Avis du vol entre London et Düsseldorf en classe Economique avec BA Cityflyer

Bonjour/Bonsoir à toutes et à tous,
Et voilà, plus de mystère ! C’est donc Düsseldorf qui sert de seconde correspondance pour mon retour au Japon. Et comme l’étiquette bagage que je présente dans le segment précédent ne montre que 3 vols et qu’il n’y a qu’une seule possibilité pour rejoindre Narita depuis Düsseldorf, voici l’itinéraire complet maintenant !
Il était possible de rejoindre DUS directement depuis CDG par AF, mais avec la grève et le risque d'annulations de dernière minute, je n'ai pas voulu tenter. Germanwings assure aussi la liaison mais le personnel AF de l'agence ne pouvait réserver sur leurs vols. D'où ORY-LCY-DUS…

1. Haneda HND (Tokyo) – Kansai KIX (Osaka), Japan Airlines JL173 en B738, classe économique
2. Kansai KIX – Amsterdam-Schiphol AMS, KLM KL868 en B77W, classe économique
3. Amsterdam-Schiphol AMS – Paris Charles de Gaulle CDG, KLM KL1243 en B739, classe économique
4. Paris CDG – Genève Cointrin GVA, Air France AF1042 en A320, classe économique
5. Genève Cointrin GVA – Paris CDG, Air France AF1143 en A318, classe économique
[*]Paris Orly ORY – Strasbourg Entzheim SXB, Hop ! AF 7320, maintenu mais non volé
[*]Strasbourg Entzheim SXB – Nice Côte d’Azur NCE, Air France AF7893, annulé
[*]Nice Côte d’Azur NCE – Paris Orly ORY, Air France, AF6217, annulé
[*]Paris Charles de Gaulle CDG – Tokyo Haneda HND, Air France AF272 en B772, annulé

6. Paris Orly – Londres City, CityJet WX32 en Fokker 50, classe économique, opéré par VLM
7. Londres City LCY – Düsseldorf DUS, British Airways Cityflyer BA3275 en Embraer 170, classe économique
8. Düsseldorf DUS – Narita NRT (Tokyo), All Nippon Airways NH942 en B788, classe économique

Je vous avais laissés dans le hall des arrivées ou des départs de ce petit aéroport de Londres-City. J’en ai profité pour sortir respirer le bon air frais de la capitale britannique dont je suis devenu familier avec leur conduite du mauvais côté de la chaussée.

Bien qu’ayant été rassuré sur la possibilité d’effectuer une correspondance d’une heure, je dois tout de même me procurer ma carte d’embarquement et m’enquérir de la situation des mes bagages en soute, notamment du surnuméraire pour BA, n’ayant aucun statut particulier au sein de oneworld.
Je me rends au comptoir et l’agent, stagiaire, bute un peu sur mon billet. Elle se fait aider par le responsable de zone qui arrive après quelques manipulations à éditer ma carte d’embarquement. Je pose alors la question de mon second bagage. Les deux agents farfouillent dans le système, les trouvent et m’indiquent que je dois payer le supplément au comptoir idoine de l’autre côté.
Cela ne me pose pas de problème particulier. J’ai été assuré à l’agence Pte Maillot et à l’embarquement à Orly que si j’avais à payer un supplément pour mon second bagage sur cet itinéraire, AF les rembourserait vue que ma franchise était de deux pièces de 23 kg (à condition que mes deux bagages fassent moins de 23 kg, cela va sans dire).
J’arrive donc au comptoir en expliquant ma situation. L’employée du guichet me pose alors deux questions :
« Vos bagages ont été étiquetés jusqu’à Tokyo ? »
« Vous avez votre seconde carte d’embarquement ? »
Auxquelles j’ai répondu par l’affirmative. Elle m’a alors dit de ne me soucier de rien, les bagages suivront. Et si jamais il y a un bogue, BA se débrouillera directement avec AF…
Ça m’évite de sortir la carte et de la paperasse ultérieure ! Merci !
Puis direction la sécurité. Tiens, il n’y a l’air d’y avoir personne !

En fait, il y avait une belle file d’au moins 15-20 min cachée derrière. Vu que l’embarquement de mon vol était déjà annoncé, j’ai pu emprunté le coupe-file pour les navigants.
Après la sécurité, un café.

Et quelques boutiques.

Les portes d’embarquement sont disposées les unes après les autres dans un bâtiment tout en longueur.

Au passage vers ma porte d’embarquement. Les avions font demi-tour eux-mêmes en arrivant ce qui leur permet de repartir sans être repoussé et donc plus rapidement.
Un petit tour sur google maps permet de se rendre compte que l’aéroport ne possède qu’une piste et même pas de voie propre pour rouler…

Ce qui sera l’appareil pour Düsseldorf.

Embarquement par l’avant et par l’arrière.

Depuis mon hublot, un CityJet qui file à l’anglaise. Ou à la flamande^^

Puis c’est à nous de prendre la poudre d’escampette ou de filer à la gauloise^^

Oh, un plus gros… Ne se préparait-il pas à rejoindre la grosse pomme ?

En attente avant de pouvoir emprunter la piste pour la remonter.

Un autre FRiste à bord, prêt à immortaliser le départ imminent.

Juste avant l’alignement…

Et c’est parti !

Demi-tour effectué, direction plein Est maintenant !

Il faisait beau à Paris. Mais ça, c’était à Paris. De ce côté de la Manche, …

Oh !

Contenu de la pochette avec le magazine de bord BA.

Et un second magazine.

Une cabine en 2-2 usuelle sur ce type d’appareil.

Comme pour le whisky, juste un doigt.

Sièges inclinables.

Forcément, au-dessus de la couche nuageuse, il fait beau !

Aouch, la bouteille en plastique incolore, ça fait mal aux yeux. Et un peu à l’estomac aussi^^

Profitons plutôt du spectacle extérieur !

Je crois que la descente est bien amorcée…

La campagne allemande.

Et enfin la piste !

Copain !

Arrivée en porte en avance et débarquement rapide.

Et direction la sortie afin de récupérer ma carte d’embarquement pour le 3e vol de la journée sur une troisième compagnie de la dernière grande alliance !

Merci et à bientôt !