Bonjour à tous !
Je repars un peu dans le passé avec un routing sur Bordeaux datant de novembre dernier… Promis, c'est le dernier voyage à Bordeaux en retard que j'ai en stock !
Pour la construction du routing, c'est par là :
Un routing basé sur une déception
Ce voyage à Bordeaux n'était pas vraiment prévu…
En effet, début novembre, je devais aller au Liban, découvrir ce pays qui m'attire énormément, profitant de la présence d'un collègue de ma compagne là-bas qui devait nous faire visiter. Je devais partir un peu moins d'une semaine, ma compagne une dizaine de jours…
Malheureusement, arrêt de travail oblige, le voyage au Liban n'est plus trop d'actualité. Je me rabats donc sur un séjour à Bordeaux de quelques jours, du jeudi 3 au lundi 7 novembre.
Je ne m'embête pas au niveau des vols, surtout qu'Air France est encore aux tarifs planchers à l'aller et au retour en vols directs : 49€ l'aller, et le retour à 91€ en open-jaw BOD-LYS/LYS-CDG (le 2e segment étant prévu quelques semaines plus tard pour aller à Chicago).
A défaut de découvrir le patrimoine libanais, je retournerai donc approfondir mes connaissances sur Bordeaux et ses vins…
Voilà donc le routing, simple et efficace, tout en A321 :
Enchainement de vols
- 1AF1662 - Économique - Lyon → Bordeaux - Airbus A321
- 2AF1513 - Économique - Bordeaux → Lyon - Airbus A321
Sans trop y réfléchir, je sélectionne par habitude le premier rang de la cabine de cet A321.
Ca m'évite d'avoir à déranger mon éventuel voisin, le côté gauche est en plus totalement vide et les autres sièges ne sont pas réservables pour le moment… 01A ça sera donc !

Avec pas moins de 42 report sur cette ligne Lyon - Bordeaux, dont 39 sur AF/KLM, on peut déduire que les Lyonnais aiment visiblement aller à Bordeaux !
Bon, en fouinant un peu, j'ai constaté que seul un de ces récits est sur A321, une quasi exclusivité mondiale en avant-première donc !!! (J'en fais un peu trop je crois)
Ca sera pour ma part mon 6e Lyon > Bordeaux, et mon 15e passage sur la plateforme girondine. Et mon 31e vol sur A321. Et mon 97e vol sur Air France (maison mère). Et mon 247e vol tout court.
Et voilà, on y va ?
LYS sous la pluie
Après une matinée de… non travail, je pars prendre le Rhônexpress de 13h45. Comme d'habitude, il est ponctuel, et en plus pas trop rempli.

Arrivée à LYS, sous la charmante pluie automnale… Au fond, la navette Flixbus reliant Grenoble à l'aéroport.

A l'intérieur de cette belle gare, la majorité des passagers continue de filer vers le T2, malgré sa fermeture. Mais bon, avec la pluie, il y a une bonne raison à ça.

Pour ma part, considérant que je ne suis pas soluble dans l'eau, direction le chemin le plus court, via la passerelle de la gare.

Les deux hôtels au contact de LYS : Le NH à droite, et à gauche, au-dessus du cœur de l'aéroport (à la jonction du T2 et de l'ancien T1), le Moxy. Je n'ai pas encore testé ce dernier, il faudrait !

Et voilà le Terminal 1 ! Je crois que la voie routière de droite est en sens interdit. Mais ça manque de panneaux.

Bon, certes, j'aime bien la pluie, mais j'aime encore plus le salon. Direction l'intérieur donc…

Le FIDS, avec le vol Chalair pour Poitiers annulé, et un amusant "Vol Test Affichage" à 16h, affiché pour Lyon Bron.

Rapide passage au comptoir Sky Priority pour récupérer ma carte d'embarquement. La sympathique agente m'indique qu'il y a pour le moment 116 passagers prévus sur le vol. Sur un A321, on ne devrait pas être trop serrés !
Direction l'étage pour le PIF…

Juste avant le PIF, des bornes Air France, qui évitent d'avoir à redescendre si on arrive par l'ancien T1.

L'entrée du filtre sécurité, avec ses différents portiques : Biométrique (fermé), coupe-file, général et family.

Aucune attente pour passer, je suis airside 18 minutes après être descendu du Rhônexpress, c'est tout à fait correct.

Le duty-free, avec un stand "Diplomatico", très couleur locale !

Et la rotonde de LYS, toujours aussi resplendissante ! Et bien fréquentée.

Dehors, c'est toujours humide, avec un A320 Vueling qui attend patiemment ses passagers pour Barcelone.

Un peu plus loin, deux 737 pour Alger : Au choix, le -800 d'Air Algérie à gauche, ou un -300 d'ASL Airlines au centre.
Et sur la droite, caché derrière la passerelle, un Airbus Aer Lingus.

A côté de cette porte, un portique pour l'embarquement biométrique, un processus utilisé uniquement pour le moment par TAP et Air Corsica il me semble.

Découverte du salon en journée
Allez, direction le salon Confluence !

L'accueil est souriant, et le salon n'est pas trop rempli en ce début d'après-midi.

Le trou de hobbit déjà occupé, mais je m'y trouve une petite place quand même. Par contre, certains passagers se pensent à la maison et passent leur appel à haute voix, sans pression…

Direction le buffet, il fait faim ! Les boissons fraîches, les laitages, etc…

Et je découvre à ce moment là pour la première fois l'offre de journée au salon (même si je l'ai déjà reportée avant, comme je ne publie pas dans l'ordre…).
Des viennoiseries, des desserts et des macarons…

Du pain, l'offre chaude avec des falafels, des mini burgers et de la quiche.

Et ce qui ne change pas par rapport au matin, le fromage, la charcuterie, une salade de fruits et du fromage blanc.

Le vin, à l'époque, toujours du Chapoutier du Pays d'Oc. Pas fou, pas mauvais non plus…

Et voilà ma sélection du jour ! Moi, amateur de sucreries ? Qu'est-ce qui vous fait penser ça ?!
Sinon, je trouve l'offre pas vilaine (même si pas extra non plus), mieux que le matin en tout cas.

Les documents de voyage du jour. Le vol partira de la porte D07, je n'échapperai pas au satellite D…

A l'époque, les WC hommes étaient toujours à moitié HS, situation qui durait depuis l'été…

Hangarisons-nous un peu
Un peu avant l'heure de l'embarquement, je prends la direction des portes D…

EasyJet prend le contrôle sur l'aéroport…

Direction le tunnel, le tapis roulant est heureusement fonctionnel.

Et nous voilà dans ce charmant hangar !

Ma porte a changé pour la D09, il faut, pour la rejoindre, passer par un petit couloir contournant la PAF.

Les A321 AF opérant pour le hub Hop! viennent de décharger leurs passagers.

Et voilà la porte ! Il est l'heure d'embarquer, mais aucun agent n'est présent en porte.

Les passagers patientent sagement dans cette salle très low-cost…

Comme ça traîne, et que le plan cabine reste bien vide, je me déplace pour le siège 10A, en issue, et sans voisin à priori !

Bienvenue à bord !
L'embarquement est finalement lancé avec quelques minutes de retard. Mieux vaut ne pas se tromper d'A321, F-GTAP à côté part sur Nice ! (Et merci Chris, je remarque maintenant sa blanche dérive)

Pour nous, c'est ici, comme le rappelle le petit panneau placé sur l'escalier.

Belle bête que voilà ! Il s'agit de F-GTAK, un A321 dénommé Meaux, et livré neuf à Air France en 2002. Le pauvre a subi les couleurs de Joon en 2018, mais ça n'a pas duré, comme tout le monde le sait…
Ce n'est pas un nouveau venu dans mon logbook, je l'ai déjà pris trois fois avant ce vol, deux fois en 2016 et une fois en 2019.

Instant porte, pour une fois net, mais par contre, mal cadré !

L'accueil à bord est souriant, et je constate avec plaisir que cet appareil propose les cabines Smart !

Petit quiproquo : Un PNC de l'appareil venait de donner mon 10A à un autre passager, sa tablette n'était pas à jour avec ma modification de dernière minute. L'aimable passager ne fera aucune difficulté et s'installera au couloir.
A moi le pitch infini du rang 10 !

Pas de tablette sur les dossiers des sièges, ils semblent bien vides ainsi.

A côté de nous, l'A321 pour Nice a terminé son embarquement, mais il semble y avoir un soucis avec un container à bagages, un agent au sol est plongé dedans…

Retour à l'intérieur, avec le FIDS de ce vénérable A321.

Mise au point foirée, mais des prises USB sont disponibles et fonctionnelles ! Le Wifi, par contre, ne le sera pas.

Et les têtières sont réglables, et plutôt confortables.

La boucle de ceinture est siglée, mais un peu rayée. Je peux en avoir une autre ?

Le toboggan est bien désarmé.

Et vérification de la porte opposée ! Pas de voisin du milieu, et globalement, l'avion est effectivement peu rempli, la cabine est très calme.

L'embarquement est terminé à 16h36, le PNC vient expliquer les procédures liées à la présence de l'issue de secours, c'est détaillé, et fait avec le sourire, comme j'aime !
La notice de sécurité :

Et son verso !

Le cockpit prend ensuite la parole pour nous annoncer un temps de vol de 57 minutes, de possibles orages à Bordeaux, et des turbulences au départ comme à l'arrivée. Il insistera d'ailleurs sur la nécessité de bien respecter les instructions de l'équipage…
Dans le ciel nuageux, un A320 easyJet décolle pour London Luton…

C'est parti pour la grisaille et les turbulences !
On repousse finalement à 16h40, pile à l'heure. Le vol pour Nice a enfin réussi à régler son problème de container !

easyJet et Volotea squattent ce côté du tarmac.

L'architecture de l'ancien T1 fait vraiment datée, à côté du nouveau bâtiment…

easyJet va même jusqu'à squatter une porte du T2, pourtant fermé et en travaux !

Au parking éloigné, tout esseulé, un Beechcraft de Twin Jet qui partira en début de soirée pour Milan.

On s'apprête à s'aligner sur la 17R, avec au fond, un Embraer E-190 Hop! qui atterrit sur la 17L en provenance de CDG.

On s'élance sur la piste humide, avec l'église de Saugnieu au fond…

Et décollage à 16h50 ! L'Embraer file vers les portes…

Seuil de piste de la 35R, et derrière, Colombier.

Les deux bourgs de Satolas-et-Bonce, qui a donné son nom à l'aéroport de Lyon à sa construction (avant son renommage en 2000). L'aéroport n'est pourtant pas du tout situé sur le territoire de la commune : En effet, 365 hectares de Satolas ont été transféré à la commune de Saint-Laurent-de-Mure lors de la construction de l'aéroport (pour que l'aéroport soit intégralement dans le département du Rhône).
Mais le nom de Satolas a été conservé, du nom de l'aérodrome militaire qui se trouvait au sud de l'aéroport actuel, et qui a été rasé lors de la construction de LYS.

Vue sur l'aile, le winglet crevetté, et le réacteur pendant notre montée…

La vaste zone logistique de Saint-Quentin-Fallavier, le péage de l'A43, et derrière, La Verpillière.

On monte vers les nuages, avec Villefontaine devant le réacteur…

Et voilà pour le vol panoramique au décollage, la grisaille prend le dessus, et l'appareil est secoué de turbulences.

L'aile, cette fois ensoleillée, au-dessus des nuages…

Alors euh là on survole la vallée du Gier comme vous ne pouvez absolument pas le constater m'voyez…

Service avec classe (Affaires)
Aheum, pardon. Retour dans la cabine, le rideau du galley a été tiré et ça s'active dedans !

Un quart d'heure après le décollage, le service arrive à mon niveau. Et sympathique surprise : Les hôtesses proposent champagne et biscuits de J domestique aux passagers Platinum et assimilé. Voilà une délicate attention qui justifie un peu plus ce statut !

Ca sera donc des sablés tomate et basilic pour aujourd'hui.

Santé à tous les contributeurs, commentateurs, lecteurs, administrateurs, et autres personnes en "eurs" !

Cette collation a l'avantage de pouvoir se déguster tranquillement, alors que la madeleine, bon… Deux bouchées et c'est fait !

Du coup, je termine de manger au moment où on débute notre descente, après une douzaine de minutes à 33.000 pieds… Ca secoue toujours autant.

Approche dorée
On plonge très vite dans la mer de nuages…

Le contraste entre le noir des orages et le jaune du soleil couchant est assez beau à voir…

Fort heureusement, on file vers l'astre solaire !

Le ciel se dégage peu après, à la limite entre Dordogne et Gironde… Mais ça ne calme pas les turbulences pour autant, au contraire ! Le signal pour les ceintures sera d'ailleurs resté allumé quasiment tout le vol.

Les boucles de la Dordogne, avec Libourne au centre, et un peu plus près de nous, le longiligne lac des Dagueys, en partie creusé pour fournir le chantier de l'autoroute A89 en remblai…

On longe la Dordogne, survolant les vignobles du Libournais, ici notamment ceux de l'AOC Fronsac…

Au premier plan, la ville de Cubzac-les-Ponts, qui porte très bien son nom, puisqu'on trouve de droite à gauche, le pont ferroviaire sur la ligne Bordeaux - Chartres (1885), le pont routier "Eiffel" supportant la RN10 (1883), le double pont de l'autoroute A10 (1974), et enfin le pont de la LGV Sud Europe Atlantique, inauguré en 2017.

On traverse la Dordogne, puis la Garonne, avec une belle vue sur la métropole girondine, et au premier plan, le "carré blanc" du stade Matmut Atlantique.

Sur la gauche, un peu sous la Garonne, on remarque bien le quartier de Grand Parc, et ses grands HLM…

L'hippodrome du Bouscat, qui accueille notamment régulièrement le Grand Prix du Sud-Ouest.

L'aéroport apparait enfin, avec ici la piste de l'héliport.

Les roues touchent le sol à 17h43, après 53 minutes de turbulences.

Et voilà la piste 11/29, assez peu utilisée…

On y tourne d'ailleurs pour s'en servir comme d'un taxiway, avec au fond toujours ces 787 Norwegian (entre autre) qui dépérissent lentement…

Le hublot est un peu sale, mais je vous assure qu'il y a aussi du Beluga au fond !

Dernier virage, on va donc débarquer au terminal régional, et pas en passerelle…

Et bloc à 17h46, avec une toute petite minute de retard ! Le commandant nous souhaitera une bonne journée, tandis que la rougeoyante passerelle approche.

Toujours un plaisir de passer à BOD (non)
Instant Danette, moi je reste bien affalé dans mon siège.

Le débarquement est de toute façon rapide vu le faible taux de remplissage. Notre A321 a de la gueule je trouve !

Derrière, KLM Cityhopper, en Embraer 190, qui a aussi eu droit à la passerelle. Il va repousser avec un quart d'heure de retard pour Amsterdam…

Allez, un peu de marche offerte par BOD !

Au moins le cheminement est vitré.

Et il y a des escaliers pour faire travailler les fessiers !

On en voit le bout…

Et voilà, enfin landside après 5 minutes de marche. On se croirait au satellite D de LYS.

Deux Man Lion's City G de la Liane 1 sont à l'arrêt… Eh oui, à l'époque, le tramway n'était pas encore là.

Je laisse le premier partir, tout blindé qu'il est, pour profiter du calme et des sièges du second !

Et voilà pour ce petit vol, fort agréable, entre turbulences et bulles de champagne…
La trace radar du vol, on a filé tout droit entre Lyon et Bordeaux, au-dessus du Massif Central.

Merci pour votre lecture et vos éventuels commentaires !
A très bientôt :)
Merci pour ce report. Que dire,
"Bon, en fouinant un peu, j'ai constaté que seul un de ces récits est sur A321, une quasi exclusivité mondiale en avant-première donc" => Je parie que tu parles donc d'un de mes FR, au demeurant mon tout premier !
Sinon mis à part le satellite D l'aéroport de LYS est agréable surtout le nouveau T1, les commerces sont nombreux. AF fait l'affaire, surtout avec un personnel agréa et la belle attention qu'est le service de champagne pour les J sur une ligne régionale !
Je ne savais même pas que les cabines Best étaient aussi proposées sur les lignes régionales (hors hub), jusqu'à mon récent vol retour de Nice (Flight report à venir) pour ma part j'ai toujours eu droit à des Recaro ! L'aéroport de BOD est de taille humaine même si loin de la qualité de service à LYS
A +
Sacha
Hello et merci pour le commentaire !
Tout à fait ! Félicitations en retard pour ce premier FR, d'ailleurs ^^
Le T1 est bien agréable oui, j'aime beaucoup ce terminal...
Les cabines Best sont assez rares sur les vols régionaux oui. Ce sont des appareils qui font des vols sur CDG, et qui passent faire un crochet sur LYS entre deux vols (là en gros CDG - BOD - LYS - BOD - CDG) !
Au moins à BOD on ne risque pas de se perdre ^^
A bientôt :)
Bonjour Kethu et merci pour ce FR à ton image, c'est à dire bien documenté avec de jolies photos ! L'A321 sur une liaison transversale est une chose rare effectivement, et je doute qu'il fasse son retour sur ces lignes vu que AF mise sur l'A220-300. J'aimerais bien que quelques uns de ces avions soient basés à Lyon et ainsi assurer la pérennité de la base. En tout cas, AF semble ne pas déterminée à acheter de nouveaux embraers, ça traine alors que le constructeur n'est pas surchargé, contrairement à Airbus ! L'attention est louable et la prestation en Y aggrémentée me semble parfaite pour ce vol ! LYS toujours bon élève, BOD toujours mauvais (comme NTE XD !)! A bientôt !
Hello Msieur :)
Merci pour le compliment et le commentaire :)
Depuis, AF a revu ses ambitions à la baisse, auparavant on avait des A321 vers BOD, NCE, NTE et TLS. Maintenant des A319 vers NCE et BOD, et sinon des E-190/170...
Des A220 serait bien adaptés pour les plus grosses lignes du hub en effet, ou des E2 aussi oui. Je ne sais pas ce qu'Air France prévoit pour la flotte Hop!.. Enfin, d'après les rumeurs, Air France aimerait bien se débarrasser de cette compagnie, donc bon.
NTE et BOD, même combat ! En plus BOD a son salon fermé depuis plusieurs semaines, il suit la même pente que le nantais niveau services...
A+ !
Merci Robin pour le partage !
Un très chouette report avec comme le dit Yann plus haut, toujours aussi bien documenté. C'est que ça prend du temps un FR réussi ^^
Attention dans le salon, tu pourrais te faire taper sur les doigts par notre ami Christophe pour ne pas avoir flouté les fesses du passager penché en avant !
Non promis je ne dirai pas le mal que je pense du terminal d'où opère EasyJet France. Pardon, Air France.
A bord, de belles attentions de l'équipage, c'est chouette.
A bientôt !
Coucou Stephan, merci pour ton commentaire !
Ah ça, je ne sais pas si on peut qualifier mes FR de "réussis", mais long à pondre, ça oui xD
Mince, j'ai fauté ^^ Je flouterai les prochaines fesses que je verrai, promis :P
Un terminal, où ça ? Je n'ai vu qu'un hangar ^^
Les équipages comme ça font bien plaisir oui, ça rend le vol fort agréable :)
A bientôt !
Salut cher Kethu et merci pour le FR! Tiens je vais pas tarder a en sortir un autre de lys bod!
C'est vrai qu'on a peu vu le 321 sur le segment.
116 pax ça aurait même pas rempli un A318 rigolo qu'AF se soit planté de module.
18 min pour tout traverser oui y'a pire.
Ah ton fameux trou de hobit. Oui c'est encore plus rigolo quand se qu'ils racontent est strictement confidentiel!!
Je vais pas te juger je suis fan de desserts aussi ahah.
Air France adore la routine mon vol vers Bod partait aussi de la D09!
Ahah je t'en prie pour l'instant queue blanche.
J'ai aussi craqué pour l'issue de secours c'est pas mal non plus.
Alors là je dit chapeau, cette collation J! Je suis platinum mais j'ai eu droit à que dalle juste la madeleine et au revoir monsieur.
Tres jolie vue à l'atterrissage.
Hello Chris, merci pour ton commentaire !
Air France a tenté un peu les 321 mais a vite arrêté ^^ Je vois que cet été, Nantes est passé en E-170... Passer d'un appareil de 210 places à un de 70, rude baisse de l'offre !
Oui, les fameux qui font leurs réunions à tue tête... J'aimerais bien avoir l'avis de leurs interlocuteurs sur ce sujet ^^
Si seulement on pouvait partir d'une porte autre que D x)
L'issue, quand elle est gratuite, c'est royal !
J'étais vraiment surpris de la collation, un verre de champagne à la limite, mais ça c'est une première, et j'en redemande :P
A bientôt :)