Avis du vol entre Budapest et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous et merci d’avoir cliqué sur mon 50ème FR !
Evidemment, j’aurais voulu proposer un vol qui fasse plus rêver plutôt que ce modeste MC en Europe, mais tant pis.
Je termine donc pour ce 50ème de rattraper mon retard avec le retour de cet A/R sur BUD ; vous pourrez retrouver le segment aller ici
Au lendemain des deux jours de grève du 17/18 mai, AF me propose de nouveau de changer mon vol une fois la grève terminée, ce qui est très pratique.
J’arrive à l’aéroport grâce à un taxi qui me dépose sur le parking…

…juste devant les trolleys à bagages….

…qui nécessitent de débourser un euro, ce que je ne ferai pas.

Il faut ensuite gravir ces quelques marches…

…pour dire bonjour à la Hongrie une dernière fois.

Je pénètre donc dans le terminal.

Il y a pas mal de monde

Moins dans ces commerces…

Le check-in est de ce côté

Il y a du monde, mais c’est acceptable.

On peut s’enregistrer sur l’une de ces bornes.

Elle me propose de débourser 5600 HUF pour un siège Plus, dont l’image montre ceux du 787 d’AF.

La compagnie me rappelle une dernière fois le parcours à effectuer jusqu’à l’embarquement.

Si l’on monte en haut, on peut prendre des images floues de la zone inférieure.

Il est possible également d’aller à la terrasse de spotting, ce que je n’ai malheureusement pas fait.

Je passe rapidement le PIF qui n’aura pris que 10 minutes ; en attendant, mon vol fait figure d’exception puisqu’on ne sait pas quand l’annonce de la porte d’embarquement sera faite.

Une fois le PIF passé, la zone est bien plus belle et lumineuse.

Et les trolleys, eux, ne nécessitent plus de débourser un euro.

Peut-être qu’en économisant un tout petit peu…

…on s’offrira une bouteille d’eau au duty free de BUD…

Une fois avoir passé la zone des tentations, on accèdera à la salle d’embarquement.

On croisera cette TV Oled de chez LG que je n’achèterai pas ; heureusement qu’on n’a droit qu’à l’image et pas au son :)

Tout autour, on accède aux portes d’embarquement les plus lointaines.

Il y a encore des boutiques en tous genres.

Devant, le panneau est coupé en deux par les travaux

En avançant, on tombe de nouveau sur des publicités, pour le Galaxy S9 cette fois-ci.

Les fan de spotting pourront le faire grâce aux vitres qui sont propres et une vue (presque) dégagés sur les parkings.

En continuant à avancer, ce sont d’autres portes qui sont encore plus éloignées.

Au loin, on aperçoit un 738 de Ryanair.

En attendant, il reste beaucoup de temps, puisque la porte ne sera annoncée que dans une heure et demie… voire plus, puisqu’en consultant FR24, on observe que le vol entrant est en retard et qu’un retard similaire est à prévoir sur mon vol.

Dehors, un 737 de Ryanair (peut-être le même, qui sait) roule.

En faisant demi-tour, on retombe sur le panneau coupé en deux.

En allant de ce côté, on se dirige vers les portes B

Il faut, pour y aller, de nouveau passer par la grande salle…

…qui est toujours très animée.

Au loin, c’est un concurrent au S9+ (et qui ne se cache pas de le dire) qui fait sa pub.

Là aussi, on a une vue dégagée sur le parking, mais vide ici.

Ah, non, au loin est stationné un 320 qatari.

BUD affiche fièrement ses prix obtenus en 2016 et 2017

C’est peut-être pour cela qu’il y a autant de vols ;)

Et peut-être aussi la raison pour laquelle il y a autant de produits commerciaux exposés…

Une banque chinoise fait également sa publicité au-dessus d’un fast-food.

Si l’on monte par les escaliers ou les escaliers mécaniques, on peut avoir une belle vue de cette salle pleine de monde.

En haut, il y a bien plus d’endroits pour se restaurer.

Comme il ne faut pas que cela se fasse trop longuement non plus, des FIDS sont placés au-dessus des PAX pour qu’ils n’oublient pas d’embarquer.

Dans un coin de l’étage supérieur est aménagé un salon…

Celui-ci est partenaire d’à peu près toutes les compagnies qui viennent ici.

Par exemple, Air France, KLM et Delta…

…cohabitent avec Air China ou encore Finnair.

En descendant, on observe que Mercedes-Benz fait aussi profiter ses futurs clients de ses innovations.

Il s’agit de tester le confort de ses sièges (et la puissance de son smartphone ?)

On voit que Samsung est un partenaire de choix pour BUD.

Le but est ici de promouvoir leur S9+

Il faut bien de l’argent à l’aéroport pour refaire le sol du terminal ^^

Dans un terminal aussi lumineux que celui-ci, on a peut-être besoin de lunettes de soleil pour ne pas être ébloui…

Puisqu’on vous disait que le sol était en train d’être refait

Pour l’instant, il reste toujours du temps avant l’annonce de la porte.

On peut donc faire un peu de spotting avec, par exemple, ce 320 U2

On continue avec ce 737 Smartwings.

Devant lui, il y a un autre A320 U2

Au loin, un 320 Wizz vient d’arriver…

Alors qu’un cousin de chez Iberia repousse.

Ici, les passerelles ne sont pas vitrées, dommage.

Comme il me reste du temps, je me connecte au réseau wifi qui offre 120 minutes d’utilisation.
Le processus est simple, il s’agit juste de donner son nom et son adresse mail.

Bon, par contre, il vaut mieux que l’ouverture de session ne dure pas 120 minutes, parce que ça ne me laisse pas beaucoup de temps, là.

Au moins, le wifi marche plutôt bien, sa vitesse ne fait pas rêver mais ça fait le job. Le temps passe vite et il ne reste plus que 5 minutes avant l’annonce de la porte d’embarquement.

L’écran du FIDS ne peut être classé dans aucune de ces catégories de déchets.

KLM est arrivé à BUD

Youpi, on a enfin la porte : ce sera en A7

Voici la bête qui vient d’arriver.

Rapidement, la file se crée pour l’embarquement.

Celui-ci commence très vite dans un des jetbridge aveugles de BUD

Fuselage shot qui prouve que c’est bien un A321 qui effectuera le vol.

La porte que j’ai mal cadrée.

Sans surprise, la cabine est la même qu’à l’aller, à ceci près qu’elle est beaucoup plus grande.

Etant donné que les hublots à mon siège sont décalés, vous avez droit à deux tests hublot, l’un réussi…

L’autre non.

Le PSU est classique pour un 321.

Au loin, on devine un autre A32X compatriote, qui, lui, est à l’heure.

La fiche de sécurité est bien à sa place avec même un invité !

C’est une serviette rafraîchissante plus très fraîche déjà utilisée lors d’un vol antérieur.

Voici le recto et le verso de cette fameuse fiche.

Rapidement, le repoussage se fait.

Au revoir à l’aéroport tout en verre de Budapest.

Au loin le 318 d’AF se prépare pour son vol.

LH fait la promotion de *A sur cet A320

Celui de QR, lui, s’apprête à décoller.

Peu d’avions au contact en ce moment

Tiens, un véhicule « follow me »

En chemin, des spotters immortalisent la scène.

Si, si, je vous assure qu'ils nous prennent en photo

Rapidement, nous décollons.

Quelques vues aériennes.

Puis, rapide passage aux commodités lesquelles n’ont pas eu droit à un rétrofit comme sur le 320 du vol aller.

Il reste toujours du papier.

Il reste aussi de la « crème lavante pour les mains »

En attendant, le service a débuté.

La peinture ne fait pas très "clean" sur l’aile de l’Airbus.

Mais, l’hippocampe ailé est toujours aussi impeccable sur le moteur.

Normal, puisqu’on n’a pas droit d’y toucher ;)

Au loin, je tente un air to air.

En diminuant le temps de pause, on arrive à voir plus net.

En diminuant la sensibilité en même temps, on n’y voit plus rien.

Évidemment, il faut cropper l'image pour se rendre compte qu'il s'agit d'un A388 EK

Le winglet

Le problème de modifier les réglages pour obtenir un meilleur résultat pour une scène en particulier est d’oublier qu’on y est passé quelques instants auparavant.
Voici donc le catering que l’on ne voit pas à cause des réglages du air-to-air.

La dernière fois que, j’avais pris le sandwich au jambon, changeons donc pour un « Tomate-Fromage frais-origan » . Les propositions étaient toujours les mêmes : jambon ou fromage ; encore une fois, je trouve dommage de ne pas proposer des choix différents entre l'aller et le retour.
Bon, quand on après un très lourd traitement d'image, on arrive à voir "en gros" ce qui est proposé.

C’est pareil pour l’autopsie du sandwich en question : si je n’avais retouché la photo, vous auriez eu droit à ceci :

Même si le résultat est moche, on arrive quand même à voir que ce que contient ce sandwich ne fait pas rêver : ce sont 2 ou 3 bouts de tomates qui se battent en duel dans une pâte dont la quantité n'est pas très généreuse (mais ça, on ne le voit pas sur la photo)

Évidemment, je me suis rendu compte immédiatement de mon stupide oubli, et l'ai corrigée rapidement pour vous proposer la photo des déchets qui peuvent prendre place dans le porte-gobelet rond du siège.

J’allais oublier de prendre en photo la têtière aux couleurs d’AF.

D’ailleurs, notez que ma liseuse est HS

Très rapidement, la descente commence.

L’éclairage est réduit.

On s’approche.

Les volets sont déployés.

VOR ?

Un 77W d’Air Austral devant un 319 AF

On touche le sol à 19h46.

Au loin, les LC se préparent pour leurs vols du soir. Là, ce sont AF et tous leurs amis Skyteam

Ici, ce sont CX et Ethiopian qui partent dans des avions de la nouvelle génération que sont le 787 et l’A350

Ce 319 AF, lui, roule tranquillement.

Alors que ces babybus locaux se reposent au parking.

Bienvenue au royaume d’AF et de Joon.

Et de KLM aussi.

On se parque à côté de cet A319 d’AF

La prise USB est toujours allumée.

Dernière vue de la cabine…

…et de l'avion

La passerelle est aussi anti-spotter pour les passagers qui débarquent…

…que pour les pax qui attendent à l'aéroport en raison de la construction des passerelles.

Merci de m'avoir empêché de spotter cet airbus…

Les PAX aux départs n'ont pas laissé tomber leurs affaires

J'ai eu de la chance avec les grèves AF en y échappant à 1 jour près, mais pas à celles de la SNCF, il faudra laisser tomber le RER aujourd'hui.

Merci d'avoir lu ce 50ème FR, pas de bonus aujourd'hui, mais le vrai bonus sera le prochain FR ! (Teaser : le routing sera un condensé de 9 vols en 4 ou 4 vols en 9)
A très vite :)