Avis du vol entre Paris et Geneva en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous les FRistes !
voici les FR de mon week-end à Genève, avec un routing simplissime (aller-retour CDG-GVA en Y avec AF). C'est une ligne bien connue ici, notamment grâce à la contribution régulière des Jacks.
Pour me rendre à CDG, le plus simple reste le RER. J'en laisse passer 1 ou 2 pour prendre un direct CDG. Résultat : tranquillité assurée !

J'ai la place de bien caler mon bagage cabine.

Arrivée à CDG1, on nous annonce que cette rame n'ira finalement pas jusqu'à CDG2 et il faut prendre le CDGval. Rien de bien méchant, mais celui-ci sera bondé.

Arrivée au Terminal 2, direction le 2F.

Tiens, un AZ. Profitons-en ! Je pense déjà à mon routing hivernal que je suis en train de préparer, avec normalement la J d'AZ. La lecture des différents FR sur le sujet m'a bien donné envie, et l'on n'est pas sûr de pouvoir en profiter longtemps, étant donné les difficultés de la compagnie italienne.

Arrivée au hall d'enregistrement, assez peu fréquenté à cette heure-ci, bien que nous soyons en fin d'après-midi.

La zone d'enregistrement SkyPriority est bien identifiée. Pas de queue, mais je voyage léger donc direction le PIF, où une cerbérine vérifie l'éligibilité des pax.

Comme souvent à cet endroit, un seul poste est ouvert et ça bouchonne.

J'en profite pour prendre en photo le FIDS. Mon vol est prévu à l'heure.

Finalement un agent ADP indique qu'il y a moins de monde à un autre filtre un peu plus loin. Nous ne sommes que 2 pax à en prendre la direction. Et effectivement ça avance beaucoup plus vite !

Il est 17h15, j'ai encore 45 minutes avant le début de l'embarquement, direction le salon du 2F.

Arrivé au salon, je présente mon BP à la cerbérine, très souriante. Tant qu'à faire, je préfère privilégier le contact humain plutôt que les bornes, je trouve que cela dépersonnalise le service.
J'en profite pour lui demander si un surclassement est possible. Gratuit, non. Par contre, Air France me propose généreusement un surclassement payant à 159 € (!) ou 40.000 miles (!!!). Le billet a tout de même été payé au tarif abonné, donc pas à vil prix, et je trouve cette proposition ridicule pour un vol d'à peine 50 minutes. L'agente elle-même est un peu dépitée et me dit même en soupirant : "on se demande bien comment ils calculent ces tarifs !"
De toute façon je m'en fiche, en tant que FB Platinum j'ai pu me bloquer un siège plus en issue de secours gratos !
Je ne m'attarderai pas sur la présentation du salon, très souvent reporté ici.
L'offre de presse est toujours aussi fournie.

L'actualité est notamment occupée par le salon aéronautique de Dubai, qui a vu des commandes historiques pour Boeing et Airbus.

Ma sélection.

Quelques minutes plus tard, une agente AF fait le tour des pax et leur propose un verre de champagne. Je trouve ce protocole très qualitatif, d'autant que le sourire est là.
Arrivée à mon niveau, elle constate que j'ai déjà du vin blanc. Je lui rétorque que je préfère le champagne ;-)

Je ne tarde pas à remonter en salle d'embarquement. La zone SP est très bien identifiée, et une queue commence déjà à se former devant.

Cette verrière du 2F est vraiment superbe !

L'embarquement est lancé avec quelques minutes d'avance : on ne va pas bouder notre plaisir ! Une agente AF vérifie l'éligibilité des pax SP et contrôle les pièces d'identité, mais l'enregistrement du BP se fait à la borne.
Arrivée dans le finger transparent, plus agréable que ceux aux parois opaques (comme à ORY).

Tiens, les pax sont stockés dans le jetbridge : ça me rappelle le protocole easyJet !

Mais cela ne dure pas, quelques minutes plus tard, le commandant de bord vient nous inviter à embarquer, avec une boutade : "c'est bien le vol pour Genève ?"
Accueil sympathique en porte.

Je prends au 10F. L'intérêt de ce siège (tout comme le 10A) sur A321 est qu'outre l'espacement plus important avec la rangée de devant il n'y a pas de siège en face, mais le strapontin du PNC. Le pas est donc impérial.

Les autres sièges de la rangée ont également un pitch généreux.

L'embarquement commence à peine, j'en profite pour traiter mes mails.

Notre voisin, AF of course.

Ces nouveaux sièges Best disposent de ports USB, ce qui en l'occurrence m'a été fort utile.

Et là, mauvaise nouvelle : le CDB, moins enjoué qu'à l'embarquement, nous annonce qu'en raison d'une panne le départ est retardé. Nous attendons les techniciens pour voir si c'est réparable ou si nous devons changer d'avion. Lesdits techniciens arrivent et passent une bonne demi-heure dans le cockpit. Finalement, ouf, c'est réparé et on peut partir, certes avec 40 min de retard.
On repousse à 19h10 (pour un départ prévu à 18h30).

Le roulage dure une dizaine de minutes, pendant lesquelles nous passons devant les flottes de 777 AF prêts à partir aux 4 coins du monde (j'adore cette idée !) - désolé pour la qualité des photos.

Décollage.

Le T1 aux couleurs de la France (encore une photo pourrie, mais en vrai ça donne bien !).

Je n'avais pas de voisin à mes côtés, et la rangée de devant était vide, ce qui contribuait à un sentiment d'espace très appréciable.

J'en profite pour allonger mes grandes jambes.

Pour les amateurs, je n'étais pas en manque de consignes de sécurité.

Le vol en lui-même ne durant que 45 minutes, le service commence rapidement après le décollage.

Ces sandwichs étaient très corrects !

Je m'étonne quand même que pour les vols pour Toulon, pourtant bien plus longs (et bien plus chers aussi !), il n'y ait plus d'en-cas.
Arrivée de nuit sur Genève. Atterrissage.

On est bien en Suisse…

Amusant ce mini-terminal, au milieu des pistes. En fait ce satellite est accessible par souterrain (merci Numéro2 !).

TAP et juste derrière Eurowings (re-merci Numéro2 ;-).

Débarquement assez rapide.

Une dernière vue à mon siège, que j'ai trouvé plutôt confortable.

Débarquement et comme c'est désormais souvent le cas passage obligé au dutyfree.

J'en profite pour faire une petite emplette…

Passage par la sortie suisse. Personne aux bagages, c'est plutôt calme.

A bientôt pour le retour !