Bonjour à tous !
Pour cette dernière journée consacrée à l'aviation américaine de ce voyage, j'avais l'intention de prendre une compagnie plus que banale pour le soft et hard product, mais totalement atypique dans son identité. Cette compagnie me faisait de l'oeil depuis bien trop longtemps pour ne pas lui consacrer une journée. Mais voilà, depuis Denver, les possibilités d'A/R avec la même compagnie sont limités.
J'essaierai aussi de limiter au maximum les horaires de la muerte pour privilégier un accès en transports plutôt qu'en uber.
Bien, maintenant, il faut choisir une destination. J'avais envie de pousser un peu plus loin dans un état où je n'avais pas mis les pieds, style nouveau mexique (El Paso me tentait particulièrement), Texas, Louisiane… Mais à 6 mois du voyage, tout était cher ou peu pratique niveau horaires. Et puis j'aurai déjà pas mal survolé les grandes plaines, ça pourrait être bien de partir vers l'ouest au-dessus des montagnes rocheuses.
Je flasherai alors sur Salt Lake City, une ville aussi peu recommandable que son État puisqu'on y trouve le pire du pire de la mentalité américaine conservatrice, mais les paysages de l'Utah sont tout aussi fantastiques que ceux du Colorado. Et puis surtout, je me rappelle des premiers JO d'hiver que j'avais regardé, en 2002, avec une envie à l'époque d'y aller un jour.
Allez, va pour le Lac Salé !
L'horaire retour avec la compagnie désirée me convenant parfaitement, je cherche donc un acheminement avec la concurrence. J'ai le choix entre United et Southwest. N'ayant pris aucune des deux, pesons le pour et le contre :
- United offre une belle flopée de vols entre les deux capitales, avec donc l'assurance d'avoir un repli en cas de problèmes. C'est aussi une nouvelle entrée puisque les vols de la veille n'avait de "United" que le nom commercial. Néanmoins, le 737-800 est d'une forte banalité (même si je ne l'ai pas pris tant de fois que cela comparé aux A320). Et puis les vols sont tous assez chers.
- Southwest n'offre qu'un vol à un horaire compatible, mais est beaucoup moins cher que United. De plus, Southwest avait encore son protocole d'embarquement totalement unique sans sièges réservés, mais un ordre d'entrée strict ! L'absence de garantie d'avoir un hublot quand on voyage uniquement pour voler est totalement rédhibitoire pour moi, mais j'ai quand même malgré tout l'envie de tester un truc qui sort du lot. Autre détail, Southwest est la première compagnie dite "low-cost" de l'histoire. Cela vaut le détour.
Et dernier argument qui fait encore plus mouche que les précédents : le vol est assuré en 737-700, type avion pas très courant et que je n'avais alors pris qu'une fois.
Well done, Southwest remporte haut la main les suffrages. Pour m'assurer un hublot, j'étais prêt à prendre l'option bagage cabine pour être dans la catégorie A, mais le prix était vraiment trop cher. Je prendrai donc un billet basique tout en priant St-Olci (vous le connaissiez pas celui-là ^^) d'avoir un peu de chance le jour J…
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- 6
- 7
- 8
- 9
- 10DEN → SLC | Southwest Airlines | 737-700
- 11Un très chouette vol !
- 12Déconvenues tardives
- 13Un retour décevant
Nous voici donc de bon matin (encore !) pour attendre le fameux bus n°12 que je commence à bien connaître.
En attendant que le bus arrive, avec des temps de passage toujours aussi aléatoires, je consulte la météo du jour. Bonne nouvelle, le vent est beaucoup plus modéré que la veille, pas de mauvaises surprises de ce côté là. La journée s'annonce assez chaude avant un brutal refroidissement le soir même avec de la neige. J'ai du mal à y croire mais tous les modèles sont unanimes. Denver est réputée pour ses changements météorologiques brutaux, au croisement de 3 masses d'air qui se battent en permanence. L'hivernophile que je suis sera content si ça se produit réellement !

Ah ! Petit détail car c'est une première assez… déconcertante. Je prend l'avion aujourd'hui les mains dans les poches ! La seconde compagnie du jour, très stricte sur la politique bagage, m'avait laissé un doute quand à la capacité de mon sac à dos (pourtant modeste) à passer pour un accessoire. N'ayant réussi à lever ce doute et ne souhaitant pas payer une option qui doublait littéralement le prix du vol, je voyagerai sans aucun bagage. Cela fait bizarre ! J'ai passé ma journée à chercher un sac à dos imaginaire ^^
Après un trajet d'une vingtaine de minute, j'arrive en même temps que l'aurore à la gare de 38th - Blake.

Ce matin là, aucun horaire de passage n'est disponible sur les quais. Au moins, je ne risque pas d'y voir une information fantaisiste. En raison de travaux, seul ce quai est utilisé dans les 2 sens, et il y a deux branches au départ d'Union Station qui passent par cette gare. Il y a donc 1 train sur 4 qui va à l'aéroport. Il faut donc bien guetter les missions affichées sur le flan des trains.

Coup de bol, je n'attendrai que 5min avant le bon train ! S'en suivra le trajet habituel ponctué des fameux sifflets tri-ton emblématique.

Ce n'est que la troisième fois que je prend ce train et malgré tout, je commence à connaître les étapes par cœur. C'est donc naturellement que je suis surpris par la vitesse élevée avec laquelle nous abordons un virage. Nous l'avions pris les fois précédents beaucoup moins rapidement. Il y a une gare juste après, peut-être sommes-nous sans arrêt ?
Et puis là, un coup de frein bien fort se déclenche alors que nous franchisons justement cette gare… Et nous nous arrêterons une centaine de mètres après…

Puis plus rien ! Étant en tête de train, j’entends que ça baragouine beaucoup à la radio depuis la cabine de conduite. Après quelques minutes, le conducteur sort de la cabine et se dirige vers l'arrière. Dix minutes plus tard, nous faisons marche arrière jusqu'au quai. Puis le conducteur revient à l'avant. Avait-il oublié son point de freinage et donc dépassé l'arrêt ? C'est ballot !

20min plus tard, nous voilà reparti ! (Heureusement que je prends toujours des grosses marges !)
Au loin, le terminal Jeppesen se reconnaît de loin, avec sa "tente" et ses nombreux pics.

Pas fâché d'être arrivé à bon port !

Low-cost oblige, je ne pourrai pas récupérer de BP physique. Je me rend donc directement au PIF. Encore un peu (beaucoup) endormi, je me dirige vers le métro quand je réalise qu'il fallait que je passe par la Security Bridge pour prendre la fameuse passerelle. Caramba, encore raté !
Il ne me reste plus qu'un vol au départ de Denver, faudra pas que j'oublie cette fois !

J'arrive au Concourse C où je retrouve le puis central vertigineux et son avion grandeur nature. Pour en savoir plus, je vous invite à consulter mes précédents FR consacré au Metroliner où je décris en détail ce terminal.

Je suis en train de devenir complètement fan de cet aéroport.

Mais il faut vraiment prévoir du temps pour le parcours pédestre, tant les terminaux sont long.

Je passe devant un A320 Spirit et sa fameuse livrée jaune. Cette compagnie aurait pu être une candidate au pré-acheminement, mais elle n'allait pas sur SLC. Malgré sa livrée jaune très originale, cette ultra-low-cost ne m'intéressait pas plus que cela, tandis que Southwest m'intriguais vraiment.

Je me dirige exprès vers le "bout du bout".

Afin d'y profiter de la belle terrasse caressée par les doux rayons du soleil et les effluves de JetA1 :)
On y retrouve un bel échantillon de la flotte de Denver Air Connection / Key Lime Air.
En les observant, je me disais qu'il y avait vraiment de quoi faire des vols bien plus atypiques que ce que je m’apprêtais à prendre ce jour là, notamment en rarissime dornier 328 Jet. Néanmoins, je ne l'ai pas fait pour une raison majeure : le risque météo. L'automne est déjà bien avancé et les tempêtes de neige ne sont pas loin (comme celle annoncée le soir-même). Une partie des vols opérés par DAC dessert des aéroports avec peu d'équipements en cas de mauvais temps. Si j'étais prêt à prendre le risque pour les vols en Metroliner (je m'étais par exemple gardé les deux jours suivant en OFF si jamais j'étais coincé à Alliance, où que je pouvais reporter ces vols), je n'étais pas très partant de retenter l'expérience une seconde fois sans aucune le(s) jour(s) suivant(s).
Et puis, il restait encore Sun Air of Scandinavia pour loguer ces fichus Dornier ^^ Ce n'est donc que partie remise.

Avec de pareils fauteuils, il y a de quoi se poser confortablement :)

De retour dans l'aérogare, je consulte le FIDS plus qu'impressionnant. Je n'ai pas encore l'habitude de voir les vols triés par destination plutôt que par horaire, mais c'est beaucoup plus simple vu le trafic impressionnant.

Arrivée en porte C63. Les panneaux des portes sont entièrement numériques, sur fond mat. Très classe !

Voici l'oiseau du jour, le N763SW, mis en service en 2000. Il avait donc 22 ans au moment du vol. Il est actuellement stocké à Birmingham (US, pas UK !). C'est mon second vol avec cette version. Le premier vol ayant été opéré par un 737-700 Scandinavian sans winglet, je vais donc tester la version avec winglet (faut bien chercher les nouveautés où elles sont ^^).
Je trouve la livrée est très belle, ça change des fuselages blancs ^^

Venons-en maintenant à la procédure d'embarquement que certains ici connaissent. Je vais néanmoins rappeler le déroulé pour les autres, d'autant plus que Southwest vient d'annoncer qu'ils supprimaient cette procédure au profit du classique siège attribué.
Les billets sont déclinés en 3 ordres d'embarquement : A B C. Chaque catégorie est divisée de 1 à 65 et chaque totem représente 5 places de chaque côté. Il n'y a pas forcément 65 personnes dans chaque groupe, puisqu'ils correspondent aux options avec bagages ou non. En ce qui me concerne, je serai en C+ avec mon tarif basique. La probabilité d'avoir un hublot est très faible et ça me stresse quelque peu.

Par chance, le groupe A n'est composé que d'une quinzaine de personnes. Une cinquantaine de passagers en B leur emboiteront le pas, puis une vingtaine en C devant moi. Tous les passagers sont très respectueux des annonces, et les passagers de la zone C attendront patiemment leur zone (enfin patiemment, personnellement je rongeais un peu mon frein ^^)
A noter que la zone A embarquera à gauche des totems, la B se placera à droite, et dès que la zone A s'est vidée, la zone C peu s'y installer. L'embarquement est ainsi expédié à une vitesse folle. Efficace !
Exit aussi les possibilités de resquille, si le pax B21 n'a pas embarqué, le pax B42 ne le peut pas. Et si le pax B21 ne se présente pas, le passage du pax B22 bloque le passage de B21 qui devra embarquer en dernier s'il arrive à temps (du moins c'est ce que j'ai cru comprendre avec quelques retardataires).
Voir tout ce monde en file indienne attendant son tour, ça me rappelle lors de mes concerts en orchestre, quand on est dans les coulisses et qu'on se prépare à rentrer sur scène dans un ordre parfait.
C'est enfin à mon tour. Il doit y avoir une bonne centaine de pax là-dedans, l'obtention d'un hublot semble désespérée…

Le suspens est à son comble ^^

En arrivant dans l'allée, je jette un regard d'abord à gauche. Du premier au dernier rang, tous les sièges F semblent occupés. Puis je remonte du fond vers l'avant côté A. Faut faire vite car je bloque temporairement le passage. Je distingue mal avec les gens debout mais ça m'a l'air blindax partout et… WAIT ! Le1A, juste sous mes yeux, est libre. Derechef, je m'y glisse. Pfiou ! Je crois que c'était le dernier ^^

Contrairement à certains, je ne suis pas fan de ces premières rangées, qui plus est sont loin des ailes, mais on ne va pas faire la fine bouche ! J'ai testé le système Southwest et j'ai mon hublot, tout va bien ! (soulagement plus qu'intense)

Petit instant bibi avec ce plafonnier de première génération.

Il reste quelques places vide à l'avant (mais pas de hublots). J'ai l'impression que les premiers pax sont allés prioritairement vers le fond en suivant les places restantes dans les racks à bagages.

Nous sommes prêts à repousser à 10h24, presque dans les temps.

Notre voisin, un 737-800 équipé des winglet Split Scimitar.

Nul doute que Southwest est le principal opérateur du concourse C.

L'une des deux tours, impressionnante de par sa hauteur. J'avais lu dans les mémoires d'un aiguilleur du ciel qu'en cas de vent fort, les tours oscillaient légèrement. Les contrôleurs situés dans des salles aveugles sont donc souvent sujet au mal de mer ^^

Nous prenons un taxiway plein sud. A gauche, le concourse B, l'antre de United, et à droite, le concourse A, plus diversifié.

Le concourse A est relié au terminal Jeppesen par cette fameuse passerelle que j'ai encore oublié de prendre ce matin ^^

Nous allons rejoindre la piste 25, l'une des 2 orientées ouest-est. Cela changera des jours précédents. Elle a l'avantage de nous faire décoller directement dans la bonne direction. Elle est moins longue que les autres, mais notre 737-700 devrait s'affranchir sans problèmes des 3658m disponibles, même avec nos performances dégradées par l'altitude.
La notion d'écopilotage n'est pas très présente aux US puisqu'on roulera à 25kn pour ensuite patienter derrière au moins 7 appareils. S'en suivra quelques longues minutes qui me feront plonger dans une léthargie que seul le rugissement de nos CFM56 arriveront à me sortir ^^
Bye bye DEN, on se revoit ce soir !

La ville de Denver se repère bien grâce au Downtown visible de loin.

On survole le Rocky Mountain Metropolitan Airport.

Puis on arrive à la très nette rupture entre les grandes plaines et la chaîne des Montagnes Rocheuses.

Malheureusement, nous nous heurterons à une épaisse couche nuageuse. La situation météo du jour est la suivante : l'air chaud et sec soufflant du sud-est, et qui baignait Denver dans une relative douceur ce matin là, remonte le long des montagnes en s'humidifiant, créant une forte couche nuageuse. En même temps, un air très frais descend directement du canada et ce dernier commence à atteindre la région, créant les fameuses chutes de neige attendues dans la soirée.

Quittons ces considérations météorologiques pour quelque chose de plus sérieux. Vu ma fatigue, je troquerai bien mon royaume pour un café !

Je ne me rappelais plus s'il y avait une prestation gratuite. La carte du BOB confirme que toutes les boissons soft le sont. Perfect !

La procédure est assez atypique puisque les hôtesses prennent "la commande" à l'aide d'un formulaire. Aucun trolley ne circulera, tout sera distribué à force d'allers-retour depuis le galley arrière !
ça ne vaudra pas un buon caffè espresso dai mille sapori, mais ce black coffee coupé à l'eau (bien américain) gratuit fera l'affaire !

Un petit snack sera également distribué gratuitement. Pour une low-cost, c'est Byzance !

Le vol se passe, agrémenté de quelques agitations, et les nuages semblent enfin vouloir se dissiper.

L'avgeek hivernophile que je suis est bien ravi de voir ces quelques paysages enneigés se découvrir :))

D'ailleurs, ces tracés familiers dans la forêt me rappellent que la saison de ski a déjà commencé par endroits. Ici, nous voyons le domaine de Beaver Creek qui accueillait en ce moment même les entraînements pour une prochaine épreuve de coupe du monde FIS. Ça y est, les spatules me démangent ^^

Surtout avec une météo pareille, mêlant flocons et éclaircies. Veinards !

Le ciel se recouvrira ensuite pendant le restant du vol, jusqu'au début de la descente.

Par ici, les montagnes ne sont que "saupoudrées".

Nous survolons maintenant l'Utah Lake, l'un des plus grands lacs naturels d'eau douce de l'ouest des US.

Il recouvre une superficie de 392km².

Puis nous abordons les quartiers sud de Salt Lake City.

Tout ce blanc immaculé est tombé dans la nuit. J'ai bien choisi mon jour !

Nous voici établis en longue finale piste 34 gauche.

La capitale de l'Utah s'étale sur une grosse superficie.

Au loin, on distingue…

…le célèbre et spectaculaire grand lac salé ! Sa superficie colossale fluctue selon les années en fonction des précipitations, entre 2 460 km² et 8 547 km² ! C'est aussi le quatrième plus grand lac endoréique du monde.

Plus que quelques centaines de pieds…


Chblouf ! On aura le droit au freinage full reverses.

L'aéroport de SLC est deux fois moins grand que celui de Denver, mais il reste quand même vaste.

Les montagnes ne sont pas bien loin :)


Le roulage durera moins de 5min jusqu'à notre terminal.

Et voilà, arrivée avec quelques minutes d'avance. Première étape réussie !

Une petite photo de la cabine avec ses sièges à l'ancienne bien confortables !

Il n'y a plus qu'à patienter jusqu'au vol retour !

Merci pour votre lecture et à très bientôt !
Merci pour ce récit Cyrille!
Te voilà à bord d'un appareil de la pionnière des compagnies à bas coût! Faudra que je les teste un jour ^^
D'ailleurs je ne savais pas qu'ils allaient arrêter leur embarquement en placement libre, j'aurai bien voulu reconnaître ça. Je me souviens qu'il y a 15-20 ans Easyjet procédant également ainsi.
En tout cas impossible de mettre en place leur système de zone avec totem en Europe, tu imagines le bordel à Orly? Lol
Marrant du coup que tout le monde ait boudé le 1A alors qu'habituellement c'est une place très premium qui coûte chère. Tant mieux pour toi, et l'avantage du 737-700 c'est que l'appareil n'est pas long et donc on peut voir l'aile et le réacteur assez facilement même en étant assis devant :)
Superbes paysages vus du ciel et bienvenue chez les mormons haha
A bientôt pour le retour! (Sous la neige?)
Merci beaucoup l'ami :)
Ce n'est pas la prise du siècle mais c'est vrai qu'ils sont assez atypique niveau produit, et leurs livrées sont très belles.
Ce système méritait effectivement le détour car c'est une façon totalement unique et originale de concevoir un embarquement. Néanmoins, je serai heureux de pouvoir bénéficier d'un siège hublot garantit si je revole un jour avec eux ! 😄
😆
Tu imagines le bordel rien qu'avec des pax français ?😆
Qu'ils en soient remercié ! Étonnant oui et non. Je pense que tous les premiers pax se sont installés en fonction de la place disponible facilement dans les racks. La cabine ne se remplit donc pas à 100% sur les premières rangées. Et après, ce siège isolé ne pouvait convenir à des voyageurs en famille ou ne serait-ce qu'en couple souhaitant voyager côte à côte.
Heureusement ^^
Bienvenue au Moyen-Âge américain ^^ (et encore, ce serait insulter cette période que de les qualifier ainsi !)
Possible ^^ 😉
A bientôt !
Merci pour ce récit Cyrille ! pour avoir essayé Southwest en juin j'ai eu la même bonne impression que toi sur cette grande compagnie low cost américaine.
Merci Christophe :)
Southwest est un peu la Transavia du coin, si j'ose dire ^^
A bientôt !
Hello Cyrille et merci pour le partage ! Le 737-700 est clairement la série du 737 la plus intéressante à prendre chez WN. D'ailleurs, ils viennent de retirer leur dernier 737-700 en livrée "Canyon Blue" (que ni toi ni moi n'avons eu la chance d'avoir !).
J'avoue que le coup du "oh b*rdel, j'ai loupé la gare, demi-tour !" est assez unique !
Arriver à choper le 1A avec le système de seating de WN, il fallait le faire :) Bien joué !
Les vues à l'arrivée sur SLC sont superbes !
Vu ce que tu dis sur la politique bagages du vol retour, et étant donné que ce n'est pas Spirit (qui ne fait pas de DEN-SLC), je pense clairement deviner la suite :)
A bientôt !
Merci Guillaume :)
Heureusement qu'ils en avaient encore majoritairement à l'époque, le risque d'irgav pour un -800 ou MAX 8 était extrêmement limité, ce qui est beaucoup moins le cas actuellement.
Je pensais qu'il n'y en avait déjà plus. Je n'en aurai vu aucun durant ce séjour d'ailleurs.
Dans la catégorie des choses improbables, elle était pas mal celle là 😆
Tu avais vu juste ;)
A bientôt !
Merci pour le partage,
Je regrette la disparition de la méthode d'embarquement Southwest, cela fait partie de l'identité de la compagnie.
Les sièges sont de très bonne qualité et il y a même un service gratuit, on est loin d'une low-cost.
A bientôt,