Avis du vol entre Paris et Genova en classe Economique avec Air France Hop

Bonjour à tous, je suis de retour pour un nouveau routing, qui j'en suis désolé va certainement moins vous faire rêver que mon tour du monde.
Il s'agit d'une série de 8 vols exclusivement européens, et presque uniquement italiens, spécial dédicace à cobra.
À l'origine du voyage, une participation à Storia in Piazza, au Palazzo Ducale de Gènes. Donc un aller et retour en classe éco entre Paris et Gènes. Comme la semaine est largement mangée par cette opération, et que je rêve depuis longtemps d'un saut de puce dans un endroit mythique de l'Italie, je décide d'en profiter en partant 3 jours plus tôt.
Pour espérer conserver quelques lecteurs, je ne vais pas dévoiler tout de suite le détail du routine, un peu de suspens peu me conserver quelques lecteurs. Et je commence par le vol le plus insignifiant, comme ça les autres paraîtrons intéressants. Ceci dit, plusieurs des itinéraires, des villes voir des compagnies n'ont jamais été l'objet de FR, on se fait remarquer comme on peut.
Donc on commence par :
Paris Gènes, CDG -GOA, HOP! Pour AF, CRJ 170, c'est ici.
Puis 3 vols avec deux aéroports jamais reportés encore.
Le retour à Gènes est identique.
Et on termine avec :
Gènes - Paris, GOA - CDG, a venir.
Après cette introduction peu glamour, place donc au premier vol.
Comme d'habitude je prends mon RER à moi, le TGV. Avantage, la première le dimanche est vide, et le pitch royal.

J'en profite car je sais que la suite sera moins glorieuse dans des petits avions en économie.
Arrivée à l'heure à CDG, et avec un peu plus de 3 heures d'avance. Mais, maintenant il faut rejoindre le T2G, l'aérogare qui n'est relié que par navette bus. Ça a l'avantage de mettre dans l'ambiance pour la suite.

Donc première queue en porte 2F pour attendre le bus, puis balade pas bucolique dans CDG.
Comme j'avais fait mon enregistrement la veille, je n'ai qu'à passer au bagage drop. Seul le priority est ouvert, il est midi, tout le monde mange. Bagage enregistré très rapidement et passage du Pif immédiat avec du personnel souriant. Comme quoi, le T2G n'a pas que des défauts.
Arrivée en salle d'embarquement et la c'est franchement glauque.

La salle est nulle avec ses fauteuils inconfortables, pas de spotting puisque la passerelle en empêche, en plus il n'y a rien à voir.

Mais surtout c'est noir de monde, tous les sièges sont occupés, aucune place au bar, sans parler de la queue pour acheter des trucs immondes.
J'arrive quand même à me procurer un pseudo Sandwich, un bol de pâtes immondes et une bière.

J'en profite pour la photo des documents de voyage, pas de BP, pas de passeport, et une carte Flyingblue Ivory, le luxe quoi. Je ne regrette même pas l'absence d'accès au salon AF, vu depuis la porte il a l'air tout petit et bondé. Et j'arrive à accrocher son wifi, donc photo corporate.

Embarquement à l'heure, en passant par la passerelle pour rejoindre l apporte qui est au niveau du sol. On passe ensuite à pied par le Tarmac pour rejoindre l'avion.

L'offre presse, pas mal pour un dimanche après-midi.

ça permet de faire la photo de la bête et d'avoir l'immatriculation. F-HBXB, chez AF depuis 2008.

Dernière vue avant d'entrer puis la cabine.

Accueil souriant en porte, embarquement rapide bien que l'avion soit plein, et on roule à l'heure.
Le pitch est correct pour un vol d'une heure. La carte de sécurité est encore en Régional, pas à jour.

Le winglet

Le plafonnier qui parle des appareils électroniques et pas de cigarette.

Ensuite c'est un peu plus long, il y a du monde à l'atterrissage et au décollage, donc pas loin de 20 minutes de roulage.
Un peu de spotting au sol.

Décollage et montée rapide dans les nuages, donc pas de vue du sol avant un moment.
Le ciel se dégage sur les Alpes, quelques belles images.

C'est aussi le moment de la collation. Distribuée avec le sourire, les sempiternels sucrés salés, avec pour changer du jus de tomates, un schweppes pour moi.

Ensuite on entame la descente, très très belle vue sur la côte et l'arrivée devant Gènes, j'adore ce type d'approche qui fait un peu penser à Nice.
On suit la côte donc le vieux Gènes, le Porto antico avec l'aquarium construit par R Piano, un Génois, et le Bingo qui évoque les grues des bateaux devant le magasin Eataly, puis le port de commerce. Gènes et le plus gros port Italien et le second méditerranéen.
Puis l'arrivée sur la piste.

Atterrissage avec 10 minutes d'avance et arrêt sur passerelle.
Pas de spotting en revanche, un avion sur le Tarmac, plus un Canadair italien et un hélicoptère dans un coin.

Débarquement rapide, mais presque 20 minutes d'attente pour les bagages.
C'est pas très cool comme méthode car ceux qui n'avaient que des bagages à main à Paris et se les sont fait prendre à l'embarquement faute de place dans les coffres se retrouvent coincés puisque descendant par un finger, ils ne peuvent les récupérer au pieds de l'avion. Ils sont donc obligé d'attendre comme les autres pour les récupérer sur le tapis. Donc pour eux aussi 20 minutes d'attente. Seconde dédicace à cobra;-)

Et comme on est dimanche et que ma valise est sortie en 2 ou 3, je suis le premier aux taxis, et en 15 minutes à mon hôtel en centre-ville. Par contre ce n’est pas donné, 27 euros.
Merci de m'avoir lu, la suite très vite.