Bonjour à tous,
suite de mon séjour au Brésil, les vols AZUL s’enchaînent et se ressemblent. Quant à moi j'essaie de rattraper mon retard de FR…
Rappel du voyage:
STR - CDG
CDG - GRU
GRU - VCP - en bus
VCP - RAO - en voiture
RAO - CGH
CGH - CWB
CWB - VCP
VCP - MII
MII - VCP
VCP - CWB
CWB - VCP - nous y sommes (moins de 24h après atterrissage)
Après un meeting jusqu'à 13h, direction l'aéroport à nouveau. Mon collègue laisse cette fois sa Golf chez le garagiste et on finit les derniers kilomètres en UBER que je recommande toujours autant au Brésil. C'est pas plus cher qu'une voiture de location à moins de parcourir des centaines de km!
Par de photos de l'enregistrement, on est un peu à la bourre (pardon à la brésilienne) et il me faut cette fois déposer ma grosse valise en comptoir. Enregistrement aimable et on me facture la valise 60BRL le trajet avec une correspondance (pas de différence). Un peu mesquin sur un tarif à plus de 200€. Mais le bagage n'est jamais inclus chez AZUL.
Aéroport toujours aussi efficace, on attend juste deux minutes avant de passer la PIF.
Et me voici déjà à ma place après un embarquement débuté à l'heure.
Le pas est toujours le même, correct sans plus. Moi je me suis mis à mon aise lors de notre arrêt chez VW.
IFE de mise sur l'ensemble de la flotte Embraer et Airbus.
Système du début des années 2000. Vidéo et audio en boucle. Azul propose des écouteurs arrache oreilles en porte à l'embarquement gratuitement.
L'embarquement continue. Toujours en peu long dans des E195 en passerelle.
Puis démonstrations sur écran en portugais sous-titrées portugais et anglais, suivies d'une annonce de se manifester auprès de l'équipage pour toute aide en anglais.
Repoussage dans les temps.
Le temps n'a pas bougé de ma semaine sur Curitiba. Plafond bas et dans les 22°C.
On s'élance après arrivée en bout de piste.
Les faubourgs de l'aéroport ne font pas partie des plus beaux quartiers de la ville.
Enfin c'est rarement le cas auprès des aéroports de grandes villes.
Mégalopole de près de 2millions d'habitants.
Av un centre villes aux hauts immeubles comme toute ville brésilienne, même les plus petites.
On quitte la première couche de nuages.
Pour changer un peu, je vous fait part sur ce vol des informations du magazine de bord.
Le programme de fidélité. Attention impératif de maîtriser le portugais.
Les bus gratuits avec vol du jour pour différents endroits de Sao Paulo. Un vrai plus.
Les divertissements à bord, certainement sur A320 on demand. Sur Embraer, oubliez car il vous faudra un long vol pour attraper au vol ce que vous voulez. Ici aussi maîtrise du Portugais obligatoire.
Enfin le réseau ainsi que celui de ses partenaires United et TAP Portugal.
Le service pendant ce temps est passé. Je suis resté cette fois raisonnable.
Le temps se dégage comme à chaque fois une fois dans l'état de Sao Paulo.
A la santé des Flight Reporters au Brésil!
Descente entamée après 40min de vol.
Les faubourgs de Campinas
Les champs vert foncés sont du café.
Au revoir, enfin à très bientôt!
Il semble que le bois soit également exploité.
Vue de VCP sur une sorte de mini-bute.
Freinage face au fret
On se parque parmi les siens (comprendre l'aile des Embraer)
Et hop débarquement
Merci pour ce FR,
Vol efficace et confort appréciable!
IFE des années 2000...mais IFE quand même :-)
Etonnant pour un vol aussi court et assurément appréciable.
Bonne soirée!
Merci pour le partage !
Toujours aussi agréable de voler sur Azul entre l'IFE et les snacks gratuits.
Merci pour cette suite :)
Merci pour le récit de ce vol sur Azul. Cabine équipée d'IFE, boissons et snacks offerts c'est pas mal pour un vol d'une heure. J'aime bien la vue du winglet !
PS : ton bermuda ressemble trop aux vestes des PNC de Norwegian ;-),
Oui il y avait une promo au Brésil sur la revente des uniformes Norwegian Argentina non utilisés ???