Avis du vol entre Blenheim et Wellington en classe Economique avec Air Nelson (for Air New Zealand)

Bonjour à tous,
Le tour du monde se poursuit en Nouvelle-Zélande. Après l’arrivée à Christchurch en A380, on repart de Blenheim en Dash8-300, ce n’est pas la même taille. Entre ces 2 villes, un petit roadrtrip en aller simple grâce à une excellente offre de relocation du loueur jaune, avec quelques photos en bonus. Ce vol sera mon plus court vol commercial effectué à ce jour, remplaçant le Liverpool/Île de Man, mails il est quand même plus long que le Bratislava/Vienne effectué sur OS l’an dernier, vol non commercial après un déroutement sur BTS.

Le routing de ce tour du monde

Quelques statistiques de ce routing.

Arrivée à Marlborough airport

Après avoir rendu les clés du 4x4 à l’agence de location (ou plutôt dans la boîte aux lettres), nous arrivons à la modeste aérogare de Blenheim, ou Marlborough airport.

Avant d’entrer dans le terminal, nous faisons un peu de spotting. Pas grand-chose à se mettre sous la dent, mais une compagnie confidentielle : Sounds Air. Elle fait principalement des petits sauts de puce entre des aéroports/aérodromes du Nord de l’île du Sud (Nelson, Blenheim, Picton, Westport…) et Wellington, avec des avions d’une dizaine de places (King Air, Pilatus, Cessna Caravan). Ils avaient parfois de bons tarifs mais étaient un peu radins en bagages.

L’intérieur du terminal, dans lequel il est difficile de se perdre : check-in (que les Néo-Zélandais prononcent « chicken », ce qui est assez déroutant) sur la droite, salle des départs sur la gauche. Ne cherchez pas le PIF, sur les vols régionaux en Nouvelle-Zélande il n’y en a pas.

Le FIDS est assez light pour la matinée, mais Air New Zealand propose aussi des vols vers Auckland en tondeuse.

Couloir menant aux locations de voiture.

L’enregistrement se fait sur des bornes, avec une agente qui est là en cas de soucis.

Salle des départs.

Un petit bar est également présent.

Toilettes et fontaine, mais je n’ai pas testé l’instant H2Okapi.

L’aéroport est équipé d’un lounge, payant même pour les *G, mais il s’agit plutôt d’une salle de réunions si j’en crois les photos. Enfin 20NZD le café ce n'est pas donné !

Entrons à bord de la tondeuse

L’embarquement se fait dans les temps et sans bousculade, direction notre avion, qui fait presque figure de gros porteur en comparaison avec les moustiques de Sounds Air !

Le taux de remplissage sera très bon aujourd’hui.

Nous avons récupéré une issue.

Les consignes de sécurité normales.

Instructions spécifiques à ces places.

Il y a assez de place à ce rang, et en NZ (tout comme aux USA) on peut mettre des objets sous les sièges aux les issues de secours.

Le roulage sera assez court.

Un très court vol

Les bourdons vrombissent et nous décollons.

Nous survolons les vignobles de Marlborough.

Le soleil commence à se montrer.

La mer n’est pas loin.

Nous la survolons à présent.

On doutait de la présence d’une prestation sur ce vol de 20 minutes, mais il y en a bien eu une : un bonbon.

L’Île du Nord est en vue, le vol est vraiment court.

Quelques éoliennes, la région est très venteuse.

Des falaises.

La descente est à présent entamée.

Windy Wellington

Gear down !

Passage au-dessus du port.

Jolie route en corniche.

Courte finale.

Jucy est un des principaux loueurs de vans aménagés en Nouvelle-Zélande, ils sont omniprésents sur les routes du pays.

Atterrissage après ce saut de puce, seulement 19 minutes dans les airs.

Vues de la cabine en débarquant.

Dernières vues de notre tondeuse.

Nous récupérons ensuite nos valises.

Track FR24 de ce vol.

Bonus néo-zélandais

Et maintenant, un petit bonus touristique néo-zélandais.