelle Dunkerque tiens).
Dur de passer inaperçu pour ces serres horticoles, toutes éclairées en rouge-orangé ! Dans les deux grosses serres accolées, on y fait pousser principalement des orchidées, ces plantes tropicales ont bien besoin d'aide pour grandir dans le climat pas vraiment tropical des Pays-Bas.
A noter que ces deux serres sont chauffées grâce à la géothermie, par des puits descendant à 3000 mètres sous terre, permettant de récupérer une eau à plus de 100° pour tenir les plantes au chaud (et les maisons des environs au passage, aussi).
Virage au-dessus de Heemskerk, petite ville où, en 1492, s'est achevée une révolte populaire, dénommée "Révolte du peuple du fromage et du pain", par la défaite des révoltés. Rien que le nom de la révolte me donne faim.
Dernier virage pour s'aligner sur la piste 18R, à 7 nautiques du seuil de piste. Avec une belle vue sur le canal de la mer du Nord (Noordzeekanaal en VO), et toujours IJmuiden au fond.
Le Zijkanaal C (canal latéral C), qui relie le canal de la mer du Nord à la rivière Spaarne, avec notamment un pont basculant sur l'autoroute A9 (une spécialité néerlandaise ces ponts basculants ou tournants sur les autoroutes !).
On touche le sol de la Polderbaan à 6h54, après 28 petites minutes de vol. Le toucher est délicat, et le freinage initialement très léger, avant d'être plus incisif sur la 2e moitié de la piste, ça nous fait gagner un peu de temps sur le taxiing (et économiser du carburant aussi, d'ailleurs).
Roulage en avion puis en bus jusqu'à AMS
C'est parti pour le long roulage, il y a presque 10km entre le seuil de piste et notre point de stationnement…
L'équipage commercial annonce les portes des correspondances courtes (moins d'une heure). La porte d'un vol pour CDG est annoncé, un pax à bord fait donc visiblement BRU-AMS-CDG, original !
12 minutes après l'atterrissage, on approche enfin du parking ! On croise un frangin E-190, qui s'envole pour Nice.
Embraer 170 pour Bologne et soleil levant…
Un autre E-170, parqué en faux-contact au niveau de la jetée B, où il y a visiblement quelques travaux en cours. Il partira un peu en retard pour Oslo d'ici un quart d'heure.
Tiens, un intrus ! Un petit E-175 Lot.
On arrive finalement au bloc devant la future jetée A, toujours en travaux, à 7h08, globalement à l'heure. A côté, un autre Embraer 190, qui partira pour Milan dans la matinée.
Le débarquement se fait rapidement, l'occasion d'admirer l'oiseau du jour. C'était donc PH-EZD qui nous a transporté aujourd'hui, un Embraer 190 livré neuf à KLM Cityhopper en 2009, et que je n'avais jamais pris auparavant !
Juste avant que le bus ne ferme ses portes, tentative de tirage de portrait du voisin, qui partira vers Trondheim dans deux heures.
Lot est parti pour retourner vers sa patrie !
9 minutes après l'arrivée au bloc, nous voilà à l'intérieur du terminal, plutôt efficace.
Mon prochain vol pour Toronto est prévu à l'heure, en porte F9. Plus qu'à rejoindre le salon hors-Schengen en attendant…
Mais ça sera pour la prochaine fois ! En attendant, la trace radar de ce court vol, avec une croisière à 18.000 pieds
Merci pour votre lecture !
On se retrouve plus ou moins bientôt pour la suite, selon mon temps dispo, comme d'habitude !
Tchao o/
Merci Robin pour le partage !
En voilà un un vol que je connais bien ^^ Enfin, que je connaissais bien, 3 reports quand même sur cette ligne, merci d'avoir rafraîchi mes vieilles stats KLM !
La prestation n'a que peu changé depuis la dernière fois que j'ai fait ce trajet. Je trouve le sac approprié mais une boisson chaude pourrait largement être servie en J.
Quand on pose sur la Polderbaan le temps de roulage cumulé peut être plus long que le temps de vol.
A bientôt !
Merci pour ton commentaire Stephan !
En effet, tu as quasiment le monopole sur les FR sur cette ligne (mais je compte bien te rattraper, vu que BRU devient ma nouvelle base ^^ )
Clairement, un petit thé ou café ne ferait pas de mal, surtout vu l'horaire matinal du vol... Mais bon, comme tu dis ça reste correct.
Ah ça, la Polderbaan c'est un peu l'enfer, on a eu la chance sur ce coup là de pouvoir traverser la 18/36C au lieu de faire le détour par le sud déjà...
A bientôt !
Merci pour le FR très détaillé. Je prends régulièrement cette ligne et je trouve agréable. Je croise tous mes doigts 😜 pour qu'un jour ils ne décident pas de l'annuler. AFKLM pousse à prendre le TGV depuis la gare du Midi, mais c'est une véritable "daube".😞
Merci pour le commentaire !
Je trouve que les deux ont leurs avantages et inconvénients, entre les option "rail" pour CDG/AMS et le vol... Mais le rail est forcément plus sujet à des retards (un problème/retard/panne sur la ligne et tout est retardé), l'option aérienne est plus fiable.
Il faudrait que AF/KLM continue d'améliorer "l'agence" à Midi, avec des espaces d'attente plus confortables (et travailler sur le partenariat avec Eurostar pour améliorer le salon ex-Thalys), parce que ça fait cruellement défaut dans cette gare.
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR très complet
Une prestation tout à fait honnête pour ce vol de 28 minutes mais comme souvent le temps de roulage est très long à AMS.
Avec 6 pistes, les contrôleurs pourraient faire en sorte de privilégier les pistes proches des terminaux pour les vols courts courriers. Peut-être un vœu pieux...
A bientôt
Philippe
Merci pour le commentaire !
La prestation pourrait limite être servie pendant le roulage, on aurait plus le temps de l'apprécier qu'en vol ^^
Malheureusement le choix de la Polderbaan est surtout fait pour éviter les nuisances sonores, avec une approche qui évite le survol à très basse altitude de villes ou villages, donc peu de chances que ça change !
A bientôt :)
Merci l'ami.lyonnais pour le saut de puce.
Beaucoup de bazar en cabine au niveau des sieges.
Bon clairement la prestation se rapproche plus du sac"bon appetit" AF en eco qu'une digne appellation business.
Superbes couleurs de lever du soleil.
Atterrissage a la polderban donc un roulage taxi limite plus long que le temps de vol!!
Merci Chris pour ton commentaire !
Oui, bien du bazar pour un vol qui dure à peine le temps d'un épisode de sitcom... ^^
La prestation m'a en effet fait penser au sac AF ! Après sur ce vol très court je conçois qu'il faille optimiser au mieux le temps du service pour les PNC, mais je pense qu'ajouter quelques petits éléments plus "Premium" dans le sac ne ferait pas de mal.
C'est quand on atterrit sur la Polderbaan que je me dis que pour réduire les émissions polluantes dans l'aérien, ça serait vraiment bien d'avoir enfin des systèmes fiables et efficaces que le taxi avec les réacteurs des avions... Parce que sur un tel vol, ça doit bien être la moitié du carburant qui est utilisé au sol ^^
A bientôt !