Avis du vol entre Split et Brussels en classe Economique avec Thomas Cook Airlines BE

Bonjour à tous,
Flight report sur Thomas Cook Airlines Belgium (puisqu'ils indiquent bien partout que c'est la filiale belge!).
Mini routing pour le week-end du 15 août,
Départ de Paris-ORY -> Split SPU avec Transavia (vol à 6h du matin, pas eu le courage de le reporter).
Retour de Split SPU -> Bruxelles BRU avec Thomas Cook airlines : vous êtes ici !
Retour via Bruxelles car tous les vols vers Paris ce dimanche étaient le double du prix de Thomas Cook, donc j'en ai profité pour découvrir cette compagnie et passer par Lille voir des amis avant de retourner à Paris en TGV.
A l'heure où je publie ce FR, je me rend compte que c'est le premier sur Thomas Cook Airlines et également le premier à Flight-reporter l'aéroport de Split!
Avant de commencer le FR proprement dit, quelques photos de mon arrivée à Split avec Transavia et du tarmac de Split à mon arrivée le vendredi matin.

Seul un A320 Germanwings a acceuilli mon 737-800 Transavia. L'avantage de Split c'est que beaucoup de compagnies différentes y atterrissent donc cela permet de varier un peu le spotting (certes limité) sans avoir 150 avions de la même compagnie qui squattent le tarmac!

Début du FR!
L'aéroport est accessible en navette pour 4 euros environ, 30 min de trajet.
Le parcours jusqu'à l'aéroport n'est pas des plus moche.

Arrivée à Split, voici la navette.

Et surtout les toiles extérieurs que j'ai beaucoup aimé. Comme quoi même un tout petit aéroport peut-être sympa et design.

Entrée dans le terminal et vue sur le tableau des départs, avec un vol Air Méditerranée et un XL airways pour Paris, que je ne prendrai pas donc.

Je fais mon check-in en 2 minutes top chrono. Pas d'enregistrement en ligne sur Thomas Cook Airlines au départ de Split donc celui-ci se fait à l'aéroport. Il me semble qu'un bagage en soute était gratuit mais le bagage de cabine me suffit. Et par miracle, on m'a attribué un siège en hublot. Le dieu des avgeeks existe donc.

Vue du terminal landside,

Montée à l'étage où un restaurant a le mérite d'exister avec un nom très original. (cf salon aéroport Orly ou T1 CDG).

Deuxième bon point pour l'aéroport, la présence d'une terrasse où le spotting est aisé!
Mis à part un A321 Austrian, beaucoup d'appareils qu'on croise vraiment peu!

737-300 Mistral air, compagnie charter basée en Italie.

737 S7 en route pour Moscou.

A320 Windrose, compagnie charter ukrainienne, en route pour Kiev ! (je trouve le vert immonde sur le fuselage)

A319 Air Serbia qui vient d'arriver. J'aime bien leur dérive.

Et bien caché un A320 de Sata, compagnie portugaise basée aux acores.

Pas de traces de mon appareil Thomas Cook pour le moment.
Retour vers la sécurité et petite pub qui met la French touch à l'honneur !

Je passe la sécurité et la douane en 5 minutes et on tombe directement sur la porte du salon (qui a tout l'air d'une prison) et sur les logos des compagnies partenaires.

Puis on monte à l'étage en salle d'embarquement.
Plutôt petite mais suffisante.

Photo de mon boarding pass,

On y voit mieux l'appareil Mistral Air sur le départ et l'appareil de SATA.

La tour de contrôle.

Je vais de l'autre côté de la salle respotter le Windrose.

Et là surprise, 1h avant le décollage, l'embarquement à déjà commencé.

Je finis donc de dépenser mes dernières kuna croates en deux temps trois mouvements, et j'embarque. Avant d'entrer dans le pax bus, je peux faire quelques photos de vie sur le tarmac.

Ensuite le bus démarre et j'ai des supers vues sur Austrian et Sata.

On dépasse Sata et aucun appareil Thomas Cook en vue.

Le bus s'arrête à côté de l'appareil. Je comprend alors que Thomas Cook loue l'appareil à la compagnie portugaise. Un peu d'excitation dans ce petit vol éco.
Sata sous toutes ces coutures.

L'accueil est souriant et je me place sur mon siège en hublot.
Il ne reste plus qu'Air Serbia tout au fond avec nous.

L'hôtesse surveille la cabine de son regard perçant avec un look hautement Madame est servie. J'aime beaucoup sa classe désuète. Sa main toujours relevée sur la poitrine, les lèvres pincées, le regard perçant!

Le capitaine prend la parole, il tient à expliquer que l'avion est loué à Sata mais que tout le personnel est bien de Thomas Cook airlines, si ca peut en rassurer quelques uns.
Mon voisin de devant a eu la bonne idée d'abaisser son siège. Je comptais sur les consignes de sécurité pré-décollage pour qu'il le remonte de lui-même ou qu'une hôtesse lui demande, je serais donc bon pour le faire moi-même et passer pour un relou :)
Dernières vues sur Split SPU.

Et décollage!

Vues sur les côtes croates.

Je glisse ici les photos de la cabine que j'ai pu faire à la sortie.
Comme vous pouvez le voir, Thomas Cook a installé ses propres sièges dans cet appareil. Confortables, en cuir. Par contre leur épaisseur ne favorise pas l'espace avec le siège avant.

A ce propos, voici le pitch (votre FRer du jour mesurant 1m78).

Le temps se couvre.

A bord le service commence, toujours en trois langue : néerlandais (ou flamand), anglais et français.
Les six premiers rangs ont été attribués aux passagers ayant choisi de pré-commander un repas sur internet, alors que les autres peuvent commander à la carte avec le menu on board. Je ne prendrai rien.

J'en profite pour jeter un oeil au magazine de bord plutôt bien réussi. J'y apprend beaucoup de chose sur cette compagnie dont on parle assez peu. Une flotte de 6 appareils basés à Bruxelles, mais aussi des vols à partir de villes de province belges et de Lille!
Les consignes de sécurité sont bien SATA elles, ainsi que les gilets de sauvetage.

Dehors un vue du moteur et du winglet.

Au début de la descente, un bonbon Thomas Cook est gracieusement distribué à tous les passagers. (Les poils sont eux offerts gracieusement par mes jambes).

Bruxelles approche à tire d'ailes!

Du spotting local malheureusement gaché par la saleté de la fenêtre.
Des avions blancs.

Du easyjet!

Du vueling!

et enfin Aegean et Brussels airlines.

Dernière vue sur mon appareil que je quitte via le jetbrige.

Le jetbridge c'est toujours agréable mais quand il faut descendre pour prendre un bus derrière c'est dommage! Mais bon, il faut rejoindre le bâtiment des douanes!

Un A330 Etihad côte à côte avec une compagnie que je ne connais pas du tout. Si certains peuvent me renseigner!

Un 787 Ethiopian!

Au revoir Brussels airport. Je t'apprécie mais pas les 15 minutes d'attente à la douane.

je rejoindrai la gare de Bruxelles-midi avec le train.
Une petite vue de ce train propre et agréable qui nous change du RER B.

Enfin un mini bonus touristique de Split avec la porte de Dioclétien, symbole de la ville.

Et une étonnante façon de bronzer sur les plages croates.