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Aujourd'hui, je vous propose de faire une pause dans mes navettes entre la France et le Maroc et je vous retrouve pour une série de vols que j'ai effectué en août 2020 dans le cadre de vacances.
En dernière minute, je tombe sur un billet d'avion via Paris CDG à 59€ (tarif Carte Jeune) sur une ligne que je surveille depuis près de 2 ans, je décide de combiner ce vol avec un retour depuis autre ville du pays et je compléterais par des vols domestiques une fois sur place. Le retour se fera avec KLM par Amsterdam.
Petite particularité à l'aller, comme il y a assez peu de vols, Air France me propose d'arriver à Paris à 19h25 et de prendre un autre vol lendemain après midi, super ça m'arrange comme ça je pourrais passer la soirée à Paris et le lendemain matin.
L'itinéraire sera dévoilé au fil des vols, mais vous pouvez faire des hypothèses en commentaires.
Après un séjour dans l'arrière-pays Toulousain, un ami me dépose à l'aéroport en voiture au dépose-minute.
Le dépose-minute a l'avantage d'être très proche de l'aéroport, il suffit de prendre un passage piéton et on y est.
Bien que nous soyons en août, il n'y a pas un chat à l'enregistrement. Je dépose mon bagage en soute et je récupère ma carte d'embarquement.
A l'époque, il n'y avait pas de vaccins et il n'était pas courant de faire des tests PCR pour voyager. Pour ma destination, il suffit de remplir un formulaire au moins 48h à l'avance. Il me semble que ça a été contrôlé à l'enregistrement mais je ne suis pas sûr à 100%.
Puis, je me dirige vers la zone d'embarquement.
L'aéroport s'est adapté à la crise sanitaire, ainsi du gel hydroalcoolique est mis à disposition des passagers.
Après avoir passé le Poste d'Inspection Filtrage (PIF), j'arrive à l'entrée du Duty Free où il y a ce grand écran. Je note que l'aéroport a fait le choix d'afficher les vols annulés.
Dans la zone d'embarquement quasiment tout est fermé : restaurants, boutiques, salon de l'aéroport. La sensation de voir un aéroport aussi vide est étrange, il n'y a pas non plus grand chose sur le tarmac.
Les halls A & B sont fermés, d'habitude les vols d'Air France partent de là-bas.
Aujourd'hui, ce sera un embarquement en porte 30.
L'embarquement est lancé avec respect des priorités, comme le vol n'est pas très rempli il ne faudra pas attendre très longtemps.
L'embarquement se poursuit dans la passerelle.
La cabine est classique sur ce vol domestique, ce sont les sièges Recaro dits "planches à repasser".
Notre voisin est un Airbus A320 d'easyJet, je ne me souviens plus de sa destination.
Nous sommes repoussés à 18h18 soit avec près de 30 minutes de retard, je ne me souviens plus de la raison parce que l'embarquement était à peu près à l'heure et qu'il n'y a pas beaucoup de passagers.
Roulage
Nous nous alignons sur la piste 14L, puis nous décollons à 18h26.
Le décollage offre une vue agréable sur la ville rose.
Le service est réduit à un nombre limité de boissons, il y a tout de même du jus de tomates. Par contre, pas de snack, un peu dommage.
Le temps passe et nous approchons bientôt de Paris.
Nous survolons l'aéroport du Bourget, signe que nous sommes bientôt arrivés.
Quelques minutes plus tard, j'aperçois l'aéroport de Paris CDG.
L'approche de CDG s'effectue sans encombres et nous offre également quelques vues aériennes sur les alentours.
Touché à 19h23
Les inverseurs de poussée sont déployés.
Après l'atterrissage, nous roulons vers le terminal 2F.
Nous arrivons en porte de débarquement à 19h40, finalement nous n'avons que 15 minutes de retard à l'arrivée.
Les PNC veillent à se que l'embarquement s'effectue bien rangée par rangée, ce ne sera pas le cas avec toutes les compagnies que je vais emprunter sur cet itinéraire.
Bien qu'en correspondance, je me dirige vers la sortie car je vais passer la soirée à Paris. Je ne récupérerais pas mon bagage que j'ai enregistré jusqu'à la destination finale.
Direction la gare de l'aéroport.
Le RER qui m'emmènera à la capitale est déjà sur le quai.
Il n'y aura pas beaucoup de monde non plus ici, ce qui rend le voyage assez confortable.
A bientôt pour la correspondance vers la destination mystère !
A Toulouse, l'aéroport est très efficace car il y a peu de monde. L'accès est très bien grâce au dépose-minute gratuit. Les services sont limités car la plupart des commerces sont fermés, ce qui est en partie excusable vu la situation de l'époque. Rien à signaler pour la propreté.
A bord, la cabine est confortable pour un vol de cette durée. L'équipage est bien et veille à l'application des mesures sanitaires, ce que toutes les compagnies ne font pas. Les divertissements sont biens avec l'application AF Play, pas de Wi-Fi sur cet avion à l'époque. La restauration pêche un peu avec l'absence du snack mais il y avait tout de même la boisson que je voulais.
A Paris CDG, la fluidité n'a pas été un problème pour moi car je n'avais pas de bagage à récupérer. L'accès est bien grâce au RER. La plupart des services sont opérationnels et je n'ai rien à redire sur la propreté.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 69 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Toulouse (TLS) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 28 minutes.
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6 Commentaires
On attend la suite du routing avec impatience.
A bientôt !
Il y a 2 vols dans l'itinéraire qui devrait te rappeler de bons souvenirs je l'espère.
A bientôt
LYSflyer
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