Avis du vol entre Stuttgart et Paris en classe Affaires avec Air France

Bonjour à tous,
je vous retrouve pour une série de premières…. Non je vous rassure, ce n'est pas ce banal vol d'acheminement vers CDG qui en est une, vous êtes habitués à les lire, ce sont plutôt les 12 vols suivants. Oui je vous entraîne dans une série de 13 vols en deux semaines, mon record personnel! Ceux-ci effectués pour la plupart au Brésil, aussi une première pour moi et j'espère bien pas la dernière. Et puis trois nouveaux aéroports pour la banque de données FR: RAO Ribeirao Preto, MII Marilia et GYN Goiania. Avis d'ailleurs aux administrateurs, merci d'ajouter les deux premiers si vous voulez me voir poster un FR de ceux-ci. Enfin c'était ma première à utiliser la fonction Airport Meetup…. et devinez quoi, on s'est retrouvés!!! Oui AK m'a contacté quelques jours avant car il se trouve que nous étions sur le même CDG-GRU ce jour-là. Merci à elle d'avoir égailler mon temps d'attente à CDG et GRU, une belle rencontre. J'espère que ton séjour au Brésil et en Argentine s'est aussi bien passé que le mien.
Ne perdons pas plus de temps, débutons avec les deux premiers vols. De l'extrême classic pour se mettre en jambe: du AF. Oui car AF est souvent pour moi depuis l'Allemagne l'option la moins chère et que au moment de la réservation on ne parler pas encore de grèves à répétition ni de PDG qui démissionne. Prix donc plancher sous les 2000€ A/R en business, à égalité avec TAP Portugal depuis Stuttgart. Pourquoi AF donc? Pour des raisons toutes matérielles: je m'arrête au retour la journée sur Paris pour voir de la famille (là aussi on ne parlait pas de grève SNCF à ce moment), conserver un statut minimal sur Skyteam me permet de prendre un bagage gratuit en tarif MINI et enfin… le cinéma français me manque parfois et je trouve toujours mon bonheur sur AF. En plus sur GRU ce sont les cabines BEST, donc produit normalement de qualité.
Cette fois STOP, place au flight report.
J'arrive avec 1h15 d'avance sur le vol. Les pubs sont aujourd'hui aux couleurs de Vueling qui vole sur Barcelone et Rome. Un peu de monde aux comptoirs AF/KL mais la file SP est vide. Enregistrement illico. C'est pas des plus charmants mais extrêmement efficace.

La sécurité comme souvent est bien chargée le matin de bonne heure mais il y a au terminal 2 (Swiss et Austrian) un passage prioritaire qui marche avec AF/KL/DL. Il faut néanmoins le savoir. Ici déjà le personnel est plus avenant, c'est souvent d'ailleurs le cas.
Direction le salon AF, en nom propre. Petit mais correct.

Cette photo est prise une fois que la plupart des passagers KL soient déjà partis. Souvent le salon est très chargé avec en plus DL vers les 9h et Aeroflot vers les 11h.

L'autre partie de la salle.

Le coin restauration

Le buffet est pauvre ce matin

Cette photo est également la dernière car je me fais reprendre par la dragonne qui me dit que les photos sont interdites :(

De toute façon il est temps d'embarquer, donc direction la porte 316.

Juste le temps de prendre mon avion du jour, un Embraer 190 aux couleurs de HOP!…. et hop nous embarquons.

Je suis parmi les premiers, la CDC n'est pas encore prête, salutations donc à l'arrache et prise de position en 1F, bulkhead.

D'habitude pas fan mais les E190 sont extrêmement confortables.

Mon voisin de droite, à noter que j'aurai un voisin de gauche aussi. HOP pratique la cabine maximale sans siège de libre comme LH Cityline.

Le vol est complet, on repousse à l'heure et on passe devant toute une flopée de Eurowings qui doit bien avoir plus de 50% de part de marché sur STR depuis la chute de ma regrettée airberlin.

Un phénomène rare: le vol avant nous décolle vers l'est, nous partirons vers l'ouest. Le vent est nul. Est ce que STR laisse la liberté aux pilotes dans ce cas et sans atterrissages à cette heure???

On s'engage et s'élance dans la foulée.

Rotate en milieu de piste.

Pleidesheim au fond, un quartier reculé de Stuttgart depuis lequel vous pouvez rejoindre l'aéroport à pied (25min tout de même).

Skyloop, Bosch parking, le parc des expos.

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Echterdingen, commune de l'aéroport

Dans la cuvette le centre ville de Stuttgart

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Mercedes - une ville dans la ville

Les PNC ne perdent pas de temps, livraison du plateau. Le couvercle principal est enlevé, les autres restent. Ce n'est pas briant. Le jambon n'est pas très à mon goût, le fromage sans goût, les blinis ont passé la nuit au frigo dans l'avion et ça se sent, le sirop d'érable est correct. Bonne confitre mais pain hors image froid et de la veille. Peu donc mieux faire. Dommage que les E190 n'ait pas de four pour réchauffer le pain et le plat principal, ça aurait eu une bien meilleure allure.

Dehors le jour devient de plus en plus franc. Entre STR et CDG ce sont normalement près de 45min d'écart au lever du soleil. Le vol durant 55min environ on arrive donc à un soleil 10min plus haut ;)

On repasse sous les nuages

Puis c'est mon activité préférée en cette saison: observer les sillons pour laisser passer les rampes de pulvérisation dans les champs. Au passage mon secteur d'activité ;)

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Touchdown au 2G, il va donc falloir tout remonter.

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Un B772 nous colle aux basckets,

Un A330 nous passe devant

Et HOP! remonte

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et arrive parmi ses frères.

Débarquement par l'avant uniquement.

Et la galère commence. Les FR depuis 1 an sur CDG sont catastrophiques, je confirme.
Paraphe condamné.
3 guichets d'ouvert, un syndicaliste à gauche qui ne fait rien et part en pause 5min après. Bien sûr c'était ma file…

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Enfin j'ai le temps et après 25-30min je suis dans le bus pour le 2L qui lui par contre fonctionne bien sans attente… mais reste un bus quand l'ensemble des aéroports mondiaux de la taille de CDG ont des systèmes sur rails automatisés des plus performants.

Je vous abandonne ici et vous dis à très bientôt.