Tiens, un revenant !
Bonjour à toutes et à tous !
Après une (très) longue période d'absence sur ce site, suite à de (trop) nombreux soucis de santé pour moi puis mes proches qui m'ont éloigné des voyages et m'ont bouffé tout mon temps et mon énergie, me voilà de retour avec un petit FR sur mon premier vol chez Transavia !
Ces soucis n'étant pas tout à fait réglés, je ne peux qu'espérer que ce retour dans les airs et sur FR sera suivi de nombreux autres vols… En tout cas, ça me fait fortement plaisir de revenir par ici ! (C'était l'instant émotion, merci de faire semblant d'essuyer une larme)
Ceci étant dit, passons au pourquoi de ce trajet ! Si le racontage de vie ne vous passionne pas, je vous invite à passer au titre suivant !
Il était une fois l'histoire d'un routing…
Tout commençât en des temps heureux, avant le Covid… J'avais en effet réservé plusieurs vols chez Volotea pour essayer de voler à bord de leurs Boeing 717 avant qu'ils ne soient retirés de la flotte. Une fois la crise venue, tous ces vols ont bien évidemment été annulés, et je me suis retrouvé avec pas mal d'avoirs, que Volotea majorait de 20%, pour que les voyageurs ne demandent pas de coûteux remboursements.
Depuis 2020, j'ai tenté à de multiples reprises de réserver d'autres vols, mais la compagnie low-cost espagnole a une très fâcheuse tendance à annuler ses vols quand ils ne sont pas assez pleins, ce qui m'est arrivé beaucoup de fois. Je me suis donc retrouvé avec une avoinée d'avoirs, à chaque fois majorés de 20%, ce qui finit par faire une coquette somme.
Bref, fin 2021, alors que mes soucis persos continuaient de s'accumuler, je décidai de chercher où utiliser ces fameux avoirs (et d'écrire au passé simple parce que pourquoi pas ?), histoire de ne pas perdre une fortune désormais considérable (certes en avoir Volotea…).
Et quoi de mieux pour se changer les idées que de partir sur une île déserte, loin de tout ? Volotea ne desservant malheureusement pas d'île déserte, je me suis contenté d'une île extrêmement fréquentée, mais à quasiment 3.000km de chez moi, Gran Canaria.
Pourquoi ce choix ? C'est assez simple : un tarif pas cher, et un horaire de vol très adapté, avec un départ le samedi à 6h du matin, ce qui permet de profiter du week-end quasiment en entier…
Pour le retour, comme je dois être à Paris le mercredi suivant pour le travail, je cherche un vol le mardi. Transavia effectue un direct sur Paris Orly en fin de matinée, pour un tarif raisonnable de 75€ avec le Tarif Plus, qui comprend un bagage en soute et surtout, un gain de Miles (375) et d'XP Flying Blue (5). Je rajouterai 6€ pour avoir l'embarquement prioritaire et le bagage cabine garanti à bord.
C'est parfait pour moi, et je pars sur ça ! J'aurais donc l'occasion de découvrir Volotea, Transavia, et l'aéroport de LPA, tout cela en un seul voyage, voilà qui est un beau tir groupé pour un avgeek !
Enchainement de vols
- 1V72734 - Économique - Lyon → Gran Canaria - Airbus A319
- 2TO3221 - Économique - Gran Canaria → Paris Orly - Boeing 737-800
J'ai réalisé l'enregistrement en ligne la veille, mais impossible de choisir un siège en issue côté hublot, l'application comme le site web Transavia plantent systématiquement. Et je n'ai guère envie de passer 4 heures de vol dans une rangée classique, après avoir lu quelques Flight Reports, la place pour les jambes y semble en effet assez limitée… Je reste donc pour le moment avec mon siège 9F choisi lors de la réservation.
Le trajet aller résumé en une photo
Vu l'horaire ultra matinal du vol aller (6h du matin), pas de report, j'ai privilégié le repos et la détente (sachez qu'on dort très bien au siège 1A des A319 Volotea, la place pour les jambes est très appréciable !). Voilà tout de même une photo de EC-MTN, l'appareil qui m'aura amené jusqu'à Gran Canaria depuis Lyon. C'est d'ailleurs le seul appareil Volotea basé à Lyon actuellement, il y avait donc peu de suspens sur l'appareil dans lequel j'allais m'envoler.
Ma première expérience avec Volotea restera mitigée : si le confort est bon et l'équipage souriant, l'enregistrement à l'aéroport est chaotique. Avec la politique forçant les passagers à enregistrer leur bagage cabine en soute (sauf les passagers prioritaires), 95% des passagers passent par le comptoir d'enregistrement, et il n'y en a que deux d'ouverts, alors que le vol est prévu complet. Certains passagers attendront une heure pour déposer leur bagage, et devront courir pour avoir le vol… L'expérience au sol n'est donc pas très optimale.

Bon, comment on écrit un Flight Report déjà…
Après donc 3 jours fort agréables loin de toutes les préoccupations du quotidien, il est temps de prendre la route de l'aéroport… Avant, un dernier coup d'œil à la plage de Las Canteras à Las Palmas, depuis ma chambre d'hôtel… Le temps est un peu couvert, mais les montagnes illuminées au fond laissent espérer que ça se dégagera rapidement.

Petit coup d'œil à Flightradar pour vérifier si le vol aller depuis Orly est à l'heure : c'est quasiment le cas, il est parti avec un petit quart d'heure de retard du bloc, et vient tout juste de prendre son envol pour un périple de 3h40.

Direction la gare routière de Santa Catalina, à une quinzaine de minutes à pied de mon logement. C'est plutôt calme, il n'est que 8h du matin.

L'autocar 60 est un moyen bon marché (3€) et rapide de rallier l'aéroport depuis la capitale des Canaries, en seulement une demi-heure… Enfin, une fois que le car est là, puisqu'il partira ce matin avec 27 minutes de retard. Mieux vaut prévoir une petite marge !

A 9h23, me voilà devant le FIDS à l'aéroport, mon vol est indiqué à l'heure, et l'enregistrement se fera aux comptoirs 314 à 316. Notons que le FIDS est en allemand, il défile également en anglais et en espagnol. L'aéroport s'adapte aux origines de ses voyageurs !

Les comptoirs sont sur ma droite, allons-y donc ! L'aéroport est plutôt calme en cette heure matinale, malgré un nombre de vols tout à fait correct. Il est tout en longueur, ça fait les mollets quand on doit se rendre à l'autre bout de l'aérogare :)

Ca se ressent d'ailleurs au niveau du PIF, une seule ligne est ouverte et il n'y a pour autant pas la queue.

Me voilà arrivé aux comptoirs. C'est assez confus, il n'y a pas de rangs délimitées, c'est comme au supermarché, on choisit la file au hasard et on se retrouve dans la moins rapide. De plus, le comptoir 314 est caché derrière le pilier, et la queue est décalée sur la gauche, se confondant avec la queue du comptoir 313… Qui est dédié au vol SN pour Bruxelles. Ce qui occasionnera quelques malentendus.
Aux comptoirs, la file avance très lentement, les agentes au comptoirs demandent en effet l'attestation sur l'honneur que l'on accepte de se faire tester à l'arrivée en France, attestation qui n'est plus indiquée sur les sites gouvernementaux, et que donc aucun passager n'a remplie. Ca prend donc un certain temps…
Au bout de 30 minutes, c'est enfin mon tour. Ma valise part en soute, et je demande à l'agente si je peux changer de siège pour une issue. Elle répond par l'affirmative, mais il ne reste que des sièges au couloir. Ca me va, je préfère avoir de la place pour mes jambes plutôt qu'un hublot pour un vol de 4 heures. Et surprise : elle ne me demande aucun supplément ! Merci donc au bug de l'application Transavia !

Après ces passionnantes péripéties, je me dirige vers le PIF, qui est à peine plus fréquenté que lors de mon arrivée. Le personnel y est aimable (le fait que j'ai déjà tout préparé au lieu de déballer toute ma valise sur le tapis joue sans doute beaucoup !), et je passe l'obstacle en quelques minutes.

Je passerai plus de temps au duty-free, pour acheter quelques alcools et mets canariens, ainsi que des cigarettes pour toute la famille (fumer est mauvais pour la santé, mais quitte à ce qu'ils le fassent, autant que ce soit avec des paquets à 2€80…). Bon, par contre je pensais naïvement que l'on avait droit à 4 cartouches… Mais non, c'est seulement 1 par personne. On va croiser les doigts pour passer inaperçu auprès des douaniers en France !

A gauche en sortant du duty-free, l'escalier menant au salon de l'aéroport, auquel je n'ai sans doute pas accès avec un billet Transavia…

Petit passage aux sanitaires, qui sont très propres, comme tout l'aéroport d'ailleurs. A la sortie, je passe devant le stand des magasins de victuailles, bien achalandés, mais je fais l'impasse. Je me réserve pour le BoB !

Une vaste zone de places assises est d'ailleurs dédiée à la restauration.

Je me dirige vers les baies vitrées, un ATR72 de Binter est parqué, aux côtés d'un A320 Vueling.

De l'autre côté de la passerelle d'embarquement, un 737-800 de Ryanair, sous immatriculation de sa filiale Malta Air, qui s'apprête à partir pour Memmingen en Allemagne. A ses côtés, un A320 de Brussels Airlines, OO-SNF avec sa livrée Tomorrowland…

Juste à côté se trouve la porte C16 d'où partira mon vol. C'est pour le moment assez calme…

… Mais ça ne durera pas : Une dizaine de minutes plus tard, à 11h, il y a déjà une file assez conséquente, alors que l'embarquement n'est censé commencer que dans 15 minutes, et que l'appareil est, dans les faits, toujours en vol.

Je préfère aller m'asseoir, d'autant plus que je bénéficie normalement de l'embarquement prioritaire. Pour faire passer le temps, une petite photo des documents du voyage. Le billet est d'un papier bien épais, parfait pour ma collection !
Notons la mention, en bas à gauche, "CLUG", qui est bien obscure. Il s'agit de l'abréviation de "Cabin Luggage", qui garantit que mon bagage cabine ne finira pas en soute, et que je dispose de l'embarquement prioritaire. Pas des plus clairs…

A 11h11, le 737-800 Transavia en provenance de Paris atterrit ! (Juste au-dessus de la passerelle)

Pendant que j'attends qu'il arrive en porte, un hélicoptère de l'armée se pose derrière les pistes. L'aéroport accueille en effet également une base militaire.

Une voiture follow-me (systématiquement utilisée à l'aéroport de Las Palmas) arrive…

… Suivie du Boeing du jour ! Il s'agit de F-GZHI, livré neuf à Transavia France en 2013. Il a fait au cours de sa carrière la plupart de ses hivers pour le compte d'Air Transat et d'Aeromexico. Depuis le Covid, il est resté sous les couleurs de Transavia.

PNC, dernier virage !

L'appareil s'arrête très précisément sur le point d'arrêt des 737.

La passerelle est connectée, tandis que le vol Ryanair pour Memmingen repousse. A côté de moi, une toute petite fille demande à son Papa "Pourquoi on prend pas l'avion bleu, il est plus joli que le vert !". Je suis d'accord avec elle sur l'aspect visuel, mais je préfère voyager chez TO que chez FR !
Derrière, un autre appareil Ryanair arrive, en provenance d'Edinburgh.

A peine l'appareil connecté, le crabe vient déjà se mettre en place !

20 minutes après l'arrivée en porte, l'embarquement est lancé, avec 25mn de retard. Certains passagers auront donc attendu debout près de 45 minutes. Pas d'annonce au micro, le préposé à l'embarquement se contente de crier "Priority passengers and CLUG first !" avec un très fort accent espagnol. Heureusement que j'étais assis à proximité, sinon je n'aurais pas remarqué que l'embarquement commençait, et encore moins cet appel pour l'embarquement prioritaire…
Me voilà donc dans la passerelle aveugle (et équipée d'une climatisation, bien que ça ne soit pas nécessaire avec les 20 petits degrés qu'il fait).

Instant demie-porte (oui, je suis rouillé).

La carlingue nous souhaite la bienvenue en diverses langues… L'équipage le fera en français, mais avec le sourire !

Je me dirige aussitôt vers mon siège, le 15D, où une hôtesse tout aussi aimable accueille les passagers. La vue depuis le siège…

… Et depuis le hublot ! Au fond, deux ATR72 de Binter, et tout à droite, un ERJ195-E2 de cette même compagnie, qui fut la première compagnie européenne à recevoir ce type d'appareil.

La vue sur le triplet gauche, pour l'instant inoccupé. Notons l'absence d'accoudoirs côté hublot, seul un petit repose poignet est présent.

Forcément, le pitch est royal… Je ne regrette définitivement pas mon choix quand je vois le maigre espace des sièges de devant, j'aurais eu du mal à trouver une position confortable pour mes 1m85 pendant 4h.

La cabine est équipée du fameux Sky Interior, avec son mood lighting orangé, ses larges coffres à bagages, et d'immondes sièges verts (désolé pour ce jugement un peu abrupt, mais j'ai vraiment du mal avec ce colori).

L'issue de secours, et le plafonnier qui, bien que rénové, affiche toujours l'interdiction de fumer plutôt que la plus contemporaine interdiction d'utiliser des équipements électroniques.

Pendant ce temps, l'embarquement s'éternise, puisqu'un groupe de passagers déménage la moitié des coffres à bagages pour pouvoir ranger leur valise à eux au-dessus de leurs sièges, bloquant l'allée, et provoquant l'ire des passagers dont les bagages ont été déplacés… Les hôtesses tentent tant bien que mal de recadrer les sans-gênes, mais ceux-ci recommencent leur manège dès qu'elles ont le dos tourné.
Profitons en pour jeter un œil à la notice de sécurité de ce Boeing 737-800, qui est dans un original format carré.

… Et son verso.
Peu après, le couple qui me servira de voisins vient s'installer à côté de moi, et l'hôtesse en profite pour nous expliquer les consignes aux issues, consignes qui sont très détaillées, chose que j'apprécie particulièrement (on espère tous ne pas avoir à appliquer cela, mais dans le doute, autant avoir toutes les informations pour le faire…).

Après un interminable embarquement de quasiment 40 minutes, nous repoussons enfin avec 30 minutes de retard, après une très sympathique prise de parole du commandant de bord, nous annonçant "La fin des vacances, un vol de 3h27, et une météo identique à l'arrivée, mais avec 10° de moins"
Décollage à 12h23, j'apercevrai vaguement Ténérife avant de passer au-dessus des nuages. La perte du hublot n'est donc pas trop dommageable.
Je profite de la montée pour consulter le menu du BoB de Transavia, qui a des propositions intéressantes pour un tarif correct, notamment ce menu à partir de 9€ "Entrée + Plat/Plat + Dessert, + boisson".


Pour composer le menu, on a le choix dans tous ces plats, snacks et boissons…


Une fois le menu compulsé, je passe à une lecture un peu plus passionnante (mais moins appétissante) pour m'occuper en attendant le début du service.

Le service à bord commence finalement aux alentours de 13h, avec un succès certain vu les horaires du vol ! Quand il arrive finalement à ma hauteur, je me laisse tenter par les tapas végétariens… Que j'accompagne de 100g de petits saucissons. Avec le chocolat en supplément, le repas me revient à 13€50, plutôt raisonnable je trouve.

Après ce somptueux repas (bon, ne poussons pas, c'était pas mauvais plutôt), je me permets une petite sieste…
Je suis réveillé par le passage du chariot de la vente "Duty Free", je craque sur la flamme Transavia, que j'avais repéré sur le catalogue. Le passage de ce chariot aura bien moins de succès, un seul autre passager achètera quelque chose, du parfum.
Le dos dudit catalogue rappelle d'ailleurs les règles de port du masque, ainsi que quelques autres informations sur la lutte contre les virus.

Après ces achats et un peu de lecture, petit tour à l'arrière de la cabine pour racheter de quoi m'abreuver. Je dérangerai les hôtesses pendant leur repas, mais elles me serviront avec le sourire (je m'excuserai malgré tout). Leur repas ressemble à un tajine "Picard" accompagné d'une Danette, sans doute en référence à l'instant Danette si bien connu sur ce site.
Passage aux sanitaires qui sont nickels, et une vue d'ensemble de la cabine pendant le vol. Le mood lighting est passé au bleu pour le vol.

Alors que je retourne à ma place, de très fortes turbulences se font ressentir, j'aurais un peu de mal à atteindre mon siège. Ca ne durera pas, et ça ne m'empêchera pas de me rendormir… Je suis réveillé vers 16h15 (heure française) par la copilote qui nous annonce un début de descente, et un atterrissage prévu à Orly à 16h45, soit un retard globalement rattrapé.
La cabine est bien sage…

On approche par le sud, le ciel est plus dégagé que prévu. On touche le sol de la piste 06 à 16h47.

Alors que l'appareil roule encore, un passager se lève, suivi d'une bonne dizaine de moutons, qui récupèrent leurs bagages. Les hôtesses seront forcées de faire plusieurs annonces en haussant le ton pour que tout ce beau monde se rassoie. On arrive finalement au bloc à 16h53, 3 minutes de retard seulement, beau score vu la demi-heure au départ !
Aussitôt les moteurs coupés, un instant Danette d'une toute beauté, des gens qui se bousculent pour passer devant… Ne vous inquiétez pas, on va tous descendre messieurs dames !
Je descendrai tranquillement, et profite du soleil parisien pour tirer le portrait de l'appareil du jour sur le tarmac !

L'avion est parqué devant un petit satellite du terminal 3 que je ne connais pas, qui a l'air d'être utilisé exclusivement par Transavia. Des navettes bus nous attendent pour nous ramener au terminal.

Je m'installe juste derrière le cockpit du pilote ! Un 737 Transavia est en train de subir une maintenance de son réacteur gauche.

Et c'est parti pour une petite visite de l'aéroport ! Au passage, dernier coup d'œil à l'avion qui m'a ramené jusqu'ici, avec l'élévateur pour les passagers à mobilité réduite qui est en train de se mettre en place.

On visite l'envers du décor d'Orly…

Nous voilà face au récent Terminal 3 ! Le conducteur du bus prend la radio pour demander quel est la route à suivre pour nous amener à bon port… Serait-on bon pour un tour bonus de l'aéroport ?

Finalement non, nous arrivons à destination après une petite balade de 4 minutes.

On arrive très rapidement à la salle de livraison des bagages, où la livraison est prévue dans une dizaine de minutes…

L'occasion d'aller vérifier l'état des sanitaires ! C'est tout à fait propre !

Finalement, la livraison aura 4 minutes d'avance, et ma valise sera livrée en 3e position ! Je ne sais pas si mon tag FB Gold y est pour quoi que ce soit, j'en doute fort, mais dans le doute, je continuerai à le mettre…

Profitant du fait que les douaniers sont occupés à scanner les nombreux bagages d'une famille, je sors rapidement de la zone pour rejoindre le taxi qui m'amènera jusqu'à mon hôtel dans le 8e arrondissement !
Et c'est ici que nous nous quittons, sur la trace radar du vol.

A bientôt, je l'espère, pour de nouvelles aventures aériennes !
Merci pour ce FR très bien documenté. Welcome back, avec une bonne santé qu’on espère durable.
TO semble offrir une prestation de qualité, à des prix raisonnables.
Ah ces gens qui poireautent 45min debout à la porte alors que les places sont pourtant numérotées…
Ah ces gens qui se bousculent pour sortir, tout ça pour être les premiers…dans le paxbus! Jubilatoire :-)
Merci pour ton commentaire !
De mémoire, le tarif de base Transavia pour ce vol était à 35€, c'est effectivement je pense un bon rapport qualité/prix !
Autant je peux comprendre de faire la queue quelques minutes avant l'embarquement pour avoir son bagage dans les racks, mais 45 minutes...
Et la bousculade pour sortir alors que tout le monde finira dans le même paxbus, et qu'au pire, le 2e bus partira 3 minutes après, et qu'on attendra tous autour du tapis bagages... Les mystères de la vie !
A bientôt, au plaisir de lire tes FR (c'est ça l'avantage de partir pendant 2 ans de ce site, il y a plein de nouveaux reporters à découvrir :D )
Merci Robin pour ce report, content de te revoir ! J'espère que tout va s'arranger de ton côté.
Le récit est très bien écrit, c'est comme le vélo, on oublie pas :)
Ça me fait bien rire les gens qui commencent à attendre alors que l'avion est encore en vol... Et au débarquement c'est complètement stupide. Ils doivent penser que les valises sortiront plus vite si ils se lèvent dès que la piste est dégagée ?
Evidement un vol de cette durée en low cost c'est un peu raide... Mais avec une issue de secours c'est tout de suite mieux, surtout quand c'est gratuit.
A bientôt j'espère !
Merci Adrian pour le commentaire ! J'espère aussi que ça va aller, pour le moment les étoiles s'alignent pour que tout s'arrange, espérons que ça continue ^^
J'ai eu un peu de mal pour commencer l'écriture, mais au bout de quelques lignes, en effet, ça venait tout seul !
Ca fait partie des choses que j'ai du mal à saisir. Comme je disais plus haut, attendre un peu avant l'embarquement, pourquoi pas, mais là, vous voyez bien qu'il n'y a pas d'avion en porte ^^
Et à l'arrivée je dois avouer que c'était la première fois que je voyais des gens se lever alors que l'appareil est encore sur les taxiways... Impressionnant !
L'issue de secours gratuite était très appréciable, j'étais prêt à payer les 9€ demandés par Transavia à la base, mais je ne regrette pas d'avoir eu ce bug qui m'a fait cette petite économie, au final !
A bientôt :)
Merci Robin pour ce FR ! Ca fait plaisir de te revoir sur le site !
J'avais bien aimé Transavia en décembre 2020, rien d'exceptionnel mais le service est généralement bon et l'offre pas trop chère.
la joie des vols vacances ^^
Merci Jules pour ton message ! Très content de revenir ici aussi, et j'ai hâte de vous relire également :)
C'est un bon résumé de mon impression de Transavia, ça ne casse pas 3 pattes à un canard, mais avec un très bon service, ça rend le vol très agréable :)
Je voyage assez rarement dans les vols vacances (vu que mes destinations de prédilection sont en général à l'opposé de là où vont les gens ^^ ), c'était aussi une découverte, en quelque sorte :D
A bientôt :)
Merci Robin pour ce FR et ce retour.
La santé c'est ce que l'on a de plus précieux.
Les avoirs ce sont accumulés, une époque ou chaque trajet était quasi un exploit.
c'est comme au supermarché, on choisit la file au hasard et on se retrouve dans la moins rapide. => c'est fou, j'ai a chaque fois le même problème.^^
il y a déjà une file assez conséquente, => c'est un phénomène qui ne m'étonnes pas : comme c'est toujours une bataille pour avoir de la place dans les coffres à bagage.
"CLUG", => nouvelle abréviation tendance.
13,50€ c'est un prix raisonnable pour la quantité sur la tablette.
Je trouve que TO est une bonne LCC, mais je n'ai qu'une expérience d'un vol domestique bien vide.
A bientôt
Hello Valérie, et merci pour ton commentaire ! Ca fait plaisir de vous retrouver tous ici :)
J'ai fini par faire une liste des avoirs que j'avais chez les différentes compagnies pour m'y retrouver, j'en ai encore utilisé un chez Easyjet il y a quelques jours...
C'est pour cela que je trouve tellement plus pratique d'avoir une file d'attente unique, au moins, pas de jaloux, et pas de stratégie à établir pour choisir la bonne file ^^
En effet, le combat pour les coffres à bagages est parfois rude... La plupart des autres LCC ont réglé le problème en faisant payer les bagages cabine, Transavia résiste encore à cette mode, mais ça n'aide pas la fluidité de l'embarquement !
L'utilisation de cette abréviation restera un mystère pour moi, un petit "Priority" serait tellement plus simple.
En plus, même si ça n'a pas l'air sur la photo, les mini-saucissons étaient en bonne quantité (et bonne qualité), j'ai eu du mal à les finir !
TO m'a laissé une bonne impression, la compagnie n'a pas encore cédé au bagage cabine payant, et l'équipage semblait heureux d'être là... C'est toujours plaisant, surtout pour des vols vacances :)
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR retour (à tous les sens du terme) et meilleurs vœux de rétablissement.
Ne seraient-ce les instants pré-vol très désagréable, qui trainent en longueur, l'absence de salon, le vol en lui-même n'est pas mal, surtout en issue de secours. Et le BoB n'est pas scandaleux.
Dommage qu'il n'y ait pas de priorité pours le pax FB Elite+.
Un récit joliment narré, tu n'as pas perdu la main.
A bientôt !
Merci pour ton commentaire et ton soutien Franck :)
Effectivement, le vol avec la place en issue a été nettement plus relaxant que le passage dans l'aéroport, pour le moins "longuet" par moment. Le BoB permet de s'occuper pendant le vol, et je pense que le tarif n'est pas beaucoup plus cher que dans les boutiques airside...
La priorité (sans avoir à la payer) auraient en effet été la bienvenue, mais bon, sur une low-cost, je suis déjà content d'avoir pu cumuler Miles et surtout XP !
Content de ne pas avoir perdu en qualité de narration :D
A bientôt :)
Merci de ton récit ! Un vol globalement confortable qui confirme les points forts de Transavia avec ses équipages et son offre de BOB. Je partage ton avis sur l'absence de prises USB et dans une moindre mesure de wifi : c'est aujourd'hui un réel manque par rapport à d'autres compagnies et génant sur les vols longs.
Merci pour ton commentaire !
C'est en effet dommage que TO n'investisse pas pour ajouter un peu de modernité dans les équipements aux voyageurs... Sur ces vols de plus de 4h bloc à bloc, presque 5h sur Tel Aviv, ça ne serait vraiment pas du luxe.
A moins que ça ne soit une stratégie diabolique pour pousser à la consommation au BoB, je me suis laissé tenter en partie pour m'occuper pendant le vol ^^
A bientôt :)
Merci Robin pour le partage !
Ravi de te relire, j'espère que les ennuis de santé vont aller en s'améliorant et que nous aurons l'occasion de te relire plus souvent comme nous en avions l'habitude.
Non je te rassure, tu n'es pas plus rouillé que ça :)
Prends soin de toi et au plaisir de te relire très vite !
A bientôt !
Merci Stéphan pour ton commentaire :)
J'espère aussi, si tout va bien j'aurais de quoi publier d'autres récits d'ici quelques semaines !
Je suis juste un peu rouillé au niveau des photos, j'ai loupé quelques incontournables (à commencer par les sanitaires de l'avion !).
Merci encore, à bientôt !
Bonjour Robin et merci pour ce report, quel joie de te retrouver actif sur le site car c'est toujours un plaisir de lire tes récits. J'avais moi aussi été agréablement surpris lors de mon séjour à Tenerife destination au final très agréable et bon marché.
D'ailleurs l'aéroport de Las Palmas ressemble beaucoup au niveau des vues extérieur à celui de TFS.
Un des points fort de Transavia en plus des équipages semble le Bob qui dispose d'un bon rapport qualité prix par rapport à la concurrence.
Je te souhaite que tes soucis soit derrière toi, bon vols !
Hello Hugo :)
Merci pour ton message, ça me fait fort plaisir de lire ça !
Je m'attendais en effet à tomber sur une île entièrement "attrape-touristes", au final c'est bien loin de ça :)
Je devais découvrir aussi l'aéroport de Tenerife en début d'année mais je n'ai pas pu y aller... Ca sera pour une autre fois !
Le BoB est à des tarifs raisonnables, mais la qualité est là en effet, si les tapas n'ont rien d'exceptionnel, les chocolats ou les saucissons étaient vraiment bons et de qualité.
Merci ! A bientôt :) (J'ai "un peu" de retard dans ma lecture, mais j'essaierai de passer sur certains de tes reports !)
Salut Robin
Quelle bonne surprise de te revoir sur le site et à bord d'un avion !
En espérant que tes problèmes se règle au plus vite...
Il est clair que le siège situé aux issues offre un pitch excellent.
La carte payante est d'un bon rapport qualité prix, il fallait en profiter.
Le bagage a été livré rapidement, un exploit dans les aéroports parisien.
Merci pour le partage, et j'espère à bientôt !
Hello Hervé !
J'en suis très ravi aussi, et j'ai hâte de te relire d'ailleurs (ce qui ne saurait tarder, si je trouve 5 minutes dans ma journée de travail !) :)
Je pouvais d'autant plus me faire plaisir avec la carte payante que je n'avais pas payé ce fameux siège en issue, alors que c'était une dépense prévue ^^
J'ai été étonné de la livraison plutôt efficace à Orly en effet ! Alors qu'au contraire à l'aller, la livraison à LPA avait pris des plombes (une bonne demie-heure)...
Merci beaucoup pour ton commentaire, à bientôt :)