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Bonjour à tous !
A la suite d'un vol Barcelone-Rome où Alitalia n'avait pas brillé, j'enchaîne sur un Rome-Nice qui est ma destination finale.
Même si j'en ai encore un en archives ce sera probablement mon dernier vol reporté sur l'ancienne compagnie italienne, il ne faut pas abuser des bonnes choses…
La correspondance est longue, j'ai le temps de profiter de l'aéroport de Rome.
On est en juillet et le salon est toujours fermé. J'imagine qu'il n'a jamais rouvert.
La zone pour la restauration est assez vaste et variée.
C'est l'heure de déjeuner, je peux acheter un accès au salon Plaza Premium mais c'est 40€ pour 2 heures ce que je trouve excessif.
Après avoir déjeuné dans un bar/restaurant je poursuis mon tour de l'aérogare.
Un siège sur deux est neutralisé.
Je me dirige vers la porte d'embarquement.
Avant et fort de l'expérience du vol précédent, je vais à un comptoir de service aux clients pour demander à changer de place à bord afin d'éviter d'être de nouveau sur l'aile ce qui est gênant pour les photos. L'employé me demande de payer pour cela, ce que je ne trouve pas normal car j'ai déjà payé pour avoir un siège au hublot. Je le laisse reprendre sa conversation avec son collègue qui l’intéresse manifestement plus que son travail.
Le vol est prévu à l'heure. Certains passagers pensant que le parcours Skypriority s'applique exhibent leur carte Elite Plus pour passer les premiers. Ils se font refouler, l'embarquement se fait de l'arrière vers l'avant et peu importe les statuts.
Comme à Barcelone il a fallu remplir un formulaire.
Un contrôle de température a aussi eu lieu en porte.
Je retrouve cette cabine avec des sièges épais qui ont le mérite d'être confortables.
Le pitch est suffisant sur ce vol court.
On peut voir l'immatriculation sur le dessus de l'aile. Je suis à bord du EI-DTF livré en 2009.
Comme dirait Chevelan, Casper a pris place sur les deux sièges voisins. Tant mieux, je peux mettre mon sac à côté et étendre les jambes.
Le commandant de bord prend la parole et annonce un vol de 50 minutes.
La diminution du trafic permet au moins de réduire le nombre d'embarquements par bus.
C'est un décollage vers la mer.
De ce fait on est rapidement au-dessus du littoral.
On prend la direction du cap Corse.
A vue d’œil l'appareil est rempli à 50%.
Comme sur le BCN-FCO, il n'y a aucun service "pour réduire les contacts".
L'habituelle fiche de contact est distribuée.
On passe sur l'île d'Elbe.
Le vol est court et on aperçoit la cote.
L'aéroport de Nice est en vue.
Freinage et sortie.
Le parking "kilo" destiné à l'aviation d'affaires est bien rempli !
On trouve même des gros-porteurs privés.
Et des jets sur le parking du terminal 1.
C'est impressionnant !
On arrive au terminal 2.
La sortie de l'appareil est rapide.
Après ça se complique, plusieurs vols arrivent presque en même temps, les pièces d'identité et pass sanitaires sont tous contrôlés.
Avant de sortir je fais un tour au niveau des enregistrements, ça fait plaisir de voir l'aérogare reprendre de la vie.
Pour finir le parcours.
Une arrivée à l'heure après 50 minutes de vol.
L'équipage a été un peu plus impliqué que sur le vol précédent.
La cabine ancienne est confortable.
Pas de divertissements à bord : pas d'offre de presse à télécharger à ma connaissance, de revue, de wifi.
La Covid a bon dos... Elle sert de prétexte pour maintenir les règles d’embarquement qui pouvaient se justifier au plus fort de la pandémie mais plus au mois de juillet. Compte-tenu des contrôles et formulaires à remplir, il a été chaotique et certainement pas de nature à assurer la distanciation sociale. La Covid sert aussi à justifier l'absence totale de service à bord, même pas un verre d'eau. Pas de BOB non plus mais on pouvait le comprendre avec la disparition à venir de la compagnie.
Une sortie longue à Nice, je ne sais pas pourquoi on a débarqué avec les vols hors Schengen.
En ce qui me concerne et je ne suis sans doute pas le seul, tout en étant dommage c'est "ciao Alitalia" et sans regrets, espérons qu'ITA Airways repartira sur de bonnes bases.
Merci pour votre lecture !
7 Commentaires
Je peux te dire qu'en Août le salon n'avait pas rouvert, un comble quand même pour un salon flagship. Maintenant avec ITA je ne sais pas.
A bord le service néant AZ qui ne nous manquera pas, c'est clair.
A bientôt !!
On peut parier que la salon n'a jamais rouvert, c'est dommage mais compréhensible. Ce sera intéressant de voir ce qu'ITA fait.
A bord pas de service, ça ne peut pas nous manquer...
A bientôt.
AZ a trimbalée trop de boulets pour pouvoir s'en sortir, nous verrons bien ce que la remplaçante va proposer...
Je confirme que Casper est un de mes bons amis !^^
Aucune priorité respectée, agent de comptoir pas du tout concerné, catering au niveau 0, adieu Alitalia on s'en remettra.
Seul le siège semble confortable !
Merci pour le partage, à bientôt.
J'aime bien voyager avec Casper et finalement AZ et ses appareils vides c'était au moins bien pour cela.
Tu as bien résumé le vol, seule la cabine était agréable. Le reste est à oublier comme les derniers mois d'Alitalia hélas.
Merci pour ton commentaire, à bientôt !
Un vol qui ne donne pas spécialement envie de revoler sur AZ^^ Au moins les cabines étaient confortables et souvent peu remplies^^^
Belle approche sur Nice comme d'habitude,
A bientôt
Ça ne donne pas envie de revoler sur AZ et ça tombe bien ce n'est plus possible ;-) Comme tu le dis au moins les cabines étaient confortables.
On verra et on espère qu'ITA fera mieux que son prédécesseur.
A bientôt !
Pourriez-vous scanner ma carte d'embarquement ALITALIA, supprimer les données privées et me les envoyer par
message à [email protected]
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