Bonjour chers camarades !
Et voilà le report retour de mon week-end à Bordeaux en novembre dernier !
Pour le rappel de la construction du voyage, assez simple, c'est dans le spoiler ci-dessous :
En effet, début novembre, je devais aller au Liban, découvrir ce pays qui m'attire énormément, profitant de la présence d'un collègue de ma compagne là-bas qui devait nous faire visiter. Je devais partir un peu moins d'une semaine, ma compagne une dizaine de jours…
Malheureusement, arrêt de travail oblige, le voyage au Liban n'est plus trop d'actualité. Je me rabats donc sur un séjour à Bordeaux de quelques jours, du jeudi 3 au lundi 7 novembre.
Je ne m'embête pas au niveau des vols, surtout qu'Air France est encore aux tarifs planchers à l'aller et au retour en vols directs : 49€ l'aller, et le retour à 91€ en open-jaw BOD-LYS/LYS-CDG (le 2e segment étant prévu quelques semaines plus tard pour aller à Chicago).
A défaut de découvrir le patrimoine libanais, je retournerai donc approfondir mes connaissances sur Bordeaux et ses vins…
Voilà donc le routing, simple et efficace, tout en A321 :
Routing, stats
On obtient donc le routing suivant :
Enchainement de vols
- 1
- 2AF1513 - Économique - Bordeaux → Lyon - Airbus A321
Pour le vol retour, je retiens la leçon du vol aller, et pense à bloquer le 10A en issue, qui offre, selon la configuration de la cabine, un pitch infini, ou ultra-infini.
En plus, pas de voisin prévu pour le moment. La cabine semble un peu plus remplie qu'à l'aller, mais pas tant que ça non plus…

Dans le sens Bordeaux > Lyon, 40 reports ont déjà été écrits, dont 36 sur Air France/Hop! et 4 easyJet (contre 42 dans l'autre sens).
Mais personne n'a encore eu le plaisir de reporter cette relation en A321, non pas que ça change grand chose, mais voilà !
Pour moi, ça sera mon 9e passage dans le sens des départs à Bordeaux (dont 6 en 2022), et… Pfiou, voilà, vous prenez le vol aller et vous faites "+1" sur mes stats !
BOD en travaux
Le vol partant à 14h40, je prends un bus qui me dépose à l'aéroport à 12h40. Les travaux du tramway battaient toujours leur plein à l'époque, avec ici la préparation de pose des LAC (les fils d'alimentation électrique).

Le Hall B de BOD, tout emmaillotté. Ces bâches blanches abritent une façade temporaire, pendant les travaux de reconstruction des façades de verre qui subissaient des problèmes de casse prématurée.

A l'intérieur, on sent encore plus l'ambiance "travaux", avec cette nacelle sur chenille parquée.

Les escalators sont aussi en travaux, et il faut emprunter les escaliers classiques pour accéder à l'étage des départs. Pas terrible pour les personnes chargées…

Personne devant moi au comptoir, mais j'attendrai malgré tout quelques minutes : C'est l'heure de la relève pour les agents. Mais bon, ça n'est pas l'affluence, et le personnel est très sympathique.
Ma fidèle valise part rejoindre les tréfonds de l'aéroport…

11 kilos, je vous laisse deviner quel liquide l'alourdit ainsi !

Allez, direction le hall A. Au passage, vue sur le vignoble aéroportuaire. Ces vignes ne sont pas juste décoratives, elles sont vendangées tous les ans pour produire un millier de bouteilles de Bordeaux. Malheureusement, dur de déguster ce vin, puisqu'il est uniquement servi lors de réunions de la CCI de Bordeaux…

Pour rallier le hall A, où se passe le PIF, il faut suivre cette rampe basse de plafond.

La zone d'enregistrement dudit hall est le seul endroit de ce hall où il y a de l'espace ! Vu les couleurs, on dirait que la zone est sponsorisée par Vueling…

Le FIDS de BOD, où les vols en codeshare sont dédoublés (une ligne pour le numéro de vol "principal", et une ligne qui fait défiler les codeshares). Les low-cost règnent en maître, easyJet avec 10 vols et Ryanair avec 8 vols…

Il faudra que je teste ce restaurant avec vue sur le tarmac, un jour…

Mais pas aujourd'hui, je file vers le fast-track, bien que le temps d'attente affiché en file générale soit très limité.

Le coupe-file me permettra tout de même de passer devant une dizaine de personnes, ce qui me permet de passer le filtre en 4 minutes montre en main (en perdant du temps avec les gens qui rangent leurs affaires directement sur le tapis…).
Les agents sont, comme souvent, très sympathiques.

A BOD, on débouche vraiment directement dans le duty-free, l'espace est compté !

Un salon en carton
A droite toute pour moi, direction le salon. L'accès n'est pas limpide, surtout quand il y a la queue à la PAF comme là (des passagers pour Agadir). Il faut se glisser à droite après la fontaine à eau…

Aller au bout du couloir où l'affiche qui se décolle rappelle que, contrairement aux apparences, ça n'est pas un espace de stockage…

Et direction l'ascenseur !

Et vous voilà arrivé, plus qu'à passer l'épreuve du feu, le contrôle du BP, fait avec le sourire. Et BIIPPPP… CLAC. (Le bruit de la porte, qui est incroyablement bruyante au déblocage).

L'antre des plaisirs est assez vide, mais ça se remplira par la suite.

Les sièges ne sont pas spécialement confortables…

Ce frigo contient la majorité de l'offre. A droite, c'est assez rempli…

Mais à gauche, l'offre solide est… Euh… Limitée ? Deux salades lentilles et saumon qui se battent en duel et voilà.

Quelques alcools forts, et une bouteille de vin.

On a du Château Roquefort en rouge, qui n'est pas mauvais.

Bon, ça par contre, c'est un bon point pour le salon : Une offre de presse papier est disponible !

Au niveau du sucré, on trouve du fromage blanc et des salades de fruits…

Un reste de viennoiseries et des madeleines. Les couverts sont en bois.

Ma première sélection est donc assez limitée…

Les documents de voyage du jour, avec un départ en porte 57, donc au terminal régional…

Le vol AF de Roissy arrive en porte. Il est effectué avec un petit Embraer 170, surprenant ! Enfin, sans doute adapté à la demande, mais habituellement on voit plutôt des A320…

De l'autre côté de la piste, des 787 Norwegian qui pourrissent au sol, un vieil A340 et des Beluga…

L'unique hôtesse du salon qui fait l'accueil, le nettoyage du salon et des sanitaires, est aussi celle qui s'occupe de confectionner les sandwichs. Elle réussira à trouver un moment pour en mettre quelques uns au frais. On a poulet ou thon !

Dans les sanitaires, le distributeur à savon qui était cassé la dernière fois que je suis passé a été retiré, et remplacé par un simple pousse mousse. Toujours plus cheap par ici !

BOD toujours pas fou, même après quelques verres de vin
Je quitte le salon à 14h pour me diriger vers ma porte. On trouve airside une boutique vendant ces choses immondes que l'on appelle canelés… (sérieusement, je déteste ça, vous pouvez me lancer des pierres).

BOD est généreux en siège, enfin, par endroit… Mais dans le couloir entre le terminal principal et celui régional, ils ne servent que bien peu.

Oh, tiens, un escalator HS !

De la passerelle, on aperçoit un oiseau à la harpe, et des travaux sur le tarmac, au niveau d'une position de parking du terminal régional.

Et… Un second escalator HS ! BOD vous muscle les mollets, et ce, gratuitement !

Si ça reste uniquement une zone d'attente quasiment sans commerce, on peut au moins reconnaître à ce terminal qu'un petit effort a été fait sur son architecture, qui donne une impression d'espace et de luminosité.
Par contre, ici, ça manque cruellement de sièges…

Voilà de plus près la bête aux couleurs de Ryanair : Il s'agit d'un 737-800 de Malta Air, qui se repose, entre une rotation sur Marrakech ce matin et une autre sur Bergame ce soir.

Fort heureusement, notre A321 ne sera pas complet, sinon on aurait été serrés sur les banquettes !

Notre avion est bien là, mais la porte est fermée, l'appareil est vide et l'équipage n'est toujours pas arrivé. Pourtant on doit embarquer dans 5 minutes.

Embarquement avec un équipage… A l'image de l'aéroport
Finalement, l'équipage arrive à l'appareil à l'heure prévue de notre embarquement, nous suivrons dix minutes plus tard.
Des passagers Skypriority joue des coudes pour être les premiers à embarquer. Ca va les gars, on devrait tous pouvoir rentrer hein…

Fuselage-shot de la belle bête du jour, qui porte encore l'ancienne livrée Air France, et n'a pas reçu de nom de baptême.
Il s'agit de l'A321 F-GTAX, livré neuf à Air France en 2009. Je l'ai déjà pris auparavant à 4 reprises, les 4 fois en 2022, et toujours entre Lyon et Roissy ou inversement ! Et je ne le reprendrai probablement pas, il a été stocké de fin 2022 à avril 2023 à Casablanca, avant de partir vers Singapour, probablement pour servir sous de nouvelles couleurs…

Instant porte assez correct ! A noter, le commandant a ouvert sa fenêtre du cockpit, espérons qu'il pense à la fermer avant le décollage !

L'accueil en porte est un peu froid, je rejoins mon 10A sans demander mon reste. Vue sur la cabine Métropole qui équipe cet appareil…

En 10D se trouve le siège du PNC. Sur les cabines Smart, il est à la place du 09F, mais tourné vers l'arrière.

Le pas est excellent en tout cas ! A ma droite se tient une hôtesse qui est très froide avec les passagers, et n'arbore pas de sourire, sauf pour les passagers habitués qu'elle reconnait. Dommage…

Plusieurs fois pendant l'embarquement, des annonces "Merci de vous installer rapidement afin de partir dès que possible" sont diffusées. Ce que je trouve assez peu agréable, étant donné que, déjà, l'avion n'est absolument pas prévu complet donc ça devrait aller, et ensuite, si l'horaire était si limite que ça, il eut peut-être fallu que vous arriviez à l'heure dans l'appareil, cher équipage.
Bref, les têtières de ces sièges Recaro, moins confortable que les cabines Smart…

Par contre, les boucles de ceinture sont nickels !

Des prises USB sont disponibles et fonctionnelles sous les sièges.

Le plafonnier, classique et efficace.

Et l'issue de secours qui me sert de voisine !

Dehors, l'embarquement se poursuit tranquillement…

En attendant, la notice de sécurité. Il est interdit de fumer les WC !

Le verso.

L'application Air France me confirme que ma valise est bien à bord, me voilà rassuré, mon vin ne me quittera pas.

L'embarquement est terminé à 14h35, je n'ai pas de voisin direct ! L'avion est rempli à environ 60%, à vue de nez.

L'escalier est retiré, nous sommes prêts à partir. Le cockpit annonce un temps de vol de 50 minutes, avec quelques turbulences pendant le trajet.
L'hôtesse me donne ensuite les instructions pour l'issue de secours, de manière détaillée, et s'assure que j'ai bien suivi, une chose que j'apprécie, pour le coup.

C'est parti pour un vol panoramique !
On repousse à l'heure du bloc. La peinture du réacteur est bien écaillée juste après l'entrée d'air, on sent qu'AF avait prévu de se débarrasser de l'appareil un mois après…

Le cimetière des avions de BOD…

On patiente quelques instants, le temps que le vol AF en provenance de CDG se pose. Il est effectué par l'A321 F-GTAK, qui m'a amené à Bordeaux 4 jours plus tôt !

Alignement sur la piste 23, avec la zone dédiée à l'aviation générale par ici.

On s'élance… Deux appareils sont en faux contact, un Airbus Volotea et un 737 Ryanair. Ce dernier occupe un point de stationnement passerelle Schengen, alors qu'il embarque à pied (Ryanair oblige) des passagers non-Schengen (vol pour Agadir)…

On croise F-GTAK qui roule vers le terminal.

Et décollage à 14h51 ! Derrière, la base aérienne 106 de Mérignac.

On vire rapidement pour filer plein est, au sud de Cestas.

Sur le côté droit, on peut voir la ligne ferroviaire Bordeaux - Irun, qui file en ligne droite sur près de 40 kilomètres. Cette caractéristique assez unique sur le réseau ferré français en a fait un lieu parfait pour battre des records de vitesse sur rail, notamment en 1955, lorsqu'une rame tractée par la locomotive BB 9004 atteint la vitesse de 331 km/h. Le record a tenu 26 ans, avant d'être battu par le TGV en 1981.
C'est aussi là que fut testée la rame TGV 001, prototype de rame à grande vitesse entraîné par une turbine à gaz. Le choc pétrolier transformera le projet pour une motorisation électrique, qui donnera le TGV tel qu'on le connait actuellement…

Et voilà la capitale girondine dans tout sa splendeur ! On voit que la ville est très minérale, dur d'apercevoir un coin de verdure dans le centre.

La Garonne file rejoindre la Dordogne au fond. Juste au-dessus du réacteur, l'île d'Arcins, qui a abrité pendant des décennies un centre d'expérimentation de l'INRA, profitant d'un microclimat plus chaud que sur les rives de la Garonne.

La Dordogne serpente, avec Libourne au centre, dans le fond. On survole le vignoble de l'Entre-deux-Mers, qui produit principalement des vins blancs.

La plaine girondine, avec au fond, plus sombre, les premiers contreforts du Massif Central.

Au centre de la photo, Bergerac, traversée par la Dordogne…

Interlude géovision et collation
Jetons un œil au Wifi, qui est fonctionnel sur ce vol ! Par contre, il a été mal configuré, pour la géovision intégrée, nous sommes sur un vol… Paris - Nantes.

Ce qui donne cette trajectoire de vol assez originale ^^

Pendant ce temps, le chariot a commencé son trajet pour nous servir, accompagné de l'hôtesse toujours peu amène.

Voilà venu le temps de sortir cette tablette, donc.

Les reliefs commencent à être plus marqués, alors que l'on passe au sud du PNR des Causses du Quercy.

Quelques turbulences se font ressentir, mais ça n'empêchera pas ce thé de rejoindre ma tablette. Au crédit de l'hôtesse, elle se déridera un peu pendant le service…

Voilà une madeleine bien gonflée !

Survol du Cantal et approche sur Lyon
Dehors, des sommets ont commencé à blanchir… Sur la gauche, on peut voir Aurillac.

Devant le réacteur, la vallée de la Truyère, qui remonte vers le Plomb du Cantal enneigé. Avec 1.855 mètres d'altitude, il s'agit du plus haut sommet du Cantal, et le 2e plus haut du Massif Central.

Instant winglet au-dessus du Cantal…

Saint-Chély-d'Apcher, en bas au centre, au cœur de la Lozère…

Notre descente a commencé depuis plusieurs minutes, après une courte croisière à 34.000 pieds. On survole les gorges de l'Allier…
Le chef de cabine annonce les correspondances à Lyon, et les portes de départ. Encore une fois, une correspondance vers Clermont-Ferrand est annoncée, la ligne Lyon - Clermont n'existe plus depuis un certain temps pourtant… C'est une confusion avec le code IATA de Caen (CFR), qui semble dérouter pas mal de PNC !

Sur la droite, Le Puy, et sa cathédrale d'où part l'un des chemins de Compostelle les plus réputés.

En bas à gauche, Yssingeaux, et à droite, le lac de retenue du barrage de Lavalette.

Entre Yssingeaux (photo précédente) et Saint-Étienne (à droite de cette photo), notre descente est très prononcée, d'environ 4.000 pieds par minute d'après Flightradar.

On survole le massif du Pilat, longeant la vallée du Gier (Sainté à gauche, Saint-Chamond au centre).

Et là, c'est Rive-de-Gier !

On continue quasiment plein nord, passant au droit de Givors. Le cockpit annonce le début de la descente à ce moment-là… La descente a plus que débuté là monsieur !

On aborde Lyon, avec le Point-du-Jour au centre de la photo, et en bas à droite, Fourvière…

La basilique de Fourvière juste devant le réacteur, et la Saône qui coule entre cette colline et celle de la Croix-Rousse.

En bas de la photo, Caluire, je peux voir mon chez moi !

La Saône et ses méandres, avec derrière, le Mont Verdun, qui abrite la base aérienne 942.

On commence à virer légèrement sur la droite, au-dessus du sud des Dombes. Au centre, l'autoroute A46 qui serpente, et le début de la LGV Sud-Est juste au bout du réacteur.

Les étangs des Dombes, et Saint-André-de-Corcy au centre.

On vire vers le sud pour s'aligner sur les pistes de LYS, avec une belle vue sur les Alpes…

Et le Mont-Blanc qui dépasse les autres sommets, au loin !

On traverse le Rhône, au loin derrière, on aperçoit les tours aéroréfrigérantes de la centrale nucléaire de Bugey.

On passe au-dessus de l'ancienne nationale 517, avec à côté un vaste entrepôt en construction pour But.

La zone aéroportuaire apparait enfin, avec ses charmants bassins de rétention d'eau.

LYS, avec de beaux oiseaux, de beaux bâtiments, mais un moche satellite d'arrivée
Et toucher très délicat sur la 17L, à 15h40, après 49 minutes de vol. L'église de Saugnieu en fond.

On traverse la piste 17R/35L…

Et dernier virage, à côté de F-GMZE qui arrive de Nantes.

Bloc à 15h46, un peu en avance. Sur la droite, deux splendides bestioles, toutes aussi rares l'une que l'autre :
Au roulage au fond, un des deux Boeing 737-300 d'ASL Airlines, et le seul appareil de la compagnie à porter cette splendide livrée. Il part pour Alger.
Et sur la droite, feu le dernier CRJ1000 de Hop!, qui était encore en fonction à l'époque, sur la ligne Marseille - Lyon. C'est F-HMLO, celui-là même qui me posera un lapin en me faisant découvrir mon premier rejected takeoff pile 2 semaines après…

Après une annonce d'au revoir du commandant de bord, nous débarquons, sous le regard un peu désintéressé de l'équipage. Les PNT auront été plus agréables que les PNC sur ce vol, c'est bien dommage.
Dernier regard sur le (gros) nez de notre A321 !

On débarque, comme d'habitude, en marchant jusqu'à la sortie sur le tarmac. Un cheminement agréable sous un ciel bleu comme ici, moins sous un orage.
Deux Embraer E-170 débarquent leurs passagers aussi.

Du coup, il y a bien du monde dans la rampe, bien peu engageant soit dit en passant.

Dans le couloir sous le hangar satellite D, une file pour les correspondances est bien matérialisée, avec du personnel pour renseigner les passagers.

Pour moi, c'est direction la sortie, derrière ces portes anti-retour au style "Fleury-Mérogis".

En chemin, on nous pose quelques questions pour meubler le temps d'arriver au bout du couloir… Alors, quel est le plus grand volcan d'Europe ? Indice : On en a survolé un bout pendant ce vol !

Eh oui, il s'agit du Cantal, dont le Plomb du Cantal est le point culminant !

Arrivée à la salle de livraison des bagages, vaste et lumineuse (ça change de celle de l'ancien T1, utilisée notamment pour les vols en provenance du Maghreb).

Les livraisons semblent efficaces, il faut dire qu'il n'y a que peu de bagages soute sur ces vols plutôt à destination d'une clientèle affaires, qui voyage léger.

Et là on peut constater que ces écrans fonctionnent sous Windows 10 :)

Dans la salle, des distributeurs de billets pour le Rhônexpress et pour les navettes autocars pour quelques villes de la région (principalement Grenoble et Saint-Étienne), c'est plutôt bienvenu !

Je devrais tout de même attendre quinze minutes pour que la livraison commence, mais ma valise sort en pole position !

Plus qu'à sortir tranquillement, avec ces compartiments pour les achats effectués dans les boutiques duty-free.

Il est beau ce terminal quand même…

Et cette gare TGV l'est encore plus, surtout sous un soleil rasant !

L'ancienne voie d'accès aux terminaux (avant la construction du nouveau T1)…

La gare délicatement illuminée… Dommage qu'elle soit aussi mal desservie, que ce soit en transports en communs comme en TGV.

Les voies du Rhônexpress, le tram vient de passer sous mon nez… Je suis bon pour poireauter un quart d'heure !

Au moins, je pourrais être le premier à attendre…

La trace radar du vol, on a contourné par le sud le Massif Central, des fois que le Cantal entrerait en éruption…

Et voilà pour ce dernier aller-retour bordelais ! J'en ai fini de mes vieux reports de 2022, je vais pouvoir rattraper mes récits en attente de 2023 désormais ! Et si j'ai la foi, je publierai enfin mes vieux FR prévus sur 2019 mais que je n'ai jamais eu le courage d'écrire…
Merci pour votre lecture et vos éventuels commentaires !
Et à bientôt :)
Bonjour indéboulonnable Kethu et merci pour ce FR sur cet Apparexclu alors ! Si les étalages semble un peu vides, il semblerait toutefois que le salon ne fut pas dans ses pires jours. En revanche, une personne affectée à toutes ses tâches, c'est vraiment de la souffrance professionnelle. Comme on dit, ce n'est pas possible d'être au four et au moulin à la fois ! Concernant les travaux, si cela permet à BOD de s'améliorer sensiblement, c'est un mal pour un bien. Concernant les PNCs Air France, il y a selon la team des "adorables", comme les PNTs que j'ai eu la chance de rencontrer au Bourget hier, ou bien la team des "froids conïncés", pour qui le fait de prononcer "bonjour" et "au-revoir" semble s'apparenter à une torture faciale. Je veux bien qu'il y ait des mauvais jours mais, comme on dit, show must go on, surtout que les prix pratiqués par AF sur le court et moyen courrier sont particulièrement élevés cette année ! Concernant la gare TGV de Lyon, on est sur de la haute hypocrisie tant sa desserte est mauvaise. Quand je pense qu'il n'y a même pas de TGVs classiques entre l'aéroport et Marseille, ça se pose là. C'est sûr que en correspondance, prendre le train entre Lyon et Marseille est quasi impossible, les horaires ne correspondent pas et surtout, aucune garantie en cas de retard puisque la SNCF et Air France ne collaborent pas ! Original le tracé du vol selon Air France... Heureusement que le temps est beau et que le catering habituel est servi, ça remonte un peu la note. A bientôt !
Hello LeMatheux, merci pour ton commentaire !
Oui, le salon a vu pire, et comme tu le dis, une seule personne pour tout gérer, c'est assez honteux... Vinci se refuse à recruter à BOD malgré la reprise du trafic.
Espérons que les travaux donnent quelque chose de bien oui !
Clairement, certains équipages feraient mieux de rester au lit... Je ne demande pas des courbettes, juste de la politesse de base quoi !
La gare TGV de LYS n'était pas voulue par la SNCF, c'est donc service minimum là-bas... Bien dommage, car avec Part Dieu saturée, il y aurait moyen de faire quelque chose... Et aussi arrêter des lignes aériennes aberrantes comme LYS-MRS (oui, j'aime bien l'avion, mais il faut avouer que certaines lignes n'ont aucun sens). Mais ça n'est pas prévu, visiblement...
A bientôt !
Merci Robin pour ce récit.
Avez vous souvenir que la moquette du salon ait été nettoyée ? Beaucoup de passagers indélicat renversent du café sur la moquette....
Depuis votre FR, le tram est terminé et enfin opérationnel.... Mais le bus 1 a disparu...
Pourquoi ne pas avoir pris le bus 47 a LYS + TRAM ? Beaucoup moins cher que ce très cher RhoneExpress ?
A bientôt à la capitale girondine...
Merci pour le commentaire Christian !
Je n'ai pas souvenir d'avoir vu la moquette nettoyée, et en effet, il me semble qu'elle est assez tâchée...
Oui, le tram est enfin là, mais la perte de la ligne 1 est assez dommage, surtout qu'elle offrait une desserte fine de la zone d'activités.
Le bus 47 + tram est une solution intéressante, mais avec une fréquence moindre, et bien longue... Et comme j'avais des codes de réduction, je n'ai payé que 5€ pour le trajet :)
A bientôt
Salut cher ami lyonnais pour ce retour.
Oui c'est vrai qu'à cette époque les vols partaient encore du terminal A
te voilà de retour au rang des issues de secours.
Le salon en carton certes, mais au moins il existe car lors de mon dernier passage, le salon Air France au terminal B était toujours pas rouvert.
La petite salade en plastique n'est pas ouf non.
ah bon??? j'aime bien!
C'est toujours mieux que le hall D à Lyon!
surtout qu'on va tous au même endroit lol
ah dommage cette cabine planche à pain.
oui faudrait pas inverser la situation.
une belle description lors du parcours, notamment avec ce record TGV!
Tiens tu vas à Nantes finalement??
se planter entre clermont et caen faut le faire.
Salut Chris, merci pour ton commentaire !
Eh oui, on partait encore du hall A. Je ne sais pas si c'est mieux que le B ou pas, mais au moins, comme tu dis, ya un salon ^^
La salade a le mérite d'exister, et en plus, elle ne baigne pas dans la sauce, comme trop souvent...
Ben moi j'ai horreur de la texture, c'est même pas le goût ^^
Clairement, au moins ya eu une recherche dans le terminal, ça donne envie d'y attendre un peu.
Oui, à priori c'est dur de se faire poser un lapin par un avion une fois qu'on est sur le tarmac à pied xD
J'aurais bien voulu aller à Nantes, j'aime bien ce coin ^^
Clairement, c'est pas la même direction ^^
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR.
Dans le sens Bordeaux > Lyon, 40 reports ont déjà été écrits => il y a eu pas mal de navettes.
permet de passer le filtre en 4 minutes => ca c’est du chrono.
L’offre alimentaire du salon est à pleurer => je serais allé m’acheter des cannelés, et oui moi j’adore ça (mais je ne lancerais pas de pierre) !!!!
Dans la salle, des distributeurs de billets pour le Rhônexpress => et qui manque cruellement à CDG ou on pourrait prendre les billets pour le RER le temps que nos valises arrivent.
A bientôt
Merci pour ton commentaire Valérie !
Oui, la ligne est propice aux navettes, notamment Jules qui aura le record pendant encore un certain temps je pense :P
Oui, difficile de faire mieux, surtout que je compte le temps que je mets à ranger mes affaires dedans !
C'est vrai qu'avoir des cannelés ça serait sympathique au salon (pour ceux qui aiment ça), mais faut pas trop espérer. Et merci de m'éviter la lapidation !
Oui, j'ai pensé à CDG et l'absence de distributeurs en voyant ceux de LYS... Vraiment, les petits conflits entre ADP et la SNCF sont assez ridicules, c'est les voyageurs qui en pâtissent...
A bientôt :)