Bonjour bonjour :)
Je poursuis mon routing après une mini-pause de… 3 mois ? Ouais, bon, je sors mes FR avec une ponctualité digne de Tunis Air cette année, entre manque de temps et de motivation… Bref :)
Avant de partir sur un autre voyage (dans moins de 3 mois j'espère), je termine le routing d'un voyage en février dernier. Vous excuserez si certains éléments sont un peu plus flous que d'habitude, disons que c'est dur de se remettre en route avec un vol aussi passionnant qu'un CDG - LYS.
Le rappel du routing pour ceux qui ne s'en souviendrait pas (moi non plus je ne m'en souviens pas, en fait), dans le bonus ci-dessous :
Du coup, quand pour février, j'ai voulu pimenter un peu mes trajets pour aller rendre visite à ma famille à Lyon, il m'a semblé tout à fait logique d'utiliser ce trajet dans le routing. Même si, c'est pas vraiment sur le chemin.
Avec un trajet le 14 février en fin de matinée, il était possible d'enchaîner facilement sur un classique AMS > CDG > LYS, permettant de gagner quelques XP Flying Blue au passage.
Restait à trouver un moyen d'aller à Porto pour le 14 février pour pas trop cher. Ryanair dessert bien la ville portugaise depuis Lille, mais seulement 2 fois par semaine, des jours qui ne collaient pas. Et puis, bon, Ryanair sur un LIL > OPO, assez cher en plus, ça ne me faisait guère rêver.
A part cela, pas grand chose en vol direct depuis les aéroports aux environs de chez moi (ou à des prix trop élevés), d'autant plus que j'ai planifié ce routing moins d'un mois à l'avance.
Je regarde donc les vols avec escale, sans rien trouver d'intéressant (comprendre : rien de fifou à ajouter à mon logbook d'avgeek, si c'est pour faire un CDG > OPO avec AF, le fun n'est pas là).
Et puis je note un Flixbus de nuit reliant Madrid à Porto pour 15€, qui permettrait d'avoir un peu plus de choix niveau avgeek, et d'ajouter une expérience "travelgeek" à tout ça.
Après quelques recherches (énormément de recherches, en fait), je tombe sur un vol direct Luxair LUX-MAD, le 13 février, dans l'après-midi, à un tarif tout à fait raisonnable (moins de 100€, bagage en soute et choix de la place inclus). Gros coup de coeur avgeek, avec découverte de Luxair, de LUX, et en plus un vol en 737-700, appareil qui se fait de plus en plus rare dans nos cieux.
Pour rallier l'aéroport luxembourgeois, c'est faisable depuis Dunkerque sans grand problème, il ne faut juste pas être pressé (bus urbain jusqu'à La Panne, puis train vers Bruxelles puis Luxembourg, 6 heures de trajet mais seulement 25€).
Au final, je modifierai un peu mon routing pour rajouter un vol Madrid - Porto le 14 février au matin, par flemme de prendre un car de nuit (sur le papier, c'est tentant, mais vu mon état physique toujours moyen, voilà).
Je rajoute donc une nuit à l'hôtel Ibis Madrid Barajas (payé avec des points Accor) et ce vol MAD > OPO avec Air Europa, pour 50€, un bon deal sachant que j'ai acheté le billet 4 jours avant le départ.
On obtient donc un très ludique (mais nettement moins logique) LUX > MAD > OPO > AMS > CDG > LYS, avec 4 vols dans la journée du 14 février, voilà une belle reprise des vols en 2024 !
Placement à bord
Vol de soirée en hiver, donc le seul but dans le placement est d'avoir plus d'espace pour les jambes, l'alignement des hublots importe peu, le côté de la cabine non plus… Va donc pour le 12F, en issue sur cet A320.
Malgré le "renouvellement de l'offre gastronomique" de la Business domestique d'Air France deux semaines plus tôt, je ne suis toujours pas prêt à payer 79 euros pour un surclassement, désolé.
Tout comme je n'ai guère envie de payer 19 euros pour avoir un siège libre alors que j'ai les sièges en issue gratuitement.
Allez, on se rappelle du routing, on connait notre place à bord, on y retourne ?
Goinfrons nous au salon
Note : La majorité du FR a été écrite il y a 3 mois (avant que je ne manque de temps pour finir), si mon style littéraire a drastiquement changé entretemps.
On reprend avec cette vérification du plan cabine (faite à AMS), un siège vide comme voisin me semble illusoire, ma rangée est déjà presque complète…
Après avoir guidé des passagers américains perdus (qui n'arrivaient pas à comprendre si leur prochain vol partait du 2E ou du 2L, il faut avouer que ça peut être un peu déroutant), me voilà à l'entrée du salon Air France du 2F.
L'accueil est sympathique, je file comme à mon habitude directement à l'étage. C'est curieusement vide, on est pourtant 40 minutes avant le début de la pointe du soir du 2F.
Petit tour du buffet, avec des desserts qui manquent cruellement de chocolat (mais ça c'est moi et mes petits vices).
Pour le reste, les casseroles de plats chauds sont vides (enfin plus précisement pleines d'eau chaude), et le buffet salé froid est assez vide, du moins à l'étage. Allons vérifier l'état des stocks en dessous…
Ah, là de suite ça me plait plus ! Le choix est là pour le salé froid.
On trouve aussi les plats chauds du moment, ouf.
Voilà donc la matelote d'esturgeon au vin rouge, poitrine fumée et pâtes radiotari.
Et le porc aux oignons, gratin de pommes de terres et chou-fleur à la crème.
Le plat végétarien est censé être une cocotte de pommes de terre grenailles et châtaignes…
… Mais c'est plutôt du chou-fleur, riz, carottes et champignons. Dommage, ce qui était prévu me tentait beaucoup plus !
Retour en haut pour le glou-glou, avec en bulles du champagne Gosset Excellence, et en blanc du Chablis 2020.
Du côte du rouge, on a là aussi de belles bouteilles, avec du Crozes-Hermitage 2020, un reste de Minervois 2021, et un Saint-Émilion 2016. Alors certes, le prix n'est pas un gage de qualité du liquide, mais ça reste un indicateur correct. Et donc, Air France propose des bouteilles que l'on peut trouver entre 15 à 35€ à l'unité en prix "public" (la compagnie doit les payer nettement moins chères), on est loin des piquettes proposées dans bon nombre d'autres salons en Europe (coucou le Crown Lounge, mais pas que).
Bref, tout ça pour dire que je trouve l'offre de ce salon tout à fait correcte !
Les alcools forts sont les classiques habituels. Et on peut constater sur la photo qu'à l'étage, c'est VRAIMENT vide, avec l'éclairage un peu tamisé on croirait presque que le salon est fermé…
Je me pose au bout de l'étage, avec ma première sélection. Oui, j'ai allègrement mélangé la viande d'un plat et l'accompagnement de l'autre, je suis un fou moi. Et le Saint-Émilion passe bien du coup !
J'irai me servir en dessert plus tard, constatant au passage que les plats chauds ont enfin été mis en place à l'étage.
Vue sur la jetée 2F-2 avant que je ne quitte le salon, avec au bout le 737 KLM à bord duquel je suis arrivé à CDG. Entre un temps d'escale assez long (1h25) et l'arrivée 20 minutes en avance, l'équipage a le temps de souffler un peu entre les deux vols, on est loin des escales Ryanair.
Le 2F calme ? Serait-ce un mirage ?
Ayant un petit besoin de me dégourdir les jambes (une journée dans les avions/aéroports, ça finit par sembler long), je quitte le salon avec un peu d'avance, direction ma porte d'embarquement…
Toujours aussi belle cette cathédrale de verre…
La jetée est bien fréquentée sans être bondée non plus. Et les commerces de bouche font recette.
Au bout de la jetée, les travaux sont toujours en cours pour refaire le "nez" vitré.
Je partirai de la porte F49, celle où était parqué mon 737 KLM. J'aurais pu attendre dans la passerelle !
L'embarquement est lancé avec deux petites minutes d'avance, avec des priorités respectées.
Mais on est vite stoppés, pré-embarquement oblige. Je peux regarder les passagers de cet A321 pour Madrid pouvoir embarquer, EUX.
Et puis soudain… Des passagers passent dans la passerelle à côté, malheureusement nous sommes à une porte d'embarquement qui mène vers deux passerelles à la fois (un vestige du temps où des longs-courrier arrivaient au terminal 2F ?).
On va donc devoir patienter que le débarquement de ce vol se fasse…
Présentation d'une cabine que l'on connait très peu
Finalement, on peut ENFIN avancer à 20h54, soit plus d'un quart d'heure après que l'embarquement a été lancé. Le personnel au sol s'excusera toutefois, il y a vraisemblablement eu un cafouillage quelque part.
L'accueil en cabine est souriant, et on retrouve avec plaisir cette cabine Smart, toujours aussi agréable.
Comme je n'ai pas de photo de l'appareil vu de l'extérieur, je glisse ça ici : L'appareil du jour est l'A320 F-HEPF, livré à AF en 2013, et baptisé Cognac (ça donne soif tout ça). Un nouveau venu dans mon logbook !
Ma place, au 12F en issue de secours.
Dehors, vue sur l'aile et le tarmac. L'A321 que je regardais embarquer un peu plus tôt est parti pour Madrid, dégageant la vue sur un A320 qui partira d'ici peu pour Barcelone.
Le pas est généreux, issue de secours oblige, mais ça reste moins bien que sur A321 !
Vue de côté, le gain de place est flagrant par rapport au rang de derrière.
La mise au point est foireuse, mais les têtières sont malgré tout réglables.
Des prises USB sont présentes dans les accoudoirs.
La cabine est équipée de patères sur chaque siège, mais pas aux rangs en issue, pour ne pas gêner en cas d'évacuation.
On sent que la cabine commence à vieillir vu le jaunissement du porte-gobelet.
Pendant que l'embarquement continue, l'A220 F-HZUN arrive en porte, en provenance de Rome. Cet appareil partira 5 jours plus tard (le 19 février) pour l'aéroport de Toulouse Francazal, d'où il n'a toujours pas bougé à ce jour.
Je suppose que c'est lié aux problèmes sur les réacteurs Pratt & Whitney qui impactent les A220, même si ça commence à vraiment durer. Dommage pour un appareil quasiment neuf…
Allons-y, qu'on en finisse !
21h10, l'embarquement est terminé, bien qu'un passager ai bloqué l'allée pendant un long moment pour demander à une hôtesse une chose primordiale : Comment se connecter au Wifi parce que Monsieur ne veut pas louper une minute du match de foot qu'il regarde sur son téléphone. Au moins il a ses écouteurs…
Le commandant nous annonce 50 minutes de temps de vol, et un départ dans les minutes qui viennent.
Pendant que l'équipage commercial fait son annonce de bienvenue (avec la précision qu'un des PNC "parle" la langue des signes françaises, plutôt sympathique), voici la notice de sécurité de l'appareil du jour, avec en prime la lingette désinfectante.
Cette précision de l'interdiction de dormir par terre m'amusera toujours !
On repousse finalement à 21h16, avec seulement 6 minutes de retard. Ca reste correct vu le fouillis à l'embarquement.
Dehors : Un A220 en porte, un A321 (?) qui nous aveugle, et plus globalement, un hublot sale pas aidé par les reflets.
Un charmant A350 Ethiopian…
Ah, la cabine est enfin éteinte, c'est mieux pour les photos ! J'en profite pour tirer le portrait du joli winglet, alors que l'on passe au-dessus de la route aéroportuaire reliant le 2G au reste de l'aéroport.
On approche de la piste 26R, d'où un autre A320 s'élance pour Nantes…
Voilà, la piste est à nous !
Décollage plein ouest, avec aucun appareil en porte ou presque aux terminaux 2A et 2C.
Vue sur le winglet de nuit…
Magazine de pas-bord et offre à bord
Bon, revenons à l'intérieur, il n'y a pas grand chose à vous montrer dehors, à part des reflets. J'ai récupéré un magazine Air France au salon, feuilletons-le !
Pas de carte du réseau, mais une page récapitule les chiffres des destinations, avec quelques précisions sur notamment les nouveautés.
Ah, pardon, on trouve bien une carte du réseau ! Mais un peu simplifiée.
Les pages sur les destinations ne sont pas vraiment passionnantes, je préfère encore celles de Transavia.
Par contre on trouve bien une page de la flotte, qui trahit le petit âge de ce FR, puisque la partie Transavia ne montrait pas d'Airbus.
Détail sur la flotte régionale, où la capacité des Embraer 190 varie désormais entre 100 et 110, avec le récent ajout de 2 appareils en provenance de TUI Belgium plus capacitaires.
Le service arrive à mon niveau 20 minutes après le décollage, et je découvre que le "sucré ou salé" est de retour, je ne sais pas depuis quand, ça vous donne une idée de mon état de déconnexion aéronautique ! Je note aussi que les liquides sont servis dans de la verrerie en J à l'avant de la cabine, ça change des gobelets cartonnés.
Note : Non, les écouteurs ne sont pas offerts par Air France.
Santé ! J'aime bien le design du gobelet.
C'est rapidement marathonné.
Arrivée nocturne à Lyon
Au début de la descente, le cockpit nous annonce un atterrissage à 22h15 et une arrivée en porte 5 minutes après. Il conclut d'un air très surpris "A l'heure, donc".
La cabine est à nouveau éteinte un peu avant l'atterrissage, on voit déjà les lumières de Lyon.
On atterrit à 22h15 comme prévu, avec un léger rebond.
Au roulage, on aperçoit des appareils Volotea et Transavia parqués devant l'ancien T1A et le T2, qui était encore fermé à l'époque.
Un Embraer 170 Hop! au contact au T1 ! Voilà une chose rare à LYS. Il s'agit en général de l'appareil qui effectue désormais les vols vers Amsterdam en lieu et place de KLM (KLM garde une des rotations tout de même).
D'ailleurs, en parlant des Schtroumpfs, voilà l'appareil néerlandais qui effectue la dernière rotation du soir, et qui repart le lendemain matin pour la capitale batave. C'est un 737-900 aujourd'hui, on voit rarement le plus gros module moyen-courrier de KLM sur la ligne. La saison hivernale des Alpes battant son plein ne doit pas être étrangère à cette affectation.
L'arrivée au bloc se fait avec une minute d'avance, et le débarquement est assez rapide.
Traversée du terminal 1, l'oiseau bleu est désormais bien endormi.
Récupération des bagages, j'y passe sans m'arrêter. Notons la présence des bornes pour acheter des billets pour quitter l'aéroport (et pas seulement pour le Rhônexpress).
L'aérogare brille de mille feux…
Je n'ai pas à aller loin puisque pour ce soir, je dors à l'hôtel juste en face !
Outre le NH Hôtel, on trouve aussi le Moxy situé au-dessus de la jonction des terminaux 1 et 2. Les autres hôtels sont plus éloignés, avec une navette à prendre.
Ultra mini bonus hôtelier : Le NH Hôtel Lyon Airport
Le NH offre un bon rapport qualité-prix pour un hôtel aéroportuaire, pas grand chose à lui reprocher.
Et le fait de pouvoir choisir sa chambre sur le plan de l'hôtel lors du check-in garantit que l'on aura une belle vue sur les pistes !
De jour, avec un appareil Transavia qui arrive, et un BlablaCar à la gare routière.
Derrière le "coeur" de l'aéroport et la passerelle vitrée menant à la gare TGV, on peut remarquer un bâtiment en "construction". Il s'agit en fait du centre d'affaires de LYS, qui a visiblement subi une rénovation pour le moins radicale en ne gardant que son ossature.
Je n'ai pas fait attention, lors de mes derniers passages à LYS, à quoi ressemblait ce chantier maintenant malheureusement…
Et voilà la trace radar du vol, avec une altitude de croisière assez basse, classique sur les vols CDG - LYS. Le vent arrière nous a un peu poussé pendant la croisière, ce qui a du jouer dans la résorption du retard.
Merci de m'avoir lu jusqu'ici !
J'ai énormément galéré à pondre cette série de vols, surtout ce dernier, donc je ne sais pas si j'en ressortirais un rapidement, nous verrons bien.
En attendant, vos commentaires sont évidemment les bienvenus !
A bientôt :)
Merci pour ce report Robin. Ça fait plaisir dé te relire.
Pas terrible ce cafouillage à l’embarquement mais ça n’a finalement pas eu de conséquences sur la régularité à l’arrivée, l’affaire a été rondement menée.
C’est une chance d’être tombé sur un A320 winglets, ils sont tellement rares chez AF.
Le 739 KLM à la fin de la journée, ça veut dire qu’il a volé, et qu’il était à l’heure, ce qui n’est pas le cas tous les jours, loin s’en faut.
Bons vols
Merci pour ton commentaire, ravi de revenir un peu par ici ! :)
Ca va que le débarquement de l'autre vol aura été plutôt efficace aussi ! Mais bon, pas de retard au final comme tu dis, et les agents au sol se sont excusés moult fois... Rien de bien vilain :)
En effet, je ne m'étais pas fait la remarque avant, mais c'est vrai que les A320 wingletés sont peu nombreux !
Ah ça, les vols du soir de KLM ne sont pas les plus ponctuels... Même si on est loin de la TAP sur ce point ^^
A bientôt :)
Ah tiens Robin! ça fait plaisir de te revoir par ici avec cette liaison que l'on connait bien!
Le passage au salon du 2F fait toujours plaisir
Ah tiens le magazine qui mentionne maintenant les E190 densifiés.
Je suis déjà monté à bord de Cognac mais avant qu'il s'appelle Cognac, réussir à choper un A320 winglet chez AF surtout sur une petite liaison domestique c'est rare, j'ai l'impression qu'ils sont souvent plutôt déployés vers les destinations lointaines comme l'Arménie ou la Jordanie.
Superbe vue depuis l'hôtel, ça a du te faire bizare de ne pas prendre le Tram direction Lyon en tant qu'ex-Lyonnais
Coucou Chris, bien content de trouver le temps de revenir par ici aussi ! (avec un FR posté depuis un Delta Sky Club de JFK, comme quoi, il faut que je sois en voyage pour retrouver la motivation ^^)
Clairement, le salon du 2F ne déçoit que rarement... D'ailleurs il commence à me manquer ^^
L'équipe éditoriale qui suit les évolutions précises de la flotte, c'est toujours appréciable oui, et c'est ce détail qui m'aura appris l'existence des nouvelles cabines Hop justement.
Le sobriquet de cet appareil devrait s'accompagner d'une distribution gratuite d'une mignonette de l'alcool homonyme, pour que ce soit plus carré. Le déploiement des A320 winglet vers les vols plus longs reste somme toute logique, autant économiser du carburant sur des vols longs plutôt que sur des CDG - LYS où on doit avoir la moitié du carburant utilisé juste pour le roulage ^^
J'avais déjà fréquenté l'hôtel du temps où je vivais à Villefranche, mais plutôt pour prendre des vols du matin sans avoir à me lever à 2h du mat' et faire la route. Mais là j'ai quand même pris le tram, juste le lendemain matin plutôt. Vu la grosse journée de voyage que j'avais, je me suis dit qu'il serait plus reposant de me poser à l'hôtel plutôt que de faire le trajet jusqu'à chez mon frère à Croix-Rousse à une heure aussi tardive :D
A bientôt :)
Merci Robin et bienvenue à bord ! (ah non pardon, tu n'es pas nouveau ^^ mais tu fais partie du club des moins motivés pour l'instant et les membres sont assez nombreux !!)
Je note dans les plats chauds pour viandards l'impossibilité d'avoir quelque chose sans porc, moi qui n'aime pas ça, j'aurais été bien embêté.
Sinon un vol tout à fait dans la norme AF, rien de mauvais, rien d'excellent, ça fait le job.
A bientôt pour la suite sur Tunis Air, si le retard s'accumule ^^
Coucou Stephan, merci pour ce charmant accueil :P
En vrai, je suis motivé, mais je procrastine beaucoup trop ^^
En effet, c'est un détail que je n'avais pas remarqué, c'est assez dommage... Ca n'est pas top, surtout pour un salon international comme cela (le non-mangeage de porc est quand même assez répandu de part le monde).
J'ai commencé à écrire le FR suivant, plus qu'à espérer que je ne mette pas 5 mois à le sortir :D
A bientôt :)
Bonjour, et merci pour le partage.
Pour info, le "sucré-salé" qui semble vous étonner est la norme sur les vols domestiques d'AF depuis longtemps.
A bientôt
Hello, merci pour le commentaire :)
Le sucré-salé avait disparu après le Covid, remplacé juste un snack sucré (sans le choix donc), ou bien j'ai vraiment manqué de chance sur tous mes vols AF entre 2021 et 2023 et le salé était constamment en rupture de stock ^^
A bientôt !