ROUTING AUTOMNAL
Bonjour à tous !
Voici une nouvelle série, cette fois-ci automnale et qui conclura l'année 2018.
- 1e partie : Tout d'abord, pour la deuxième fois de l'année (après un cuisant échec !), je retente de prendre un des 6 dernier 737-600 scandinaves, pour ne pas dire européens car ce modèle ne sera bientôt plus qu'un souvenir dans le ciel de notre bon vieux continent. Cette fois-ci, je ne retente pas l'erreur du multidestination et vise directement un vol opéré en 736 au départ de CDG. Avec aussi peu d'avions dans la flotte, il faut quasiment croire au Père Noël pour espérer en prendre un depuis CDG mais je me rappelle de mes derniers vols en MD-80, cela avait marché comme sur des roulettes. Alors j'attends, j'attends… Et puis en septembre, bingo ! Les premiers vols ARN-CPH-ARN des mardis d'automne sont systématiquement exploité en 737-600. L'occasion de la dernière chance : je n'hésite point ! D'ailleurs, SAS propose un tarif jeune qui convient à ma tranche d'âge puisque la limite est placée à la veille des 26 ans. Le billet d'avion descend donc de 135€ A/S à 67€ A/S. Allez, c'est validé ! Il n'y a plus qu'à espérer qu'un IRGAV ne joue pas les troubles fêtes.
Pour le retour, ce sera un 737-800, ce qui est également une bonne prise, les 737NG SK devant tous être remplacés prochainement.
- 2e partie : Ensuite, viendra un A/R "pour le plaisir" pour profiter une nouvelle fois du Fokker 100, avion que j'adore pour son côté mi-MD80 mi-Caravelle (avec ses moteurs et ses hublots si caractéristiques). Ce ne sera ni plus ni moins mon 3e pèlerinage à Lourdes spécial Fokker 100 (et probablement pas le dernier s'il y reste encore une saison de plus) !
- 3e partie : Enfin, pour terminer l'année avec sérieux, un A/R professionnel à Lyon que je réussis à caser entièrement en avion. Lorsque les vols pro s'insèrent dans un planning ultra-chargé, ORY est bien plus avantageux que CDG en terme de gain de temps. Cependant la possibilité de prendre un A318 me pousse à densifier mon agenda pour me permettre de rentrer par CDG et profiter ainsi du plus petit des Airbus. Il faut en profiter car lui non plus ne fera pas de très vieux os chez notre compagnie nationale.
Cela donnera donc ceci :
Enchainement de vols
- 130/10/18 – SK 574 | CDG → ARN | SAS | 737-600
- 2
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- 6
Place au vol !
La veille du départ, je m'enregistre en ligne, et c'est avec soulagement de constater que ce sera bien un 737-600 !
Cependant, je me vois reculé d'un rang puisque mon siège pré-réservé 5A est devenu le 6A. Cela signifie qu'une rangée business fut rajoutée entre temps. Ce n'est pas bien grave, je conserve un hublot à proximité des moteurs, c'est tout ce qui m'importe.
Pour se rendre à CDG, je profite d'être chez mes parents la veille pour rejoindre l'aéroport en TGV depuis Massy, à un tarif similaire au RER B, et pour un trajet non seulement plus court, mais aussi (et surtout !) beaucoup plus confortable !
Le train arrive au terminal 2 à 9h12 pour un départ du terminal 1 à 10h30, c'est un peu juste mais l'avantage des TGV inter-secteurs est de pouvoir vérifier si le train a du retard au départ des gares précédentes, et donc j'ai la possibilité d'annuler mon billet à la dernière minute et de me replier sur le RER. Ce jour là, aucun retard pour ce TGV Rennes-Lille, tout va bien !

Pour quelques centimes de plus, je troque les places peu confortables du RER contre la première classe d'un TGV Duplex. Difficile de faire mieux !

Il ne fait guère beau aujourd'hui, mais le beau temps nous attends au-dessus de la couette nuageuse ;)

44 minutes plus tard, nous y sommes avec une ponctualité d'horloger suisse. J'ai pris une trentaine de fois le TGV entre Massy et CDG et je n'ai quasiment jamais eu de retard, c'est une valeur plutôt sûre face au RER.

Ceci étant, il ne faut pas traîner car je n'ai pas une marge monstrueuse. En passant, petit coup d’œil au célèbre FIDS de la gare TGV.

Mon vol est aussi ponctuel que le TGV, encore une bonne nouvelle ;)

Il faut maintenant rejoindre le terminal 1 en empruntant le CDGval.

Le cheminement est rapide, il faut 5min pour s'y rendre depuis la gare.

J'arrive au terminal 1 à 9h27 : c'est bon, je suis dans les temps !

Je consulte une nouvelle fois le FIDS pour avoir la zone d'enregistrement. SAS est situé au niveau du Hall 4…

…que voici !

Pas de besoin de passer au comptoir, le bandit manchot me délivrera le précieux sésame.


Prochaine étape : franchir la porte des cieux au moyen d'un de ces tunnels volants sortis tout droit de l'oeuvre d'Edgar P. Jacobs ^^

L'engin roulant nous emmène airside sans efforts. Le Terminal 1 est vieillot, mais malgré tout je l'aime bien pour 2 raisons. Le passage landside <> airside au moyen de ces tunnels suspendus est la première.


La deuxième raison est la disposition des portes en sattellites disposant chacun d'un poste PIF, ce qui évite d'y faire la queue ! Et côté confort, c'est un plus indéniable ! Aujourd'hui, c'est dans le satellite contenant les portes 60 à 78 que nous nous rendons.

Il n'y a plus qu'à emprunter le long tapis roulant menant au satellite en passant sous le tarmac.


Le PIF est expédié en quelques secondes et dès sa sortie, j’aperçois en porte 72 l'objet de convoitise du jour… Allons vérifier de plus près qu'il s'agit bien d'un -600 !

Victoire ! C'est bien un 737-600 ! Je le tiens enfin !!!

Ce 737-600 immatriculé LN-RRP est baptisé au doux nom de Vilborg Viking ^^

L'embarquement sera débuté à l'heure de manière très organisée avec un respect strict des priorités, d'abord les membres *A+, puis les différents groupes. Etant placé à la première rangée de la cabine éco, je serai évidemment dans le dernier groupe. Mais à bord du plus petit des 737, l'embarquement s'effectue plutôt rapidement.

Quelques minutes plus tard, ce sera mon tour. L'embarquement se fera malheureusement via une passerelle aveugle.

Heureusement, la récompense est là ! Juste au bout !

Saluons Esteban grâce à cet instant qui lui est cher ! ;)

Découvrons maintenant la cabine… Celle-ci est identique aux autres 737NG, bien connue sur Flight-Report.

Aujourd'hui, il y a 5 rangs en J. Notez ici que la séparation J/Y est minimaliste au possible !

Voici un siège vu du verso.

Le pitch est très correct pour ma taille.

Le test Horatius est concluant !

A l'intérieur de l'aumônière, on retrouve la safety card, bientôt collector ! Pour cette raison, elle subira la loi de Newton jusqu'à mon sac. ^^


Je profite de la tablette pour photographier ma carte d'embarquement, celle-ci étant très facilement froissable puisqu'elle est au format désormais courant du "ticket de caisse".

Instant patère ^^

Et voici également l'instant F-OITN ophtalmologique avec la version rapprochée…

…et la version éloignée ! ^^ (je préfère de loin la première !)

L'embarquement se terminera vers 10h25. Côté ponctualité, on est très bon ! Il faut dire également que l'avion n'est pas complet, cela aide !

Le 737 n'est pas un avion que j'aime particulièrement plus que d'autres, mais avec les moteurs rouge de la belle livrée SAS, cela lui donne un charme certain ! Et particulièrement sur le petit modèle !

L'Europe étant traversée par une forte dégradation pluvieuse et venteuse, les photos au sol vont être très compliquées aujourd'hui. J'arrive à immortaliser à temps cet A330-200 Air Transat.

Un collègue A321 est au parking juste à côté.

Il est maintenant 10h30 et la mise en route est initiée.Laissons nous bercer par la douce montée en puissance des CFM56 :)
L'avantage de ces places au T1 est de pouvoir s'affranchir d'un pushback. Nous partons ensuite en direction du doublet nord. Aujourd'hui, la configuration en vigueur est plein ouest, nous décollerons donc en 27L. Au loin, un A380 Air France se pose en 27R.

En chemin, nous croisons un 787 "Red nose" (le nouveau call-sign des avions long-courrier de Norwegian !).

L'A380 d'Air France dégage la piste…

…puis c'est au tour d'un A321 de Wow Air qui, je l'espère, n'est point venu en France pour chercher le beau temps et la chaleur ^^

Par contre, les passagers de ce 777 Air France ont une forte probabilité de trouver un meilleur temps à destination ^^

Parce qu'ici, c'est vraiment pas folichon. Quand on sait que chaque rayure d'une manche à air correspond à 5kn, nous avons donc au minimum 25kn de vent, ce qui est beaucoup. On peut faire pire certes, mais ça ne rigole pas pour autant.

Il est inutile d'aller tout au bout de la longue piste 27L, surtout en venant du T1. Nous nous alignerons donc depuis la bretelle Q5.

Nous serons suivis par un 767 que je n'ai pu identifier.

Décollage ! Avec une magnifique condensation autour de l'aile, due à la forte humidité présente.


Pour revivre le décollage avec un peu de son, la vidéo ci-dessous est pour vous ! ;)
Puis nous atteignons rapidement la couche, avec des turbulences assez modérées, ce qui ne me déplaît jamais ^^

Malgré ces secousses, les PNC sont libérés afin de commencer à préparer le service.

Les secousses s'estompent progressivement. J'en profite pour effectuer un arrêt technique indispensable au coin d'aisance ! J'en profite pour faire une photo depuis le galley arrière, afin de montrer qu'un 737-600, tout comme un A318, c'est vraiment petit ! Et c'est ce que j'aime !

Il faudra une vingtaine de minutes pour commencer à percer la couche, aussi épaisse que l'étude de concert pour piano de Gabriel Pierné est indigeste ! Il faut dire que nous sommes au FL290 et il en reste encore au-dessus !

Il faudra attendre le FL330 pour enfin rejoindre le pays du beau temps éternel !

Instant… sans winglet ! Il faut dire que le 737-600 est véritablement l'unique 737 à n'en avoir jamais été équipé. Les winglets sont apparus au milieu des années 2000 sur les 737-700/800/900, le -600 tombait déjà alors en désuétude. Après n'avoir été proposé que sur les avions neufs, les winglet ont ensuite équipé des avions plus anciens qui en était démunis. Aujourd'hui, les 737-700/800 sans winglets son rarissimes (il y en a encore quelques uns chez SAS justement). Ces winglets ont également été proposés pour la série classique beaucoup plus ancienne -300/-400/-500 mais dont de nombreux exemplaires volent encore dans le monde. Même certains antiques 737-200 se sont vus proposés des winglets ! Le -600 est donc une remarquable exception.

Vu que les paysages sont inaccesibles, hormis la magnifique mer de nuages infinie, jetons un petit coup d’œil au contenu de l'aumônière. On y trouve entre autres le magazine de SAS.

Voici la page de la flotte, qui s'est fortement rationalisée depuis mes voyages scandinaves de 2013. A ce moment, les modèles sur la sellette étaient les MD-80 et les 737-400/-500. Aujourd'hui, ce sont les 737NG qui tireront bientôt leur révérence. SAS sera alors une compagnie 100% Airbus, excepté les vols opérés par CityJet, Cimber, Flybe ou encore Nordica.

On retrouve également le magazine des ventes en duty-free à bord, mais il n'y a rien qui pourrait intéresser un avgeek !

Par contre, un avgeek qui a faim poussera sans problèmes sa curiosité jusqu'au menu du BOB !

Voici la carte:


Etant donné que je ne cumule que peu de vols jusqu'alors chez *A, mon compte Eurobonus n'est guère fourni. Je disposais cependant de 3200 points qui s'ennuyaient ferme. Vu qu'ils allaient bientôt arriver à expiration, et n'ayant pas d'autres occasion de voler avec SAS dans un proche avenir (du point de vue avgeek du moins), ils seront parfaits pour financer mon déjeuner !
Voici donc ma sélection :
- 1 menu sandwich à 2600 points comprenant un sandwich au fromage et une Carlsberg.
- 1 sachet de chips à 500 points
- 1 thé proposé parmi l'offre gratuite de boissons chaudes.

Détail du sandwich qui était très bon.

Les gobelets de SAS sont absolument magnifiques ! Celui-ci rejoindra d'ailleurs sa copine safety card dans mon sac ! ;)

Pendant ce temps, le vol se poursuit paisiblement au-dessus de cette épaisse couette nuageuse uniforme.


Seule ma géovision personnelle permet de savoir où l'on se trouve à ce moment.

Nous volons à l'altitude maximale du 737NG, soit au niveau 410 ! Ce n'est que la deuxième fois que je dépasse le niveau 400, avec un autre vol HEL-PEK en A350. J'immortalise les données du système GPS pour l'occasion !


Je raffole de ces vols aux altitudes maximales de croisière, lorsque le ciel est d'un bleu très profond, rappelant que la couche de l'atmosphère est ridiculement petite à l'échelle de notre belle planète et que l'Espace n'est pas bien loin, à juste quelques dizaines de kilomètres.

En parlant d'Espace, Artémis nous rend visite en bout d'aile !


La même chose en version animée ;)
2h30 de vol, cela passe malheureusement très vite et la descente sera initiée 35min avant l'atterrissage.

La mer de nuages se rapproche rapidement. Juste le temps de prendre une petite dernière photo avec la lune en version monochrome

Puis nous pénétrons une nouvelle fois dans la couche.

La météo est aussi agitée qu'à Paris, avec une épaisseur de nuages impressionnante. On se fait secouer dans tous les sens. La sortie des slats sera le seul élément indiquant que nous sommes désormais en finale.

Puis c'est dans une forte pénombre que nous sortons des nuages, très proche du sol.

Le vent est non seulement fort, mais il subit un cisaillement importantavec son cortège de pompes et déguelantes successives.


En vidéo, cela donne mieux !
Poum ! Posé en douceur et freinage modéré avec les reverses au ralenti.

Nous passons devant cette caravelle bien connue des fidèles lecteurs de l’ancienne navette marathonienne ;)


On passe devant les locaux de TUIfly…

…puis on rencontre en chemin les grands frères 737-800.

Je retrouve un bon vieux MD-80 en stockage définitif. Je l'avais déjà aperçu lors de ma précédente venue en mai dernier.

Au fond, un CRJ-900 dont on ne sait s'il appartient à CityJet ou Cimber si l'immatriculation n'est point visible.

On passe ensuite devant ce 737-700 (sans winglets).

L'immatriculation irlandaise de ce CRJ-900 trahit son propriétaire caché : CityJet.

Poursuivons la visite avec ces 2 A330.

Ici, un bien connu et "banal" 777 Emirates.

Après ce bref spotting humide, nous arrivons en porte 10, terme de ce voyage.

Ici, comme dans beaucoup d'aéroports désormais, la tâche du placeur est désormais assurée par l'écran situé à hauteur de cockpit. On voit ici le type d'avion renseigné, 736 pour 737-600.

Nous nous positionnons aux côtés de ce 737-800.

L'arrivée avec quelques minutes n'empêchera pas l'inévitable instant danette ^^

En sortant, je demande si en cette occasion spéciale, je puis visiter le cockpit ? Requête accordée ! Je suis chaudement accueilli par les 2 PNT ravis de voir un passionné s'intéresser à leur petit 737 ^^


Le 737NG n'étant pas un avion très familier, je vous fait grâce d'une visite détaillée pour cette fois ! Ci-dessous, voici l'upper panel.

Je sortirai dans les derniers pax sans oublier de remercier l'équipage !

Fuselage shot ^^

Instant Esteban bis ;)

Maintenant, tâchons de trouver un lieu sympathique pour patienter durant les prochaines heures, si possible avec vue sur le tarmac !

Justement, cet escalier situé pile poil devant la sortie du jetbridge semble pouvoir m'offrir ce que je recherche !

Essayons de monter pour voir ce qu'il se cache à l'étage.

A mi-parcours, la perspective est déjà fort intéressante, ce qui me permet de photographier la nouvelle et "l'ancienne" génération ensemble !

En haut de cet escalier en colimaçon, je découvre cet espace d'attente au-delà de mes espérances, avec ces tables munies de prises, le tout face au tarmac !


La vue y est parfaite ! Voici un A330 sur le chemin du décollage…


Puis c'est au tour de ce magnifique 777 Thaï d'évoluer sous mes yeux.

Notre 737-600 va bientôt partir également.


J'apprendrais plus tard que ce 736 LN-RRP eut un incident sérieux le 28/09/2018 au cours d'un vol entre Kiruna et Stockholm où le moteur n°1 prit feu. Il fut remis en service une semaine plus tard.


Au passage, un petit clin d’œil amical à Michelg et Sylvester de la part de mon fidèle compagnon de voyage qui pose fièrement devant la belle prise du jour !

Au revoir Vilborg Viking !


La suite sera au prochain épisode !
Merci beaucoup pour votre lecture ! :)
A bientôt !
Publier ce FR à une heure aussi ingrate! C'est vraiment de la provocation pour tous les habitués de la ligne navette du Mètre mais quand, à la fin de la lecture, la box "Informations sur la ligne Paris (CDG) -> Stockholm (ARN) te propose deux lectures, l'une par cet auteur amateur de sèches-cheveux et l'autre, référence incontestée de la répétition parfaite, tu te dis que tu as bien fait de ne pas aller te coucher sans une bonne dose d'informations utiles, difficiles à trouver ailleurs.
Merci pour ce partage dont j'ai pu suivre certains éléments en direct (double merci) et où j'apprends que l'on peut troquer ses miles contre un très bon sandwich et même une bonne bière. Voici comment économiser sur l'offre alimentaire très chère de l'aéroport de destination.
Superbes vues au décollage comme à l'atterrissage (j'aime les turbulences) et le simple fait de voler dans le tant convoité baby Boeing au FL410 méritait bien ce sacrifice. Bravo et à bientôt pour la suite!!!
Merci beaucoup Guillaume ! :)
"Publier ce FR à une heure aussi ingrate!" > Faute de partir après en un lieu sans connexion wifi pour publier le dit récit à une heure plus décente, mais je pouvais ainsi satisfaire certains oiseaux de nuit ! ;)
"j'apprends que l'on peut troquer ses miles contre un très bon sandwich et même une bonne bière" > Ces miles arrivant quoiqu'il arrive à leur date de péremption, j'en ai donc profité in extremis !
Je suis heureux d'avoir quasi complété mon flightlog en 737NG. Ne restent plus que les 737 classiques (le -200 au Canada, je l'ai abandonné définitivement vu le prix des vols vers le Grand Nord !)
A bientôt ! :)
Merci Cyrille pour ce FR en mode catch’em all.
Les passerelles sont aveugles à CDG T1 mais pas moins lumineuses, j’ai découvert cela hier soir !!
Cette façon minimaliste (pour rester poli), à la petite semaine (pour rester courtois), jem’enfoutiste pour carrément être vulgaire, est une économie contre productive. A l’heure, où les différences entre J et Y européennes sont subtiles, pourquoi diantre se dispenser d’un accessoire au coût marginal et à fort pouvoir discriminant (ou segmentant dans la novlangue). Cela m’échappe…
Ne me dis pas que SK continue à émettre des cartes de base en mode physique ?
« aussi épaisse que l'étude de concert pour piano de Gabriel Pierné est indigeste » je crains que tu ne sois le seul à goûter l’image.
Belle utilisation de points arrivant à échéance. Encore un enhancement au profit du pax !
Rude retour à la terre ferme et sa grisaille !
"Ne me dis pas que SK continue à émettre des cartes de base en mode physique ?" -> Tout comme ANA !
Et Royal Air Maroc :-)
Merci beaucoup Quentin ! :)
"pourquoi diantre se dispenser d’un accessoire au coût marginal et à fort pouvoir discriminant" > Voilà un mystère incompréhensible qu'il m'est bien incapable de résoudre !
"Ne me dis pas que SK continue à émettre des cartes de base en mode physique ?" > Et pourtant si ! Qui plus est, je viens de renouveler le support pour voir si cette offre était toujours proposé. Un fond bleu remplace désormais le fond gris !
"je crains que tu ne sois le seul à goûter l’image." > Petite référence à laquelle je ne pu résister !
"Belle utilisation de points arrivant à échéance." > Autant que cela serve à quelque chose, et à vrai dire cela tombait fort bien.
A bientôt !
Merci Cyrille pour le partage et ce triple instant porte :)
Voler en Babyeing est vraiment sympa, j'ai eu l'occasion de le faire deux fois sur Westjet et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il est court sur pattes le bestiau !
Chouette de pouvoir solder ses points pour une collation à bord.
Jolies vues du cockpit ! Le 763 non identifié est certainement un Delta.
A bientôt !
Merci Stéphan ! :)
"le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il est court sur pattes le bestiau !" C'est ce qui fait son charme, tout comme l'A318 !
Merci pour l'identification !
A bientôt !
Bonsoir Cyrille,
C'est toujours excitant de voler à bord d'un appareil que l'on convoite et qui va bientôt disparaitre du ciel.
C'est vrai que le trajet vers CDG doit être plus reposant que le RER B...
Ton FR est fort détaillé et merveilleusement illustré malgré la météo automnale, il fallait oser se lancer sur un report de la ligne fétiche du Mètre et tu t'en sors haut la main.
Sympa le clin d'œil et la photo du Toutou devant l'avion… A quand l'équivalent du Sylvester test???
Merci pour ce FR bien agréable à lire et à bientôt.
Merci beaucoup !
"C'est vrai que le trajet vers CDG doit être plus reposant que le RER B..." > Si je ne suis pas en voiture, je privilégie toujours le TGV, c'est bien plus confortable à un tarif sensiblement identique, si ce n'est parfois moins cher (grâce à la carte jeune) que le RER, et en plus rapide ! Seul revers de la médaille, il n'y a pas énormément de trains et celui-ci était le premier du matin. Un peu juste pour cette fois-ci, d'où le fait que je prévoyais le RER B en itinéraire bis en cas de retard.
"Sympa le clin d'œil et la photo du Toutou" > Il y avait de la place dans mon sac pour le phoque, c'était la bonne occasion pour un petit clin d’œil à Sylvester ;)
A bientôt ! :)
Merci Cyrille pour ce FR, je suis heureux que tu aies eu le -600 cette fois ☺️ A une dizaine de jours près on se croisait car j'ai pris le même type avion, sur la même ligne (mais dans l'autre sens) et pour les mêmes raisons ☺️ A bientôt !
Merci Guillaume ! :)
C'était un peu la période pèlerinage -600 aussi ! Je m'attendais à voir d'autres FRistes emprunter cette ligne pour le même motif !
A bientôt ! :)
Merci pour ce FR.
J'aimais bien SK du temps où les MD-80 étaient envoyés à ZRH (je ne connaissais pas FR à l'époque), mais maintenant je ne suis plus trop fan, entre le service minimaliste à bord et les salon scandinaves peu propices aux orgies mogoyennes ! ^^
A bientôt.
Merci Clément ! :)
Je regrette bien les MD-80 SK. J'avoue que, sauf prix imbattable, je ne risque plus de mettre les pieds chez SK, maintenant que côté avgeek il ne reste plus que les A340 dignes d'intérêt !
A bientôt ! :)