#12 sur 22 Compagnies low-cost Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
184 avis
Bonjour à tous :)
Suite et fin de ce petit périple hivernal à Bordeaux, avec le vol retour sur la low-cost espagnole.
Le récapitulatif du routing, comme d'habitude, est caché ci-dessous :
Le routing :
La veille du vol, l'OLCI Volotea affiche un vol totalement complet. Je suis donc plutôt ravi d'avoir pris un tarif me permettant de sélectionner sans surcoût un siège en issue (le 13A en l'occurrence), je serai un peu moins à l'étroit. Sur mobile, les sièges sont indiqués tous à 11€, pour une raison que j'ignore, mais dans les faits, c'est gratuit.
La liaison entre Bordeaux et Lille a déjà été reportée 7 fois dans ce sens, 8 dans l'autre, mais toujours sur Hop!. Air France a malheureusement arrêté la liaison après le Covid. L'aéroport lillois était en effet desservi par Air France depuis 9 destinations (BOD, BES, LYS, MRS, NTE, NCE, PUF, SXB et TLS) jusqu'en 2020.
Et jusqu'en 2022, 5 lignes AF persistaient encore. Puis uniquement LYS en 2023, et désormais, plus rien…
Pourtant, vu le taux de remplissage de Volotea (qui est en concurrence avec U2 sur la ligne), ça n'est pas la demande qui manque.
Bref, du coup, semi-exclusivité, car je serai le premier à reporter la ligne Volotea que ce soit dans un sens ou dans l'autre ! Et ça sera aussi pour moi ma première fois sur cette ligne.
Ca sera également mon 7e vol sur Volotea (mais le 176e report sur la compagnie espagnole), et mon dixième passage à Lille.
Et mon 301e vol tout court, d'ailleurs ! Oui, le vol précédent était le 300e, mais j'ai oublié ça dans mes stats. Mon 300e vol aurait du être un peu plus glorieux qu'un AMS-BOD, mais bon, avec les annulations de pas mal de voyages, mon planning de vol de 2023 a beaucoup évolué…
Comment commencer un report plus agréablement qu'avec un petit verre d'Armagnac Darroze 1973 (de mémoire, je ne suis plus certain de l'année exacte) ? Surtout après un délicieux repas au restaurant panoramique de la Cité du Vin !
Après ce repas et cet Armagnac s'ensuit une après-midi de travail sieste. C'est un peu en catastrophe que je pars du coworking où nous étions, mon vol partant dans tout juste deux heures et je dois rallier l'aéroport…
Fort heureusement, le tramway circule correctement cette fois, avec de la place assise en prime.
J'arrive donc devant l'aérogare à 17h30, pour un vol à 18h45. Ca devrait le faire !
Les vignes de l'aéroport, avec les rosiers permettant de détecter précocement les maladies pouvant toucher la vigne.
La zone de check-in du hall A rend bien, il faut bien l'avouer. Air France y est d'ailleurs désormais, je suppose que le hall B est totalement fermé ?
En tout cas, du côté de Volotea, à droite, c'est le calme plat, le personnel discute en attendant les passagers. Il faut dire que je ne suis pas très en avance…
Ma valise part rapidement dans les entrailles de BOD, avec sa précieuse cargaison viticole.
Je me retourne pour aller vers le PIF et… C'est quoi cette immense file d'attente ?!
La queue est tellement longue qu'elle dépasse des scan à BP. L'écran au-dessus affiche "6 minutes" comme délai pour passer l'obstacle, je ne sais pas s'il faut rire ou pleurer.
Le système n'est pas KO, c'est juste que le temps est calculé entre le scan du BP sur les portiques, et le scan du BP au moment de poser ses affaires sur le tapis, scan réalisé par un agent.
Sauf que là, l'agent qui scanne tout cela le fait peu après les portiques et pas du tout à la fin de la file. Le résultat est donc claqué au sol.
Je me demande si c'est pas une histoire d'objectif à atteindre pour les équipes du PIF, et que c'est leur moyen de les atteindre malgré l'affluence…
Du coup, j'ai tout mon temps pour vous montrer ce charmant BP fourni au comptoir, en carton.
Au loin, le Fast Track. Pour une fois que je n'y ai pas accès, c'est LE jour où l'attente est démentielle. La file avance d'autant plus lentement que les agents font passer devant les familles avec très jeunes enfants et les passagers ayant des vols donc l'embarquement a déjà commencé (pas une critique hein, c'est logique et normal, mais frustrant malgré tout !).
De manière surprenante, l'ambiance dans la file n'est pas tendue, ça patiente tranquillement, et les agents sont globalement aimables et sympathiques (même si un peu dépassés). C'est toujours ça de pris !
Quand j'approche enfin de la fin de la file, deux lignes ouvrent juste devant moi, ça me fera gagner quelques minutes ! (Seulement 3 lignes étaient ouvertes avant)
A la sortie du PIF, nouveau bordel : La file pour la PAF déborde totalement sur la sortie du PIF, ce qui ralentit d'autant plus la progression globale des passagers… BOD est vraiment infernal quand il veut.
Du côté Schengen, c'est calme. Tout le monde file vers sa porte d'embarquement !
J'aperçois vite fait (tout à droite) l'Embraer de KLM qui s'apprête à repartir pour AMS (avec un petit retard, sans doute du à l'attente de passagers).
J'atteins enfin la "Porte Ibérique", une jetée inaugurée en 2005 pour recevoir notamment les vols Régional (pour AF) à destination de la péninsule ibérique. Le hub Régional n'aura pas duré, et cette jetée est désormais "juste" dédiée aux vols n'utilisant pas de passerelles.
Au moins il est joli et aéré !
Le pré-embarquement est déjà quasiment terminé quand j'arrive en porte 60. Le personnel est peu aimable, et clairement pas souriant.
La zone de pré-embarquement est en fait la zone d'attente des portes 61 à 64, au moins on n'est pas tassés.
L'embarquement est lancé à 18h10, par la même agente peu aimable qu'avant : Elle vient juste ouvrir les portes menant au tarmac, et repart, sans dire un mot, sans aucune annonce. BOD fait tout pour nous donner envie de partir au plus vite…
Allez, oublions l'aéroport de Bordeaux et découvrons le magnifique coucou du jour !
Il s'agit de l'Airbus A320 EC-NNZ, qui a rejoint la flotte Volotea en mars 2021. Il a été construit en 2006, et a volé sous les couleurs de Virgin America jusqu'en 2018, avant de passer sous celles d'Alaska Airlines lors de l'absorption de Virgin US par Alaska Airlines.
Son petit nom, toujours basé sur un jeu de mots comme toute la flotte Volotea, est "Marco Volo". C'est pas le meilleur de la flotte mais ça passe (j'ai hâte de voler à bord de EC-NQN !).
Comme habituellement sur les low-cost, l'embarquement se fait par l'avant et l'arrière de l'appareil. Direction la porte avant pour moi…
Un agent de piste stoppe le flux des passagers à intervalles réguliers, pour éviter un trop gros troupeau sur le tarmac.
Fuselage-shot de cette belle bête…
L'accueil à bord est souriant. L'ambiance de la cabine est du classique Volotea, avec des sièges gris, heureusement agrémentés de têtières colorées pour égayer le tout.
Et me voilà à ma place. Le pas en issue de secours est forcément très généreux !
L'embarquement se poursuit joyeusement, les PNC ne sont pas chiants avec les bagages cabine (pas à forcer de garder les petits sacs sous le siège alors qu'il y a de la place dans les racks), c'est appréciable.
La documentation de bord est en version papier, contrairement aux autres rangées (sauf la 1), on dispose des consignes de sécurité et des consignes spécifiques aux issues de secours.
Je constate qu'en cas qu'amerrissage, toutes les issues peuvent être utilisées. Sur les 737, les issues arrières ne doivent pas être ouvertes, je suis curieux de savoir pourquoi, si quelqu'un sait…
Le ménage à bord de l'appareil est assez léger visiblement, avec cette carte d'embarquement datant d'il y a trois jours dans la pochette du siège. Bah alors Grégoire, on a passé de bonnes vacances à Athènes ? (Et on s'enregistre au dernier moment, vu le numéro de séquence ?)
Les sièges diffèrent de ceux habituellement utilisés par Volotea (des Acro XS slim). On a là des Recaro BL3530, qui font nettement plus qualitatif que les Acro à mon goût. Ils semblent être hérités d'Alaska Airlines, malgré quelques différences par rapport à la compagnie US.
Et bien évidemment, pas de sièges Business à l'avant de la cabine ici ^^
La têtière rappelle l'existence du programme Megavolotea, et ajoute un QR Code pour regarder le menu du BoB (et accéder à l'offre de divertissement en vol).
Boucle de ceinture non siglée, et bandeau de ceinture gris, là encore qui dénote avec les autres appareils de Volotea.
A côté de nous, easyJet repousse pour Milan MXP.
L'embarquement est quasiment terminé à 18h25, mais nous patientons encore, des passagers arrivent toujours au compte-goutte, avec le contrôle PIF qui les a retardé. Le vol semble, comme prévu à l'OLCI, totalement complet ou presque.
L'hôtesse en profite pour venir faire l'habituel speech aux issues, bien détaillé.
L'embarquement est finalement clôturé à 18h30. La cheffe de cabine annonce 1h20 de temps de vol, puis nous repoussons, à 18h38, avec 7 minutes d'avance sur l'horaire.
La PNC précise également que le système de divertissement ne sera pas disponible sur le vol, suite à un problème technique. Dommage, c'est un des avantages de Volotea, ce système de divertissement hors-ligne… Mais au moins, c'est précisé dès le début du vol.
La jetée ibérique est bien vide…
Pendant le roulage, les lumières sont éteintes et un moodlighting orangé est mis en place, ça donne une ambiance vraiment agréable.
Et ça permet de tester la phosphorescence des consignes pour ouvrir l'issue de secours !
Après un court roulage, on s'aligne sur la piste 05…
Et décollage immédiat, direction la couverture nuageuse puis Lille ! Ciao Mamma!
La cheffe de cabine réalise une annonce pour présenter l'équipage, puis annonce le passage du BoB. Le menu papier est distribué par l'équipage (étant donné que l'IFE est HS, il n'est pas non plus possible d'avoir le menu sur téléphone).
Ayant pré-réservé quelque chose, l'hôtesse me donne directement le menu pour que je fasse mon choix. J'apprécie l'effort d'avoir regardé les passagers ayant réservé quelque chose.
Et comme il fait nuit, que c'est nuageux, que l'IFE de l'appareil est HS, ce magazine nous fera donc une saine distraction !
Je trouve globalement le BoB Volotea plutôt cher, en comparant avec d'autres BoB que j'ai consulté récemment, V7 est 15-20% plus cher grosso modo.
J'avais donc inclus de base dans mon billet une boisson chaude (dans le tarif "Combo Plus"). J'y ai rajouté quelques euros pour avoir un snack (et le choix boisson chaude ou fraîche).
Le tout m'est servi avec le sourire, en m'appelant par mon nom, ça donne un petit air "Business", assez amusant sur une low-cost.
Jus d'orange et brownie composeront donc mon repas du soir.
Dur de marathonner ça, la canette dépasse… Le service du BoB aura moyennement du succès, malgré le vol complet et l'horaire adapté à un repas, environ une dizaine de ventes de ce que je constate.
L'équipage commercial prend ensuite sa pause repas dans le galley avant. L'équipage est basé à Bordeaux, et a réalisé avant notre vol une rotation sur Strasbourg. Ils finiront leur journée de travail à 22h30…
L'annonce de l'approche est ensuite réalisée, et la cabine assombrie avant l'atterrissage à Lesquin…
Et atterrissage plutôt doux à 20h02, suivi d'un freinage efficace pour quitter la piste au plus tôt.
On arrive au bloc à 20h06, à côté d'un 737-800 ASL arrivé plus tôt dans l'après-midi d'Alger.
L'immatriculation de ce dernier est d'ailleurs orné d'un curieux drapeau français… A l'envers. Je ne sais pas si c'est habituel ou pas, mais ça me perturbe !
Débarquement avec les salutations souriantes de l'équipage, qui aura été très agréable pendant ce vol. Il est pas beau cet A320 ?!
Le cheminement jusqu'à l'aéroport se fait à pied, derrière des barrières anti-souffle.
Toujours le même 737. Il partira le lendemain pour Oran.
Comme déjà remarqué plusieurs fois, l'aéroport de Lille a la bonne idée de mettre un escalator permettant de remonter du tarmac jusqu'au niveau des arrivées.
Quand j'arrive en haut, les bagages tournent déjà sur le tapis 1, du vol en provenance de Bordeaux… Opéré par easyJet.
Pour celui de Volotea, c'est le tapis 2 ! Le tapis démarre quand je m'en approche, et ma valise sort en 3e position. Efficace !
Landside, c'est assez animé (pour LIL), avec des ballons en guise de décos de Noël.
Petit coup d'oeil sur le FIDS, il reste encore quelques vols à partir ce soir… Dont easyJet et Volotea qui repartent tout deux sur Bordeaux, en concurrence frontale sur le même créneau horaire.
Terminons ce FR avec la trace radar du vol, pas de détour ici, on a filé droit vers l'approche de LIL, à une altitude de 32.000 pieds.
Et voilà pour ce vol et ce petit voyage !
Merci pour votre lecture, vos éventuels commentaires, et on se retrouve bientôt pour un nouveau routing, sans doute tout récent :)
A bientôt !
Vol Volotea plutôt agréable, la compagnie offre des tarifs que je trouve souvent assez attractifs sur des liaisons abandonnées par les legacies.
A bord, ça reste du low-cost, avec une cabine classique, un BoB un peu cher mais complet, et un équipage très sympathique.
Mes seules remarques seront sur le divertissement : Le système de divertissement "hors ligne" était HS sur ce vol, dommage car sinon c'est assez qualitatif. Et ça manque de prise électrique/USB aussi (surtout si on veut regarder un film sur l'IFE fonctionnel).
Par contre, l'expérience à BOD n'est pas vraiment très concluante... Entre la fluidité du PIF (et de la PAF d'ailleurs) catastrophique, le personnel d'embarquement désagréable, on ne peut pas dire que le souvenir de mon passage là-bas soit très bon...
A Lille, pas grand chose à signaler, à part l'accès en transports en commun qui est assez mauvais (car direct peu fréquent et cher, bus qui ne passe plus après 20 heures)...
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 8 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Bordeaux (BOD) → Lille (LIL).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 13 minutes.
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16 Commentaires
Un zéro pointé à BOD qui fait pire que BoB. Pour nous faire préférer le travail ´, mode de déplacement vertueux et en grève ?
Le siège en issue de secours rend le vol agréable.
À bientôt !
J'aurais bien voulu terminer le report aussi avec un petit Armagnac, malheureusement Volotea n'a pas une cave très fournie ^^
C'est sûr qu'avec des expériences aéroportuaires comme ça les solutions autre que l'avion deviennent tout de suite plus intéressantes...
Je m'embourgeoise mais j'ai désormais beaucoup de mal à voyager sans un siège en issue ou au pitch amélioré !
A bientôt :)
L’évacuation maritime sur 737 n’est en principe pas possible par les portes arrières car ces dernières se trouveraient sous la ligne de flottaison. Si malgré tout les conditions le permettent, elles peuvent être utilisées.
Pour autant sur Airbus cela arrive aussi cf le vol united qui a amerri dans l’Hudson (les portes arrières n’ont pas pu être utilisées).
Merci pour le commentaire, et pour l'explication ! C'est plutôt logique en effet, ça serait dommage de couler l'appareil ^^
A bientôt :)
Espérons aussi qu'il rouvre d'ici l'été, sinon ça va être intenable à BOD, un seul terminal...
A bientôt
Et oui encore une ligne fermée par AF alors qu'à l'époque il y avait 3 vols quotidiens... Le TGV est en plus assez long sur cet axe à cause du contournement de Paris.
Volotea et les autres font donc bien d'en profiter !
A bientôt !
Clairement le TGV n'est pas une alternative pour des voyages pro ou des courts séjours sur un tel trajet... J'espère qu'un jour AF remettra les pieds à Lille (mais bon, j'ai de grands espoirs je crois ^^' )
Heureusement que les autres en profitent oui, sinon le paysage aérien français serait bien triste !
A bientôt :)
BOD est classé pire aéroport français, c’est dire !
Une place aux issues rends le voyage plus agréable.
Merci pour cette contribution, à bientôt…
BOD mérite entièrement son classement, même si parfois NTE essaie de le rattraper ^^
L'issue est un plaisir peu cher mais Ô combien appréciable !
A bientôt :)
Quelle horreur à BOD...
Air Bonne Maman fait le job, le prix justifiant l'absence de certains services.
A bientôt.
BOD s'est dépassé pour donner le pire possible, j'ai du mal à comprendre comment les décisionnaires qui affectent les ressources peuvent être surpris par une forte affluence un vendredi soir une semaine avant Noël ^^'
V7 a un bon rapport qualité prix, et je trouve sa tarification plus claire qu'U2 ou FR.
A bientôt :)
Oui, le réseau domestique sans passage par Paris est quasiment totalement laissé aux low-cost... Même la SNCF n'y met pas du sien pour concurrencer l'avion, avec quasiment toujours du passage par Paris + changement de gare obligatoire, et réduction des TGV directs province <> province... J'ai beau beaucoup aimer prendre l'avion, par les temps qui courent, une offre ferroviaire digne de ce nom serait la bienvenue pour concurrencer tout ça et pour l'aspect écolo, mais on est bien loin d'avoir ça... Bref, je m'égare ^^
Oui, l'ambiance était globalement bien bonne, à part la préposée à l'embarquement, donc pas de (trop) mauvais souvenirs ^^
Volotea est une bonne compagnie quand tout va bien, mais en effet, sa gestion des imprévus n'est pas toujours au top. Et les annulations de vol sont assez fréquentes quelques semaines à l'avance si le remplissage est mauvais.
Et en effet pour le BoB, un léger surcoût sur cet aspect de la gamme tarifaire mais des produits plus primordiaux moins chers (bagage cabine par exemple), c'est plus logique et plus attractif !
Clairement, la demande régionale est là, la clientèle a peut être changé par rapport aux vols AF (moins de pro, plus de loisirs), mais ya de quoi faire en tout cas !
A bientôt :)
euh encore une liaison sur TO à venir?
Félicitations pour le 301ème FR!
et au passage de faire joli!
Alors là tu m'as appris un truc avec ce hub Ibérique! La demande était si forte qu'AF y stationnait des Ejets juste pour ce pays?
y'a pas une faute de frappe? :p
je n'ai jamais pris Volotea mais c'est un bon point
dommage pour le divertissement qui ne marchait pas.
Vu que TO a totalement déserté LIL en même temps qu'AF en 2023 (de mémoire TO opérait encore sur LIL - MRS), je ne suis pas certain que la LCC d'Air France revienne de sitôt dans le Nord, malheureusement :/
301e vol* ! Mais merci :P
Je sais pas si la demande était si forte, mais en tout cas, Air France a tenté le coup ! Mais comme le hub n'a duré que 3-4 ans, je pense que ça n'a pas fonctionné (après, est-ce un manque de demande, ou bien une gestion pas terrible d'AF...)
Faut dire ça aux marketing Volotea qui trouve les noms des avions :P
Et oui Volotea globalement ça fait le taf sans prise de tête, c'est ce que j'apprécie. On n'est pas sur de l'ultra low-cost à la Ryanair !
A bientôt :)
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