Bonjour à tous,
De retour en Europe après un excellent voyage au pays des Mayas, seulement entaché par l'épisode navrant à OAX, et au final de bons vols intérieur avec Aéromexico, Les vols internationaux avec AM se sont bien déroulés, mis à part quelques menus détails…
A Rome, Le transit entre l'arrivée et le départ est d'environ cinq heures ! Nous en étions resté après le passage de l'immigration qui n'a pris que quelques minutes…
Un mini bonus touristique complète ce report.
On enchaine pour la suite et presque la fin du routing.
Enchainement de vols
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- 11UX1048 - Affaires - Rome - Madrid - Boeing 737-800
FCO AIRSIDE
j'apprécie ce FIDS très lisible, comme on pouvait s'y attendre mon prochain vol n'est pas encore affiché.

C'est la mi juin et les premiers vacanciers sont de sortie. Je traîne pour rejoindre la mezzanine ou se trouve une escouade de lounges.

ITA Airways Hangar Express Lounge
Passant à côté du Plaza Premium, je remarque qu'une file d'attente longue comme un anaconda c'est formé devant l'entrée, par contre aucun quidam occupe les abords du " Hangar ".

L'accueil chaleureux de la part des deux agentes invite à la découverte de ce salon, à gauche en entrant on observe un panel de manches à balais, les écrans centraux projettent des images des villes desservies, au départ de la ville éternelle. Le clin d'œil est sympa !

La salle est tout en longueur et la fréquentation à la limite de la rupture, même si ça ne se voit pas sur la photo, cela étant l'ambiance feutrée me convient bien.

Dans un premier temps, je trouve un fauteuil disponible derrière "le présentoir à manches", n'ayant pas grand faim je ferme quelques instant les yeux, mais une envie pressante m'oblige à abandonner ce siège confortable, il n'est pas question de laisser mon sac sans surveillance dans les parages…

Evidemment lorsque je sors des toilettes, ( très propres ), je constate : " Qui va à la chasse, perd sa place "! A présent, le seul siège disponible se trouve à la table du Monsieur portant un polo jaune, il n'est pas vraiment heureux que je m'installe en face de lui, mais je ne lui laisse pas le choix…

Cette photo a été prise lorsque je suis arrivé dans le salon, le bar occupe une large place.

Mon vis à vis fini par s'en aller, j'en profite pour marquer mon territoire et faire un tour près du buffet. Salades, tomates, olives, et oignons

Charcuterie et mozzarella de la région, sans oublier les les spécialités boulangères italiennes

Un peu plus loin, une salade de pâtes et du taboulé complète l'offre. Toutes les boissons sont servies au bar, ça évite des ennuis en cas d'abus d'alcool mais aussi le gaspillage.

Par gourmandise je goûte au produits locaux, y compris le vin d'Asti.

Ensuite je passe un moment à lire et a discuter via WatsApp avec mon mari qui rentre du boulot. Les heures défiles et il est tant de prendre le chemin de la porte d'embarquement.

lors de cette promenade je profite d'une expo temporaire consacrée à l'antiquité, quoi de plus naturel à Rome !

Tous les vols en partance sont affichés ici.

Le mien est indiqué à la porte 78, il faut descendre d'un étage, ça sent le paxbus…

L'embarquement vient tout juste de commencer.

L' embarquement
J'ai de la chance, la file prioritaire est vide !

Oups ! J'entre dans une étuve… Le bus s'ébranle lorsque toutes les sardines sont dedans !

Le trajet est relativement long pour rejoindre le Boeing, laissons descendre les pressés… Chevelan a tout son temps.


C'est en bon dernier que j'entre à bord, sans oublier le fuselage shoot et l'instant porte.


La vie à bord
La Cheffe de Cabine est trop occupée à jacasser avec les pilotes, l'accueil en seuil de porte est inexistant, pas le temps d'immortaliser la cabine, on me demande de m'asseoir fissa, le siège du milieu reste vacant.

Le pas(semoilemètre), que je mesure l'espace entre les sièges : Aïe, aïe, aïe, ça fait tâche dans une classe dite "Affaires" !

Le plafonnier indique que l'avion n'est pas d'un age canonique.

Le contenu de l'aumônière avec notamment le magazine papier, un très bon point !

La fiche sécurité.

La route et l'aéronef du jour.


Les hôtesse proposent une boisson de bienvenue, je choisi le jus d'orange, de l'eau était aussi disponible.

L'ambiance est au calme, en attendant l'arrivée du second paxbus.

Ma discrète voisine a pris ses aises, le siège du milieu est neutralisé.

Des informations sur le vol sont diffusées via les écrans rétractables.


Le seconde fournée fait son apparition, nous sommes déjà en retard…

Nous repoussons avec 45 minutes de bourre, aucune explication n'est donné par l'équipage. Tous les avions ITA provenant de la défunte Alitalia n'ont pas encore été repeints.

Le taxi s'éternise, ce qui n'arrange pas la ponctualité, cependant je n'ai pas de correspondance à prendre à Madrid, et encore moins d'enfants qui attendent le retour de papa.

Vueling nous passe devant, il va exactement au même endroit que notre B737…

C'est à présent notre tour, le retard est actuellement d'une heure.

ça bouchonne au seuil de la piste, avec Transavia qui devient numéro 1 pour le décollage.

Rayanair, suivi d'EasyJet et de British Airways. Le résultat des matchs en live : Low Cost - Major 2 - 1, Boeing - Airbus 1 - 2

Les pilotes envoient de la poussée, mais le B738 est plein comme un œuf et a du mal à prendre de la vitesse.

Passage à pleine vitesse devant les terminaux et la tour de contrôle.

Nous décollons enfin !


La ville de Fiumicino est visible à droite, Isola Sacra se situe en bout de piste, Ostie tout en haut à gauche.

La mer est atteinte en moins d'une minute de vol.

Un cargo a mis le cap au nord.

Une lingette est à présent remise par l'équipage qui vient d'être libéré, délivréééé.

La Sardaigne déroule sous les ailes, je suppose que l'on distingue le sud de la Corse depuis le hublot opposé.


A table !
Le service intervient immédiatement après le passage de l'ile Sarde. Les PNC uniquement féminin, feront le job, ni plus, ni moins, elles passeront la plupart de leur temps à papoter dans le galley, une fois les boissons expédiées…

Voici le menu.

Le plateau tel que posé sur la tablette…

… Sans les opercules.

Je choisi une topette de vin rouge espagnol, ma voisine préfère le vin blanc.

A la santé de tous les voyageurs !

Je profite de l'absence de la voisine pour immortaliser les jolis fauteuils, le design est sympa, la couleur douce et le confort réel.

Le rideau a été tiré entre les deux classes, lors de la distribution de la serviette rafraîchissante.

Le voyage se déroule dans la douceur et le calme, nous atteignons l'île de Majorque.


Les yeux de lynx peuvent distingue l'aéroport international, PMI.


Environ dix minutes plus tard, le territoire Catalan fait son apparition.

Approche et descente
Encore une demi heure, et la descente commence au dessus des terres brûlées par le soleil.


Avec quelques points de verdure de ci, de là…


En très courte finale au dessus d'une autoroute flambant neuve.

L'atterrissage est réalisé en douceur, tout ceux qui atterrissent à MAD disent que le roulage vers les terminaux 2 et 3 est long, ce ne sont pas des balivernes, mais je dois dire qu'en ce soir de juin 2024 j'ai décroché le pompon ! Le taxi se révèle interminable.

Nous contournons le Terminal 4, fief d'Ibéria.

Après plus d'un quart d'heure de roulage à belle allure, l'avion stoppe tout au fond de l'aéroport, à l'opposé de la piste d'atterrissage !

Un jet privé attend son heure, tandis que les passerelles sont déployées l'une vers l'arrière de l'aéronef, l'autre vers l'avant. Le retard n'a pas été rattrapé.

Débarquement
Heureusement les bus sont présents sur le tarmac, et la foule peut rapidement accéder à leur bord.

Dernière vue sur le bel oiseau.

Le parcours du parking vers le terminal n'aurait pas été possible à pieds, les bus déposent leur cargaison après 7 bonnes minutes de trajet. Ce n'est pas la cohue dans la salle de livraison des bagages, la plupart des passagers n'avaient pas de bagages en soute.

Nonobstant l'attente est longue, apparemment c'est une constante à MAD, ma valise arrive en seconde position, ouf !

Il ne reste plus qu'à cavaler jusqu'à la station de métro, le cheminement pour accéder à la gare est rendu compliqué avec les tapis roulant en panne ! S'il est facile de se procurer un ticket, son coût pour une station est élevé, il faut compter 7 Euros pour un aller simple, gulps ! J'arrive à mon hôtel 10 minutes plus tard…

Merci de m'avoir lu, à bientôt pour le dernier numéro de l'épisode Mexicain. Place au bonus touristique, pour les mordus du Zocalo de Mexico.
Le catering J d’Air Europa en Europe est assez intéressant. C’est assez bien présenté.
Le reste est très UX, un peu moyen mais pas trop mauvais ^^
Le Zocalo est une belle place. J’ai eu la chance une fois de pouvoir entrer dans le palais présidentiel. Juste à côté de la cathédrale il y a un musée et les ruines du Templo Mayor et dans la station de métro il y a une jolie reproduction de comment était la place au temps des Aztecs.
Merci pour ce FR et le bonus.
Coucou Moritz
Rien à dire sur la prestation avec UX, c'est original et tous les mets étaient bon.
Effectivement, le palais présidentiel abrites des ruines, mais aussi une oeuvre majeur du mari de Frida Khalo, ( Diego Riveira ), la fresque est immense à l'image de Guernica peinte par Picasso, et exposée au musée de la Reina Sophia, à Madrid !
Merci pour ton retour, à bientôt.
Merci pour ce récit et ce beau bonus Hervé.
J'avoue avoir pas regardé la cathédrale du zocalo de Mex d'aussi prés que toi mais a l'époque de ma visite il n'existait pas d'APN.
Il fallait sortir son boitier et montrer son gros... téléobjectif...
Pour ce qui est du Hangar Lounge pourquoi notre grand Chevelan n'a t'il pas jeté un sombrero sur son siège pour ne pas "perdre sa place". ?
Quand aux PNC pipelettes a bord au galley 😱 , je n'hésite pas a les "déranger" dans leur bavardages 😂 pour aller quémander de l'eau ou un jus de fruit une voire deux fois 😜 ..
Idem pour les barmans pas aimables au salon... 😉
Que TonTonChristian est facétieux ! 😇😇
A bientôt pour le dernier segment ?
Hello mon ami
Je ne regrette pas du tout le temps ou il fallait sortir son boîtier et son gros téléobjectif 😉, les téléphones portables font de belles photos, et on n'a plus besoin d'attendre que le petit oiseau sorte ! 😊
En cabine, je voyage avec le strict minimum, je n'allais pas laisser mon sac à dos sans surveillance.
Ne voulant pas déranger la voisine, je suis resté assis à contempler le paysage, et tant pis pour les pies...
Le dernier segment est dans les tuyaux, à paraître avant la fin de la semaine.
Merci Christian pour ton retour, à bientôt !
Merci pour ce FR 😀
Les spécialistes madrilènes confirmeront mais cela se décompose en 3 euros supplément aéroport, 2 euros ticket métro, 2 euros (ou 2,5 quand j'y étais allé) pour la carte valable 10 ans
A bientôt ! 😉
Merci Riton pour ton retour et la précision, cela étant ça reste cher pour 1 arrêt !
A bientôt...
Merci pour ce récit européen! je trouve le Hnagsr très stylé et son grand bar sympa. A bord des PNC qui semblent pressées de bavarder entre elles que de faire un petit plus pour les passagers. Cabine jolie mais au pitch bien serre même a l’avant . le plateau est sympa et diététique !
Merci Christophe pour la lecture et ton retour
Le Hangar est un lounge qui m'a plu.
Les PNC ont fait le job mais il ne fallait pas trop leur en demander...
Le pitch en J est une des raisons pour lesquelles ont choisi de dépenser plus, et dans ce cas précis il n'est pas digne d'une classe affaires.
Le plateau sort des sentiers battu, c'est original et surtout l'ensemble était délicieux.
A bientôt !