Avis du vol entre New York et Toronto en classe Domestic First avec Delta Connection

Bonjour à tous,
Après avoir passé quelques jours à New-York et Washington, il est temps de changer de pays ! C'est au Canada que je me rends, plus précisément à Toronto. Toronto en soi n'est pas une ville qui fait rêver, mais elle offre l'avantage d'être assez proche des chutes du Niagara.
Pour rappel, le routing complet de mes vacances:
ZRH - CDG - AF115 - Business
CDG - JFK - AF10 - La Premiere
JFK - DCA - DL4031 - Domestic First
DCA - JFK - DL4216 - Domestic First
JFK - YYZ - DL4068 - Domestic First (Vous êtes ici)
YUL - JFK - DL3417 - Eco
JFK - LAS - DL443 - Business
SFO - CDG - AF83 - La Premiere
CDG - ZRH - AF1814 - Business (Non reporté)
C'est en Jitney que je me rends au terminal 4. Le Jitney offre une belle vue sur les différents appareils en porte.

Cette fois-ci, je remplis les critères d'admission au Delta Sky Club ! C'est plutôt une bonne nouvelle car ma correspondance est de plus de 4h.
Le salon est grand et peu occupé en ce samedi midi.

De plus, il est idéalement situé et offre une vue sur les appareils au départ et à l'arrivée du terminal 4.

Une première pour moi qui suis habitué aux salons européens. L'alcool n'est pas en libre en service, voir n'est même pas offert.
La sélection de boissons offertes.

Et la multitude de boissons payantes. On peut payer en dollar ou avec ses miles Delta.

La sélection du jour se limitera à une soupe de tomate et un riz espagnol. Je m'attendais à une soupe insipide, et ce n'était pas du tout le cas. Elle avait très bon gout.
Les couverts en plastiques et assiettes en carton ne font pas très classe…

Je termine par un café de ce distributeur Starbucks.

L'offre de presse est très limitée.

Les toilettes sont propres.

Je tuerai le temps en commençant mes flights reports.
L'embarquement se fait dans le strict respect des priorités.

On ne change pas une équipe qui gagne, je commande donc un coca en boisson d'accueil.

L'espace aux jambes est tout à fait convenable pour un vol de 2h.

La fiche d'immigration au Canada est distribuée par la PNC, mais le stylo n'est pas fourni automatiquement. Il faut soit en demander un, soit faire usage du sien.
Un deuxième coca et quelques bretzels pour faire passer le temps.

L'avion est équipé du Wifi, je n'en ferai pas usage. Un vol de deux heures sans presse ni divertissement, c'est un peu long. D'autant que la vue extérieure est bouchée par des nuages.
L'immigration a Toronto est relativement fluide, même s'il n'y a pas de file dédiée aux passagers Business/First. L'agent d'immigration canadien qui s'est occupé de moi était bien plus curieux que ses collègues américains.
L'accès à Toronto Downtown est extrêmement facile depuis Toronto Pearson: il suffit de prendre le UP Express Pearson Airport: environ 25 minutes de trajet et 12CAD. Il y a un train tous les quarts d'heure. Le train est équipé du Wifi, même si ce dernier est un peu lent.