Bonjour à tous,
On entame l'ultime vol de ce routing nord-américain avec une liaison bien connue sur FR mais qui reste une première pour votre serviteur.
Ce sera en effet mon premier passage dans ce célèbre aéroport, ainsi que mon premier vol Air France avec un numéro "historique" à 1 chiffre (AF3).
Enfin, nouveauté de taille : pour mon 297e vol, je prendrai mon tout premier… 777 ! (svp pas taper ^^)
Je vais considérer cela non pas comme une lacune, mais plutôt un exploit d'avoir réussi à "éviter" cet avion sur mes quelques précédents voyages long-courriers. Non pas que je ne l'aime pas, mais il y avait tellement plus prioritaire (comme des A340 par exemple ^^).
Néanmoins, il était plus que temps que de loguer le 777-200ER, ces derniers commencent à avoir de la bouteille chez notre compagnie porte drapeaux et j'aimerai bien éviter de le louper.
Petit rappel du routing ci-dessous :
Enchainement de vols
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- 4
- 5
- 6
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- 8
- 9
- 10
- 11
- 12
- 13JFK → CDG | Air France | 777-200ER
Après une visite express de New York relatée dans le bonus du précédent opus, je me dirige vers la Pennsylvania Station d'où je prendrai le train pour Jamaica.
J'aurai un peu galéré à comprendre où retirer mon ticket.
Il fallait en effet descendre un étage en-dessous pour trouver les bonnes bornes.
Je me ferai ensuite "arnaquer" par la machine qui ne me délivrera que le reçu, sans ticket ! En l'absence d'agents de vente ou d'aide dans les parages, je me dirigerai vers le quai, et dès le premier train à quai, je m'empresse de trouver son contrôleur. Ce dernier me confirme que je ne peux pas embarquer et qu'il me faut un nouveau ticket. Je retourne donc à la zone des bornes (en ne prenant pas la même !), et cette fois j'obtiens bien le reçu + le ticket. En plus d'avoir perdu $6, il me faut à nouveau attendre le train suivant.
Une fois à bord, je goûte avec bonheur l'air climatisé. Une bénédiction par rapport à l'air moite et étouffant de la ville et de la gare.
Le train est désert et je m'empresse de m'assurer auprès du nouveau contrôleur que je suis dans le bon train et que le ticket est bien le bon. Ouf, c'est le cas pour les deux ^^
35min plus tard, me voici à Jamaica Station. Avec cette histoire de ticket, l'ensemble du trajet m'aura pris une bonne heure. Heureusement que j'avais une très grosse marge devant moi.
D'autant plus qu'il me reste encore à prendre l'AirTrain.
C'est déjà bien plus moderne et accueillant que le métro et le train de banlieue. Néanmoins, $8 pour un court trajet indispensable, plus les $6 du train et les $6 avalés par le bandit manchot (nom bien justifié en l'occurrence), soit $22, ça fait un peu mal pour du transport en commun ! C'est de loin l'accès le plus cher que j'ai eu jusqu'à présent (hors train express "premium", comme on dit de nos jour ^^).
Et pour ce prix, il n'y a également aucune desserte des terminaux 1 et 2 pour cause de travaux. C'est pas de chance certes, mais ça n'aide pas à avaler la facture ^^
Au moins, l'infographie est très claire pour trouver les bus de substitution.
A bord, cela reste un métro à pneu comme on en voit partout, ou presque.
Avec une belle vue depuis l'avant.
Je cherche les "perles" rares présentes à JFK ^^
Une fois arrivés au terminal 8, il faut descendre vers l'étage des bus.
Et j'en attraperai un à la volée.
Durée du trajet : 10min, le temps de ressortir de l'aéroport, prendre des bretelles aériennes et souterraines avant de revenir finalement au cœur du "circle".
Me voici enfin au terminal 1 ! Il m'aura fallu 1h45 porte à porte depuis la Pennsylvania Station.
S'il y a bien un truc que j'adore avec les aéroports américains, ce sont les devantures affichant toutes les compagnies aériennes présentes.
Alors forcément, je m'amuse à chercher celle d'AF ^^ Au loin, Sata Azores qui rappellent que cette même compagnie y venait il y a quelques années en A310 (la belle époque…)
Je pénètre définitivement dans cet espace climatisé et sec. C'est dans ces circonstances qu'un accès salon avec une douche n'aurait pas été du luxe ^^
Mais à défaut de salon, je suis tout de même éligible à l'enregistrement prioritaire, et vu le monde, c'est plutôt une chance :)
Un petit panneau vante l'arrivée de l'A350 sur JFK. Mais je me contenterai très bien de ce 777-200ER ce soir !
L'agente est adorable, et s'exclamera avec un parfait français tinté d'un délicat accent new yorkais "oh ! Vous venez de La Guardia ? J'espère que cela n'a pas été trop fatiguant !" Quand bien même l'annulation du premier tronçon fut du ressort de Delta, pas d'AF, un petit mot inattendu comme celui-ci fait plaisir :) Merci pour l'accueil et le sourire madame ! Je récupère le précieux sésame pour cette dernière étape.
En revanche, je passerai la TSA avec tout le monde, ce qui prendra une bonne demi-heure. Nous sommes en pleine "heure de pointe française" avec encore 2 vol AF au départ dans les 2 prochaines heures, ce qui est impressionnant ! L'attente aurait été sans doute moins pénible si je n'avais pas été entouré de français ronchonnant. Faut pas partir pendant les vacances scolaires, voire pas partir tout court si on n'est jamais content de rien ^^
Avec un peu de patience, rien n'est long ! La TSA de JFK est certes moins agréable que dans les petits aéroports du Kansas ou de l'Oklahmoa mais au moins ils débitent au maximum de leur capacité.
Le tableau des départs du soir, avec les nombreux RER pour Paris ^^ Pour ma part, je prends le dernier.
Je visite de long en large le terminal 1, mais celui-ci est beaucoup moins accueillant airside que landside.
Je rêvais tant d'une bière fraîche, je m'arrête dans le premier commerce rencontré. Je demande une pression, on me servira une canette tiède, qui plus est m'explosera jusqu'à la tête, le tout pour $9. Ce n'était pas la douche froide que j'espérais ^^
Je suis probablement tombé sur la pire enseigne du terminal, mais cela ne me donne pas envie de tester un autre commerce de bouche. J'ai bien fait de prendre mon petit burger délicieux en centre-ville ^^
Vers 23h50, je décide de me rapprocher de la porte.
Ici, ça embarque pour Paris, mais ce n'est pas encore mon vol ^^
Mon avion est de l'autre côté du terminal, ici-même. Il est arrivé 5h auparavant avec l'AF10.
Il s'agit du F-GSPI, le neuvième 777 livré à Air France en 1999. J'avais espéré tomber sur la livrée "crevette" avec un nom de baptême, mais c'est raté ^^
Le même sous un autre angle.
N'ayant rien à faire d'autre, et vu que tous les sièges de la zone sont occupés, j'irai m'asseoir en bord de verrière sur le radiateur. Cela tombe bien, je suis pile en premier de file zone 3. Vu ma fatigue, j'ai plus que hâte d'embarquer.
Cette position me permettra de suivre les préparations en porte. Il y aura 5 agents en tout pour gérer l'embarquement.
Cependant, l'heure tourne et rien ne semble se passer, et le camion de catering attend sur place depuis 30min. L'équipage ne semble pas être présent à bord. Vers 00h15, le retard est enfin officialisé avec un embarquement prévu à 00h50. Le motif évoqué en français est "arrivée tardive de l'appareil". Mouais mouais, il est là depuis 18h50 !
Pourquoi ne pas dire la vérité, c'est-à-dire, arrivée tardive de l'équipage ? Parce qu'on le verra passer ici tôt ou tard de toute façon.
Pour preuve, le cockpit plongé dans le noir est désespérément vide, tandis que le camion de catering est reparti faire un tour.
Les minutes passent longuement. Et enfin, à 00h35, l'équipage arrive au compte goutte. Les PNT et quelques PNC marchent en effet d'un pas rapide et s'empressent de rejoindre l'avion. Les PNC restants arriveront 5min après d'un pas lent et nonchalant, animés par une conversation sonore. Je repère un PNC en particulier qui raconte bruyamment à son collègue sa journée de visites. Un poil gênant, surtout quand on arrive à la bourre au milieu des passagers silencieux.
Jusqu'à présent, j'ai toujours été bien loti avec les équipages AF. Cette fois, j'ai comme un mauvais pressentiment.
En tout cas, le cockpit a repris vie, tandis qu'un superbe 787-9 Norse passe juste derrière.
Les PMR arrivent 15min plus tard, ça sent bon l'embarquement tout ça :)
Il est 1h00 lorsque je pénètre à mon tour dans ce bon vieux 772. Accueil souriant par la CCY en porte, mais je tombe sur le "PNC sonore" de tout à l'heure qui semble officier dans ma rangée. Damn !
Je ne vous ferai pas l'affront de faire une revue de détail de cette cabine bien connue (mais que je découvre néanmoins).
Je me suis placé en deuxième rangée de la seconde cabine Y, afin de ne pas être trop loin des ailes tout en évitant les rangées aveugles (merci Aerolopa !)
On retrouve coussins, couvertures et accessoires habituels.
Un peu de littérature :)
Et un p'tit instant bibi pour la forme.
Pendant que l'embarquement suit son cours, j'explore le contenu de l'IFE.
Il y a de quoi bien bercer mes oreilles :)
Et l'offre de films est plus vaste que vaste. Toujours un excellent point avec AF.
Même si rien ne vaut l'IFE extérieur ^^
Mon autre programme préféré :)
L'heure d'arrivée locale n'est pas tout à fait exacte ^^
Viendra un moment vraiment gênant, toujours avec notre "PNC sonore" qui saluera à vive voix une jeune femme placée 2 rang derrière moi, en lui demandant si ça allait bien depuis tout à l'heure à l'hôtel, suivit d'un clin d’œil. Vraiment pas discret le gars… Mérite bien son surnom.
En fin d'embarquement, le CDB adresse un mot de bienvenue en s'excusant pour le retard lié… à l'arrivée tardive de l'appareil (ce qui n'est pas vrai, comme vous le savez ^^).
Nous finirons par repousser à 1h31, soit H+36. Pas si mal, surtout si on a du vent arrière en croisière.
Quelques consignes élémentaires, avec la nouvelle version que je ne connaissais pas encore.
Bye bye sir !
On contourne l'antre de Delta.
J'avais pris cette photo pour tenter de me rappeler sur quelle piste nous avions décollé : peine perdue ^^
Nous sommes partis en 13R ou 4L. Je pense plus pour la 13R, sans aucune certitude.
Toujours est-il que le vrombissement sourd et libérateur retentira à 1h47. De ma position, impossible d'entendre le chant légendaire de nos GE90-94B. Il faudra que je me place devant les ailes une prochaine fois. Par contre, on sent bien que la bête est plus puissante que mon quadrimoteur préféré !
Bye bye JFK !
Les conditions météo sont parfaites pour observer les milles et une lumières de l'agglomération new yorkaise. Cela ne vaut évidemment pas un départ de jour, mais c'est très joli malgré tout !
Nous longeons la South Oyster bay.
J'ai essayé d'identifier quelques communes, mais il y en a une myriade le long de la côte !
On passe l'altitude de transition et les lumières défilent de plus en plus vite. Les PNT libèrent les PNC qui laisseront la cabine dans la pénombre, vu l'heure tardive. Ça, c'est gentil ! Non pas pour dormir, mais pour continuer à observer le paysage sans reflets !
Mais c'était sans compter l'intervention du "PNC sonore" (toujours le même. Décidément, il les cumule !).
- PNC : "Je vais vous demander de fermer le hublot"
- moi : "J'observe le paysage, mais je le fermerai après le repas"
- PNC : "Non, vous devez le fermer maintenant, de toute façon il n'y a plus rien à voir."
- moi : "Si, il y a toute la côte Est illuminée, c'est superbe. Mais promis, mon hublot sera fermée dès que je dormirai"
- PNC : "Quand je vous dit qu'il faut le fermer, il faut le ferme, compris ?"
S'il voulait définitivement m'énerver, il y a réussi… J'obtempère momentanément.
Décidé à ne pas rater le spectacle, j’entrouvre à nouveau mon hublot, juste le nécessaire pour y passer le téléphone et voir un peu avec mes propres yeux, ce qui me vaudra une remarque de ma voisine "Il vous a dit de fermer le hublot", comme si la sécurité du vol en dépendait. Soupirs…
Avec tout ça, j'ai loupé pas mal de choses. Je raccroche au niveau du Great South Bay Bridge.
Les villes deviennent plus clairsemées au bout de la Long Island.
Absorbé par le paysage, bercé par l'ambiance calme du bord et hypnotisé par l'incessant clignotement des feux anti-collision, je ne ferai pas attention au début du service, ce qui m'apportera une nouvelle remontrance du PNC, car j'ai encore 5cm de hublot ouvert. F-OITN a une âme rebelle ce soir !
Le plat principal, constitué de riz, carottes petits pois, poulet sauce tomate, était plutôt bon. La salade était plutôt insipide.
Le dessert, une sorte de cake, n'était pas mauvais. Un petit morceau de cheddar sous vide sans âme et de l'eau emballée. Ça fait le job, mais sans plus.
Côté boissons, j'aurai le droit à un petit haussement de sourcils de la part du PNC lorsque je lui demanderai quelques fines bulles. Merci pour cette délicate réaction…
Comme il est toujours aussi discret, je l'entend dire à son collègue qu'il ne prendra pas le quart, ce qui signifie que je ne devrais pas le recroiser pendant un bon moment. Bon débarras ! Néanmoins, il viendra à ma hauteur pour contrôler que mon cache hublot est bien fermé.
Quel …… !
Comme je dois me recaler au plus vite sur le fuseau horaire français. Je décide de ne dormir qu'une petite heure ou deux. Je me fais donc une petite sélection cinématographique.
Tandis que nous abordons la traversée transatlantique, tout le monde autour de moi dort, la cabine plongée dans le noir. J'ai l'impression d'être seul au milieu de nul part.
J'adore cette ambiance où tout est paisible et silencieux, comme suspendu dans le temps. La magie du long-courrier m'avait tant manqué !
Néanmoins, j'aurai aimé recroiser l'équipage merveilleux de l'AF727 Conakry-Nouakcbott-Paris :)
A mi-chemin, j'essaie de faire quelques poses longues avec mon APN pour vérifier qu'il n'y ait pas d'aurores. Nous sommes bas en latitude mais on ne sait jamais ^^ Le ciel restera d'un noir d'encre, d'autant plus que la lune s'est couchée elle aussi.
Nous voici quasiment à mi-chemin.
Et tandis que nos feux clignotent toujours aussi vaillamment, le ciel s'éclaircit déjà.
Si ça continue comme cela, il va finir par faire jour !
555kn / 1028km/h de vitesse sol, ça pousse fort derrière !
Moment suspendu…
A 5h29 américaines, le grand jour est revenu.
Avertissement :
Je précise que mon hublot est resté fermé à 98%, les 2% restants ayant été colmatés par un téléphone et une main, suppléés par une couche protectrice constituée : d'un manteau, d'un pull, d'une couverture polaire, d'un oreiller, le tout solidement tenu avec un genou, l'autre main et ma tête.
L'ensemble relativement précaire et très inconfortable aura ainsi permit à mon téléphone une observation parfaite du paysage tout en laissant la cabine dans une parfaite pénombre. Aucune rétine de passager ni de PNC ronchon n'aura été blessée durant l'opération.
De toute façon, si on veut survivre au décalage horaire, et quand bien même votre serviteur à une tête de hibou ébouriffé qui n'a pas dormi depuis 24h, ce n'est pas un moment judicieux pour s'endormir. D'ailleurs, on arrive bientôt chez les anglais !
Rien de tel que ce classique pour garder la forme (enfin ce qu'il en reste !).
Une heure avant notre arrivée, le traditionnel panier-orgie nous est servi. Mon ami, le "PNC sonore", n'a pas l'air bien réveillé puisqu'il ne dira point de mot sympathique. Grand bien m'en fasse !
Le contenu, avec son jus d'orange plus qu'industriel, et son cake au fruit rouge (néanmoins bon) rappellent que ce catering est 100% américain. Je préfère toutefois largement ce sac bon appétit qu'un petit déj chaud avec une omelette ou une saucisse, ce qui de bon matin n'est pas du tout, mais alors pas du tout à mon goût ^^ Sur ce vol très court, je trouve que c'est pertinent. Ça l'est bien moins sur un vol de 10h évidemment.
Nous sommes au royaume des cumuls congestus au large du Royaume Uni.
Les anglais ont même de belles éclaircies.
Nous commencerons notre descente au-dessus du Cotentin et le CDB demandera aux PNC d'anticiper la préparation cabine en raison des turbulences attendues pendant la descente.
Profitons donc des quelques minutes de beau temps qui nous sont encore accordées.
Diantre, c'est vrai que ça secoue un tantinet là-dedans. Au moins, cela réveillera tout le monde, c'est pratique.
Comme souvent à CDG, l'ATC nous fait tenir un long-palier à l'ouest de Paris alors que nous nous poserons face à l'est. Encore heureux, le palier sera au FL120, nous évitant de contourner Paris en se traînant à 250kn.
Puis on se positionnera en longue finale piste 27 droite.
C'est joli par ici ^^
Gear down. A l'instar des autres widebodies de Boeing, l'aileron intermédiaire entre les deux flaps permet de bien apprécier les nombreuses correction du pilotage. Le vent doit bien souffler.
Tiens, je reconnais…
chblouf, freinage bien humide ^^
Décollage tout aussi humide d'un 737-800 SK.
On croise ce détrempé et magnifique A350.
N'ayant jamais mis les pieds au hall M, j'espérais y arriver cette fois-ci. Raté, ce sera le hall L. Nous y ferons bloc à 13h31, soit H+26. Quand on vient de parcourir 5'840Km, et en l'absence de correspondance, un retard de 26min est plus qu'acceptable.
Je ne saluerai pas le "PNC Sonore" qui m'aura bien pourri l'expérience à bord, mais saluerai néanmoins ses collègues qui avaient l'air bien plus sympathiques (ce qui n'était du reste pas difficile).
Un petit fuselage shot pour la route.
C'est vrai que c'est gros, un GE90 ! On doit y mettre 2 CFM56 de 340 dedans :O
Un de ses petits frères.
Le cheminement que je trouvais parfois un peu long est si court en comparaison de ce que j'ai parcouru à Denver ou Salt Lake ^^
Dommage, pas de passerelle surplombant les taxiways, ce sera LISA pour tout le monde.
Cela s'agglutine un peu à la PAF, mais PARAFE fonctionne heureusement.
10min plus tard, je suis prêt à récupérer mon conteneur à roulettes.
Plus qu'un petit coup de RER B qui, comme à Denver, ratera beaucoup d'arrêt intermédiaires (sauf que là, c'était prévu ^^).
Encore quelques heures à tenir éveillé avant une nuit salvatrice et réparatrice !
Merci pour votre patiente lecture durant tout ce routing américain. Ce dernier m'aura permit de réaliser quelques vieux rêves et d'emprunter quelques vieilleries volantes et uniques. Dans l'ensemble, un carton plein et plein de superbes souvenirs en tête !
A bientôt !
Commencer le routine par la fin: fait.
OK je ne suis pas un grand fan des trajets américains en narrowbody. Mais est ce une excuse ?
Quelle poisse un tel PNC à bord ! Ce genre de personnel n'a vraiment plus rien à faire dans un avion. Espérons que depuis le vol, il ait réussi un changement de cap.
Cela n'enlève en rien l'impardonnable excuse mensongère quant au retard au départ.
Catering qui n'envoie pas du rêve. Mais de toute façon entre poulet ou pâtes, de façon générale, on est bien loin du rêve culinaire à la française.
Merci pour ce report. À bientot
Routing bien sur et non routine... Vive le correcteur auto (qui me laisse le catering sans le transformer en Catherine ^^)
Merci pour ce clap de fin Cyrille à bord de ce 777, un première pour toi il était temps! Mieux vaut tard que jamais comme on dit ;)
Je ne me souvenais pas que le trajet jusqu'à JFK était aussi long depuis Manhattan lol
A bord tu es tombé sur un PNC non seulement bruyant mais en plus désagréable.
Et ta voisine... mais de quoi je me mêle sans déconner... des claques se perdent. D'autant plus que tu as précisé que tu allais fermer le hublot dans pas très longtemps.
A bientôt pour un nouveau routing!
Merci Cyrille pour ce routing US.
297 vols pour arriver à ton 1er 777 toutes compagnies confondues ? Chapeau !
Ahhhh les interminables travaux à JFK, toujours pas finis à l’heure actuelle mais au moins, l’AirTrain refonctionne, payer 8$ pour ne même pas se faire emmener au terminal, c’est vraiment une honte…
Personnel sympa au comptoir, comme souvent à JFK, beaucoup d’attente à la TSA… Ça ne change pas non plus, au T1, je n’ai jamais attendu moins de 30 minutes.
À bord, c’est du AF bien connu, une cabine qui prend doucement des années mais qui reste très confortable malgré tout. Des PNC dans l’ensemble souriants, si l’on excepte ton « ami ». La prestation au niveau du catering est très correcte sur ce vol qui part extrêmement tard. L’excuse du retard est bien trouvée mais c’est raté, les passagers ne sont sûrement pas dupes. Après, peut-être que « l’appareil » en question était la navette hôtel-aéroport de l’équipage ?
Un vol que j’ai pris en août 2023 qui est idéal pour profiter d’une journée complète à New York et qui permet même de dîner à Manhattan avant de rentrer. Par contre, l’horaire est très rude, je me souviens même d’avoir mis des réveils sur mon téléphone au salon pour ne pas louper l’embarquement.
À l’arrivée, peu d’attente à la PAF, 10 minutes, on peut considérer que ça reste un score correct… Paris nous aime… Parfois ! ;-)
À bientôt !
Rien de plus horripilant que de ne pas pouvoir profiter de la vue en avion…je me suis laissé dire que les équipages AF obscurcissaient systématiquement l’ensemble des hublots sur 787 sans plus laisser le choix aux passagers. Non mais allo quoi ^^
Merci pour le partage.
Merci pour le partage,
Les joies d'un catering au départ des USA combinées au charme de ce qui ressemble à l'un des pires PNC d'Air France.
A quoi sert le hublot si on ne peut pas regarder à travers ?
Heureusement la cabine économique n'est pas trop mal et l'IFE est très bon.
A bientôt,
Après autant de vol, voler pour la première fois sur un 777 en devient une belle prise avgeek 😄
Qu’est-ce que ça peut lui faire si le hublot est ouvert pendant la nuit, tant qu’il est fermé après le service? Je comprends pas ce genre d’inflexibilité…
En plus c’est beau de voir les villes illuminées de haut.
Merci pour ce FR
Salut Cyrille et merci pour ce FR et plus largement pour toute cette série que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire !
Je ne sais pas si ça existait au moment de ton vol, mais j'ai pu l'acheter directement en dématérialisé sur l'application "MTA LIRR".
Pour le passage de la douane, j'ignore si j'ai eu de la chance ou si l'heure un peu plus tôt que ton vol joue, mais sur mon premier vol AF9 il y avait peu de monde, et pour le dernier j'étais carrément seul...
J'ai aussi été victime du même syndrome de la fermeture de hublot demandée très rapidement par l'équipage sur mon AF9 d'il y a quelques mois. Ca sent donc la procédure (débile) 😞
A bientôt !