Avis du vol Azul Passo Fundo → Campinas en classe Economique

Bonjour à tous,
suite de mes voyages au Brésil fin Novembre. Basé à Curitiba, capitale du Parana, je dois me rendre à Passo Fundo dans l'ouest du Rio Grande do Sul, l'état le plus aus sud du pays dont la capitale est Porto Alegre en front de mer. En fait je vais plus précisément à Nao Me Toque qui litéralement signifie "Ne me touche pas", il y a plusieurs versions sur le pourquoi du comment cette ville a trouvé son nom, entre un arbre à épine qu'il ne faut pas toucher et un grand propiétaire terrien dont il ne fallait pas toucher les terres de peur de se voir prendre une chevrotine dans le fessier… Passo Fundo a l'avantage de n'être qu'à trois quart d'heure une heure de Nao Me Toque. C'est un petit aéroport régional comme le Brésil sait si bien en faire et AZUL si bien les desservir. Ils sont les pros des petites lignes. Chapeco est à deux heures de route, Porto Alegre est à quatre heures. Vu l'état des routes trois quart d'heure sont largement suffisant. Il me faut passer par Campinas que AZUL vent comme le troisième aéroport de Sao Paulo. Attention tout de même vous êtes à 90km et une heure trente de bus de Sao Paulo. Campinas étant elle même une grosse ville avec attractivité forte, je ne vois pas trop l'intérêt de ce jeu d'écriture. Rien à voir avec Beauvais Paris Airport… Ce billet acheté environ 4-5 semaines en avance me coute dans les 225€ A/R avec bagage. C'est honnête avec des horaires pratiques.

Place maintenant à mon retour sur Curitiba en passant par Campinas après un peu plus de deux jours sur place dans un hotel à fuire…

Nous avons déposé la voiture de location le long du rong point qui juxe l'entrée du terminal. C'est visiblement la façon de retourner une voiture chez Localiza au Brésil… On ne peut pas rêver de parcours plus rapide.

Dans le terminal c'est l'effervessence. AZUL vole en Embraer E195 d'environ 120 places et le terminal tout petit est déjà bien rempli. Le check-in se fait par ces deux comptoirs avec une file somme toute assez courte.

Le reste du terminal avec la salle d'attente. Certainement des personnes qui attendent des passagers à l'arrivée.

Le convoyeur à bagages n'est autre qu'une… trappe qui donne sur l'extérieur. Et je ne suis pas sût qu'il y ait une machine à rayons X de l'autre côté.

Deuxième partie de la salle d'attente landside avec vue sur la piste et le poste d'arrivée de l'avion.

Je me faufille dans la file pour le PIF.

De l'autre côté on est parqué dans une salle qui fait un peu "pré-embarquement à la Ryanair ou Wizz".

Lavion sera à l'heure. Il faut dire que AZUL dit toujouts haut et fort qu'elle est la compagnie la plus ponctuelle du Brésil, le contraire aurait été dommage.
Nous somme donc lachés 5min après le dernier passager sorti. Le ménage doit donc être des plus suiccins.

Ici pas de jet bridge ni de bus, on a le droit d'humer le grand air - mes embarquements préférés.

Direction le seul taxiway, en fait une surface sur lequel un avion de classe moyenne peut faire demi tour par lui même.

Petit vent de travers en perspective

Et gros nuages comme les jours précédents - d'où l'herbe bien verte :)

Cette photo vous montre à quel point les brasiliens voyagent léger en cabine. Madame a une valise cabine, et un sac avec énorme oreiller et couette!

Instant porte Embraer

Je prends place au premier tier environ. Cabine identique à tous mes autres vols. Du gris triste et des IFE en boucle.

J'ai chopé un opercule d'eau en porte qui fera office de Pre-Departure-Drink.

Les bagages sont tous à bord, nous sommes prêt à partir.

Ne perdons pas de temps. Passo Fundo sera donc face à nous au départ.

En bout de piste c'est demi-tour. La piste est relativement courte il me semble.

Au revoir petit aéroport

Dernière vue du centre ville entre deux gros nuages. Une ville typiquement brésilienne aux gros ensembles sans chaleur dans l'architecture.

Au final la montée n'aura pas encore été trop secouée.

Direction le Sao Paulo state en passant par le Santa Catharina et le Parana.

Attention petit roulement de tambour… nouvelle offre sur AZUL. Renseignement pris auprès de mes collègues après vol, il semble que AZUL offre autre chose le matin que l'après midi, hors tous mes vols jusqu'à présent étaient l'après midi. Je prends ces deux genres de chips. Les uns (en turquoise) sont au manioc (non cela n'existe pas que sur l'ile de Koh Lanta!), les autres sont au blé. Les deux sont un peu étrange je dois dire mais pas mauvais.

Histoire de rester local, j'accompagne le tout d'un jus de Guaraná. A recommender pour essayer au moins une fois.

Du manioc en biscuit.

Dehors les nuages remontent de plus en plus.

Mais j'ai toujours de l'appétit pour ces chips au blé (bon une fois me suffira, le bacon est un peu trop présent au gout).

Le reste du vol secoura un peu plus, mais vite tout de même on arrive dans la région de Campinas, beaucoup plus dense que les états plus au sud.

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Usines John Deere brésiliennes.

Une fois de plus posé des roues à l'heure

On se parque dans le carré des Embraer

La cabine restant calme jusqu'au bout avec instant Danette tout doux.

Le circuit de sortie comme de correspondance fait arriver les passagers directement dans le terminal

Quant à moi je m'en vais attraper mon vol suivant pour Curitiba