Je vous retrouve pour la suite de ce routing dubaïo-sud-africain.
Nous revenons au terminal 2E vers midi. Nous avons encore du temps avant notre vol pour Johannesburg, puisque celui-ci n'est prévu qu'à 21h15, mais nous avons un programme bien chargé pour l'après-midi ^^
Pour les étourdis qui auraient raté les deux premiers opus (ça peut arriver) avec les explications sur le routing, il n'est pas trop tard :
Enchainement de vols
- 1
- 2
L'arrivée à CDG
Reprenons donc notre récit à notre arrivée à la porte dédiée aux passagers la Première.

Nous sommes pris en charge par Julien.

Celui-ci nous indique que quelqu'un nous attend. Ce n'est autre que Sandrine, notre accompagnante de ce matin (cf. FR précédent), qui souhaitait nous dire au revoir avant de finir son service. Cette marque d'attention m'a touché et nous la remercions pour ses bons soins.

Nous ne nous attardons pas au vestibule, car nous disposons déjà de nos BP et nous n'avons pas de formalité particulière à remplir. J'aurais pourtant bien pris le temps de regarder les maquettes des appareils iconiques de l'histoire d'Air France.


C'est parti pour le nouveau parcours la Première, que je n'ai pas encore eu l'occasion d'emprunter.

Le rouge et la crevette sont bien évidemment omniprésents, dans l'hypothèse peu probable où nous nous perdrions.

Par une porte dérobée, nous débouchons derrière le vestibule sur un couloir dédié, marqué d'une ligne rouge reconnaissable.

C'est au bout à gauche.

Nous arrivons sur un PIF dédié la Première.

Les bannettes portent la mention idoine, même si a priori ce poste de filtrage est uniquement emprunté par des pax P. Comme au PIF du salon, le personnel est très avenant, c'est vraiment agréable.

La PAF sera également très rapide et il nous suffit ensuite de prendre l'ascenseur nous ramenant au salon. Moins de 15 minutes depuis notre arrivée à l'entrée du 2E, ce n'est pas si mal ;-)
Vous noterez qu'entre-temps Mathieu a trouvé le moyen de se faire porter son bagage.

Le salon la Première
Je ne vous refais pas faire le tour du salon, au besoin je vous renvoie à mon dernier FR.
Nous nous installons dans la salle au fond à droite, que je trouve plus intime. Comme je l'avais noté le matin même, les ronds ont remplacé les fibres.

Ce n'est pas tout ça, mais il est 12h30, une heure tout à fait honorable pour prendre l'apéritif, surtout en bonne compagnie. Le service est extrêmement prévenant et proactif, et ce sera du champagne rosé pour commencer les hostilités.

Trinquons à ce voyage !

Un assortiment de charcuterie en accompagnement sera parfait.

J'en profite pour vous présenter les documents de voyage. Le BP a été édité à DXB.

Puis il est temps de passer à table.

Voyons voir le menu du déjeuner. Celui-ci est issu du QR code récupéré sur place et non du menu présenté sur place (parfois, on songe plutôt à profiter du moment que de prendre des photos). Celui-ci est globalement identique, mais du fait d'un téléchargement plus récent on note quelques différences (ce qui montre d'ailleurs que la carte évolue régulièrement). De fait on y retrouve les grands classiques de la carte Ducasse du salon.

Quant à la carte des vins, celle-ci est intéressante. Notons 4 références de champagne dont 2 de rosé (je ne mentionne pas le champagne sans alcool), ainsi qu'un saké.

Du côté des vins, 3 choix de blanc et 4 de rouge. Le Chassagne Montrachet 2017 me fait de l'oeil, de même que l'Hermitage 2011 et le Trotte Vieille de la même année. Le Condrieu est le même que celui proposé en vol.
Enfin un Sauternes, avec une très belle référence en 2011 encore.
En somme une très belle cave donc.

Ce n'est pas encore l'heure des cocktails mais le choix est là, et je ne doute pas qu'il soit possible de demander un cocktail hors carte.

Après le champagne rosé, goûtons le blanc avec le Frèrejean, que je ne connais pas.

Qu'on est bien là… D'autant que comme ce matin, la fréquentation est encore très calme.

Le champagne sera parfait pour accompagner le foie gras, excellent avec sa sauce.

Ceux qui ont lu le FR précédent se souvienne sans doute que la desserte m'avait intrigué. Ce n'est donc pas sans curiosité que j'ai choisi la volaille. Le serveur amène donc tout le nécessaire en face de notre table.

Et procède devant moi à la découpe, me demandant bien sûr quel morceau je préfère.

Voici donc la volaille fermière contisée d'olives noires. C'est absolument délicieux, la cuisson est parfaite, avec une viande tendre et pas trop sèche.

Pour accompagner ce plat, j'hésitais entre le Trotte Vieille et le Tain, c'est finalement le dernier qui l'a emporté. Mon seul regret aura été de n'avoir plus assez faim pour pouvoir goûter le premier avec du fromage ;-)

Pour conclure cet excellent déjeuner, je fais l'impasse sur l'indémodable autant que délicieux baba au rhum et opte pour le tatin façon Ducasse. Je ne suis pas déçu, c'est très bon mais la quantité mériterait d'être réduite tant elle était généreuse.

Je ne pouvais prendre autre chose que ce Haut-Peyraguey 2011 pour l'accompagner. Un véritable nectar, qui vient confirmer la très bonne tenue de la cave.

Un expresso viendra conclure ce repas.

Mon comparse m'aura quitté de bonne heure pour son soin Sisley, et c'est ensuite à mon tour d'être invité pour celui-ci.

Le soin avait préalablement été réservé via la ligne la Première. Il ne fallait d'ailleurs pas trop tarder, car il y a peu de créneaux disponibles. En effet, Sisley prévoit des créneaux plus larges qu'auparavant, dans l'hypothèse où un client choisirait un soin payant, plus long.

Pour ma part, j'ai opté pour le soin du visage classique. A mon grand regret il n'y a plus de massage dans l'offre "de base", il faut pour cela choisir dans les options complémentaires.

A mon retour, je retrouve Opoman en plein effort, en fervent supporter de l'équipe de France de rugby. C'est en effet le dernier match du tournoi des Six Nations, contre les Gallois. L'espace aura été préalablement réservé à cet effet.

Nos encouragements ne dérangent pas grand monde, car en ce début d'après-midi, nous sommes absolument tous seuls au salon, ce qui ne laisse pas de me surprendre.


Il fait beau dehors et le salon est baigné de lumière (enfin, autant que le grillage le permette). Quel dommage que cette vue soit si vilaine.

C'est Khan, le majordome responsable de la restauration (équipe Ducasse donc non AF) qui s'occupera de nous cet après-midi. Je commande un expresso et j'essaie les différentes eaux minérales proposées. Ici une eau britannique.

A côté de moi, on est passé aux choses sérieuses…

Par solidarité, je demande à Khan un Negroni by Alain Ducasse.

Levons notre verre à la large victoire des Bleus.

Alain Ducasse est amateur de cuisine japonaise, et dans la bibliothèque du salon (peu utilisée je crois) j'ai trouvé ce livre de recette très intéressant et fort bien illustré.

Entre temps, une autre passagère est arrivée au salon. J'ai toujours été étonné par les gens qui mettaient leurs chaussures sur les canapés, à croire qu'il font la même chose chez eux. Bon, j'aurais été mal inspiré d'aller faire mon redresseur de torts, car il s'agit de notre co-pax sur notre pour JNB…

Je décide ensuite d'aller me dégourdir les jambes dans le terminal.

Ce bar à sushi n'est pas sans me rappeler mon voyage au Japon (allez, un peu de pub pour mes FR ici, ici, ici et là ;-).

Ah mais tiens donc !

Les portes K ne sont pas mes préférées, mais l'architecture du terminal est intéressante.

Par contre le spotting n'est pas facile… Ici KQ en 787.

Ou encore KE en 777. Dommage qu'il n'y ait plus d'A380 (quelques vols sont toutefois prévus fin juin).

JL opère aussi au 2E, du fait de son partenariat historique avec AF.

De retour au salon, une bonne surprise m'attend. Depuis le début du voyage, j'avais demandé une pochette la Première, mais figurez-vous qu'il y avait rupture de stock. Y compris au vestibule et au salon la Première. Un comble, non ? Heureusement le responsable du salon aura réussi à m'en dégoter une, il m'en faut peu pour être comblé :-)

Le temps passe agréablement et le soleil se couche sur CDG. Malgré les nuages, la lumière est belle.

C'est le moment que nous choisissons pour enfin essayer ce bar qui ne voit jamais personne s'y attarder. Nous suivrons d'un oeil le dernier match du tournoi avec Irlande - Angleterre.

Voici donc toute la gamme de whisky Johnnie Walker, a priori pas ma marque préférée, mais bon, goûtons…



Khan se fera un plaisir de nous faire déguster le Blue Label. Pour ceux qui le souhaitent, il y a une carte des whisky disponible via un QR code, avec quelques références honorables (comme ce Glenlivet par exemple).

Julien, notre accompagnateur, viendra nous trouver et nous remettre un petit cadeau. C'est une sympathique attention ! Cette étiquette bagage en cuir sera d'ailleurs plus pratique que la précédente en métal, qui se tord facilement.

Le soir tombe et nous sommes toujours seuls (avec notre future co-pax). C'est assez surprenant, est-ce le signe d'un remplissage faible pour les vols en P ?


On pourra dire que certains auront bien profité du bar ^^

L'heure tourne et toujours pas d'embarquement… Il faut dire que notre vol aura été annoncé avec du retard, qui ne fera qu'augmenter. Soit, profitons encore un peu de ce salon. A 21h, toujours pas d'embarquement en vue. Du coup nous décidons de prendre l'apéritif au salon.


Opoman a une petite fringale, mais je souhaite me réserver pour le repas en vol. J'en profite pour rédiger mon FR du Japon (hop, encore un peu de pub :-). Notez la bouteille de Marsannay que le serveur a laissé directement à table.

A partir de ce moment, l'information sera assez cafouilleuse. Nous n'aurons plus aucune nouvelle de notre vol et il faudra pratiquement alpaguer un agent pour savoir ce qu'il en est. Julien a en effet terminé son service et nous n'avons plus d'accompagnateur "attitré".
L'heure tourne et je commence à avoir faim, je cède donc aux sirènes de Ducasse et joue la facilité en commandant le plat signature, les fameuses coquillettes à la truffe. Un régal, comme d'habitude.

L'embarquement
Il faudra tout de même attendre 22h30 pour enfin avoir des nouvelles : ça y est, notre avion est prêt ! Il faut dire que l'appareil initialement prévu a eu un problème et qu'il a fallu en changer. Eh bien, après le CDG-DXB d'il y a deux jours, encore un changement !?
Allez, en piste pour rejoindre notre 777.

Notre berline nous attend.

C'est parti pour un nouveau tour de piste. Nous aurons fait l'un des premiers vols du matin de CDG et nous voici pour l'un des derniers à décoller.


Nous y voilà ! L'embarquement a déjà démarré. Voici donc notre appareil, F-GSQC un 777-300ER qui va sur sa majorité car il fête ses 18 ans en mai.

L'arrivée en berline sur le tarmac au pied de l'avion est tout de même un chouette moment.


Nous rejoignons le flux des passagers dans la passerelle, mais pas pour longtemps.

Comme toujours à CDG, les passagers la Première disposent en effet d'une passerelle dédiée.

On se sent tout de même privilégiés, dans une bulle.

à bord
J'ai beau avoir quitté cette cabine le matin même, elle fait plaisir à revoir.

Voici mon siège pour ce vol, en 1L. Opoman occupe l'autre siège hublot, nous misions sur une privatisation de la cabine, mais non ;-) Les menus sont déjà disposés à chaque place.

Nous sommes bien évidemment accueillis par Agnès, notre PNC pour ce vol.

Notre co-pax ne tarde pas à arriver et filera directement se mettre en pyjama. Elle sera particulièrement cordiale, c'est une Canadienne de Toronto, le contact passe tout de suite bien et l'ambiance en cabine est très détendue.

Elle le sera d'autant plus grâce aux bons soins de notre PNC.

Ah, que l'on est bien là !

Quand Agnès me demande quelle taille me conviendrait pour le pyjama, je lui indique que j'ai déjà celui du vol précédent, mais elle insiste en me proposant de le prendre pour quelqu'un d'autre. Soit, Madame sera ravie ;-)

Je subis une intrusion sur mon Opoman (OK, le jeu de mot est facile…). Comme sur le vol précédent, c'est du champagne Rare qui est proposé en ce moment en cabine la Première.

Le vol
Il faudra tout de même attendre 1 heure avant de repousser, soit à 23h40, avec près de deux heures et demie de retard. En Première, c'est tout de suite beaucoup moins gênant, mais cela fait tout de même beaucoup.

Les vidéos sont lancées sur les IFE (spoiler alert : ce sera la seule image que je verrai sur cet IFE).

Nous nous présentons en bout de piste et décollons à 23h50.

Bye bye CDG ! direction l'Afrique ^^

La cabine reste éteinte pendant le début de la montée.

Nous passons à travers les nuages. Nous sommes sans doute le dernier vol commercial au départ de CDG avant la pause nocturne.

La trousse de confort qui a été distribuée avec les produits Sisley est identique à celui du vol précédent. Agnès m'en a tout d'abord remis une blanche et je lui demande si je peux en avoir une rouge pour changer. La trousse tient parfaitement bien dans le rangement latéral.

Il est tard et nous souhaitons dîner rapidement. Pour plus d'intimité, je rejoins Mathieu à son siège, et notre voisine relève la paroi de séparation. La sensation d'espace est réellement là tout en garantissant à chacun un espace privatif. Sur le vol précédent c'est moi qui avais pris l'ottoman en face d'Opoman et, de nature généreuse, mon camarade m'offre donc son siège pour ce dîner.

Le service commence avec la distribution d'un oshibori.

Voyons voir le menu de ce soir. C'est un nouveau chef, d'origine italienne, qui officie ce soir au galley. J'ai bien évidemment potassé mon affaire et le teasing est plutôt alléchant.

Le menu est plus développé que sur le DXB-CDG, mais on aurait aimé plus de choix d'entrées. Je note qu'agneau et homard sont à l'honneur comme sur le vol précédent.

Nous commençons comme il se doit par le caviar. Les accompagnements tels que le citron et la crème (toute bonne soit-elle) restent pour moi sacrilège pour vraiment profiter de la finesse du caviar. Comme il se doit, c'est à la cuillère en nacre que nous le dégustons.

Le service continue avec l'éventail d'asperges façon ravigote. Je me suis régalé, c'était vraiment délicieux. Une réussite.

C'est le Condrieu qui accompagnera ce plat.

Pour le pain, nous avons changé de PNC…

Pour le plat, j'hésitais entre deux d'entre eux et du coup Agnès me suggère de les prendre tous les deux puisque ceux-ci sont disponibles; Belle attention qui me permettra de découvrir d'abord le homard, vinaigrette aux agrumes (vous noterez que les intitulés sont pour le moins sobres). Un régal !

Puis la roulade d'agneau, confit pistache kumquat, condiments verts. Surprenant, mais très intéressant. Dans tous ces plats on sent l'influence méditerranéenne du chef avec les saveurs acidulées des agrumes.

Sur les conseils d'Agnès, j'essaierai le vin du Languedoc, mais quoique correct je regrette ce choix, ayant plutôt dû prendre le Trotte Vieille.

Tout cela est néanmoins délicieux, et le service à la cloche ne manque pas de panache.

Repu, je fais l'impasse sur la salade composée (une belle offre au demeurant spécifique à AF) et le fromage et passe directement au dessert d'Angela Musa avec le 100% vanille. Là aussi une réussite.

Quoi de mieux que ce Sauternes 2009 pour l'accompagner ? Après le Clos Haut-Peyraguey du salon, AF nous gâte avec ce Château la Tour Blanche.

Pour clore cet excellent dîner, nous finirons avec un digestif : ce sera une chartreuse pour moi, un alcool ancien que je trouve intéressant et qui n'est guère proposé en vol que sur Air France. Santé l'ami !

Tous les verres sont sérigraphiés aux emblèmes de la Première. On adore !

Il est tard, nous avons bien mangé et bien bu, la nuit précédente n'a pas été bien longue et il est grand temps d'aller se reposer. Je pars aux lieux d'aisance faire un brin de toilette et enfiler le vêtement de confort, et entre temps Agnès aura préparé mon lit. Sa prévenance aura pourvu à mon hydratation avec une bouteille d'eau. Contrairement aux vols DXB-CDG, c'est elle qui aura assuré le service de bout en bout, ce qui est à la fois plus logique et plus agréable.

Je m'installe confortablement dans mon espace privatif.

Vous vous souvenez de la vidéo de sécurité qui était la première et la dernière que je verrai sur cet écran ? Eh bien en fait celui-ci a résolument décidé à partir de ce moment de ne plus fonctionner, en restant bloqué sur la page d'accueil du choix de langue. Agnès tente de rebooter le système à plusieurs reprises, rien n'y fait. Vu ma fatigue, ce n'est pas bien grave, mais les commandes de siège seront galère, il sera impossible de contrôler l'éclairage.
J'arrive tant bien que mal à éteindre toutes les lumières, pour une nuit de 6 heures où je dors comme un bébé. Il faut dire que l'on dort très bien dans ce lit.
Au petit matin, je file aux toilettes pour me débarbouiller. L'espace n'est pas très grand, ce n'est pas forcément très pratique pour se changer, il vaut mieux le faire dans la suite avec les rideaux tirés qui est plus spacieuse. Il y a quelques éléments de confort distinctifs de la Première, mais ce n'est pas non plus extravagant.

Les produits de beauté Sisley sont bien là, mais ce sont des crèmes et je n'ai pas forcément envie de ça au réveil. J'ai presque envie d'aller aux toilettes de la J pour me rafraîchir avec l'eau dynamisante Clarins.

De passage au galley, je vois qu'Agnès a tout préparé pour le petit déjeuner.

Nous survolons à ce moment-là à l'est de l'Angola et il nous reste encore un peu plus de 2 heures de vol.


Non, mon IFE ne s'est pas mis à fonctionner miraculeusement, j'ai simplement changé de siège pour le 1D. Celui-ci n'est pas forcément mieux loti que le mien, avec de nombreux boutons indiqués comme inopérants. J'espère que ce siège n'était pas commercialisé…

Côté divertissement, voyons voir le fonctionnement du wifi. Intéressant de voir la zone de couverture. A moins de voyager dans le sud de l'océan Indien (ou peut-être aussi dans le Pacifique), on peut dire que la couverture est efficace. Rappelons qu'en Première le wifi est gratuit et illimité, mais je ne m'en servirai pratiquement pas. On a toujours le temps d'être connecté au sol, alors autant profiter de ce vol.

Je profite que l'IFE du 1D fonctionne pour regarder un film. Agnès me propose un café, que j'accepte, accompagné d'un jus d'orange.

Une fois mon film terminé, je retourne à ma place. En chemin, je croise le CdB au galley. Plus tôt je m'étais ingénument étonné auprès d'Agnès que celui-ci ne soit pas venu nous saluer au début du vol et celle-ci a dû faire passer le message car il s'est senti obligé de se justifier, en m'expliquant qu'avec le changement d'appareil et les vérifications qui en découlaient il avait été totalement accaparé…
J'en profite pour demander à Agnès un autre café, allongé cette fois-ci. J'arrive à faire fonctionner les rideaux des hublots pour tamiser la lumière.

Puis vient l'heure du petit déjeuner. La table est dressée, celle-ci est vraiment spacieuse.

D'ordinaire je ne suis pas très petit déjeuner, mais là c'est le grand jeu : panière de viennoiseries…

Fromage blanc et fruits frais accompagnent ananas, compotée pomme rhubarbe, pommes sautées au beurre.

Et pain perdu aux myrtilles, sauce pâtissière au mascarpone. Je n'ai pas pour habituer de beaucoup manger au petit déjeuner, mais j'ai trouvé ça très bon.


Nous survolons l'immensité africaine, avec ici la rivière Ngotwane au Botswana.

N'oublions pas que l'Afrique du Sud est l'un des tous premiers producteurs mondiaux de minerais, et en particulier de platine, comme ici près du Pilanesberg (où nous nous rendrons d'ailleurs quelques heures plus tard).

L'atterrissage est désormais proche et il est temps de débarrasser la table et de se préparer pour l'atterrissage.

La savane laisse la place à la banlieue de Jo'burg.


Je profite de mon espace de vie pour ces dernières minutes de vol.

#?!% d'écran qui n'a pas voulu fonctionner pendant tout le vol…

Nous atterrissons sans encombre à JNB.
Pendant le roulage, j'avise un improbable B727-200 de la compagnie congolaise Serve Air Cargo…

Les majors européennes ne lésinent pas sur JNB : sur le tarmac nous trouvons un superbe 747-8i de LH et rien moins que 2 A380 de BA. A côté, l'Embraer d'Air Link semble bien chétif.

Du sérieux aussi de ce côté avec un 777 d'EK, un 787 VS et un 777 de QR.

Après les salutations d'usage avec notre PNC, il est temps de débarquer. Un dernier regard à cette suite.

Nous arrivons au final avec deux heures de retard, sans avoir pu rattraper celui-ci, mais cela n'a pas été pour me déplaire à vrai dire ;-)
L'arrivée à JNB
Nous sommes attendus par deux escortes, l'une pour la Canadienne et l'autre pour nous sans doute, mais nous "mutualiserons" le trajet. Vous noterez que là encore Opoman a trouvé le moyen de se faire porter sa valise.

Merci à F-GSQC de nous avoir menés à bon port au pied levé.

Les deux escortes étant entièrement dédiés à notre ami Opoman, celui-ci peut bien avoir les mains dans les poches ^^

Le cheminement n'est pas bien compliqué, mais nous suivons nos guide sans nous poser de questions. Sauf que nos 2 amis sud-africains marchent d'un bon pas et qu'il n'est pas facile de s'arrêter pour spotter les gros porteurs au contact. Ici Swiss et El Al.

Ou encore TK et KQ.

Nous arrivons aux contrôles de sûreté. Il n'existe pas de coupe-file pour les passagers First (comme à CDG par exemple) et nous devons faire la queue au fast track (il faut dire qu'on finit par s'habituer aux coupe-file avec la Première ;-).

Cette formalité prendra moins de 10 minutes. L'un des agents s'occupera de la Canadienne et le second de nous. N'ayant pas de bagages en soute à récupérer, nous traçons directement vers la sortie.

Nous arrivons dans le grand hall de JNB, que je découvre.

Direction le loueur vert. Notre escorte nous accompagnera jusqu'au comptoir et nous souhaitera un bon voyage.

Notons que peu après, nous verrons passer notre équipage, sous bonne escorte armée. Justifiée ou non, cette mesure rappelle que le contexte en Afrique du Sud, en plus particulièrement à Johannesbourg, peut appeler à la vigilance.
Merci de m'avoir lu, je vous retrouve très vite pour le retour qui aurait dû normalement se faire "classiquement" avec Air France (teasing…).
Bonus touristique
Cela n'a pas été facile, mais j'ai réussi à réserver un peu de place pour les photos du bonus, j'espère que vous apprécierez l'effort.
Même si l'objectif premier de ce voyage était de profiter de la Première d'Air France, nous souhaitions tout de même aussi profiter (un peu) de l'Afrique du Sud, en restant deux nuits sur place. Le Kruger nous tentait, mais celui-ci est loin de JNB et les vols intérieurs étaient hors de prix. Nous avons d'autant moins de regrets qu'avec le retard de notre vol, une correspondance aurait été tendue, voire ratée. Nous avons donc opté pour le parc du Pilanesberg, situé à moins de 3 heures de route au nord de JNB.
Moins que connu que le Kruger, le Pilanesberg est aussi moins fréquenté. Il est situé dans un ancien cratère, reconverti en réserve à la fin des années 70. Aujourd'hui, sur près de 600 km², s'ébattent plus de 7.000 animaux sauvages, dont les fameux Big 5.
Pour ce court séjour, nous avons choisi le Black Rhino Lodge. Celui-ci se trouve dans une petite réserve privée adjacente au Pilanesberg. L'esprit du lieu et la décoration mettent tout de suite dans l'ambiance, avec un plan d'eau juste à côté où les éléphants viennent boire la nuit.

Le lodge organise deux safaris par jour, inclus dans le prix de la chambre, l'un en fin de journée et l'autre à l'aube.
A peine arrivés, et nous voilà embarqués pour un premier safari. C'est une sacrée émotion de voir éléphants, rhinocéros, buffles, gnous et autres zèbres vaquer à leurs occupations, juste sous nos yeux, sans faire attention à nous, en plein liberté.

Ce n'est pas tous les jours qu'un rhinocéros blanc traverse nonchalamment la route sous vos yeux.

L'excursion matinale est plus difficile, car il faut se lever à 4h30. Par contre la sortie dans les grandes étendues du Pilanesberg au soleil levant est magnifique.

J'étais particulièrement content d'avoir réussi à repérer cette girafe ;-)

Une belle surprise en rentrant de notre dernier safari, avec ce troupeau de zèbres près d'un point d'eau.

A bientôt pour la suite !
Merci Stéphane de nous avoir fait partager cette superbe expérience de vol, presque parfait si l'IFE avait fonctionné.
Tant le salon que le vol proposent un produit exceptionnel.
Belle idée d'optimiser cette expérience avec un safari à l'arrivée.
A bientôt
Merci Patrick pour le commentaire.
Oui, ça aurait été frustrant de ne pas profiter un peu du pays avant de rentrer.
A bientôt !
Merci Stéphane pour ce magnifique FR, du rêve à revendre…
Le problème lorsque l’on voyage dans de telles conditions, c’est que l’on a envie de tout goûter, et personnellement et pour des raisons de santé, je ne pourrais plus ingurgiter ces victuailles autres divins breuvages.
Du salon en passant par le vol, c’est du très haut niveau.
Je note que JNB n’accorde toujours pas le privilège du coupe file aux pax F, j’avais poireauté beaucoup plus longtemps que toi dans la queue..
À bientôt !
Merci Hervé pour ce commentaire ;-)
Même sans problème de santé, tout goûter relève de l'impossible, je regrette pour ma part de n'avoir pas essayé le Trottevieille, et pourtant nous en avons passé du temps au salon.
Pour le coupe-file, je pense que cela dépend plus de la compagnie (et de ce qu'elle paie ou pas) que de l'aéroport. Là c'était assez rapide, mais pas très First.
A bientôt !
Merci pour ce report fort détaillé. C’est long à lire, mais qu’est-ce que ça donne envie. Merci pour ce travail de rédaction.
Sacré retard au départ et AF qui devait avoir du mal à communiquer sur l’importance de celui-ci. Mais l’attente au salon est agréable, ça passe plus vite.
La prestation à bord est de grande classe. On a envie d’être choyés ainsi.
Quel dommage que cet IFE ait planté en plein vol. Et les commandes du sièges ne sont pas si solides que ça ?
Je ne connaissais pas ce parc du Pilanesberg. C’est un bon coin à découvrir.
Merci Greg pour le commentaire.
Un FR représente toujours un peu de travail, mais c'est toujours un plaisir - et plus encore pour des vols comme ceux-ci.
Belle prestation globale, mais les commandes de sièges ne suivent pas, c'est dommage.
Le Pilanesberg est moins touristique et plus accessible que le Kruger, une bonne option quand on a peu de temps.
A bientôt.
Merci pour ce FR.
On a fait honneur aux Sauternes : je valide. ;)
Le Pilanesberg est un bon palliatif lorsque l’on manque de temps. Je m’étais aussi rabattu sur celui-ci pour cause d’agenda professionnel chargé en 2020.
A bientôt.
Merci Clément pour le commentaire.
Mon seul regret pour la cave : n'avoir pas goûté le Trottevieille, mais par contre j'ai bien profité des Sauternes ^^
J'ai bien aimé la faible fréquentation au Pilanesberg, et le cadre est magnifique.
A bientôt.
Merci pour le FR,
Evidemment la grande classe de A à Z, biberonné tout au long du parcours et du vol. La carte n'a pas trop souffert du COVID et même les vins sont d'une tout autre tenue qu'au FCT de FRA qui a changé de caterer (Käfer maintenant) et qui en a profiter pour transformer sa carte des vins en une succursale de chez Aldi.
L'assiette est pas mal, dans le style tant que cela ne tombe pas de l'assiette, on peut encore en mettre :-)
Pas de quoi casser 3 pattes à un vieux canard mais qui enlève un chouia de sérénité dans le processus où le passager F doit être "informé" de l'évolution de la situation (genre, l'avion est foutu et on vous rebooke sur du LH F en 748 pour déguster du pâté à la mangue)
Je plussoie le comm de Numéro_2.
Le Pilanesberg est parfait pour un très court séjour pour au moins s'en mettre plein les mirettes car même si le but du voyage est de profiter de la F, il est un peu frustrant de ne pouvoir jouir un peu plus de la destination (j'ai eu un petit doute que vous n'alliez à Sun City mais heureusement, non).
A bientôt
Fred
Merci Fred pour le commentaire.
Belle prestation, mais j'ai tout de même galéré avec les problèmes techniques. L'attente au salon est loin d'être insupportable, mais à la fin nous étions un peu dans l'expectative, ne sachant dans combien de temps nous devions partir. Pas un drame, mais pas agréable non plus.
La critique est dure, c'est si terrible que ça ?
Tu ne crois pas si bien dire...
Ce n'est pas vraiment le genre de la maison ^^
A bientôt.
Merci Stéphane pour ce FR et pour ce super bonus avec un excellente adresse. Une fois de plus, belle rédaction, ça se lit comme un livre, et chaque chapitre est un plaisir.
je suis tout à fait de ton avis. La subtilité des frangrances du caviar est assassinée par les accompagnements, encore plus quand il s'agit d'oignons. Et c'est dommage qu'il n'y ait plus que de l'élevage ... j'ai connu la belle époque du vrai caviar sauvage ... mmmmm
Merci pour le commentaire.
Ah, enfin quelqu'un qui partage mon avis sur le caviar ! Ce n'est pas si fréquent.
Pas eu la chance de goûter du caviar sauvage, il faut dire que la pauvre bête a un peu pâti de son succès...
Merci beaucoup Stéphane pour le partage et l'excellence de ce service proposé par Air France.
Le parcours sol est indéniablement le gros plus, tant au départ qu'à l'arrivée chez Air France, contrairement à ce que LX ou LH peuvent (aléatoirement) proposer ou non.
Le salon est top mais son remplissage avec juste vous trois est tout à fait étonnant et signe qu'Air France n'est pas attractive en First, du moins, pas ce jour là :) Quand je jette un oeil aux tarifs AF vs LX AF est toujours a un tarif totalement démentiel.
Dommage aussi pour le changement d'escorte et l'absence de renseignements, c'est le bémol du vol.
A bord c'est la perfection, si l'on exclu bien sûr les problèmes techniques mais ça c'est la vie.
Le bonus final est vraiment sympa, l'AFS me manque !
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
Le service au sol est effectivement le gros point fort d'AF. En revanche la vue et la chambre au salon F de ZRH sont de gros plus pour LX. Il y a du bon de chaque côté ;-)
Je suis aussi impressionné par les tarifs proposés en Première, on nous dit pourtant que les vols US sont pleins et que la demande est supérieure à l'offre. Pour Tokyo, on frôle les 15 k€ par personne. Merci les billets prime !
Oui, mais il y en a eu bcp, et au prix du billet justement, ce n'est pas normal je trouve.
A bientôt.
"Nous sommes pris en charge par Julien."=> je remarque que l'ami Mathieu a un pas très alerte. Soit il a bien récupéré de sa courte nuit à bord, soit il est très excité d'aborder ce second segment en La Première.
Le service au sol La Première à CDG a beaucoup évolué et je pense qu'on a là un produit complètement abouti grâce à ce parcours très exclusif qui nous tient comme dans une bulle très à l'écart de la foule qui peut être nombreuse à CDG.
Une question me taraude: tu t'es pesé avant et après ton voyage en La Première? (LOL)
Car à défaut de bien manger (et je ne peux que te donner entièrement raison), tu as aussi bien bien bu (LOL). Et là encore, je ne peux que te donner raison
Je n'ai pas encore écumé tous les salons First du monde mais je reste persuadé que la restauration à CDG demeure la meilleure au monde, et ce, sans être chauvin. C'est juste l'estomac qui parle
Penses-tu que, si tu avais voyagé seul, ton attente au lounge n'aurait pas été trop longue?
Je suis peu fan du mélange sucré-salé. Mais si tu dis que c'est bon et vu que c'est préparé par un chef 3*, je veux bien te croire et essayer.
"AF nous gâte avec ce Château la Tour Blanche."=> meilleur que le Tokaji?
Vos colosses sud-africains à l'arrivée à JNB me rappellent les nôtres quand on est partis de JNB.
"celui-ci peut bien avoir les mains dans les poches ^^"=> attention à ne pas prendre de bonnes habitudes (LOL)
Merci Stéphane
Merci Bernard pour le commentaire avisé ;-)
Sans doute les deux.
Je partage l'effet de bulle, ça fait drôle de retrouver la "foule" après. C'est un sentiment diffus mais particulièrement efficace (et agréable).
Pas besoin, je reste svelte et dynamique - j'avoue tout de même avoir fait maigre les jours précédents. De toute manière, nous avons privilégié la qualité à la quantité. La raison, mon cher, la raison...
Oui, très certainement. A 2 c'est forcément plus sympa de partager ça.
Je retrouve là ton ouverture d'esprit ^^
Sans nul doute possible. Ce qui ne m'empêche pas d'apprécier par ailleurs l'originalité du Tokaj.
A bientôt !
Salut Stephane et merci pour cette très belle suite. Beaux moments au salon avec une volaille qui m'a fait saliver et de beaux vins et autres alcool.
A bord service soigné avec une belle offre et bien sur une PNC parfaite ! Mathieu en PNC ça change est ça m'a bien fait rire . Sympa de discuter avec l'autre pax de la P.
Dommage en effet pour les différents problèmes techniques qui entachent un peu l'image d'un très beau produit assez unique. Vivement les nouvelles cabines P !
Merci Christophe pour le commentaire.
Mathieu en PNC, mais First of course ;-)
Comme tu le dis, vivement les nouvelles cabines P
A bientôt.
Merci Stéphane pour ce FR joliment rédigé.
L'après-midi au salon suffirait à me combler.
Un vol plein de plaisir et de suavité grâce à une PNC à la hauteur. Le catering est séduisant.
Est-ce lié au changement d'appareil mais les dysfonctionnements des éléments de la cabine sont gênants.
Ah les réserves sud-africaines ! que de beaux souvenirs !
A bientôt !
Merci Franck pour le commentaire.
Une après-midi au salon c'est vraiment bien pour en profiter. C'est d'ailleurs possible sans voler en P mais l'offre d'AF pour le service au sol est devenue affreusement chère (600 € par personne je crois) et extrêmement restrictive.
Je n'aurais pas dit mieux ^^
A bientôt ! (peut-être du côté de BVE ?)
Re Stéphane et merci pour la suite du voyage!
Bien vu pour le fil d'Ariane tout rouge, je ne l'avais pas repéré, c'est très bien fait!
Vu comment j'étais chargé, c'est normal! D'ailleurs laisser mes bagages aux accompagnants fut ma marque de fabrique du voyage :)
La table de Ducasse est toujours aussi bien tenue et fait très envie, tout comme la cave.
Le soin Sisley est un peu plus axé commercial que feu Biologique Recherche je trouve, et comme tu le soulignes, je trouve l'offre moins exhaustive.
J'ai particulièrement apprécié le match dans l'espace dédié, bien aidé en cela par les cocktails et amuse-bouche :)
En plus de la TV, la bibliothéque est une bonne idée qui permet d'occuper agréablement son temps.
Le retard perturbera quelque peu notre planning parfaitement anticipé :)
Même plaisir que toi à revoir cette cabine, même si ce n'est qu'en photo pour le moment.
La carte est ici aussi de belle tenue, et le chef Colagreco maitrise son affaire.
Encore une fois, un problème de siège/écran après un changement d'appareil, c'est trop!
Une superbe expérience de bout en bout et merci pour le bonus.
A très vite pour d'autres récits :)
Tu n'avais pas remarqué la ligne rouge ? avec ton sens aigu de l'observation, ça m'étonne !
D'accord avec toi.
Les Gallois ont bien dégusté aussi ^^
Millimétré même je dirais !
tu avais pourtant quelques appréhensions
J'ai hâte de lire ta version du voyage
A+
Merci Stéphane, je viens enfin de lire ce superbe opus. Les vols du soir en Première sont en voie de disparition d’où la fréquentation faible au salon.
A très bientôt pour j’espère d’autres vols sur cette cabine.
Merci Vincent pour le commentaire.
Certes, mais c'est resté très très calme toute la journée, d'où mon étonnement.
Je l'espère aussi ^^
A bientôt.
Merci de nouveau pour cette suite en P AF.
Quel superbe passage au salon, qu'elle était d'ailleurs l'intérêt de ressortir si ce n'est pour présenter le parcours La Première au départ de CDG?
De nouveau, une cabine fatiguée, cela inquiète un peu sur le produit "flagship".
Équipage et catering très convaincant, j'ai pu gouter (en petite portion) certains de ces plats et desserts.
Sympa le bonus et intéressant cette alternative proche de JNB.
à bientôt
Le parcours la Première est top et comme le dit Bernard qui a de l'expérience sur le sujet, c'est l'un des produits au sol le plus abouti en First.
Le catering du nouveau chef est très intéressant et m'a totalement convaincu.
A bientôt.