#66 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
1597 avis
Bonjour à tous chers lecteurs.
En préambule de ce report, je tiens à remercier certains contributeurs qui d'une manière ou d'une autre ont permis cette petite virée aérienne. Quelle que soit la manière dont l'info a été distillée, ce genre d'événement est toujours bon à prendre, surtout en ces temps où les jours des quadriréacteurs sont comptés. Et quand un 747 est programmé les dimanches d'avril sur une route intra-européenne, on pèse (rapidement) le pour et le contre puis (encore plus rapidement) on franchit le pas.
Le 11 mars, mon billet était réservé. Restait à réfléchir aux pré et post-acheminement. C'est par le train que je rejoindrais la première plateforme allemande et par les airs que je rallierais Palma-de-Majorque à ma base lyonnaise. Voilà, le décor est planté, c'est parti !
À noter également que la fonctionnalité "Airport meetup" m'avait permis de savoir que je ne serai pas seul sur ce vol puisqu'Okapi avait lui aussi visé ce même segment à la même date.
Ce vol sera pour moi l'événement de ce printemps (voire du premier semestre) 2023, ces temps-ci étant assez calmes personnellement du côté des airs.
Bonne lecture.
Pour rejoindre FRA, j'ai vite écarté la voie des airs. Les billets étaient hors de prix, les horaires assez délirants. Le départ à 12h30 le dimanche m'imposait donc une nuit outre-Rhin. J'ai jeté mon dévolu sur Mannheim, ville assez agréable et avec des couchages plus que corrects à prix d'amis (56 euros).
L'itinéraire retenu a été celui-ci : Lyon - Strasbourg (en TGV) puis un TER pour Lauterbourg, à la pointe nord-est de l'Alsace.
Première déconvenue : pas de trains entre cette gare et l'Allemagne, la DB ayant des difficultés de production. Je rejoins Wörth am Rhein en bus puis un tram-train vers Karlsruhe. Delà, après une brève visite, direction Heidelberg où j'ai été me balader avant de rejoindre Mannheim dans la soirée.
La météo est bien triste dans cette soirée et je rentrerais assez tôt histoire d'être aussi en pleine forme pour profiter de la journée à venir.
La literie aurait méritée d'être remplacée mais la nuit ne fût pas si mauvaise…
Dans un premier temps, je prends un ICE pour Mainz (Mayence in französisch).
Puis peu après, je m'oriente vers Frankfurt Flughafen avec un train régional. J'arrive à 09h35 dans les sous-sols de l'aéroport.
Je suis bien en avance mais je ne voulais pas stresser inutilement avec un retard ou une suppression de train.
Puis j'attaque sans plus tarder le cheminement.
Mon vol n'est pas encore mentionné sur ces écrans.
Cet immense tableau des départs n'est pas de la première jeunesse mais finalement, il ne sera pas pour me déplaire et bien dans son jus en ce jour de vol avec une vieille dame.
Dont voici le détail un peu plus précisément.
Et bien sûr que je vais garder le maximum de souvenirs de ce vol, à commencer par ce BP en carton.
À ce stade, je me dois de préciser qu'aujourd'hui constitue une première pour moi : je voyage en classe affaire.
Peu après avoir déboursé une place en éco, Lufthansa me propose sa loterie de 0 à 180 euros avec curseur placé à 90 euros. Sans conviction, j'avais laissé l'aiguille à sa place. Et quelques jours avant d'embarquer, l'offre est acceptée. J'en perds ma place côté hublot (52H) et me retrouve à la 12G. J'ai encore l'option 12H que je privilégie, ce qui me permet de me rapprocher de la vue sur l'extérieur.
Direction A52 !
Cette galerie n'est pas la plus rock'n'roll que j'aie pu voir, mais qu'importe, mon esprit est déjà ailleurs..
C'est quand même un peu glauque.
Puis me voilà face à l'unique barrage de ma journée, le PIF. Ce n'est pas la foule, loin de là.
Eh bien je vais pouvoir bénéficier de la fast-track, sous le conseil avisé d'Okapi.
Et avec le sourire et la bienveillance du personnel, le passage du PIF ne me prendra que cinq petites minutes.
On m'a demandé d'enlever mes chaussures pour une inspection un peu plus poussée de mes arpions. Mais c'était demandé avec sagesse. J'avais également oublié une bouteille d'eau dont il restait un petit fond. Avec le sourire également, la femme me l'a remise, m'autorisant à la finir. Pour conclure, c'était un passage de PIF agréable. "Francfort vous aime".
C'est toujours avec la même constance dans le désintérêt que je traverse cette aire commerciale. Ma priorité est désormais de faire un vrai Frühstück (petit déjeuner in französisch).
Et comme me l’a également conseillé Okapi, j’ai le droit au salon - quand je vous dis que j’y connais que tchi dans cette parenthèse dans la « haute société », pour moi l’abonné à la classe éco.
Je présente mon BP à l’agente et le voyant vert nous informe elle et moi que je peux pénétrer dans ce lieux privilégié.
C’est ma seconde expérience en lounge, la toute première étant récente, puisque datant de février dernier à Heathrow où je suis un peu resté un peu sur ma faim, dans tous les sens du terme. Est-ce que LH tient la corde ?
La première impression est bonne. J’aime bien la disposition, ce n’est pas surchargé, c’est aéré.
Le club de la presse.
C'est pas le tout, mais c'est l'heure du casse-croûte !
Après coup, j'ai oublié de gouter les gaufres.
Le coin picole.
Ce qui fut ma sélection. C'était à mon gout. À noter qu'il y a une autre quasi première personnelle, celle de trouver un bretzel comestible. Mission accomplie ! Et salutations à Valérie au passage.
Devant tant d’opulence, je me se suis voté une seconde ration.
Direction les WC du lounge. C’est impeccable, pas d’odeurs, rien à redire.
Le seul point négatif pour moi de ce salon, c’est les vitrages. Bon, d’accord, ce n’est pas très objectif. Mais les rayures compliquent grandement les photos alors que la vue est très intéressante. Je pense que pour 98% des PAX de passage au Lufthansa Business Lounge, ce n’est pas un problème majeur.
Donc pas facile de viser entre les bandes opaques avec un reflex ; voici ce que ça donne : le dernier coucou rentré dans la flotte de LH, j’ai nommé le Dreamliner. Ici, le D-ABPC qui va s’apprêter à relier DTW (Detroit) en LH442.
Autre essai avec ce 747-8i, l'ultime version qui me restera à accrocher à mon flight-log, sous les couleurs de LH ou de KE.
Ici, le D-ABYH, qui est mis en place pour prendre aller prendre ses passagers qui s'envoleront bientôt vers LAX (Los Angeles), vol LH456.
Avant de quitter le lounge, je m'autorise un bon verre de gin Star of Bombay. C'était une bonne touche finale.
Cette expérience dans le Lufthansa Businness Lounge A13 m'a bien plu.
Revoilà donc notre Dreamliner, qui a posé ses roues pour la première fois à Francfort le 19 janvier dernier. Il est baptisé Kiel.
L'objet de toutes mes convoitises, le voilà, je l'ai sous le nez. Je vous présente sa majesté D-ABVX. (À noter que les deux autres dimanches précédents, soit les 02 et 09 avril, c'était aussi le VX qui était aligné).
Un look reconnaissable entre tous.
Pour les présentations, je vous laisse vous référer aux précieuses données fournies par Planespotter.net
Il reste 27 Boeing 747 dans la flotte de Lufthansa :
-19 dans la version -8i
- et seulement 8 -400.
Beaucoup plus anonyme, plus discret, et surtout plus petit, cet A320neo, dont les premiers portent encore les anciennes couleurs de LH. Il vient d'arriver de Munich en LH101 (vol parfois assuré en 789) et va repartir vers Nice en LH1060. Il a été mis en service il y déjà sept ans ! Il ne porte plus la mention "First to fly A320neo".
Un autre 8i, le yankee kilo, qui est revenu de LAX la veille en LH457 et qui fait du béton depuis.
Discret, presque fade au milieu des "bossus", cet A330-300, immatriculé D-AIKK, qui s'est posé il y a quelques heure en provenance de Riyadh (LH637) et qui va repartir vers JFK en LH400.
Le 1500e 747 construit, alias D-ABYP, qui s'en va vers le seuil de piste pour s'envoler vers ORD (Chicago), vol LH430.
Encore un 8i ! Celui-là, le yankee golf, va s'en aller à Washington, en vol LH418.
Ça fait quand même une belle concentration de 747 ici. Pour les amoureux de cet avion, il faut viser FRA et éventuellement ICN, tout du moins pour les versions PAX.
Puis on finit bien modestement, avec cet A320ceo, D-AIUN qui arrive de Nice en LH1059.
Puis cette rareté, mélange d'A319 (si on s'en réfère à l'immatriculation), de MD-80, avec son toboggan d'évacuation déployé, mais à l'arrière, comme un escalier de 727.
Ces fauteuils, sans les avoir essayés, on l'air de rencontrer leur public.
Cette séance finie, je fais la connaissance de Guillaume, allias "Okapi" sur FR. J'en profite pour le remercier pour les conseils distillés puis nous échangeons bien évidemment sur cette passion commune.
Du retard est annoncé, mais ça reste raisonnable. J'ai d'ailleurs largement le temps à PMI. Point de stress pour venir gâcher cette virée en 747.
Puis ça y est, les premières annonces sont diffusées.
C'est un peu la cohue, mais on peut dire que les priorités sont globalement respectées. Et pour une fois, je fais partie des premiers à embarquer.
Cet avion est mitraillé sous toutes ses coutures.
C'est par ici !
La passerelle ne m'autorisera pas un nouveau point de vue.
Spéciale dédicace au Père Fouettaaaaaaaard !
On notera que le passager de la place 1L ne peut pas poser ces bagages face à la porte. Pourquoi c'est pas la 1A ?
L'accueil est assez chaleureux et souriant. On sent les PNC professionnelles mais relativement détendues avec cette destination éminemment touristique. On n'est pas sur un vol vers Tokyo, avec des hommes d'affaires tirés à quatre épingles.
Voici donc mon environnement pour mon vol.
C'est un peu vieillot, mais cossu.
Une boite à pieds qui semble étriquée…
… ce qui est le cas quand on voyage avec de grosses chaussures comme les miennes.
L’instant F-OITN.
La télécommande, facile à utiliser.
Celle-ci s’illumine quand on l’active.
Le contenu de l'accoudoir.
Le rangement du casque…
… et celui-ci.
Le contenu de la pochette.
Et la safety card en détail.
L'écran est de bonne taille pour moi.
La boucle n'est pas logotée mais a quand même un aspect vintage.
Les hublots et leur forme caractéristique.
La cabine se remplie assez rapidement, du moins en J.
Ça, c'est classe.
Et ça aussi.
Et la vue sur les moulins.
À 12h39, on entend l'annonce "Boarding completed". Mais il faudra encore attendre 11 minutes pour être repoussés.
Le commandant de bord nous annonce une heure et trente-cinq minutes de vol.
Les consignes de sécurité sont diffusées.
À 12h56, le taxiing débute vers le seuil de la piste 18. Et cette orientation plein sud est plutôt la bienvenue par rapport à notre destination.
Nous passons à côté de cet A319 D-AIBI qui se fait repousser, avant d'aller à VCE (Venise) en LH326.
Nous passons à côté de ce frère, qui ira à ICN (Séoul) en LH712.
À 13h03, nous sommes alignés et dans la foulée les gaz sont mis.
Et voilà les airs…
Je suis un peu déçu par la sensation. Je gardais en souvenir mon décollage ici même, vers SFO, en version 747-200, en 1996. J'avais été très impressionné et cela avait durablement marqué ma passion naissante des voyages aériens.
La météo n'est pas au rendez-vous.
Je repasse au dessus de Mannheim. Retour à la case départ.
Vue de l'avant (inférieur) de l'appareil.
Les toilettes sont très propres mais je suis un des premiers à les utiliser.
On est presque arrivés ! La queue est encore à FRA et la tête effleure déjà PMI !
La prestation est rapidement servie. Et il vaut mieux, car le vol est assez bref.
Ce n’est pas Byzance puisque c’est un vol moyen courrier. Mais c’était bon.
Couverts en métal avec la fameuse grue
À la vôtre chers reporters. Bon, le champagne était tiède. Pas terrible…
J’ai pris du vin rouge aussi. Là, c’était nettement mieux sans savoir d’où il venait.
Le voyage se poursuit. Je suis pas si loin de ma base.
Vue givrée sur notre quadri.
Les plateaux-repas sont vite débarrassés et rien d’autre n’est proposé mais la descente est déjà imminente, ceci expliquant cela.
À l’approche des Alpes-de-Haute-Provence, le ciel se dégage et l’on peut observer la basse Vallée du Rhône.
Mode pro de géo sur ON
Et là, un peu plus "aux pieds" de l'avion.
À nouveau "au large".
Le Delta Airlines du Rhône, la Camargue.
Puis c’est la Méditerranée, mais ça se voile rapidement.
Ça me laisse peu de temps pour une exploration de l'IFE.
La télécommande, simple à comprendre.
Et voici un rapide survol de l'IFE.
J'ai trouvé ça par hasard. Bien que j'apprécie beaucoup les bandes originales de Tanrantino, je ne connaissais pas cela. Les trois morceaux que j'ai pu écouter étaient très bons.
Les avgeeks n'en perdent pas une miette.
En attendant, les côtes péruviennes approchent.
Terre !
Port de Pollença.
Sa Pobla.
Inca
Posé de roues imminent.
Vue rapide sur l'ex-MD87 EC-GRL de Spannair qui sert désormais aux pompiers de l'aéroport.
Nos dix-huit roues sont au contact de la piste 24R.
Je n'arrive pas à fixer un Dreamliner d'UX, je me contente de celui-ci (EC-MPG) qui fait du béton ici depuis le 10 avril.
Bien plus rare, plus exotique aussi, cet Antonov 26 de Vulkan Air, une compagnie ukrainienne. Avec le même type de coucou, j'ai voyagé sur un vol intérieur cubain, de Santiago à Baracoa, en 1998.
Arrivé la veille de Londres (LGW), cet A320 U2 ne partira vers Berlin que demain.
Düsseldorf ou Palma de Majorque ? Le doute est permis.
Nous ne sommes pas le seul quadri au sol. Cet A340-300 de Swiss HB-JMA qui, pour le compte d'Edelweiss, va repartir vers sa base de Zürich en vol WK249 avant de "reprendre" ses vraies couleurs et rejoindre Johannesburg dans la soirée.
La combinaison parfaite aurait été de prendre cet A343 de ZRH à PMI puis de repartir vers FRA en 744.
Puis nous arrivons en porte, où nous stationnons aux côtés de cette autre belle créature, dont les jours sont comptés.
L'effet Danette est plus modéré. Pourtant, il aura fallu attendre un bon moment pour que la passerelle soit connectée. Pas de stress néanmoins, j'ai largement le temps pour ma correspondance.
Une dernière vue de cette partie de la J de ce 747-400.
Même si je me doute que vu le retard et que l'escale à PMI n'est pas immense, je sollicite les PNC pour demander une visite du cockpit. Et je pense qu'on doit être nombreux à demander cette faveur. On me fait patienter un peu puis au m'autorise à passer au niveau supérieur, avec le sourire.
Et enfin, j'accède au saint des saints. Sur 747, c'est une première pour moi !
Je laisse ma place et je rejoins la sortie où je suis chaleureusement salué par les PNC. Derniers clichés depuis la passerelle.
Même l'avgeek que je suis doit le reconnaître : "The Queen of the skies" a pris un bon coup de vieux. Les lignes de l'A350 sont bien différentes mais il y a tant d'années de progrès qui les séparent. On ne peut quand même pas rester indifférents face à ce museau qui aura profondément marqué de son sceau l'Histoire de l'aviation civile.
Aucun doute quant à ma destination qu'il faudra bien que je prenne le temps de visiter un de ces jours.
Dernier regard depuis l'aérogare.
La vie continue, et le retour vers FRA se profile déjà avant de repartir dans la soirée vers PVG (Shanghai) en LH732.
Le ballet soutenu des vols à PMI se poursuit, avec ces deux appareils et ces deux compagnies qui symbolisent plus l'écrasante majorité des vols qui font les choux gras de cette plateforme.
Quelques données du vol selon FlightRadar24.
Il me reste quelques heures à PMI avant de repartir vers BCN puis LYS en compagnie de Vueling.
J'accepte volontiers la proposition houblonnée d'Okapi puis ce dernier prend son vol vers AMS.
C'est des étoiles (celle de Star Alliance ?) plein les yeux que je vous laisse entre ce vol qui sera surement mon dernier en 747-400.
Cette première expérience en J m'a forcément bien plu. Je suis sur un petit nuage. L'A320neo de VY constituera un changement dans mauvais sens, mais voilà, il faut bien repartir…
Merci de m'avoir lu.
Encore une fois, il ne sera pas simple de noter cette prestation, avec cet hybride LC / MC en mode Avgeek.
FRA : pas tellement la joie de ce que j'ai pu en voir. Mais c'était fonctionnel et cet accès en train est vraiment pratique.
Salon Lufthansa Business Lounge A13 : c'est presque du sans faute pour moi. J'y ai bien mangé, c'était bien clair, agréable, un moment appréciable.
LH : PNC souriantes et attentives. La ration n'était pas énorme, mais c'est le format retenu en MC.
Le fait que j'ai été autorisé à accéder au cockpit malgré la pression d'une escale réduite est un geste que j'apprécie également. Merci aux PNT également.
PMI : c'était propre, clair. Mais je me dis que la période juin/juillet/août doit être surement tendue à certaines heures avec des engorgements.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 14 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Frankfurt (FRA) → Palma De Mallorca (PMI).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Condor avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 2 heures et 3 minutes.
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25 Commentaires
Beaucoup de photos non visibles (nom de fichier incorrect : manque le L de "DLH" dans pas mal des noms de photos et autre chose que je n'arrive pas à identifier :) )
Au plaisir de lire ce FR une fois les photos visibles !!
Bon dimanche
Là, je ne sais plus quoi faire. Les photos s’affichent sur mon PC et sur mon IPad. Celles qui ne s’affichaient pas, je les ai reprises une par une, en les renommant. C’est pour ça que j’en ai en LH, d’autres en DLH. Et j’avoue que je sèche. Je ne vois pas pourquoi ça me fait ça.
Quelle abnégation pour rallier FRA, ça se mérite de prendre un 747
Un passage efficace à FRA ça se souligne par ailleurs.
Au salon du grand classique LH, bien aidé par une fréquentation contenue.
Cette config Business ne me plait guerre car elle n'offre aucune intimité. Cela peut s'avérer génant sur LC pour des pax ne se connaissant pas!
Sur un vol de courte durée comme ici, la cabine J d'un gros porteur (quelle qu'elle soit) est bien entendu synonyme de confort accru.
Sympa les vues "cartes" lors du survol, merci.
Une fin en beauté avec la visite du cockpit, top pour un vol comme celui-ci;
Merci encore pour le FR en espérant que ce premier vol en J en appelle beaucoup d'autres!
Comme Mathieu j'ai beaucoup de photo qui ne s'affiche pas (sur mac),peut être un problème de chargement.
celle de trouver un bretzel comestible. Mission accomplie ! => ce qui n'est pas évident ? , merci pour le clin d'oeil.
C'est sympa de rencontrer l'animal le plus célèbre de FR.
A bord le plateau fait tout petit.
C'est le retour du mode géo, c'est cool.
Beaucoup d'avgeek sur ce vol, ils sont facilement repérables.
Un vol exceptionnel pour une destination européenne.
A bientôt
Quand on rencontre en vrai une personne qui partage les mêmes passions (plutôt qu'à travers ce site), c'est toujours un plus. Cette fonctionnalité Airport Meetup est bien pratique.
C'est pas Byzance, c'est pas à l'image de la taille de l'appareil. Mais c'est apparemment le format sur les vols MC.
Merci. C'est un peu fastidieux à faire, mais si ça fait plaisir, alors je continuerais à le faire.
À ne pas rater !
À bientôt.
Le tableau des départs est superbe, pas besoin de fioritures technologiques pour renseigner le passager.
La cabine business montre son âge avec ces fauteuils en 2-3-2 d'une autre époque. Neanmoins la reine a du potentiel et une modernisation de la cabine lui laisserai encore de beaux jours devant elle. Pour les -400 cela n'arrivera pas mais je croise les doigts pour que la version -8i reçoive une cabine moderne.
Cela va faire plus de 10 ans que je ne suis pas monté dans un 747, il est temps que je m'y remette.
Bon vol !
Je suis resté un petit peu à sa proximité, juste pour le plaisir d'entendre le mécanisme de télépancartage.
Elle a pris un coup de vieux, mais c'était confortable. Après, sur un vol en LC, c'est peut-être une autre histoire.
13 ans pour moi, après un A/R CDG - ICN sous les couleurs de KE. Ça passe vite.
Bons vols.
On ne peut pas dire que Mannheim soit ZE destination touristique outre-Rhin ... mais c'est vrai que FRA y est accessible assez rapidement par le train (certains ICE sont directs depuis la Hauptbahnhof).
Et connaissant la DB c'était assez sage de procéder ainsi.
Toutes mes félicitations pour cette première.
Le pont supérieur n'était pas disponible ?
Was ??? On ne s'est pas trompé d'aéroport ?? lol
Du Sekt mein Herr !
A bientôt.
C'est pas bien glamour, mais ça faisait l'affaire à un bon prix. J'ai volontairement fait un détour par Mainz, mais c'est vrai que depuis Mannheim, j'aurais pu aller directos à FRA.
On parle de la SNCF, mais outre-Rhin, c'est pas toujours brillant. Ça vaut pour la DB mais aussi pour les autres opérateurs. C'est le réseau qui craque principalement.
J'ai le vertige, c'était pas possible pour moi. Plus sérieusement, je n'y ai pas fait attention. Au moment où j'ai été surclassé, LH ne m'a proposé que le niveau principal.
Tout sourire le personnel. Je dois rayonner et apporter le bonheur autour de moi.
Peut-être, je n'ai pas vu l'étiquette. Mais le Sekt est servi tiède habituellement ?
Eh oui, on était un paquet d'avgeek à bord. Je dirais bien 60% en J. LH devrait songer à organiser un peu plus souvent ce genre de vol, à destination des passionnés.
Voyager avec the Queen of the skies est toujours un peu émouvant, pour peu qu'on s'intéresse un minimum à la question.
J'ai souvenir d'avoir embarqué à Madrid depuis le sol sur un 747-200 d'Iberia. Ça en impose ! On est tout petit à bien des égards.
Un ferrovipathe très motivé pour rejoindre FRA ?
Et en prime à bord de la queen ?
Une prestation habituelle pour un vol de cette durée. Accès au cockpit en guise de "cherry on the cake" ? PMI attire de belles bêtes avec ce 340 LX.
A bientôt.
Quand on peut associer plusieurs passions à la fois, c'est de la délectation ! J'avais déjà emprunté ces lignes, mais c'est toujours un plaisir de passer par ces petites lignes.
Si j'avais mieux étudié la question, j'aurais fait ZRH - PMI avec l'A343 puis PMI - FRA en 744.
Bons vols.
Tout ou presque a été dit mais ...
Non, si effectivement on ne peut pas poser de bagages face à la porte, le numéro lui ne correspond pas à la place adjacente mais ... à la porte. Tu es rentré par la porte 1L, celle en face s'appelle 1R, L pour Left R pour Right. Toutes les portes sont numérotées pour faciliter la communication entre les membres d'équipage. Pour le doublet supérieur de mémoire c'est 1UL, 2UL.
Mais merci pour la dédicace :)
A bientôt !
Merci pour ces explications. Je pensais que cet autocollant était à destination des PAX. Mais cette explication d'ex-PNC est claire et complète. Merci à toi.
De nada.
À bientôt !
Même si la machine commence à montrer son âge que cela soit dans la cabine ou au poste il reste la magie du quadriréacteur...
Je conseil le nord et la pointe Est de l'ile sont vraiment de très beau endroit
J'avais eu l'opportunité de voler à bord du 747-8i de LH lors de l'été 2021 sur PMI-FRA mais en éco ... mais j'avais eu la livrée rétro ^^
Bon vols !
Ce vol restera gravé longtemps dans ma mémoire. Une expérience multiple.
Eminemment old school, mais un charme fou.
Il faudra que je me penche sur le problème un de ces jours.
J'ai relu le report il y a quelques jours. Très belle expérience également.
Bons vols.
Un petit surclassement en J pour l'expérience totale avec en prime la rencontre de mon homonyme, c'est le genre de vol idéal qu'on aimerait faire plus souvent !
Je te félicite sincèrement pour le pré-acheminement bien tarabiscoté jusqu'à FRA :) J'aime rejoindre/quitter les aéroports par le chemin des écoliers quand c'est possible !
C'est en connaissant le goût du vinaigre qu'on apprécie le miel :) Même si voler en éco est déjà une grande chance que plus de 90% de la population mondiale n'a pas !
Ah dommage, c'est ce que j'aurais visé en premier car c'est rare d'en voir dans des salons !
A bord le plateau est assez minimaliste, mais au moins il y a un "vrai plat" et visiblement le goût était au rendez-vous.
Sorgues, Châteauneuf-du-Pape... J'y ai habité enfant ! C'est rare de voir ça dans un FR ahahah
A bientôt !
On est bien d'accord !
Quand on peut lier l'utile à l'agréable, pourquoi se gêner !
Un petit surclassement en J pour l'expérience totale avec en prime la rencontre de mon homonyme, c'est le genre de vol idéal qu'on aimerait faire plus souvent !
Prêt à resigner pour ce genre de expérience !
Effectivement, il est utile de préciser que bien des personnes n'ont pas pu encore voyager par les airs même si elles aimeraient bien le faire.
Je pense que bien des PAX ont eu la même vue sans savoir où ils se trouvaient. J'ai une très bonne connaissance de la géographie française et chaque voyage pour moi est un vrai moment de bonheur de pouvoir observer ça de plus haut.
Bons vols.
Rencontre sympathique, je suis content que tu aies pu profiter des avantages de ton billet. Et tu as vu comment récupérer un café moins cher et bien meilleur pour tes prochains passages sans salon.
La vie à bord de ce vénérable avion était plaisante à fond de cale et je vois que l'avant était très bien aussi. Comme l'a dit le commentateur précédent, le -800 m'intéressait beaucoup moins que le -400. On peut dire mission accomplie.
Sympa ta géovision personnalisée. L'arrivée à PMI fut vraiment agréable après la grisaille omniprésente de FRA.
Quant au houblon partagé, il fallait bien que je te fasse profiter de mon traditionnel #jefaismescoursesausalon
Au plaisir de se revoir. Merci pour le partage!
Ç'aurait été dommage que je passe à côté de tout cela. Encore merci pour les précieux conseils.
Tant mieux que ton vol se soit aussi bien passé. Eh oui, les -400 voient leurs jours comptés, et c'est le genre d'opportunités qu'il faut exploiter sans tarder.
Merci merci !
Oui, et Majorque semble être une destination sympathique, sauf peut-être en plein été.
Merci encore pour ce moment partagé avant et après le vol.
Oui, tout à fait, au plaisir de se revoir pour ce même genre d'expérience, avec des coucous d'exception !
Bons vols à toi !
LH aligne régulièrement le 747 sur PMI (et en profite bien d'ailleurs sur les tarifs...), mais faute d'une organisation digne de ce nom je n'ai toujours pas réussi à l'attraper.
Sur un moyen courrier de 2 heures, c'est parfait, pour un long-courrier de 10h, admettons que la cabine est totalement dépassée, notamment avec sa configuration 2/3/2.
Non seulement le mousseux était tiède, mais en plus c'est du sekt et non du champagne : la combinaison de ces deux facteurs n'est pas vraiment gage de qualité...
A bientôt !
C’était quelques dimanches d’avril. Je ne sais pas si la mesure sera reconduite ultérieurement, mais dans le doute, je n’ai pas hésité bien longtemps.
C’est sûr que la place centrale sur un vol FRA - ICN, c’est sans doute pas la meilleure. Et la cabine commence à accuser le poids des années.
J’ose espérer qu’en LC, LH ait un meilleur niveau de service, avec du vrai champagne, et qu’il ait aussi le temps de se rafraîchir.
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