Bonjour et bienvenue sur mon deuxième FR, qui nous mènera cette fois de Washington à Paris pour le vol retour.
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Le vol aller a déjà été « reporté » sur ce site : Vol AF28 CDG-IAD - Affaires / 63A - 18/07/2014 - A380-800 F-HPJD.
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(courte) Introduction / Rappel
L'A/R a été acheté en mai à l'occasion des Primes@ Promo Air France, pour un peu moins de 500€ de taxes et 62 500 Miles.
Il s'agit, outre d'une première expérience en classe Affaires, d'un premier voyage aux États-Unis, qui fût également pour moi l'occasion de tester pour la première fois le confort de l'A380… et en fait également du 777 pour le vol retour (bizarrement ça ne paraît pas si enthousiasmant, mais je demande tout de même un panneau « instant d'émotion »).
Je m'excuse également par avance : ce vol étant un vol de nuit, les rares photos ne sont pas forcément de très bonne qualité.
Là où les choses sérieuses commencent
Après une semaine passée à ne faire à peu près que marcher à travers Washington, il est temps de dire au revoir à cette très jolie ville.
Dernière balade autour de l'hôtel pour profiter une ultime fois du quartier de Georgetown qui, oui mesdames et messieurs, dispose lui aussi de son Canal du Midi ! Les platanes malades en moins…
Et parce que le shopping n'a malheureusement pas réussi à occuper toute la journée, malgré les très nombreuses boutiques du quartier, on a évidemment pris le temps de tester la bonne gastronomie locale de chez Ben & Jerry's.
Il est désormais temps de quitter notre hôtel, notre vol étant prévu à 21h25. L'aéroport de Dulles est situé à une cinquantaine de kilomètres du centre-ville, et il est existe en gros deux moyens de s'y rendre :
- le taxi : compter dans les $70 la course hors tip ;
- le bus 5A : $7 le ticket, mais il faut se rendre à l'un des deux arrêts du bus dans la ville avec ses valises…
Du coup, on est allé au plus pratique : le taxi. L'hôtel s'est occupé de la réservation, et c'est une belle Lincoln qui nous attendait à sa sortie. L'autoroute qui mène à l'aéroport est très « américaine » : 4 files dans un sens, 4 files dans l'autre, ajoutez à cela 2 fois 2 files au milieu réservées au trafic depuis et vers l'aéroport…
Après en gros trois quarts d'heure de route, nous voilà arrivés à l'aéroport. L'enregistrement n'ouvrira qu'un peu après 18h. En attendant… et bien pas grand chose à faire dans l'aérogare !
Heureusement qu'il y a tout de même quelques sièges où s'asseoir, en revanche les prises sont telles que les adaptateurs FR>US ne tiennent pas dedans, très pratique. En tout cas, une chose est sûre, vue la clim' et ce malgré la grandeur du bâtiment et la température extérieure, on n'est pas près d'avoir chaud !
L'enregistrement ouvre vers un peu plus de 18h donc. Il devait y avoir quelque chose comme 4 comptoirs réservés Sky Priority, c'était fluide sans être non plus extrêmement rapide. À noter que la dépose-bagages fait un peu « rustique » : on pose son bagage sur la balance, puis c'est un employé de l'aéroport (attendant patiemment son entrée en scène entre les comptoirs d'enregistrement) qui est chargé de porter le bagage de la balance jusqu'au tapis roulant qui passe derrière les comptoirs.
La plupart des agents d'enregistrement semblaient être français, toutefois la personne située à mon comptoir semblait ne pas parler français du tout. Ils pourraient faire un effort tout de même pour du personnel Air France. Celle-ci était par ailleurs un peu déboussolée au départ puisque j'effectue ce vol avec mon frère (qui lui voyagera en économie), et mon deuxième prénom figurant sur mon passeport étant son prénom elle semblait ne pas comprendre ce que son ordinateur lui affichait (je précise que j'étais seul au comptoir pour enregistrer nos deux valises, lui s'étant enregistré sur les bornes automatiques).
J'en profite pour demander s'il était possible que mon frère ait une invitation pour le salon l'histoire que l'on n'ait pas attendre chacun de notre côté, celle-ci me répond qu'elle ne sait pas si ce sera possible et qu'il faudra demander directement au salon…
Sur ce, les bagages enregistrés, nous nous dirigeons vers la TSA. Contrôle du billet et du passeport par un agent courtois, puis passage par le scanner en mode « belt off, shoes off » sous la houlette d'agents encore une fois courtois. J'avoue avoir été étonné après tout ce que j'avais lu à propos de ces contrôles : au final nous avons tout passé en moins de 5 minutes chrono !
Nous rejoignons le terminal où se situent les portes A en prenant cette fois le métro automatique.
OH MON DIEU, ARRÊTEZ CE TRAIN, UNE BOUTEILLE D'EAU ABANDONNÉE !!! ;-)
Nous voilà rapidement aux portes A, tout en longueur. Pas très spotter-friendly à cause du double vitrage, mais si on se contente de regarder sans prendre de photo, on arrive à voir quelques spécimens de Qatar, Turkish… et bien sûr du United en veux-tu en voilà.
On fait rapidement le tour de toutes les boutiques présentes mais pas grand chose de très intéressant.
Vient le moment de l'accès au salon. Je vous rappelle que je voyage pour ce retour avec mon frère, qui ne devrait pas avoir accès au salon. J'avais déjà préparé dans ma tête un pseudo-argumentaire assassin imparable à débiter à la cerbère, me préparant à ce qu'il se fasse jeter…
Nous arrivons donc devant la porte du salon, situé juste en face de la porte d'embarquement A20 utilisée par Air France. On rentre, je présente ma carte d'embarquement, j'explique rapidement la situation à la cerbère… et en fait après une réflexion qui n'aura pas duré plus d'une seconde, celle-ci accepte sans problème qu'il rentre dans le salon.
J'avoue, en tant que bon français tout paradoxal qu'il peut être, avoir presque été déçu ! :-)
C'est le moment de se ruer sur le buffet :
Je ne saurais dire si ces mini-sandwichs étaient objectivement vraiment bons, mais après une semaine de hamburgers/hots-dogs et autre joyaux de la cuisine américaine, quel bonheur de retrouver de la bonne baguette (pour le coup le pain était vraiment excellent) ! de la mayonnaise ayant vraiment le goût d'une mayonnaise ! de la viande cuite mais encore rouge ! du fromage !…
L'offre de nourriture était donc convenable, et régulièrement remplie. Outre les mini-sandwichs, on pouvait trouver des croissants au thon, des wraps à la tomate, des petits pots de légume à croquer (carottes, tomate, céleri), du fromage (bizarrement le brie partait plus rapidement que le bleu), des fruits et quelques mini-desserts.
Si la nourriture se voulait très française, les verres qui abritaient quelques fruits frais en mini-desserts étaient quant à eux dans le plus pur style suédois.
L'offre de boisson était par contre plus faible, les frigos étant en panne il n'y avait que quelques canettes de soft et des bouteilles d'eau dans un bac rempli de glace. Je n'ai pas testé le bar. :-)
L'offre de presse était quant à elle quasi-inexistante. Un Parisien qui devait traîner, quelques magazines sans intérêt et peut-être quelques Washington Post…
Le salon dispose en revanche d'une très belle vue sur le coucher de soleil ainsi que sur la porte utilisée par ce B757 de Icelandair qui se prépare à partir pour… Reykjavik bien sûr !
Après s'être rempli le gosier de mini-sandwich, l'heure de l'embarquement approche doucement mais sûrement, de quoi mettre mes talents de photographe à l'honneur avec cette magnifique image filée de la porte d'embarquement.
Sans oublier la photo de l'avion dans lequel on passera la nuit…
Ce soir, il s'agira du F-GSPU, 772-200ER configuré en quadri-classes. Les priorités sont encore une fois très bien respectées, l'embarquement SkyPriority se faisant même en porte A22 juste devant la passerelle d'embarquement, d'où aucun risque que les files ne se mélangent ou ne se superposent.
Je rejoins donc finalement mon siège en 3A.
… OUPS. Mauvaise cabine. :-) La photo a été prise à l'excellent National Air & Space Museum de Washington, incontournable lors d'une visite à DC (cf. bonus touristique en fin de FR).
Quoi qu'il en soit, malheureusement, la cabine ne semble presque pas plus moderne, avec ce siège qui accuse son âge…
Comme vous pouvez le voir, la tablette ne rentre pas totalement. De même, le logement du gilet de sauvetage est légèrement entrouvert.
Les PNC remarqueront la tablette cassée en essayant de la ranger lors du décollage… mais ne présenteront aucune excuse ou quelconque autre réaction qu'un « ah elle est cassée ». Je précise néanmoins que la tablette était totalement fonctionnelle.
Quoi qu'il en soit, niveau pitch, je n'ai pas à me plaindre !
J'ai même le droit à une petite entrevue sur la cabine supérieure (qui sera pleine sur ce vol). Peut-être un jour ?…
En attendant, je découvre ce qu'on a laissé sur mon siège : le traditionnel cintre qui sera rapidement récupéré, le grand oreiller et l'agréable couette. Je constate également que si sur les vols ex-CDG on a le droit à une petite bouteille d'Évian, sur le vol retour la bouteille d'eau est « locale ».
Sur le siège étaient également disposés les chaussons et le sac à chaussure. Je trouve étonnant que cela n'ait pas été le cas sur le vol aller en A380 (seulement sur les vols de nuit ?).
Mon voisin pour ce vol sera un italien, comme beaucoup d'autres passagers sur ce vol. Il sera très bien accueilli par l'un des PNC qui semblait parler un italien parfait (toutes les annonces dans l'avion seront par ailleurs faites en français, anglais et italien). Mes compétences dans cette langue étant limitées à des mots de secours du style « pizza » ou « grazie mille », je ne comprendrai de cet échange que le fait que le PNC semblait être d'origine corse, et que l'italien avait quant à lui l'air d'être en fait un canado-italien.
Distribution des trousses de confort (la même qu'à l'aller, en bleu nuit cette fois), toujours dans son sachet plastique. Les boissons de bienvenue seront également distribuées : choix seulement entre eau et jus d'orange. Pas de champagne proposé pour l'instant (j'ai cru comprendre en lisant de précédents FR qu'il y avait une histoire de taxes derrière).
Le champagne sera néanmoins proposé juste après le décollage puissant de notre 777 (à ce titre, le siège permet de bien profiter du bruit si caractéristique des moteurs de ce bel oiseau :p).
Les menus seront ensuite distribués. Toujours avec des publicités. Mais sans la carte de suggestion du jour cette fois. Ce soir, c'est Joël Robuchon qui nous propose son savoir-faire. Au menu :
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L'entrée gourmande
Homard du Maine mayonnaise au wasabi, petite salade de mangue
Choix du plat chaud
Tournedos poêlé au beurre de truffe, asperges au beurre, purée de pommes de terre au raifort
Raviolis aux épinards
Plat du jour
La sélection du maître fromager
Le dessert
Entremets au nougat
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Autrement dit du grand classique, comme j'ai cru le comprendre, sur les vols ex-USA… ce qui ne nous empêchera pas de prendre quelques photos :
L'hôtesse, à chaque fois qu'elle passait, nous demandait également si on souhaitait de l'eau, nous conseillant de beaucoup nous hydrater pour arriver moins fatigué à Paris.
Pour le plat du jour, j'ai cédé à « la tentation du Robuchon », ou « l'appel du Joël » (j'aime les rimes), avec ce poulet au curry.
Bien mal m'en a pris : le plat était très poivré et finalement presque difficilement mangeable. Il faut dire aussi que vu ce que je m'étais goinfré au salon, ça n'aidait pas trop… Quoi qu'il en soit, ma maigre consolation sera de constater que le tournedos de mon voisin semblait un peu trop cuit.
Cette fois, j'ai su bien me tenir concernant le service du pain. :-) Les PNC proposaient également différentes moutardes, mon hôtesse me le proposant timidement, l'ayant proposé à mon voisin, sachant que cela n'allait pas vraiment avec le poulet au curry de notre cher Joël (quoi que le plat aurait finalement peut-être été meilleur en baignant dans la moutarde).
En attendant, je profite de la vue à travers le hublot pendant que nous sommes encore au-dessus des terres. La photo de New York ayant rendu très mal, je n'ai que celle-ci de Philadelphie à vous proposer. Évidemment, c'est plus joli en vrai.
Tout en profitant de la géovision, puisque cette fois-ci, oui… elle marche !
Je profite alors du survol du Golfe du Maine pour avoir une petite pensée amicale au homard que je viens de déguster. Par ailleurs très bon, moi qui d'habitude n'aime pas les produits de la mer (il faut dire aussi que le fait que la chaire était très froide et qu'il n'y ait rien à dépiauter aide à l'apprécier).
À noter qu'à la fin du repas, les PNC demandaient à tous les passagers s'ils voulaient être réveillés pour prendre leur petit-déjeuner ou s'ils souhaitaient dormir le plus longtemps possible.
Détail anodin mais finalement pas tant que ça : au-dessus du Canada, mon téléphone accroche du signal alors que nous sommes en croisière…
La cabine est finalement plongée dans le noir, les PNC nous demandant courtoisement de bien vouloir fermer nos cache-hublots « le Soleil arrivant vite », et c'est le moment d'un repos bien mérité.
Là encore, j'avais lu beaucoup de mal sur les sièges toboggans des appareils d'Air France. Peut-être était-ce une version précédente sans repose-pieds, mais personnellement ça ne m'a empêché de bien me reposer… mais je n'ai pas de point de comparaison avec du full-flat. :-)
Finalement, entre deux somnolences un coup d'œil sur mon téléphone pour lire l'heure me réveille : il ne reste bientôt plus qu'une heure de vol et la cabine est toujours plongée dans le noir, sans mon petit-déjeuner, pardi !
Prêt à offrir mes services tel un Rambo des temps modernes pour sortir de l'insouciance une cabine ne se rendant compte qu'elle vogue dans les airs vers une perte certaine, je décide de rallumer l'écran de mon IFE pour vérifier notre position.
Je comprends rapidement la méprise : au fameux moment où mon téléphone avait accroché du signal au-dessus du Canada, celui-ci en avait profité pour changer de fuseau horaire et il nous reste en fait un peu moins de deux heures de vol. Tant pis pour mes précieuses minutes de sommeil, ça m'apprendra à ne pas mettre mon téléphone en mode avion. ;-)
Finalement, quelques temps après, la cabine finit par se rallumer. Pas très délicatement il faut l'avouer.
L'occasion pour moi de prendre cette photo (floue) d'une pièce derrière l'accoudoir sur la droite du siège, qui se découvre quand le siège est en position allongé. Me demandant ce que c'était, j'ai eu le malheur de tirer maladroitement dessus, ajoutant ainsi une pièce à la liste des bouts brinquebalants de mon siège.
Quoi qu'il en soit, on reste confortablement installé…
Le PNC me voyant réveillé me demande si je souhaite qu'il débute le service de mon petit-déjeuner. Ce que j'accepte avec plaisir.
La cabine est alors prise d'une charmante odeur de chocolat chaud - café…
D'ailleurs, à propos d'odeur, il faut reconnaître que durant ce vol de nuit notre avion F-GSPU portait plutôt bien son nom. En effet, l'altitude, les repas et le sommeil des passagers semblent être un cocktail gastrologiquement parlant assez explosif, ce qui fait que la cabine prenait régulièrement une odeur toute particulière.
Les PNC semblaient par ailleurs régulièrement faire des « passages-éclairs » dans la cabine, laissant derrière eux une agréable odeur de parfum pendant une vingtaine de secondes. Ce qui me laisse penser que :
- soit la direction d'Air France impose à ses PNC d'abuser sur le parfum ;
- soit c'est une belle stratégie marketing pour vendre leurs produits duty-free, en mode taste and buy ;
- soit le fait est connu et les PNC cherchent régulièrement à désodoriser la cabine…
Après cette charmante digression, je retourne sur mes viennoiseries : leur qualité était assez médiocre, j'avoue avoir été déçu m'attendant à enfin retrouver mon cher croissant. Le reste était correct sans être transcendant.
Alors que pendant ce temps… Oui, Capitaine, Terre en vue !
Je profite des dernières dizaines de minutes du vol pour m'occuper avec quelques séries. Heureusement que je ne suis pas du genre séries-vore parce que le choix me semble bien faible et bien vieux…
- Point positif : je m'attendais à un écran timbre-poste sur le 777, le fait d'avoir l'écran dans l'accoudoir aide sûrement mais sa taille était là tout à fait convenable.
- Point négatif (que j'ai oublié de mentionner sur le vol aller) : une pub avant chaque programme !
J'en profite pour une petite vue par le hublot : tout ça semblerait presque bien petit après l'A380 !
Malheureusement la fin de ce vol s'annonce de plus en plus proche, alors que nous sommes alignés sur la piste Nord, côte à côte avec un petit Easyjet presque pas visible sur la photo ci-dessous.
À quelques minutes de l'atterrissage (peut-être quand même avant que la photo ci-dessus ait été prise), mon voisin italien dormait encore profondément. Le steward qui redistribuait les manteaux n'a pas hésité à rebrousser chemin et reposer sa veste le voyant encore endormi, puis une hôtesse repassera un peu après se disant qu'elle allait peut-être encore le laisser un peu dormir vu ses ronflements… pour finalement venir le réveiller très peu de temps avant l'atterrissage avec un verre d'eau (je précise pour les esprits mal placés : le verre d'eau donné lors du réveil, pas jeté à la figure pour le réveiller :p). Attitude très pro donc.
Posé très doux à CDG, puis roulage rapide. Trop rapide… Dernière vue sur mon siège lors du débarquement :
Et dernière vue de notre avion, car oui, débarquement par bus ! (avec tout de même les excuses des PNC)
À noter, je ne sais pas si c'est la procédure normale (ça me semble bizarre) ou si les passagers Première étaient des surclassements, mais ceux-ci ont débarqué en même temps que nous et se sont retrouvés dans les mêmes bus que nous…
Après un long détour à travers les taxiways de CDG pour rejoindre le 2E, nous arrivons finalement au contrôle des passeports où je choisis pour la forme la file n°1 Sky Priority plutôt que Parafe. Gros étonnement : un seul guichet d'ouvert, partagé avec la file des passeports internationaux ! Autrement dit, Sky Priority n'avait de priority que le nom…
Heureusement, un groupe de chinois qui faisait la queue alors qu'ils devaient partir en correspondance a bloqué la file des passagers internationaux si bien que le passage a été assez rapide.
Livraison des bagages avec les priorités bien respectées.
Bonus touristique
Mine de rien, moi qui pensait que ce FR allait être court, que nenni ! Mais il y aura tout de même un petit bonus touristique…
Washington est une ville très agréable, avec des quartiers très différents et où tout peut être assez facilement fait à pied. Beaucoup de parcs très agréables, des mémoriaux partout, le temple du patriotisme américain, plein de musées gratuits… bref on peut facilement passer 1 semaine à Washington sans s'ennuyer.
Vue de la Reflecting Pool depuis le Lincoln Memorial.
Le Washington Monument, entre la Reflecting Pool et le National Mall. Entouré de verdure !
La quartier de Rosslyn, qui ressemble un peu plus à la carte postale de la ville américaine que le reste de DC, même si les buildings ne restent pas très haut…
Washington est aussi une excellente ville pour les spotters, avec l'approche de l'aéroport de DCA qui survole la ville, et où les avions doivent faire le rodéo entre la Maison Blanche, le Pentagone, etc.
La magnifique Capitole :
Et enfin, l'inratable National Air & Space Museum. Le musée (gratuit) possède une antenne en plein cœur de DC avec une collection incroyable d'avions et d'objets issus des missions Apollo. On peut même y toucher un bout de lune. L'autre antenne du musée est située près de l'aéroport de Dulles, où sont notamment entreposés l'Enola Gay, la capsule d'où a sauté Félix Baumgartner, un Concorde… et bien sûr la navette Discovery, dans une mise en scène toute américaine !
Merci pour ce FR retour
Cabine et siège en piteux état
Catering toujours aussi peu appétissant avec une offre réduite sur ces vols Côte Est
je précise pour les esprits mal placés : le verre d'eau donné lors du réveil, pas jeté à la figure pour le réveiller :p). Attitude très pro donc.
La précision n'était pas totalement superflue ;)
si les passagers Première étaient des surclassements, mais ceux-ci ont débarqué en même temps que nous et se sont retrouvés dans les mêmes bus que nous…
Quelques GPs peut être... lol
A bientôt pour d'autres aventures
Merci pour ce vol retour
Encore une fois JOJO Reblochon (fromage que j'adore mais il a l'air un peu fatigué et pour faire suite à un FR récent)a encore frappé! Vraiment pas normal un tel catering en J. Cabine, bof, IFE bof. Bon c'est vraiment juste pour du J.
J'aime beaucoup le morceau d'empennage de Volotea au petit déjeuner.
Merci
Bonjour,
Merci pour ce FR. Pourtant je vais me faire avocat du diable.
Si votre tablette ne rentrait plus correctement, c'est à cause de l'aimant qui est censé plaquer la tablette à l'intérieur. Celui ci est très capricieux, et des fois, avant un vol celui ci est fonctionnel, et deux heures après, il ne colle plus.
Pour la pièce brinquebalante, c'est en fait la trappe d'accès à la commande manuelle du siège en cas de dysfonctionnement électrique. Elle n'est donc pas cassée, c'est normal qu'elle se deboite... Globalement ce siège est en bon état... ;)
Je te rejoins également sur le fait que ce n'est pas ton problème ce souci de tablette. Mais c'était pour souligner que ce n'était pas un défaut de maintenance, mais plutôt de la pièce en elle-même...
Maintenant tu as eu de la chance, avec un équipage qui passe du pire Ah, c'est cassé... au meilleur avec des réflexes très pro !!
Merci pour les précisions. Pour la trappe d'accès, au temps pour moi, il est vrai que j'ai tendance à avoir du mal à réussir à mettre les choses en place, surtout dès qu'il faut forcer un peu.
En revanche, pour le coup de l'aimant, il est peut-être capricieux mais enfin ce n'est pas mon problème : je ne pense pas que si ta voiture sous garantie tombe en panne, tu te satisfasses d'une réponse du garagiste du style « ah mais c'est normal, c'est telle pièce qui est capricieuse… pas de bol ! ». :p
Après je te rejoins sur le fait que du coup l'équipage ne pouvait pas faire grand chose, a fortiori avec une cabine pleine… même si j'aurais pu apprécier quelques excuses ou qu'on me dise que ça sera noté pour une réclamation, au vue du reste du service et du fait que les dégâts étaient plus esthétiques que fonctionnels, c'est d'ailleurs pour ça que ça ne se ressent pas sur la note finale (ce qui répond en partie au message de Pititom ci-dessous).
Merci pour ce FR retour, très plaisant à lire (sûrement plus qu'à voyager, mais vous avez apprécié, tant mieux !). Le produit de retour côte Est n'est pas terrible, mais ce ne doit pas être facile de contenter ceux qui veulent tout de la J et ceux qui veulent dormir un peu...
10/10 pour l'équipage en mode ah c'est cassé, c'est généreux ;)
Houlà, seulement deuxième FR et déjà on taquine les GP en conclusion ^^
Merci aussi pour le bonus. A bientôt :)
Merci pour ce FR.
Il n'y a rien à faire, je n'ai toujours pas envie de voler en J avec AF...
Le principal est que vous avez passé un bon moment.
Washington est très sympa à visiter et plusieurs musées sont gratuits dont le Air et Space, la Mall en regroupe pas mal...
Sympathique de pouvoir entrer au salon avec son frère qui vol en Y.
Prestation correcte malgrès un catering qui peut faire mieux.
Pensé tout de même pour Jojo le homard du Maine disparu dans les cuisines Servair :)
PNC très professionnels ce qui semble devenir la norme chez AF.
Merci pour ce FR !
Le homard du Main, mayonnaise, encore et toujours...
Merci pour ce FR !
merci pour ce beau FR qui me fait découvrir un peut Washington DC!
petite question... Le poulet au curry avec une sauce verte?! Et encore cette présentation de M....!
merci encore ;o)
Un peu moins de 500€ de taxes... et de surcharges carburant qui restent dans la poche d'AF !
La solution taxi jusqu'à l'un des arrêts de bus vers l'aéroport n'aurait-elle pas été viable ? Cela dit, cela fait moins cher au km que pour aller à CDG depuis Paris.
Merci pour ce FR !