J'amorce le retour de ce voyage effectué en Novembre 2023 et qui m'a emmené en Australie, via le Népal et la Malaisie. Le retour est beaucoup plus direct, avec juste une escale à Doha.
Le retour s'effectue en billets prime avec Qatar Airways. Depuis que la compagnie qatari a aligné son programme avec celui de British Airways, il est relativement aisé d'avoir de la disponibilité dans les cabines QR pour ceux qui, comme moi, cumulent chez British Airways.
C'est cette facilité qui nous a permis de trouver 2 sièges en award en première classe.
Enchainement de vols
- 1
- 2Istanbul International - Kathmandu Tribhuvan en Business avec Turkish Airlines sur A330
- 3
- 4
- 5
- 6
- 7Perth Airport - Doha Hamad International Airport en First avec Qatar Airways sur A380
- 8Doha Hamad International Airport - Paris Charles de Gaulle en Business avec Qatar Airways sur B777
Nous avons passé trois jours à Perth, non pas pour goûter de mauvaises copies de croissants mais pour profiter du soleil tant qu'il fait moche chez nous.

Perth en soi est plutôt une petite ville qui n'existe que par la richesse de son sous-sol (dans l'absolu, c'est une définition extensible à toute l'Australie…), et nos trois jours sur place ont été suffisants, même s'il est toujours possible de s'attarder à l'infini dans les vignobles alentours…


Nous reprenons ensuite la route de l'aéroport, qui s'avère efficace avec l'entrée du terminal à la croisée du parking des loueurs, de l'arrivée du métro et de la dépose taxi !


Le terminal 1 est assez calme, mais il faut dire qu'il n'accueille pas les vols Qantas, qui représentent le gros du trafic.

Nous sommes donc rapidement airside, en direction du salon NZ que Qatar a contractualisé pour l'occasion (puisque les salons Qantas de l'alliance oneworld se trouvent à l'autre terminal).

Nous arrivons au salon au moment où notre appareil rejoint justement sa porte.


Mais pour nous, la porte restera close. QR n'a contractualisé le salon que pour les deux heures précédent le départ du vol, et l'accès n'est donc pas autorisé avant aux passagers QR, qui se voient tous refoulés !

Et devant la salon, une zone d'attente est aménagée et permet à tous les passagers QR d'attendre qu'on leur donne accès, malgré leur invitation en main (car l'enregistrement, lui, est bien ouvert 3h avant).

La Une du jour, dans ma zone d'attente digne de la première classe de la supposée meilleure compagnie du monde !

Une fois que nous sommes admis, nous pouvons découvrir le salon qui est petit mais agréable, malgré l'absence de lumière. Il est organisé autour de deux pièces : une zone salon et une zone dinatoire avec le buffet.



Celui-ci est plutôt complet, en encas froids comme chauds.



Les alcools sont en libre service et des douches sont à disposition.


Nous nous contenterons de grignoter un peu avec un Sauvignon Blanc néo-zélandais, nous réservant pour le repas servi à bord.

Mais la mesquinerie de Qatar Airways ne s'arrête pas aux 2 heures. Les boarding-pass indiquent un embarquement 1h15 avant le vol, et le salon joue le jeu en le confirmant sur les écrans et en faisant l'appel. Quand les passagers trompés reviendront au salon, l'accès leur sera refusé, étant "unique" pour les passagers Qatar. Juste lamentable.


Etant restés au salon, nous profitons du deuxième appel 50 minutes avant l'heure de départ, avec la précision utile "flight is now really boarding". Merci :)
Une double porte est utilisée pour séparer les priorités d'accès.

Un steward contrôle les cartes d'embarquement à l'arrivée, et constatant que nous sommes en première, la transmet à sa collègue qui nous escorte à notre siège.


Nous avons opté pour deux sièges au hublot, en ayant constaté que les sièges du milieu étaient toujours disponibles sur notre vol, si nous voulions diner ensemble.


Certains trouveront à juste titre cette First un peu datée, mais je suis personnellement favorable aux gros sièges ouverts plutôt qu'aux suites fermées.

De plus, l'ottoman est suffisant pour recevoir quelqu'un et nous pouvons nous installer face à face pour le verre d'accueil, ce que je trouve appréciable. Le breuvage est plaisant, les oshibori en sachets façon Air France Moyen Courrier beaucoup moins.


Un code WiFi est donné aux passagers First, suivi d'une trousse de confort qui est strictement la même qu'en Business.


Le menu, un simple encart en papier, est aussi bien terne pour une First (alors même que QR servait le menu Business en pochette en cuir il y a quelques années…).

L'embarquement se termine, alors que notre PNC très attentionnée et toute dédiée à ses 3 passagers s'assure du niveau des verres.


Puisque nous sommes séparés et attachés chacun à notre siège, j'en profite pour vous partager la vue depuis mon assise. C'est très ouvert, mais encore une fois, cela me va bien. La couverture violette est la même qu'en Business.


Les rangements dans les accoudoirs, où se trouvait également le casque.


Il est médiocre mais fonctionne, et l'A380 est vraiment silencieux.

Mais on voit bien que l'accent n'est pas mis sur cette cabine. Et dans le détail, il y a beaucoup d'à-côté. Même l'utilisation du tutoiement sur l'IFE sonne un peu décalé en première classe.

D'ailleurs, avant le décollage, un dernier oshibori est distribué et c'est toujours la même lingette sous vide. Ca ne changera pas le vol, mais c'est juste dommage.

C'est parti !


Rapidement dans la montée, notre PNC vient s'enquérir de nos apéritifs. Nous restons sur le Champagne Rosé, qui arrive avec quelques noix (celles que AA vous servirait sur un LAX-SFO ^^)


Avant que le repas ne commence, je passe aux toilettes et celles-ci sont juste magnifiques. Alors c'est vrai qu'il n'y a pas la douche, mais l'espace restant est du coup juste incroyable.

Et ici, c'est grand luxe : les oshibori ne sont pas en sachet ! Et les orchidées sont vraies.


Enfin, le nécessaire absent de la trousse se trouve disponible. Il est rare que je passe 4 photos sur les toilettes, mais elles le méritent.

Quand je reviens, la table a été mise et la PNC refait mon niveau de Champagne pour le repas, ce qui est une délicate attention mais démontre une piètre approche sommelière.


Un amuse bouche est proposé, il s'agit d'un morceau de saumon fumé. What else chez Qatar, j'ai envie de dire :)

Pour l'accompagner, j'écarte le Champagne et part sur un excellent Chablis qui serait parfait sur un bon poisson. Malheureusement, il n'y en a aucun à la carte…

De plus, ma PNC est perturbée quand je refuse le caviar, n'étant pas fan. Elle semble vraiment dire que c'est le point d'orgue de son service, alors j'optempère.

Il est servi avec les cuillères en nacre, et accompagné d'une rosace de saumon fumé (What else chez Qatar, hein !) d'une paleur et d'un dégradé louche.

Et pas sûr que les crackers soient le meilleur choix, mais qu'importe ! On se force pour Flight Report :)


J'admet la contradiction : j'ai finalement fini le caviar dont je ne suis pas fan, et je n'ai vraiment pas aimé le saumon fumé archi-salé (délavé dans son propre sel, donc…) voire archi-saumuré, alors que j'adore cela normalent.

La table est ensuite redressée avec pain et condiments. Le menu promet un pain artisanal : si c'est le cas, il est urgent que cet artisan change de métier !



Le service commence par soupe au chou-fleur. Vraiment excellente.


En entrée, j'opte pour le tataki de boeuf.


Il sera très bien accompagné par ce St-Estèphe.

Mais grosse déception. Malgré le menu flateur, la très belle présentation et le vin qui l'accompagne, cette entrée est…râtée. Ce n'est pas un tataki, mais un rôti froid. Et les morceaux de viande sont peu nobles.

Viennent ensuite les plats. J'opterai pour le plat de côte et mon ami pour les pâtes.



Double déception. Les pâtes sont archi cuites et encore plus salées…

Quant au plat de côte, il est très gras et nerveux. Certes, ainsi en va le morceau, et c'est pourquoi il doit être cuit lentement et longtemps. Et là, il semble juste avoir été jeté dans l'eau bouillante. Beurk !

Les plats n'ayant pas rattrapé les entrées, nous mettons fin au supplice de notre PNC qui semble sincèrement peinée (inquiète ?) de ramener toutes ces assiettes malheureusement gâchées.
Nous décidons d'aller passer une tête au bar, qui a certainement du succès auprès de la clientèle australienne, mais qui est pour l'instant vide car le service continnue en Business.


Notre PNC nous a accompagné et nous présente comme passagers First à sa collègue du bar, qui sera au petits soin et se chargera donc de la figure imposée de la photo au bar.

Puis nous retraversons la cabine pour rejoindre nos sièges, dans l'optique d'une bonne nuit.

La literie a d'ailleurs été mise en place pendant notre digestif au bar.

Je pars pour un bon marmottage au dessus de l'océan indien…

…pour n'être réveillé qu'au dernier moment de la descente sur Doha.


L'expérience culinaire du dîner ne nous fait pas regretter du tout le petit-déjeuner qui aurait été proposé en vol, mais comme un café serait quand même le bienvenu, nous nous dirigeons vers le salon des arrivées de Doha.

Celui-ci est vraiment bien pensé pour les attentes à l'arrivée. La zone lounge en soi est résumée au minimum et tout l'espace est utilisé pour des cabines de repos, des douches et une salle de petit-déjeuner.



Nous commençons par les douches, qui sont très spacieuses…


Avant de passer au petit déjeuner et à ce café qui me manquait tant :)

Et une fois douché et rassasié, que fait le business traveller ? Il va travailler. Et là, c'est toute une seconde zone qui s'ouvre sur un Business Center avec bureaux, coworking et salle de réunion. Au top.



Mais pour nous, il est l'heure de quitter l'aéroport, direction la plage :)

Merci pour ce FR
Une expérience F décevante tant au sol qu’en vol. Il aurait été plus rentable d’utiliser ses miles pour la J.
Les conditions d’accès au salon sont d’une mesquinerie.
À bord, si le siège semble confortable et la nuit fut bonne, le catering est faible avec beaucoup d’imperfections. La cave relève quelque peu le standing.
À bientôt
C'est vrai, mais c'est aussi l'occasion de voler en F, car la J peut se trouver "à bon prix", là où il ne serait pas intéressant d'utiliser ses miles.
En vol, la seule déception est le catering. Mais du coup, il n'y a pas le vol parfait qui pourrait rattraperie le fiasco du salon.
A bientôt !
Avec tous ces espaces vides au sol comme en vol, quel tristesse et quelle gaspillage d'espace pour superflu du luxe ...
Bonsoir Giancarlo,
Je vous rejoins, il y a dans l'aérien énormément de gaspillages qui me chagrinent. Qu'ils viennent des voyageurs ou qu'ils soient la conséquence de nombreuses règlementations.
Luxe et superflu vont de paire, du moins pour moi : le luxe est par essence superflu. C'est un peu tout ce qui est beau (ou bon) et inutile, qui fait plaisir aux sens mais ne sert à rien lors de notre bref passage sur cette planète. Comme l'art, la culture ou même le savoir. Sont-ils à bannir pour autant ?
In fine, le luxe me semble une expression du génie humain (tout comme cet A380). Est-ce mal ? Fallait-il à ce titre faire taire votre compatriote (me semble t'il) Leonardo Da Vinci, parce qu'illustre, érudit et artiste, il ne rêvait que de voler ?
Merci pour votre commentaire.
Merci pour ce FR.
Je retiens qu’il faut emporter son Balik à bord pour profiter de la cave avec du solide qui tient la route. ;)
À bientôt.
Salut Clément !
Balik ou autre bons mets : il n'y a pas que LX dans les cieux ;) Avec qui j'ai d'ailleurs fait un vol en F où seul le Balik était à conserver ^^
A+
Sur ma liste First Class à essayer, il me reste Qantas, ANA, Etihad, Thai et éventuellement Garuda. Mais Qatar Airways n'a jamais vraiment fait partie de ma to-do list. J'avais bien un billet-prime First émis avec la promesse de passer par le salon First à Doha mais la compagnie a décidé de changer d'avion. Et à la lecture de ton report, je ne devrais pas avoir de regret.
Tu écris que Qantas a un lounge à PER mais qu'il est dans un autre terminal. Il est si grand que ça cet aéroport?
SQ a vraiment fait de l'Australie un de ses plus importants marchés. Je ne vois pas moins de trois vols sur le FIDS. Pas étonnant qu'il y ait ouvert son propre lounge
"Le breuvage est plaisant, "=> allons, Thomas. Arrête de faire la fine bouche. Je sais que tu préfères un Jack Daniel avec du cola mais admets que la cuvée Alexandra est un des meilleurs crus en rosé...
"Et les orchidées sont vraies."=> et la biosécurité australienne ne dit rien????
Personnellement, le bar Qatar n'égalera jamais celui d'Emirates.
Merci Thomas
Bonsoir Bernard,
Si QR n'est pas sur la liste, je pense qu'il est inutile de la mettre ;)
Le changement d'avion sera pour le prochain report, juste après le passage au salon First. Ah bah non, il était fermé. Mais ne spolions pas :)
PER a deux terminaux. En gros, un pour QF et un pour les autres. QR a toujours eu une proportion démesurée à se mettre à l'écart de l'alliance qu'ils ont rejoint. C'est un peu comme leur First : on va le faire sans le faire !
Tu sais bien que ma rédaction n'est jamais là pour dire l'évidence qu'en First on est bien ^^ Je suis plutôt à chercher les limites d'un produit (par rapport à un autre ou non), et quand je dis qu'un breuvage est plaisant, c'est que je n'ai vraiment aucun défaut à lui trouver ;)
Elles ont dû faire l'aller retour sans sortir de l'avion ;)
J'en avais déjà dit ma ratelée, je n'allais pas en rajouter. Il en est une pâle copie tout au mieux. QR : "on va le faire sans le faire !"
A+
Merci Thomas pour ce FR
Je note que France est écrit avec une minuscule alors que la police autorise aussi les majuscules, tout se perd ma bonne dame !
J'ai halluciné en voyant le traitement plus que mange crotte d'un pax First au salon. Ça me rappelle mon FR NRT-AUH avec l'infect Narita Travel Lounge (pour ceux qui veulent voir comment EY traite un pax First au sol à Narita : https://flight-report.com/fr/report/44023/etihad-airways-ey871-tokyo-nrt-abu-dhabi-auh/).
Quant au double effet Kiss Cool qui consiste à appeler le vol en avance pour faire dégager les pax et s'offrir le luxe de ne pas les laisser entrer à nouveau alors là c'est le pompon.
Quant au vol, que dire ?
Oshibori plastique, tutoiement de l’IFE, il ne manque plus au décor qu’un chat-bit....
Une fois de plus je constate un mood light rouge en plein repas, comme je le disais sur un autre FR, la lumière joue sur la perception des goûts.
Et d’une mélanger caviar & saumon est une hérésie sur une même assiette. Le fumé qui se répand assassine les délicates fragrances du caviar. En plus le saumon fumé fait peur en deux couleurs (sachant que la couleur vient de sa nourriture, soit deux provenances, soit ... pire)
Le pain : je ne dis rien, je vais être insultant.
La soupe au chou-fleur qui même s’il a été bonne a tranchée (réchauffage probablement trop brutal), la viande bas de gamme sur l’entrée ET le plat principal, l’assaisonnement foireux, heureusement qu’il y a le bar en vol et le lounge à l’arrivée mais pour moi ce produit est simplement une ù* ?!§$ù#.
Ça me serait arrivé je serai dans une rogne monstre. Je veux bien payer mais pas pour ça. Autant profiter des Qsuite qui sont infiniment meilleures. Comme dit un pote « quand on ne sait pas faire, on ne fait pas. Point-barre »
Je n'ose imaginer notre ami Esteban (mais ça irait bien dans sa série "le chat noir des vols en "haute contribution"), je pense qu'il aurait explosé !
Si tout va bien, ma prochaine First en Septembre sera sur EK ... et le meilleur bar en vol du monde sur A380
Bonsoir !
C'est bien cela qui m'a choqué. Le salon est bien, et je ne peux pas en vouloir à QR de ne pas forcément trouver mieux à offrir sur la plateforme. Mais mettre en scène une telle procédure d'évacuation de ses propres pax, c'est hallucinant.
C'est vrai, mais crois moi, je ne suis pas quelqu'un de difficile et ce n'est pas la couleur qui m'a écarté de la viande de QR (entrée et plat). Par contre, je reste intéressé de savoir si cela pourrait plaire à un palais australien (même si je n'ai jamais mangé de viande aussi mauvaise en Australie pour ma part).
Ca n'excuse pas QR, mais pour bien expliquer : il s'agit d'un catering Business. Je pense que le réchauffage de la soupe se fait également dans cette optique (elle est une des options de la J). Seul le caviar adapte le menu (et si j'en crois des sources internes, le premier plat qui est là juste un confit de canard).
C'est le sens de ma conclusion. Faire ce vol en First avec QR avait à mon sens un côté "je ne pourrais plus jamais connaitre ça", car cette cabine disparaitra.
Je suis d'accord ! Mais comme ici, tu pouvais l'avoir en J ;)
A+
Bonjour et merci pour le récit,
L'expérience est assez décevante au sol et en vol mais surtout on a l'impression que la réduction des coûts est faite sur les mauvais postes de dépenses, il aurait été plus judicieux d'économiser sur les orchidées et de présenter de vrais oshibori. De la même manière les vins sont de très haut niveau mais la nourriture ne suit pas.
La compagnie se rattrape avec son excellent salon de Doha mais on ne comprend pas qu'elle soit aussi pingre sur l'accès au salon à Perth.
A bientôt,
Merci pour ce commentaire, qui résume très bien les interrogations que j'ai pu avoir tout au long du vol sur les choix qui ont été faits et présentés.
D'où le résumé de ma conclusion : ce produit n'est juste pas intelligible.
A bientôt !
Super cheap de ne donner l’accès au salon que 2h avant le vol sachant que l’enregistrement commence 3h avant (parfois plus avec QR) et l’embarquement 1h avant. D’ailleurs pourquoi QR n’est pas avec Qantas?
Intéressant de voir que le champagne rosé est le même que celui que j’ai eu en Qsuite entre Doha et Madrid.
Du point de vue des amenities, c’est quasiment la même chose qu’en Qsuite et mis à part certains vins, les plats pourraient très bien être servis en business
Merci pour ce FR
Oui, c'est très cheap le coup du salon. En plus, quand on enregistre au comptoir, on reçoit une invitation sans aucune information. Tous les gens qu'on voit attendre sur ma photo se sont "heurtés" à la cerbérine avant de venir patienter.
Je ne sais pas pourquoi ils ne sont pas avec Qantas, mais ça ne m'étonne pas. J'ai l'impression que QR a rejoint oneworld sans jamais s'en rapprocher. Leurs propres salons ne sont d'ailleurs pas accessibles à l'alliance.
First in Business. Business in First ;)
Clairement, il vaut mieux prendre la J, sauf pour l'intimité de la cabine comme on le voit avec cette immense Business que j'ai traversé pour aller au bar.
A+
Assez étrange l'accès au salon aussi strict, ce n'est vraiment pas ce à quoi on s'attend en volant en First.
A bord, j'ai l'impression de retrouver le produit Business que ça soit dans la trousse, ou dans la prestation servie.
Je ne suis pas une grande fan des cabines ouvertes, mais tu as quand même pu y trouver ton compte.
Comme tu le dis, c'est plutôt "Business in First" ici, mais si c'était à un rapport prix/avios intéressant, pourquoi pas ?
Merci pour ce FR et à bientôt pour la dernière partie.
Tout à fait...il y a peut être derrière tout cela des contraintes que j'ignore, mais négocier un salon au plus juste sur une destination où la F est opérée, c'est surprenant.
Je ne regrette pas au final d'avoir rajouter quelques (20.000) avios en plus pour me faire une idée par moi-même du produit First de Qatar sur A380. C'est le prix du savoir ^^
A+
Merci Thomas pour le partage.
Etrange cet accès au salon limité, vous seriez parti de HKG en cabine First avec QR, vous auriez pu passer autant de temps que vous auriez voulu au Pier First Lounge après un détour par le bar à Champage du Wing et le ressenti aurait été certainement différent.
Pour la prestation, Qatar Airways à fait le choix d'abandonner la Première au profit de la QSuite et du concept de Business First décidant de ne pas équiper ses nouveaux avions de First Class notamment le 777-9 qui se fait attendre.. Voila pourquoi les prestations sont très proches de celles de la J à l'exception de la carte des vins et du caviar...
C'est aussi la raison des prix pratiqués tant à l'achat qu'en échange de Miles qui n'ont rien à voir avec une "vraie" First.
Reste le siège qui est quand même bien plus confortable qu'un siège Business.
Je te rejoins parfaitement sur ce point
Mais tout n'est pas perdu, QR aurait semble t'il changé d'avis et décidé de finalement installer une cabine First sur les B777-9
A bientôt.
Merci Michel (et Sylvestre) pour ce retour !
Et c'est d'autant plus surprenant de profiter ainsi des salons de l'alliance avec une compagnie qui lui ferme les siens !
Finalement, le nouveau PDG revient dessus....sauf qu'il va falloir remonter le niveau. Et cet écart de prestation est en fait plus ancien, QR n'ayant jamais fait de la First (à mon avis) son produit différenciant. Et tant mieux pour la J :)
Complètement d'accord, d'où mon choix, au final raisonné et raisonnable pour les deux parties !
A bientôt, mais pas sûr d'être le volontaire pour tester la First du B777-9....je n'y crois plus ;)
A+