Bonjour à tous !
Poursuivons ensemble ce voyage de Dunkerque à Lyon via beaucoup trop d'étapes improbables. Ici, le segment (aérien) entre Madrid et Porto.
Le rappel de la construction du routing se cache ci-dessous si ça vous intéresse :
Du coup, quand pour février, j'ai voulu pimenter un peu mes trajets pour aller rendre visite à ma famille à Lyon, il m'a semblé tout à fait logique d'utiliser ce trajet dans le routing. Même si, c'est pas vraiment sur le chemin.
Avec un trajet le 14 février en fin de matinée, il était possible d'enchaîner facilement sur un classique AMS > CDG > LYS, permettant de gagner quelques XP Flying Blue au passage.
Restait à trouver un moyen d'aller à Porto pour le 14 février pour pas trop cher. Ryanair dessert bien la ville portugaise depuis Lille, mais seulement 2 fois par semaine, des jours qui ne collaient pas. Et puis, bon, Ryanair sur un LIL > OPO, assez cher en plus, ça ne me faisait guère rêver.
A part cela, pas grand chose en vol direct depuis les aéroports aux environs de chez moi (ou à des prix trop élevés), d'autant plus que j'ai planifié ce routing moins d'un mois à l'avance.
Je regarde donc les vols avec escale, sans rien trouver d'intéressant (comprendre : rien de fifou à ajouter à mon logbook d'avgeek, si c'est pour faire un CDG > OPO avec AF, le fun n'est pas là).
Et puis je note un Flixbus de nuit reliant Madrid à Porto pour 15€, qui permettrait d'avoir un peu plus de choix niveau avgeek, et d'ajouter une expérience "travelgeek" à tout ça.
Après quelques recherches (énormément de recherches, en fait), je tombe sur un vol direct Luxair LUX-MAD, le 13 février, dans l'après-midi, à un tarif tout à fait raisonnable (moins de 100€, bagage en soute et choix de la place inclus). Gros coup de coeur avgeek, avec découverte de Luxair, de LUX, et en plus un vol en 737-700, appareil qui se fait de plus en plus rare dans nos cieux.
Pour rallier l'aéroport luxembourgeois, c'est faisable depuis Dunkerque sans grand problème, il ne faut juste pas être pressé (bus urbain jusqu'à La Panne, puis train vers Bruxelles puis Luxembourg, 6 heures de trajet mais seulement 25€).
Au final, je modifierai un peu mon routing pour rajouter un vol Madrid - Porto le 14 février au matin, par flemme de prendre un car de nuit (sur le papier, c'est tentant, mais vu mon état physique toujours moyen, voilà).
Je rajoute donc une nuit à l'hôtel Ibis Madrid Barajas (payé avec des points Accor) et ce vol MAD > OPO avec Air Europa, pour 50€, un bon deal sachant que j'ai acheté le billet 4 jours avant le départ.
On obtient donc un très ludique (mais nettement moins logique) LUX > MAD > OPO > AMS > CDG > LYS, avec 4 vols dans la journée du 14 février, voilà une belle reprise des vols en 2024 !
Routing/Stats/OLCI
Le routing, donc :
Enchainement de vols
- 1
- 2UX1147 - Économique - Madrid → Porto - Boeing 737-800
- 3HV6002 - Économique - Porto → Amsterdam - Boeing 737-800
- 4KL1245 - Économique - Amsterdam → Paris CDG - Boeing 737-800
- 5AF7370 - Économique - Paris CDG → Lyon - Airbus A320
Malgré un tarif "Lite", il m'est possible de sélectionner un siège gratuitement à l'arrière de la cabine, grâce à mon statut Platinum chez Flying Blue. Je pars sur le 26A, le hublot y semble assez bien aligné…
Pour les sièges à l'avant ou en issue, c'est payant, sans réduction malgré mon statut. 25€ pour un vol d'une heure et quelques, c'est un peu trop cher pour un siège en issue !
La liaison entre Madrid et Porto a déjà été reportée 5 fois : En classe économique sur Ryanair, sur Air Nostrum, sur Iberia et sur Air Europa Express par Moritz. Et en Business, une fois sur Iberia.
Un peu plus de matière ne fera pas de mal donc (et de toute façon, inédit ou pas, je publie mes reports, je suis un guedin moi).
Je volerai pour la première fois sur cette ligne, et pour la première fois sur Air Europa Express. J'ai déjà volé sur la maison mère, mais sur le 787… Le 737 sera donc une nouveauté (parce que la différence entre UX Express et UX tout court est du genre limitée, sinon).
Sinon, 9e passage à Madrid, et seulement mon 3e à Porto : Les précédentes fois étaient à l'occasion d'un voyage en famille, au cours duquel je n'ai pas pu visiter en profondeur l'aéroport. D'ailleurs, j'ai de la matière pour faire un FR sur ce voyage (qui date de 2019), mais je n'ai jamais pris le temps de le publier, peut-être un jour…
Bref, du coup, un peu d'inédit pour moi, ça me convient très bien !
Balade matinale pour MAD
Si l'aéroport de Madrid est, à bien des égards, un aéroport très agréable, il a notamment un défaut majeur : Pas d'hôtel au contact des terminaux, et une accessibilité nocturne assez moyenne (le métro ne commençant à circuler qu'à 6h du matin).
Je passe ma nuit d'escale à l'ibis Madrid Barajas Aeropuerto. L'hôtel ne propose pas (plus) de navette aéroport, à la place, des taxis sont à disposition pour rallier les terminaux pour une quinzaine d'euros.
Mais il y a aussi une autre solution, qui en plus fait une petite séance de sport matinale. Je pars de l'hôtel à 4h50 (vol à 6h35), direction l'aéroport à pied !
Il faut emprunter ce petit passage, entre le terrain de foot du Club Deportivo Barajas (à gauche) et un parking de l'aéroport désaffecté à droite. Ca peut sembler peu rassurant, mais c'est sûr (et j'ai demandé à la réception de l'hôtel qui m'a confirmé qu'ils n'avaient pas eu vent de soucis de sécurité).
On longe ensuite un autre parking désaffecté (fermé depuis 2013). Cette zone ne comporte pas de trottoir, mais l'ancienne voie d'accès au parking (et aux bus le desservant) est tout aussi sécurisée puisque barrée, et pas de soucis pour y trainer une valise.
Néanmoins, pas d'éclairage dans cette zone (la photo est largement plus claire que la luminosité réelle, je suis à 5000 ISO là).
Au bout du parking, on retrouve trace de la civilisation, avec cette passerelle bleue qui permet de passer au-dessus de l'autoroute M14 (et qui faisait office de cheminement piéton pour l'ancien parking, je suppose)
Il ne reste plus qu'à suivre la passerelle, qui traverse donc l'échangeur autoroutier puis le double parking silo devant les terminaux 1-2-3.
On retrouve ensuite le parcours habituel depuis la station de métro, avec les longs tapis roulants…
15 minutes depuis mon hôtel pour rallier le T2, c'est raisonnable !
Le FIDS des 3 terminaux, il y a curieusement un gros trou entre 9 et 10h, avec seulement deux vols sur ce créneau.
Les comptoirs UX ne sont pas trop fréquentés… Par contre, la répartition est assez curieuse : Un seul comptoir prioritaire, et 15 "classiques". Je vais donc passer par la file classique hein !
Ma valise a perdu 100 grammes depuis la veille (ou bien la balance n'est pas très précise, au choix !).
Allez, à toute toi ! L'agent qui s'occupe de mon enregistrement est soigneux, il est en formation et fait bien les choses.
Direction le PIF prioritaire, passé sans attente et avec des agents sympathiques.
Le FIDS indique la température et le taux d'humidité. Et aussi que mon vol partira de la porte E67 !
Ca tombe bien, le salon est au-dessus de la porte E69, ça m'évitera d'avoir à beaucoup marcher pour embarquer.
Traversée du duty-free…
La porte du Soleil et son salon
Et me voilà vers le salon, qui surplombe le terminal.
Le salon Puerta del Sol se cache derrière des vitres opaques…
L'accueil est sympathique, mais mon BP ne passe pas au scan. En rentrant manuellement le numéro de billet, ça passera par contre.
Le salon n'est pas très rempli en cette heure matinale…
Petit tour au buffet en cette heure matinale, avec quelques pains et viennoiseries, et du sucré sur la gauche.
Des fruits non fermentés, pour les amateurs !
Le salé semble assez limité, avec une modeste sélection de cold cuts.
Jus d'orange frais et eau parfumée au citron…
Dans les frigos, un choix de boissons assez vaste, des yaourts et quelques sandwichs.
Le coin des alcools, correctement fourni, mais que je ne testerai pas (il est 5h30, j'ai beau être alcoolique j'ai mes limites).
Ma sélection est pour le moins modeste, il est trop tôt et mon estomac dort encore.
Je profite d'être posé un peu pour vous présenter les documents du voyage. Je pourrais embarquer en zone 1…
Le dos du FIDS est orné d'une publicité, moins classe que le billet Luxair de la veille (mais au moins c'est un vrai billet cartonné !).
Le salon, s'il a une offre solide un peu décevante pour un salon espagnol, est sinon très vaste et bien équipé, avec ici une zone pour enfants, mais aussi salle TV, salle de réunion, etc…
Et on y trouve même des sanitaires avec vue ! Ici sur un 737-800 Air Europa en attente de son départ pour Milano Malpensa dans 1h30.
De l'autre côté du salon, c'est mon avion du jour qu'on peut voir : Le 737-800 Air Europa Express EC-NZN. Il a été livré neuf à FlyDubai en 2013. En 2023 il est repris par Aeronova, qui l'opère sous les couleurs d'Air Europa Express (j'ai un peu du mal à comprendre le montage entre Aeronova et Air Europa Express, les deux entreprises appartenant au groupe Globalia, qui contrôle aussi Air Europa donc).
Embarquement bleuté
Je descends en porte pour l'heure prévue d'embarquement, il y a curieusement bien peu de monde.
Le process d'embarquement Air Europa est assez simple, les Skyteam EP+ et Business, puis les EP, et enfin deux zones pour l'éco. Pas grand monde du côté prioritaire.
Le personnel en porte fait une annonce demandant aux passagers assis en issue de venir les voir (pour valider qu'ils sont aptes à y être assis, je suppose ?).
L'embarquement est lancé à 6h avec respect des priorités, je me jette gaiement dans la passerelle !
Instant porte, avec la fameuse barre pour armer le toboggan en bas.
L'accueil à bord est souriant, le moodlighting bleuté est assez apaisant de bon matin. Par contre, je trouve les sièges un peu tristounets, ça fait assez fade et ça manque d'une touche de couleur.
Ma rangée, le hublot est bien aligné et les sièges sont un peu épais.
Les PNC au fond de la cabine se cachent dans le galley !
Vue générale sur la cabine avant que l'embarquement ne batte son plein…
Dehors, un Embraer 195-E2 de Binter qui partira d'ici peu pour Gran Canaria.
Retour à l'intérieur : Le pas est correct, même si plus limité que sur le 737-700 de Luxair de la veille.
La boucle de ceinture n'est pas siglée, je suis tristesse.
Les sièges disposent d'une inclinaison, limitée mais présente.
Le plafonnier est récent, raccord avec l'intérieur "Sky Interior". On peut noter la présence de compartiments vides pour gilets de sauvetage dans le plafonnier (comme Ryanair), vestige du passé dubaïote de l'appareil.
Les sièges ont quant à eux été changés, exit les IFE individuels de FlyDubai.
L'embarquement est terminé à 6h20, et joie, pas de voisin au siège central, seulement une voisine au couloir !
L'appareil est assez rempli, mais curieusement quelques rangées derrière les issues sont entièrement vides. Le commandant prend la parole en anglais et espagnol, pour annoncer 55 minutes de temps de vol, et le reste étant dit avec un flot de paroles digne d'un rappeur, je n'ai rien compris.
Les démos de sécurité sont réalisées en anglais et espagnol avant de repousser, consultons donc la notice de sécurité, qui est pour le moins grand format et verbeuse !
Le verso. Il est interdit d'emmener ses lunettes ou son stylo en cas d'évacuation, je ne crois pas avoir déjà vu ces précisions ailleurs !
Départ nocturne
On repousse à 6h38, quasiment à l'heure donc. On passe derrière un Airbus Lufthansa dans l'ancienne livrée…
Là aussi, de l'ancienne livrée, avec ce 738 Air Europa qui repousse pour La Coruña.
De ce côté là, deux autre 738 UX qui embarquent au large. De quoi réveiller les passagers, de bon matin !
Les lumières du T4 au loin…
On approche de la piste 36L…
Et on file directement dans un sympathique rolling take off !
On s'envole tout en douceur à 6h49…
Vue sur Alcobendas et San Sebastián de los Reyes. La seconde de ces deux villes a été fondée à la fin du XVe siècle, suite à la fuite de 32 habitants d'Alcobendas face aux pressions qu'ils subissaient du seigneur féodal régnant sur la ville.
Ils se sont installés autour d'un ermitage, sur les terres du Roi d'Espagne, qui autorisa la constitution d'une ville, plaçant de ce fait les habitants sous sa protection. D'où le nom de la ville, que l'on pourrait traduire en français par "Saint Sébastien des Rois".
On entre très vite dans les nuages…
La cabine reste dans le noir complet pendant la montée, ce qui permet d'admirer les "ombres éclairées" formées par l'éclairage public des villes sous les nuages.
C'est un paysage assez hypnotisant, avec là, après notre virage pour filer plein ouest, les lumières de Madrid.
Le moodlighting bleuté est rallumé une fois que les passagers sont autorisés à se détacher, mais à faible puissance, afin de ne pas réveiller la cabine globalement endormie.
Le BoB sans BoB
J'en profite pour jeter un oeil au menu du BoB, présent dans la pochette du siège.
Les menus tout d'abord, qui sont à des tarifs corrects, dans la moyenne du marché. On peut noter le menu "snack" en bas pour deux personnes (2 softs + 2 Pringles), une formule que l'on voit rarement.
Côté petit-déjeuner et snacks sucrés, les prix sont aussi dans la moyenne, avec toujours le produit avec la plus grande plus value au monde, le café instantané (ou le thé) à plus de 3€ pour un coût de revient qui ne doit pas dépasser les 15-20 centimes.
Les sandwichs font plutôt envie : là où on trouve souvent des choses très basiques, Air Europa innove un peu, avec focaccella poulet et sandwich tortilla.
Un peu plus classique au niveau des plats, même si ça reste plus original que les "penne tomates ou bolognaises" qu'on trouve souvent )(coucou TO et V7).
Les snacks, avec toujours une touche espagnole.
Les boissons fraîches sont aussi dans la moyenne des prix (sur TO on est à 3,15€, sur Volotea à 3,50€ par exemple).
Les alcools gentillets. Et oui, vous avez bien vu, du "vin" proposé en canette. J'ai réussi à garder mon calme mais il s'en est fallu de peu pour que j'aille jeter le stock de cette "chose" dans les chiottes !
Les alcools forts, que du classique, avec le deal "Fichez moi la paix les enfants", une mignonette d'alcool + un soft. Vous filez le soft à votre môme pour qu'il soit occupé à le boire, et vous vous alcoolisez avec la mignonette pour ne pas penser à votre lointaine jeunesse sans progéniture, à renouveler autant de fois qu'il y a d'enfants.
Alors, qu'allons-nous choisir dans tout ça ?
Et bien rien du tout, puisque le trolley ne sortira pas, et aucune annonce pour signaler la présence du BoB ne sera réalisée.
Je ne sais pas si c'est un choix de l'équipage commercial ou une consigne de la compagnie, et si c'est en raison de l'heure matinale et/ou de la courte durée du vol, mais voilà.
Au moins, ça permet de ne pas réveiller la grande majorité des passagers qui dort paisiblement. Et je les imite volontiers, je me réveillerai une petite demi-heure plus tard, alors que l'on survole le district de Viseu au Portugal, en descente direction Porto.
Approche illuminée
Un peu plus tard, le sol est un peu plus urbanisé, on aperçoit au loin l'océan Atlantique (enfin, on le devine au fait qu'il n'y a plus de lumières !).
Premier virage pour filer légèrement sud-ouest, permettant d'apercevoir au loin les lumières de Porto…
En finale, avec le ciel qui commence très légèrement à rosir au-dessus de l'aile…
Et toucher assez rude (dans mes notes, j'ai écrit "de brutasse"), à 6h42 heure locale, après 53 minutes de vol.
Le freinage est moins brut, puisqu'on doit de toute façon parcourir 2 kilomètres de piste pour atteindre notre taxiway de sortie. Un jet privé côtoie Ryanair, la lutte des classes en une photo.
En parlant de FR, on sent que c'est une base de la compagnie irlandaise ici (avec une douzaine d'appareils en été, sans doute un peu moins en hiver), avec un des appareils en train d'embarquer ses passagers pour une destination inconnue (c'est pas que c'est trop flou pour voir les immat' mais un peu quand même).
Le terminal illuminé, avec à gauche la zone "low-cost" au niveau du sol, pour les embarquements à pied, et à droite la partie plus "classique" avec passerelle.
Dernier virage, et bloc à 6h45, avec 5 minutes d'avance sur l'horaire !
Il faudra attendre plusieurs minutes pour la passerelle, s'ensuivra un débarquement pas très efficace, avec des gens qui s'habillent dans l'allée…
Passage dans la J, je ne sais pas si elle était occupée… En tout cas je n'ai pas vu de service (mais j'ai somnolé une bonne demi-heure donc bon).
Contrairement à l'embarquement, les PNC seront bien désintéressés des passagers, pas de réponse aux salutations des pax, et pas un regard pour eux.
Dernier regard sur l'appareil, sans reflet !
Arrivée à Porto sans s'essuyer
Les passerelles sont souvent sponsorisées par Sixt, HSBC, ING… A Porto, c'est du PQ. Mais le PQ le plus sexy au monde !
On débarque dans un entresol, je ne me rappelle pas s'il était possible d'aller prendre une correspondance sans sortir.
De toute façon, je dois aller récupérer ma valise !
FRiste sortant d'un lounge, allégorie : (oui, pour les Gold, j'ai déjà sorti ça sur la discussion, mais il faut bien que je fasse profiter à la Terre entière de mon humour)
Dur de se planter de tapis bagages, un seul vol est affiché !
Ca sera donc au tapis 2. Au-dessus, un écran avec une caméra affichant je ne sais plus quoi (entrailles de la livraison bagages ? Plan de l'aéroport ? Je ne me rappelle plus, désolé).
La livraison commence rapidement, à 7h03, et ma valise arrive dans les premières.
Désormais muni de mon précieux, direction la sortie !
Landside, une ouverture dans le plafond permet d'admirer l'architecture du terminal, avec ses tuyaux, poutres en métal, et sa verrière faisant puits de lumière. J'aime beaucoup.
Le cheminement pour le métro (qui est plutôt un tramway) est bien indiqué. C'est une bonne solution pour rallier l'aéroport pour 2€, cf. le dernier FR de LeMatheux.
Direction l'étage, avec au passage un coup d'oeil plus global sur la zone des arrivées. Le plafond déboîté du bar, en bas de l'image, me perturbe beaucoup !
Et je vous laisse devant le FIDS à l'ancienne, très charmant, orné d'horloges affichant l'heure un peu partout dans le monde !
La trace radar du vol, avec une croisière à 31.000 pieds, s'orientant progressivement vers le nord-ouest avant de faire l'approche vers le sud pour OPO.
Merci de m'avoir suivi sur ce segment ! Et merci d'avance pour vos commentaires :)
A bientôt pour la suite !
Bonjour cher Kethu et merci pour ce retour d'expérience ! Dommage que ibis ne propose plus de navette à la demande. Heureusement que ça se fait bien à pied. Sais tu si Madrid a des projets pour les parkings abandonnés ?
Concernant MAD, cela semble être un aéroport agréable.
UX déçoit effectivement un peu avec aucune collation ni bob à bord et de facto des pncs peu présents pour les pax. Heureusement que ce vol était court. En revanche, bon point pour le bob ( ce qui reste dommage pour une compagnie non low cost) à condition qu'il soit servi...
Pour OPO, ils n'ont donc toujours pas retiré la pub PQ ! Effectivement, FR y fait son nid mais un peu moins depuis que le gestionnaire veut augmenter les tarifs...
Merci pour la dédicace au passage !
A bientôt pour la suite ;)
Hello LeMatheux, merci pour ton commentaire !
Oui, c'est assez dommage pour la navette, pour un hôtel aéroportuaire c'est assez aberrant de supprimer ce service (au pire, le faire payer quelques euros si ça coûte trop cher à exploiter...).
Je n'ai pas vu d'infos sur l'avenir de ces parkings, mais je ne sais pas si quelque chose de précis est prévu, les parkings existants ne semblent pas saturés, et je doute que des projets immobiliers soient prévus (il y a déjà bien assez de projets de construction arrêtés autour de Madrid ^^)
Oui, là c'est un peu "double peine", passage au BoB de la compagnie legacy, et BoB même pas proposé...
OPO semble attaché aux rouleaux de PQ ^^
FR et ses crises d'enfants de 5 ans dès qu'un gestionnaire aéroportuaire veut augmenter les tarifs (coucou BOD)... ^^
A bientôt !
Hello Robin et merci pour ce récit qui m'a rappelé des souvenirs,
De la, un peu glauque, traversée entre l'hotel Ibis de Barajas et les terminaux d'aéroport. Ou la publicité papier toilette sur laquelle j'avais tiqué lors de mon arrivée en provenance de Madère à la fin de l'année 2021.
Pour le reste je ne suis pas fan de la partie ancienne de Barajas. Vol et prestation globalement sauvé par le passage au salon le service à bord se limitant à ne surtout pas faire de buit pour ne pas réveiller les passagers.
Bon vols !
Hello Hugo, et merci pour ton commentaire !
Content de voir que je ne suis pas le seul à tenter ce genre de traversées glauques :P
Et 2021... Ca remonte en fait, leur pub à OPO ^^
Si on compare l'ancien partie de MAD au T4, c'est sûr que c'est moins bien, mais il a bien vieilli par rapport à d'autres aéroports de la même époque, je trouve.
Oui, pas de service, mais pas non plus de réveil des pax, l'un dans l'autre, la 2e solution me va aussi.
A bientôt :)
Merci Robin pour le partage de ce FR fort bien narré comme à ton habitude.
J'ai bien aimé la ballade matinale un peu coupe gorge en mode "va t'il survivre ?" :)
Ah ces toboggans sur 737 et leur fameuse barre d'armement. Inchangée du 737-100 au MAX 10. Et c'est pas un compliment ^^
A bientôt !
Merci Stephan pour ton commentaire ! Ca va, je n'ai pas perdu la main sur l'écriture donc ^^
Heureusement qu'il y a la base arrière des taxis pas très loin, ça fait un peu de circulation dans le secteur, sinon je pense que ça serait bien plus glauque encore (doux souvenir d'un passage à pied à DUS dans un parking abandonné non éclairé, avec des gens "pas nets"...)
Boeing applique la stratégie du "Tant que ça marche, pourquoi le changer ?", mais en effet, innover un peu ne serait pas du luxe ^^
A bientot :)