Bonjour à tous, et bienvenu sur ce dernier segment de mon voyage à Nice, avec des publications à J+1. Enfin, J+1. Enfin, un jour avant la fin des temps (j'espère).
Le rappel du routing par ici :
En effet, je n'ai jamais pris d'Airbus A330, et ceux d'Air France, peu nombreux, sont un peu difficiles à choper. Ca serait donc une bonne occasion de les rajouter à mon logbook !
Je prévois initialement de descendre à Nice en TGV le vendredi matin, passer la journée dans un cowork avec des collègues, et remonter sur CDG le samedi matin, pour continuer sur Lyon dans l'après-midi.
Les deux billets NCE > CDG et CDG > LYS sont pris en deux réservations pour des questions de "C'était moins cher ainsi". D'ailleurs, le segment NCE > CDG sera pris chez KLM qui l'affichait, pour une raison qui m'échappe, un peu moins cher que chez AF, pour 108€ (un tarif correct).
Entretemps, je rajoute un voyage loufoque à base de CFE > CDG > MXP, suivi de deux jours en Italie, et descente sur Nice en train, ensuite transformé en simple CDG > LIN un jour plus tard (et toujours du train ensuite) en raisons d'impératifs professionnels.
Finalement, le jour du départ, de viles bactéries me forcent à rester chez moi et à annuler la partie "italienne" du voyage.
Il me faut donc, en dernière minute, trouver comment rallier Nice un vendredi. En train, c'est à 150€ (ou complet), et Air France n'est pas moins cher, à environ 200€ le LYS-NCE.
C'est dans ces cas là que les Miles sont fort utiles : Le LYS-NCE en Miles est à seulement 5.600 Miles + 30€, un excellent tarif, surtout réservé deux jours à l'avance seulement.
Je retombe donc sur un "simple" LYS > NCE le vendredi, suivi des segments NCE > CDG et CDG > LYS le samedi !
Vous connaissez la chanson : Routing, placement, stats
Et ce même routing résumé ici :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3AF7368 - Économique - Paris CDG → Lyon - Airbus A321
A bord de cet A321, depuis que j'ai été touché par l'illumination, je ne passe plus à côté du siège en issue au rang 10 : Pas de vue bouchée par l'aile et un legroom infini, que demander de plus ?
Ah, si, je sais quoi demander de plus : Des propositions d'upgrade pas totalement débiles, Air France. 199€, pour de la J domestique, sérieusement ? Bon, je ne suis plus surpris, c'est tellement habituel… Mais ça me défrise toujours autant.
Je n'arrive pas à comprendre la stratégie marketing derrière : Oui, si quelqu'un craque et prend l'upgrade, la compagnie aura gagné 200€, cool. Mais la personne aura toutes les chances de se sentir flouée (et je reste poli), et ne retentera très certainement pas l'expérience, que ce soit en vol européen ou en long-courrier (où là, un upgrade peut parfois être intéressant pour le client).
Et si la personne est un peu rancunière, c'est surtout un moyen pour elle de blacklister Air France (parce que, perso, me faire arnaquer de 200€, je serai un peu dégoûté).
Bref, désolé du pavé, en résumé, je suis assis en 10A, et je pense qu'un élève de CE1 serait meilleur en stratégie marketing que le service Air France.

SUR CE, passons aux stats, ça me détendra !
La liaison CDG > LYS a été reportée 76 fois sur le site (dont 19 en J), sans doute une des navettes les plus fréquentes. Le contributeur le plus fréquent dans ces FR n'est autre que bibi ! Eh oui, j'ai déjà posté 9 récits sur la ligne, me plaçant juste devant ChrisB et ses 8 reports.
Mais j'ai en réalité effectué pas moins de 15 vols (en comptant celui-là) de CDG vers LYS, ce qui en fait ma 2e navette la plus fréquente (la première étant… LYS > CDG, avec 16 vols). Et ça sera mon 38e vol en A321, le 33e sur un A321 tricolore. Et sur ces 33 vols AF, 17 étaient entre CDG et LYS ou inversement.
Voilà voilà, cela souligne au passage l'incapacité notoire de proposer des liaisons TGV Air à des prix et horaires corrects qui fait que je prends ces vols un peu "aberrants" beaucoup trop souvent.
Sala VIP AF Terminal 2F
J'avais donc mis fin au précédent report devant ce tableau des correspondances, avec mon vol pour Lyon prévu à l'heure, en porte F54.

Mon vol CDG-LYS n'étant pas sur la même résa que mon vol précédent, je passe sur une borne récupérer ma carte d'embarquement.
Le plan cabine sur la borne me confirme que le vol sera bien rempli…

Je remonte à l'étage pour aller au salon. Passage devant le PIF, qui est bien chargé…

Et voilà ce charmant salon, dans lequel je me fais toujours un plaisir de séjourner.

En montant à l'étage, je jette un œil à F-GTAU, entouré de camions de pompier qui l'ont bien arrosé, vu le sol mouillé dessous.
Aucune idée de ce qui s'est passé, mais ça ne devait pas être trop grave, puisqu'il partira 3 heures plus tard pour Athènes.

L'étage du salon n'est pas trop rempli, je m'installerai à ma place de prédilection, au fond près de la baie vitrée donnant sur le tarmac.
Le salon se videra progressivement pendant l'après-midi, sans doute l'effet "samedi aprem". A moins que je ne sente fort et que les passagers se soient installés loin de moi.

Allez, direction les buffets !
Au niveau du glouglou rouge, on a du Saint-Joseph 2019, du Saint-Estèphe 2017, et un Médoc de 2016. Même si c'est plutôt bon, je trouve que ça manque un peu de Bourgogne, qui est quand même la meilleure région viticole française (ne me tapez pas les Bordelais).

Le choix au niveau des desserts est un peu limité…

Tout comme pour les plats chauds, avec seulement deux plats ici.

Un "blesotto" de courgettes aux amandes fumées"…

Et un "effeuillé de colin". Ca semble plutôt bon, mais un petit tour au rez-de-chaussée devrait m'offrir un peu plus de choix !

Et en effet, on trouve en bas, en plus des deux autres plats, un peu de purée…

Et du sauté de veau aux champignons !

Voilà donc ma petite sélection, que j'accompagne d'un verre de Saint-Estèphe. C'est plutôt bon, comme souvent au 2F.

Ayant encore un petit creux, je pars faire un tour aux buffets "froids", avec le bar à salades…

Et les cold cuts, où le fromage fait un peu défaut (mais le réassort était en cours).

Je reviendrai quand même avec de quoi me faire un petit sandwich !

Une fois ce léger et sain repas terminé, petite illustration des documents de ce vol, avec mon magnifique passeport tout neuf !

Dehors, Amelia et son A319 affrété par Air France depuis quelques mois maintenant (je dois faire un report dessus d'ailleurs), qui va partir sur Malte.

Un peu plus tard, la composition a changé, avec ce splendide A320 ITA qui nous arrive tout droit de Linate.

Et à 16h15, avec une vingtaine de minutes de retard, voilà mon appareil, qui arrive de Toulouse. Et Ô joie éternelle, bonheur des Cieux ! Il s'agit de F-GMZA, tout simplement le plus vieil appareil de la flotte Air France, qui m'a plusieurs fois échappé de justesse ! Il ne me manquera plus que 3 A321 et j'aurais pris tous ceux d'Air France.
Ce bon vieux pépère a été livré à Air Inter en juin 1994, alors que votre serviteur n'avait qu'une paire d'années. Il s'agit aussi du 5e plus vieil A321 en service au monde, les 4 précédents étant en service sous les couleurs de Lufthansa.
L'appareil n'a pas reçu la nouvelle livrée Air France, il est probablement destiné à quitter la flotte prochainement (à l'instar de F-GMZB, démantelé au Pays de Galles il y a quelques mois)…

Je laisse passer un quart d'heure avant de quitter le salon, direction la porte de mon vol (qui a changé depuis que je suis arrivé, on part désormais en F48).

Et me voilà dans la cathédrale du 2F-2, toujours aussi belle… Malgré la verrue bleue YSL, fort heureusement temporaire.

Comme souvent, le terminal est bien chargé, et la queue pour mon vol remonte jusqu'à la porte précédente…

En porte, on nous annonce un embarquement retardé en raison de l'arrivée tardive de l'appareil, mais aussi de l'installation d'une civière à l'arrière de l'appareil, qui nécessite certaines manipulations dans la cabine.
Finalement, l'embarquement est lancé à 16h47, sans la moindre annonce, mais avec les agents en porte qui font tout de même respecter les priorités, ce qui occasionne un beau foutoir.

A bord de l'ancêtre de la flotte AF
Instant porte de 29 ans (bon, c'est possible qu'elle ne soit pas d'origine) !

Après un accueil souriant à l'entrée de l'appareil, direction mon siège, qui n'a clairement pas 29 ans, lui. Aucune idée de ce à quoi ressemblait les cabines Air Inter, d'ailleurs…
Deux PNC accueillent les passagers au niveau des issues, l'un est très souriant, l'autre plus en retrait.

Vue sur cette cabine "Métropole" bien connue, avec ses planches à repasser…

L'espace aux issues est, comme prévu, fort généreux, je ne peux pas toucher le siège de devant en tendant ma svelte et élégante jambe.

Par contre, en tendant le bras, je peux ouvrir l'issue, mais je vais m'abstenir.

Les têtières ne sont pas réglables, vu qu'il n'y en a pas, à part le petit carré de cuir.

Le hublot est un peu sale aussi (et encore, je l'ai nettoyé), mais on aperçoit quand même à côté de nous F-HZFM, l'A320 arrivé le plus récemment dans la flotte Air France (mais pas le plus jeune, puisqu'il était avant chez Air Corsica).
Il est en train de se goinfrer, Servair remplit le galley avant de victuailles !

Je ne pense pas que la boucle de ceinture date de la reprise de l'appareil par AF (en 1997), mais en tout cas, elle a bien vécu !

Des prises USB sont disponibles au pied du siège (désactivée avant le décollage).

17h07, l'embarquement est terminé, les coffres fermés, nous sommes prêts au départ (et oui, cette photo a en réalité été prise en plein vol, on vous ment mes amis).
A 17h15, le commandant prend la parole pour annoncer un vol de 50 minutes, et un départ lorsque les bagages seront tous chargés. Il s'excuse pour le retard (arrivée tardive + installation de la civière qui a retardé les opérations).

L'hôtesse un peu moins souriante vient ensuite réaliser l'habituel discours pour les issues, discours qu'elle complète en assignant des rôles clairs à chacun : Moi en charge de l'ouverture de l'issue 2L, elle qui ouvre la 2R, mes deux voisins pour bloquer l'allée venant de la tête de cabine, les deux passagers en 10 E-F pour bloquer l'allée venant de l'arrière de la cabine (blocage afin de nous permettre d'ouvrir les issues sans être gênés).
Je trouve cela vraiment bien vu, je ne sais pas si c'est habituel, mais je n'avais jamais entendu auparavant des PNC assigner clairement les rôles.
Du coup, je relis la safety card !

Vol à bord d'un vieux coucou
A 17h31, on repousse enfin, avec 36 minutes de retard.

Roulage vers le doublet sud, en passant à côté des travaux qui ont lieu au nord du 2G, dont je n'arrive pas à retrouver la nature…

On s'aligne sur la 26R.

Et on s'élance à 17h46 !

Décollage paisible, passant au-dessus d'un charmant A320 qui vient d'atterrir en provenance d'Agadir…

Passage au large du circuit Carole, et derrière, le Parc des Expos de Villepinte.

Juste après, l'ancienne usine PSA d'Aulnay, qui est en travaux pour accueillir le centre d'exploitation des lignes 16 et 17 du Grand Paris Express.

Et puis, logiquement, on passe au-dessus de l'aéroport du Bourget !

Je continue de cocher les cases des éléments "emblématiques" de cette trajectoire de décollage, avec le Stade de France vers le centre de la photo, et le Technicentre SNCF de Paris Nord un peu plus bas.

On commence à virer vers le sud au niveau du port de Gennevilliers, plus grand port fluvial de France, et second d'Europe…

Et la capitale qui approche, j'ai même pu deviner le toit de l'immeuble où je travaille quand je suis à Paris, vers Saint-Lazare…

Bon, là, je vous laisse choisir le point de repère que vous préférez, ya de quoi faire !

Quelques nuages ensuite, qui se découvrent juste pour laisser apparaître Orly ! Voilà bien un vol pour lequel je ne regrette pas d'avoir pris le hublot :)

Et que seraient toutes ces belles vues sans le survol de Corbeil-Essonnes ?! Bon, je peux sembler taquin, mais on peut trouver de sympathiques choses à voir dans cette ville, notamment au niveau du patrimoine industriel…

Nemours semble si Loing… (personne ne l'aura ce jeu de mot là, pardon)

Collation connectée, et deuxième partie du vol
Le service commence rapidement, je note de loin que le trolley servant la J a bien en évidence la bouteille de champagne, ce qui est loin d'être habituel malheureusement (non pas que je sois alcoolique, mais c'est parier sur le fait que les clients ne savent pas qu'ils peuvent avoir du champagne, on le laisse dans le galley sans en proposer et hop, pas besoin de s'embêter à ouvrir la bouteille. Bref.)
Pour accompagner le palet breton, un petit sorbet pommes fera l'affaire ! (Bon, d'accord, c'est du jus de pommes, pas du calva.)

Tant que l'on est à juger du service offert par Air France, un coup d'oeil au Wifi, fonctionnel sur ce vol (le screen dit "aucune connexion" parce que je n'avais pas encore testé).
Comme d'habitude, le pass Messages est offert, et je trouve le prix du pass Surf très raisonnable, pour un vol court : 3€.

Par contre, le suivi du vol a pris un peu d'avance, c'est déjà le vol retour qui est affiché !

Quelques minutes après le début de la descente, le commandant annonce le début de l'approche sur Lyon, avec un atterrissage prévu à 18h30.
On passe au-dessus de Chauffailles, et pour ceux qui ont de très bon yeux, on peut apercevoir, entre Chauffailles et le réacteur, le viaduc ferroviaire de Mussy-sous-Dun. Beau viaduc en pierre achevé en 1895, sur la ligne Lyon - Paray le Monial, long de 561 mètres et surplombant la vallée à 60 mètres de hauteur.

On survole le sud du Beaujolais, avec Villefranche au second plan… Ca veut dire atterrissage par le sud tout cela (par le nord, on survole directement Villefranche plein est).

Et déjà le nord de l'agglomération lyonnaise, en passant au large de Limonest et Dardilly, où se trouvait le siège de mon précédent employeur, que fort heureusement j'ai quitté !

L'apparition soudaine de nuages me fait craindre, Ô désespoir, de louper la photo de Lyon ! A défaut, j'ai une demie gloire du pilote…

Mais le nuage n'est que passager, et voici donc la capitale des Gaules dans toute sa splendeur… Capitale que je m'apprête à quitter, d'ici quelques semaines…

On file vers le sud, longeant le couloir de la chimie, avec notamment la raffinerie de Feyzin le long du Rhône. On passe un peu plus à l'ouest que d'habitude, puisqu'en cas d'approche par le sud depuis le nord, on survole généralement un peu plus le centre de Lyon.

Villette de Vienne, et son dépôt pétrolier, qui abrite aussi une station de pompage sur des pipelines reliant la Méditerranée à Lyon et aux Alpes.

A un peu moins de mille mètres d'altitude, on vire pour s'aligner vers le nord et les pistes de LYS…

Et nous voilà alignés, en finale, au large d'Heyrieux… Et avec un joli reflet !

LYS efficace, tant que l'on n'a pas de bagages…
Et toucher très délicat à 18h30, après seulement 44 minutes de vol.

Au roulage, vue sur l'église de Saugnieu, et sur un 737 de Royal Air Maroc à l'atterrissage.

Dernier virage, avec Air Algérie, et derrière l'ukrainienne SkyUp, qui effectue des vols pour Tunisair depuis juin.

Et arrivée au bloc à 18h36, avec 36 minutes de retard donc, exactement le même qu'au départ.

Adieux déchirants avec l'équipage (qui aura bien fait le job sur ce vol), et direction la sortie sans demander mon reste ! J'arrive à tirer le portrait de ce beau coucou entre deux bandes sur les vitres…

En salle de livraison bagages, c'est une belle cohue, avec plusieurs vols en provenance du Maghreb qui sont, comme d'habitude à LYS, bien mal lotis pour la livraison des bagages…

Une fois landside, je traverse la foule des personnes venues accueillir des passagers en arrivée, et file dehors pour contempler rapidement ce beau terminal 1.
Je réalise en écrivant ce report que c'était la dernière fois que j'y mettais les pieds en tant que "lyonnais", avant mon proche déménagement pour de lointaines contrées… Ca me fait un petit quelque chose, mine de rien.

Alignement des arcs de la gare TGV…

Et je retrouve ma Titine là où je l'avais laissée la veille ! Plus qu'à filer chez moi, où j'arriverai à 19h30. Là encore, avoir un aéroport à une demi-heure de chez moi, voilà quelque chose que je n'aurais bientôt plus !

Comme à mon habitude, je vous laisse avec la trace radar du vol, avec une croisière à seulement 23.000 pieds, et un retard moyen pas terrible pour ce vol (31 minutes).

Merci de m'avoir suivi sur ce récit, et merci pour vos éventuels commentaires !
On se retrouve bientôt, je pense pour un autre périple en domestique en France…
Merci pour ce report fort complet, surtout pour un vol domestique ! Petite curiosité, ou vas-tu déménager bientôt ? Merci et à très vite !
Merci pour le commentaire ! :)
Il y a déjà eu des indices dans d'autres FR pour le déménagement :P
Mais je pars sur Dunkerque, donc avec LIL à 80 kilomètres comme aéroport le plus proche, avec la desserte assez limitée qu'on lui connait...
A bientôt !
Merci Robin pour le partage !
Et bien, Zulu Alfa est encore en bons et loyaux services, je me rappelle de mon premier vol dessus, j'étais comme un gosse. Les cabines Air Inter étaient bleu clair avec des fauteuils qui, certes étaient épais, mais ne s'inclinaient pas.
La cabine de ce Mercure te donnera une idée de quoi ressemblaient les sièges sur les cabines IT : https://www.jetphotos.com/photo/7869932
Les A300 avaient avant les sièges bleu clair des cabines orange, mais très dur de retrouver des photos.
Le 10A ou le 10F sont les meilleurs sièges à bord, clairement et oui tu as bien fait de ne pas toucher à la porte ^^
A bientôt !
Hello Stephan, merci pour ton commentaire (et désolé pour le délai dans ma réponse ^^ )
Espérons qu'il reste encore en service un peu, c'est un sympathique dinosaure Airbus ! Merci pour le lien vers la cabine du Mercure. Le siège a l'air confortable, et bon sang, l'espace pour les jambes c'était autre chose :P
C'est bien dommage d'avoir aussi peu de traces des cabines du passé... Flight Report aurait du exister en version papier dans les années 80-90 tiens ^^
A bientôt :)
Bonjour Kethu et merci pour ce récit ! Effectivement, la SNCF et Air France coopèrent comme le feraient deux ennemis... ça ne marche pas vraiment. La même situation aberrante se produit sur Nantes/Rennes <> Paris et Lyon <> Marseille malheureusement. LH réussit plutôt bien son partenariat avec la DB selon moi. Pour la J, un commandant de bord de Hop! m'a soutenu qu'il n'y avait pas de prestation J en domestique. Dommage que la "non-prestation' soit facturée 200€ ! Chouette d'avoir pu voler sur cet A321, il ne devrait plus rester longtemps en service. J'imagine que quitter la région Lyonnaise avec les bons souvenirs (et surtout le merveilleux aéroport XD !) doit être assez difficile. A bientôt !
Merci LeMatheux pour ton com' !
Sans vouloir taper sur la SNCF plus que de raison, même entre ses propres services la compagnie ferroviaire coopère en ennemie parfois, donc c'est peu étonnant... (Et tant pis pour les passagers, le service public, etc...).
Et là je suis dans le Nord désormais, et c'est une catastrophe le TGV Air vers Lille, il est quasiment jamais proposé (et quand il y est c'est à un tarif prohibitif, c'est en général plus rentable de prendre le service vers Bruxelles Midi et descendre à Lille Europe).
Bien dommage que ce commandant Hop! ne s'intéresse pas plus à ce qui se passe derrière en cabine... Ou bien il n'a pas remarqué la différence vu la merdouille que c'est x)
Quitter Lyon ça me va, sauf pour l'aéroport, clairement, là c'est compliqué de voler désormais x)
A bientôt :)