Bonjour à tous,
Bienvenue sur mon 6e FR, qui porte sur mon 76e vol (57e vol sur Air France et ses filiales, et 18e de l'année). Promis, à la prochaine série, je change de discours d'intro.
Avec un peu de retard, indépendant de ma volonté, voici le quatrième FR de ma petite série vers Hambourg et Copenhague, on commence ici le retour en terres beaujolaises. Pour l'origine du voyage et du routing, je vous laisse consulter le premier FR en cliquant ici.
Rappel du routing prévu
Le routing prévu est le suivant :
1. KL1418 : LYS - AMS (Economy, B737-700) le 15 septembre 2017 => Cliquez ici !
2. KL1783 : AMS - HAM (Economy, B737-800) le 15 septembre 2017 => Cliquez ici !
3. SK647 : CPH - HAM (Economy, CRJ900) le 16 septembre 2017 => Cliquez ici !
4. AF1511 : HAM - CDG (Economy, A320) le 17 septembre 2017 => Vous êtes ici
5. AF7648 : CDG - LYS (Economy, A320) le 17 septembre 2017 => Cliquez ici !
A l'aéroport
Après une bonne matinée et une moitié d'après-midi à découvrir à pied Hambourg, un orage soudain et violent éclate, ce qui relègue mes vélléités de visite à pied au placard. Direction donc avec un peu d'avance l'aéroport (c'est une constante de toute façon chez moi d'arriver 3 plombes en avance), via le U-Bahn et le S-Bahn, toujours aussi efficace et bon marché. Une fois arrivé, direction le terminal 1, d'où opère Air France. Il y a une queue énorme qui traverse tout le terminal pour l'enregistrement Easyjet. Mieux vaut arriver en avance pour déposer son bagage… Espérons pour ces passagers que la rigueur et l'efficacité allemandes soit respectées dans cette file !
Ca rend en tout cas ce terminal assez confus, difficile de voir la signalétique, et ça limite le passage. Mais bon, pas de soucis pour vérifier l'existence de mon vol sur le FIDS du hall. Eurowings est en concurrence sur quasiment le même créneau (15mn avant). On peut également noter que le vol précédent indique "porte fermée" alors qu'il devrait être parti depuis 30 minutes… Il partira finalement de la porte avec 40mn de retard. Vu la quantité de vols au départ dans le créneau, et l'unique piste disponible, ne décollera que quasiment une heure après l'heure prévue de départ du bloc (15h30).
L'enregistrement se fait au comptoir 4, que je met un petit temps à trouver (je n'ai pas vu de signalétique en hauteur pour l'indiquer du côté où je suis arrivé). Bon, par contre, vu que je suis très en avance, le comptoir est encore fermé, il doit ouvrir 2h avant je suppose. Tant pis, direction les deux bornes qui se battent en duel à côté.
Visiblement une des deux est aussi partie en pause, ou bien elle fait grève, au choix…
Résultat, il y a une petite queue devant la seule bornes restantes bien que nous soyons 3 heures avant le décollage du vol pour Paris (le prochain vol pour AMS est lui 30 minutes après celui d'AF). Devant moi, Vladimir et Natalia (oui, je l'avoue, j'ai regardé l'écran pour voir leurs prénoms, d'ailleurs difficile de faire plus cliché), un couple russe assez âgé qui a visiblement beaucoup de mal avec l'utilisation de la borne, même si l'interface est en russe. Du coin de l'œil, je vois la dame qui attend derrière moi se décaler petit à petit pour finir quasiment à côté de moi.
Au bout de 5mn ils réussissent à récupérer leurs BP pour LED via AMS. Et ce que je pressentais arrive, la dame qui se décalait commence à avancer vers la borne. Hop, je m'avance aussi et lui explique gentiment que non, je n'attendais pas le bus, je faisais moi aussi la queue pour la borne. Il y en a qui ne doute de rien tout de même. En plus vu les horaires des prochains vols, ce n'est pas comme si elle était pressée par le temps… (et quand bien même, demander poliment ça se fait aussi). Bref, je récupère la borne, et elle se collera presque à mon dos pendant tout le temps de mon utilisation pour, je suppose, montrer son mécontentement. Grand bien lui fasse, je prendrais donc tout mon temps, et réfléchirais à l'offre de surclassement à 139€ pour la Business. Mais bon, j'ai déjà craqué à l'aller, mon banquier ne va pas apprécier si je continue.
Par contre, pour rappel, ce billet était au tarif Flex, qui permet notamment d'être placé "à l'avant de l'appareil, pour sortir dans les premiers". Résultat : Je suis en 17D, alors que je me suis enregistré 29 heures et 57 minutes avant le départ en ligne, depuis le pont-promenade d'un ferry, justement pour pouvoir chosir ma place au mieux (et 25C pour le second segment CDG-LYS, malgré un enregistrement plus de 30h avant le départ). Il n'y a bien sûr pour aucun des deux vols de siège plus proche, même en milieu. Alors certes je suis pas vraiment pressé, mais j'avais pris ce tarif pour voir ce que ça donnait le Skypriority, et par lassitude d'être toujours relégué en fond de cabine faute de statut. Et je ne sais pas vous, mais pour moi, le rang 17 c'est plutôt l'arrière que l'avant sur un A320. Et n'en parlons pas pour le rang 25, toujours sur A320, du second segment. Si j'avais envie de me re-prendre la tête avec le service client/réclamations AF, je leur aurait gentiment fait remarquer que c'est un peu de la pub mensongère, mais je pense qu'en tant que sans statut élite, autant pisser dans un violon… (et avec un statut, je n'aurais, je l'espère, plus ce problème).
Après ce petit coup de gueule, reprenons : Quitte à être au fond, autant me mettre là où je préfère, je choisis donc la place 22C, puisque je préfère la gauche, et que ça me permettra de mettre en pratique la technique du siège du milieu (le 22A est pris). Me voici donc en possession de mon BP.
Je laisse la furie derrière moi accéder à la borne et m'en vais tranquillement vers les contrôles PIF. Tout d'abord, vers les files classiques, histoire de voir s'il y a autant de monde que dans le terminal 2 (les contrôles sont communs aux deux terminaux).
Pour y aller, il faut descendre 3 marches. Ce qui me pousse à me demander quelle est la raison pour cette minuscule différence de niveau, surtout quand on voit la hauteur sous plafond des halls de départ et PIF juste avant et après ce passage, n'y avait-il pas moyen de faire ça plat sur toute la longueur ?
Après cette question existentielle cruciale, voici la queue du PIF "tout-venant", assez conséquente à vue de nez.
Alors que côté Fast-track, il y a nettement moins de monde ! Ce derniet est installé dans le terminal 1 et non pas dans le bâtiment central, je suppose donc qu'il y a un similaire dans le terminal 2. L'entrée comporte deux portillons scanneurs, et aussi d'un comptoir avec un agent, qui est bien utile puisqu'il semble que beaucoup de passagers en droit de passer soient rejetés aux bornes : Plus de la moitié de ceux que j'ai vu ont été refusés aux portiques, mais acceptés au comptoir. Reste à savoir si les portiques déconnent ou si l'agent est un peu (beaucoup) trop "laxiste"…
J'avais vu sur un FR similaire (de Pititom il me semble) que Skypriority ouvrait les portes de cette "Fastlane", je m'y engage donc gaiement. Devant moi, ce couple de personnes âgées rencontrera quelques problèmes : Le monsieur "bippe" rouge, et part donc demander au comptoir s'il peut passer, sans s'occuper de son épouse (oui, je pars du principe qu'ils sont mariés), qui n'arrive pas à passer son billet, elle le présente en effet comme la plupart des personnes âgées (mais pas que, ma copine fait pareil des fois…) avec le code-barre du mauvais côté. Elle finira finalement par "bipper" tout aussi rouge que son mari, et passera par la case agent humain elle aussi. Je passe mon BP (code-barre à l'endroit), lumière verte, ça s'ouvre, et je passe sous le regard de la petite dame, vert également, mais de jalousie.
Le PIF à HAM est équipé de scanners corporels, première fois pour moi. Conclusion : C'est lent. 8 minutes pour passer alors que seules 4 personnes sont devant moi… 15h30, je sors du PIF, et rejoins par ce couloir (et ces fameuses 3 marches) la sortie du PIF "normal".
Comme c'est la norme, on trouve un duty-free à la sortie du PIF. J'en profiterai pour acheter 2kg de confiseries. A noter qu'il est possible d'éviter ce duty-free, appréciable.
A la sortie du duty-free, on arrive dans ce long couloir de quasiment un kilomètre, bordé de boutiques, de cafés et de portes d'embarquement, qui constitue la plus grande partie de la zone airside de HAM. Je n'aime pas spécialement cette disposition, qui implique de longs parcours à pied, et des "embouteillages", notamment parce que les flux départ et arrivée se croisent au même niveau. Mais l'avantage, c'est que des baies vitrées sont assez accessibles tout le long, permettant d'admirer les avions en porte, au roulage, au décollage comme à l'atterrissage. Et pour les amateurs, de leur tirer le portrait.
Au menu : Un A320 Lufthansa pour Frankfurt, un A320 Condor pour Heraklion, un A320 Wizzair qui commence tout juste à débarquer ses passagers fraîchement arrivés de Skopje, un A321 Air Berlin (pour Niki) qui commence son embarquement pour Ibiza, un 737-800 de Pegasus qui va bientôt repousser pour Istanbul, un 737-800 Norvegian qui vient d'atterrir en provenance de Tenerife, une camionette Follow-me comme on en voit beaucoup à HAM, et un vieux combi VW à moitié caché par la passerelle du Lufthansa.
Bon, ce n'est pas tout ça, mais il faut bien s'occuper pendant 2 heures ! On prend donc de la hauteur pour jeter un oeil sur la sortie du PIF (difficile de voir s'il est toujours bien encombré), et les duty-free.
En se tournant un peu… Tiens, l'entrée du salon de l'aéroport !
Sieste au salon
Vu les assez bons commentaires lus sur ce site, j'avais bien envie de le tenter… 35€ l'entrée, ce n'est pas donné, mais le reste de l'aéroport ne me fait pas rêver pour attendre mon vol. Je m'allège donc de la somme précitée, et me voilà assis dans un recoin du salon, assez peu fréquenté au moment où j'y arrive.
Comme ce salon a été déjà plusieurs fois reporté, je ne vais pas le refaire une nouvelle fois (ceci est une technique pour justifier le fait d'avoir eu une flemme extraordinaire de faire des photos une fois assis). Mais pour résumer, un buffet froid tout à fait correct (diverses salades, Spreewaldgurken , condiments), de quoi grignoter (olives, cacahuètes et biscuits salés), des saucisses de Francfort chaudes, quelques desserts, et une offre liquide plus que suffisante à mon goût, notamment en alcools. Beaucoup de fauteuils dispo puisque le salon s'étend assez loin le long de la baie vitrée, il ne sera d'ailleurs jamais plein pendant mon séjour de 2h et quelques. Je n'aurais pas non plus de voisin sur le canapé d'en face (précisons que je n'en ai pas interdit l'accès en y plaçant mon sac, contrairement à ce que Marathon observe si souvent à CDG ou ARN…).
Ma sélection salée : salade de pâtes, salade de pommes de terre et cornichons et vin rouge (dont l'étiquette m'est sortie de la tête, d'où l'utilité de faire des photos).
Puis on passe au sucré, avec ce flan coco, du cake au citron et des petits biscuits, le tout accompagné d'un jus de pomme.
Mes deux sélections sont bonnes, tout comme le vin qui se laisse boire.
La vue de mon canapé, sur lequel je m'affalerai de manière peu conventionnelle (sans mettre mes chaussures dessus, je vous rassure !). Pegasus est déjà parti, Air Berlin va suivre peu après puisque la passerelle arrière a déjà été retirée. Wizzair s'apprête quant à lui à se ravitailler pour son BoB.
Tout en somnolant et mangeant sur mon canapé, je suis d'un œil distrait le vol aller CDG-HAM sur Flightradar, ce qui me permet de faire ce cliché de mon appareil, l'A320 Air France F-GKXS, dans sa sublime livrée Skyteam, quelques instants avant le toucher, tandis que l'A320 Lufthansa D-AIPD, en livrée Star Alliance, arrive en porte en provenance de Frankfurt, sur le vol LH22. Ne manque plus qu'un appareil en livrée Oneworld ! A côté de LH, un A319 Eurowings qui embarque ses passagers pour Paris.
C'est pas tout ça, mais le FIDS indique peu après "Go to gate", celle-ci est indiquée à 8 minutes de marche. Passage aux WC (qui sont propres comme un sou neuf), j'aperçois au passage la signalétique pour les douches, deux bons points supplémentaires pour ce salon.
Je quitte ce salon qui me laisse une très bonne impression, saluant au passage les hôtesses à l'accueil, qui répondent en cœur. D'ailleurs, tout le personnel que j'ai croisé dans ce salon aura été souriant et agréable. Je redescends au niveau des portes, et me dirige plein sud, direction la porte A41 (et non pas la C11 comme indiquée sur mon BP).
Arrivé en porte A41, c'est "un peu" le bordel, une masse difforme de passagers est agglutinée devant le comptoir (bloquant d'ailleurs le passage pour les passagers du vol pour Majorque à la porte suivante). Un passager allemand me demandera en anglais "C'est bien la file Skypriority ici ?"
Hmm… Disons que je ne sais pas où vous voyez une file, mon brave ! (Je lui répondrais plus simplement que je suis Skypriority aussi, et que j'attends aussi donc il n'a qu'à se mettre derrière moi)
Vu la confusion ambiante, je ressors de la zone pour aller un peu plus loin tirer le portrait de ma monture du jour. Première fois que je vais monter dans un appareil portant la livrée Skyteam, je suis ému !
Avec dix minutes de retard, l'embarquement est enfin annoncé, avec des priorités un peu trop respectées : Le préposé à l'embarquement vocifère à chaque passager non habillé en homme d'affaires ou avec sa carte FB Gold/Platinium attachée autour du cou approchant du comptoir "SKYPRIORITY ONLY !!!" avant même d'avoir vu le billet. Bon, au moins c'est efficace et les "resquilleurs"/distraits n'approchent pas plus, mais je dois avouer que moi, dans ma tenue décontract et mon sac à dos, je n'ai que moyennement apprécié la méthode (heureusement il n'y avait pas de postillons avec le cri…). Il va sans dire qu'avec un tel accueil, je n'aurais non plus de "Bon vol" ou autre, pas plus qu'une réponse à mon "Bonjour".
Sur ce, embarquons dans cette passerelle vitrée qui me permet d'encore admirer cette belle livrée !
À bord
Instant porte un peu raté (c'est ma première fois, vous me pardonnerez)
Accueil en porte par une hôt… Ah non, c'est une passagère qui attend à l'entrée de l'appareil, je ne sais quoi, pas d'hôtesse en vue. Elles sont par contre deux en pleine discussion avec les pilotes dans le cockpit. J'ai vu mieux comme accueil à bord.
Ma rangée 22, encore bien vide (je suis quasiment le seul Skypriority relégué après l'issue de secours visiblement).
Le pas, limite pour 1m85, et une des raisons qui font que je préfère le couloir…
La tablette est plutôt dans le genre dégueulasse (petit spoiler : Ca ne va pas durer).
Le contenu de la pochette, pas de doggy-bag pour moi, mais ce magazine Air France qui m'a fait rêver ce mois-ci, avec l'Ouest Américain (et quelques références à Tony Hillerman, un auteur que j'apprécie beaucoup).
Le test Horatius est concluant, le Marathon légèrement moins, sans que ça soit choquant…
La cabine continue d'embarquer tranquillement…
A côté, TUIfly embarque pour Majorque, devant un Eurowings qui part sans doute quelque part. Derrière, Aeroflot vient d'arriver de Moscou.
L'embarquement général commence juste alors que deux jeunes viennent me demander s'il m'est désagréable de changer de place pour aller au 20F, ils sont en fait trois et souhaitent voyager ensemble. Je leur laisse sans problème la place, vu que ma seule raison dans le choix était de tenter la technique du siège du milieu libre, ce qui a échoué misérablement. Je vais donc m'installer côté hublot en rang 20. J'ai gagné une tablette propre dans cet échange !
Le pitch est identique, mais la pochette est l'inverse du 22C : Le doggy-bag est là, mais pas le magazine.
Petite vue de ce côté de l'appareil, sur D-AEWV, un A320 Eurowings qui s'apprête à partir pour Stockholm.
Le pitch de la rangée vu de côté. La rangée est encore vide… Mais ça ne va pas durer, le vol sera complet.
Un couple s'apprête à s'installer en D et E, préférant le couloir sur ce vol complet, je leur demande s'ils préfèrent le couloir ou le hublot. La dame semble très enthousiaste pour avoir le hublot, nous échangeons donc, et je me retrouve dans une position un peu plus confortable (sur un avion complet) : La position "jambes en diagonales avec le genou et le pied dépassant légèrement sur le couloir mais sans gêner le passage des trolleys ou des valises cabine", avec en plus la possibilité de me promener un peu sans déranger mes deux co-pax. Je ne vous ferais pas une photo de la troisième tablette, mais j'espère que vous me croirez sur parole si je vous dis qu'elle était propre elle aussi.
L'embarquement se termine alors que l'heure de départ du bloc est déjà passée depuis 10mn, ma correspondance au T2F étant de 1h20, je suis confiant. Le pilote prend la parole pour nous annoncer que nous ne pouvons pas mettre en route plus tôt, un orage en région parisienne retarde tous les vols, nous devrons attendre 15 minutes avant de mettre en route. Il ajoute qu'il n'a que peu d'espoir pour une amélioration. Tant que ça n'empire pas, ça ne me gêne pas spécialement… J'aime bien le T2F par son architecture, mais nettement moins par ses espaces d'attente.
Peu avant les 15 minutes, le pilote refait une annonce pour nous confirmer notre départ proche, indiquant un temps de vol de 1h10 et des turbulences prévues à l'approche de Paris.
A 18h30 nous mettons en route, pour un décollage à 18h37. Côté couloir = pas de photos du décollage, mais vu la météo pluvieuse à HAM, ca n'aurait pas donné grand chose… Les nuages ne nous quitteront pas de tout le vol.
Les pilotes retiendront très longuement les hôtesses à leurs sièges après le décollage, pendant plus de 10 minutes. Elles sont libérées quasiment en même temps que les passagers, après avoir du rappeler à l'ordre un passager pas moins de 4 fois pour lui demander de se rassoir et de s'attacher, en l'espace de 10 minutes, joli record pour cet indélicat.
Je file aux WC dès que nous sommes autorisés à nous déplacer, qui sont propres et parfumés.
Le service ayant débuté avec du retard, et l'avion étant complet, nous tarderons à être servis. Une PNC passe proposer les sandwichs alors qu'il nous reste 40 minutes de vol, mais le service des boissons n'arrivera que 20 minutes avant l'atterrissage (nous serons la dernière rangée à être servie), alors que le début de la descente a déjà été annoncé par la co-pilote (encore une femme PNT en deux vols consécutifs, alors que je n'en avais pas eu en 75 vols) !
Je vous présente donc le pain fourré au concombre, citron et basilic, accompagné de son pressé de pommes et de son eau minérale.
Le sandwich est bon et frais, par contre depuis quand AF sert des Minute Maid plutôt que des vrais jus ? Plus de briques de jus de fruits peut-être, vu que nous avons été servis en dernier ?..
J'avale le tout rapidement puisque l'atterrissage approche, et compacte le tout dans les verres pour simplifier le débarrassage. Mon co-pax sera d'ailleurs très attentif à ma manoeuvre, puis la reproduira à l'identique. J'aurais du lui conseiller de venir lire les tutoriels Marathon maintenant que j'y pense…
Comme promis par le pilote, la descente sera très turbulente, une passagère de l'autre côté du couloir s'aggripera à son compagnon en couinant de peur tandis que les PNC auront bien du mal à poursuivre le débarrassage. Quelques passagers dont la correspondance est courte seront avancés sur les places J libres à l'avant de l'appareil pour leur faciliter la sortie. A 19h39, le pilote nous annonce un atterrissage dans 4 minutes, ce qui sera respecté, avec un toucher doux.
Au sol
Après un roulage de 5 minutes, assez court pour CDG, nous arrivons en porte dans la deuxième jetée du T2F. Le pilote nous souhaite une bonne soirée, s'excusant pour le retard à l'arrivée.
On débarque rapidement, avec un dernier coup d'oeil sur F-GKXS.
Et je remonte rapidement la passerelle et le couloir d'arrivée, ma correspondance est largement assurée (il est 19h59 pour un départ à 21h00).
Mon vol pour Lyon est prévu à l'heure, en porte F27 donc dans l'autre jetée.
Je vous laisse donc ici, la suite très bientôt pour mon retour sur Lyon.
La trace du vol sur Flightradar :
Merci de m'avoir lu !
Salut Robin, (et non pas Loric !) ^^
Le Russes sont un peu bourru, mais lorsque l'on devient leur ami ce sont des gens extraordinaire !
35 € l'entrée au salon, gulps... Trop cher mon fils ^^
Je suis étonné de la réaction de l'agent lors de l'embarquement, généralement la carte n'est pas demandé puisque le statut est indiqué sur le BP !!! Alors même si on ne voyage pas en complet veston, il y a peu de chance de se faire refouler au passage...
N'ayant qu'une carte Ivory, (datant de 1999), le placement est aléatoire alors que dans le profil sur mon compte ST, il est indiqué que je préfère le hublot ! J'hérite bien souvent d'un couloir... Ce n'est pas normal de te retrouver derrière alors que tu as payé un billet flex...
Sandwich et boissons servies tardivement, mais mieux vaut tard que jamais !
Ah... Ce vol AF de 21h de CDG vers LYS, on commence à bien le connaître ^^
Merci pour ce FR, à bientôt mon Gône !
Bonjour Hervé ! Je préfère Robin, effectivement :P
Je verrais bien cela cette année, ma copine a décidé de passer une année à la frontière russo-estonienne, j'espère bien pouvoir y rencontrer quelques personnes "du cru" là bas ! :)
C'est un tarif quelque peu douloureux, mais attendre 2h30 dans le reste de cet aéroport ne me faisait vraiment pas rêver... La prochaine fois j'irai plutôt passer 2h à Miniatur Wunderland plutôt qu'au salon !
Je n'ai pas trop compris non plus, il a fait le coup à plusieurs passagers au look un peu "baroudeur" plutôt que costard, sans même avoir jeté un œil au billet. Peut-être un peu trop habitué aux petits malins qui "resquillent" l'immense honneur d'entrer en priorité dans l'appareil.
Pour moi, le placement (couloir ou hublot) que je demande est toujours respecté, mais je n'ai en général pas le choix du siège, le diagramme affichant un vol complet même s'il ne l'est clairement pas une fois à bord. Les mystères du système Air France je suppose...
Par contre pour le Flex, effectivement, j'ai trouvé cela un peu "abusé".
Oui, mais je commençais à me demander si les hôtesses auraient le temps d'arriver jusqu'à notre rang avant l'arrivée en porte à CDG !
Je l'ai pratiqué de nombreuses fois l'année dernière, cet AF7648, pour conclure des week-ends tourisme ! Heureusement pas toujours avec des voisins désagréables :P
A bientôt ! Si je suis efficace, la suite sera disponible demain soir !
"La prochaine fois j'irai plutôt passer 2h à Miniatur Wunderland plutôt qu'au salon !"=> Dans ce cas, il faut bien compter une demi journée de visite !