Bonjour à toutes, bonjour à tous !
Nous voici réunis en ces lieux pour le report du premier segment de mon retour de Vilnius à Lyon, après un week-end de Pâques fort agréable, même si tout ne s'est pas passé exactement comme prévu sur place (vous en saurez plus dans le bonus en fin de report) !
Avant de commencer, le rappel du routing est disponible dans le spoiler ci-dessous :
La seule différence… Le vol LYS-AMS, ma navette habituelle… Part à 6h10 au lieu de 7h, passage à l'heure d'été oblige. Arg. Le réveil sera encore plus douloureux…
Pour le retour, le lundi 2 avril, comme d'habitude, pas de solution avec AF/KLM. Pas de vol le lundi entre Vilnius et Paris, tandis que pour Amsterdam, le vol est tôt le matin. Suite à mes déboires de novembre, j'essaie de simplifier au maximum le routing et évite de faire plus d'une escale. Pour une fois, je vous passe le détail de mes recherches (principalement parce que je ne m'en souviens plus), de toute façon la solution choisie était la plus logique :
Brussels Airlines propose en effet un départ à 17h15 de VNO, permettant d'avoir une bonne partie de la journée libre, une arrivée à LYS à 22h20 avec un peu plus de deux heures de correspondance à l'aéroport de Bruxelles, le juste milieu entre trop d'attente et trop peu de marge à mon goût. Le tout pour… 90€. Je prends finalement à 105€ le tarif supérieur pour choisir ma place et avoir un bagage en soute, juste au cas où. Horaire tout à fait convenable, prix très attractifs, et en prime découverte d'une nouvelle compagnie (nouvelle dans mon logbook j'entends), le combo parfait en somme !
Le routing de ce week-end de Pâques :
1. KLM KL1412 : LYS – AMS (Economy, B737-700) le 31 mars 2018 => Non reporté
2. airBaltic BT622 : AMS – VNO (Economy, B737-500) le 31 mars 2018 => C'est par ici
3. Brussels Airlines SN2372 : VNO – BRU (Economy, A320) le 2 avril 2018 => Vous êtes ici
4. Brussels Airlines SN3593 : BRU – LYS (Economy, A319) le 2 avril 2018 => C'est par ici
C'est donc, comme je le disais dans mon explication de routing, l'occasion pour moi de découvrir la compagnie belge, fière (ou pas) descendante de la Sabena, une compagnie que j'aurais beaucoup aimé prendre… Mais bon, ne refaisons pas le passé, je me contenterais donc pour aujourd'hui d'une compagnie qui a tout du low-cost en moyen-courrier, sauf l’appellation (pour le moment ?). Notons par ailleurs que ce vol est une petite exclu dans la BDD !
A la réservation, j'avais sélectionné le siège 11C, au couloir comme à mon habitude, et au rang 11 car seatguru laissait supposer que ce rang, sur les A319, dispose d'un pitch amélioré, moins que les issues de secours, mais mieux que le reste de la cabine, le tout sans supplément, contrairement aux issues. SN me proposait bien d'enchérir pour voyager en J, mais à 220€ l'enchère minimale pour le seul segment VNO-BRU (sans certitude de l'avoir donc), non merci ! Je ne suis pas convaincu qu'à un tarif aussi prohibitif, leurs enchères aient du succès…
Bref, après une petite promenade vers la Монастир і церква Святої Трійці, l'église ukrainienne de la Sainte-Trinité, bien abimée (à voir dans le bonus), nous prenons la direction de l'hôtel pour récupérer les sacs et prendre le bus express 88 qui passe juste devant, et nous amène à l'aéroport en 20 minutes, pour 1€50 pour deux.
Nous voilà débarqués devant l'aéroport. Les indications ne sont pas des plus claires, nous entrons donc dans le bâtiment de style soviétique (voir le FR précédent pour les photos de l'extérieur). A l'intérieur, Madame me guide sur la gauche pour monter cet escalier qui ressemble à tout sauf à un escalier d'aéroport…
Nous arrivons au premier étage, qui comporte quelques bureaux… Le hall principal de ce terminal, qui serait vraiment très beau sans ces publicités sur les portes et ce parallélépipède vitré qui abrite, il me semble, un ascenseur.
Il faut ensuite continuer vers le fond du terminal, où on a le choix entre ressortir dehors et traverser le dépose-minute pour accéder à la zone des départs, ou monter un petit escalier en colimaçon, toujours avec pas spécialement beaucoup d'indications…
Une fois en haut de l'escalier, un plan incliné permet d'accéder à cette zone comportant un grand nombre de places assises, ainsi que des bureaux, mais qui est assez sombre… Cette zone surplombe le dépose-minute.
Au bout, on redescend quelques marches pour arriver sur une galerie qui comporte là encore des sièges et des bureaux tout le long. Sur la galerie opposée, le service client de plusieurs compagnies est regroupé dans un seul bureau. C'est assez calme, il y a quasiment plus de policiers que de passagers… Dans toute cette zone, une musique particulièrement désagréable et forte est diffusée, malheureusement.
Pour aller aux sanitaires, il faut descendre au niveau inférieur, qui a une hauteur sous plafond de 2 mètres, avec des couloirs éclairés au néon et pas mal de portes fermées. Ambiance glauque à souhait…
C'est un peu mieux une fois arrivé…
… Et voilà. Oui, ce sont bien les WC qui comportent des sièges pour attendre. Notons également le faux-plafond et les luminaires, très années 90.
Bon, il y a quand même une porte pour séparer le banc des latrines, mais ça reste curieux. (Désolé pour la floue photo)
On se croirait à l'internat quand on entre dans les WC… Alignement de lavabos, mais un seul distributeur de savon à l'entrée. Pratique ! Quant aux WC, je vous épargne la photo, c'est un alignement de cabinet ainsi que des pissotières placées là où il y a de la place, le tout particulièrement sale.
Bref, je remonte au niveau 0 pour aller voir si les comptoirs utilisés par Brussels Airlines, 21 à 23 sont occupés. La réponse est négative (et mon autofocus a bu trop de vodka).
Le PIF n'est pas très peuplé pour le moment !
Avec ce plan, je tente de comprendre quelque chose à cet aéroport, qui parvient à être confus malgré sa petite taille ! La zone en aplat gris au centre est la zone "landside", tandis que la partie hachurée est la partie "airside". En gris sombre, la zone hors-Schengen.
Retour sur la "mezzanine", qui est plus calme, pour attendre tranquillement avec Madame. Notons ces splendides luminaires… On se croirait à la salle des fêtes de Saint-Cyr-le-Chatoux, tant de modernité…
Je consulte par acquis de conscience l'enregistrement en ligne de mon vol, pour voir si une rangée serait entièrement libre, histoire d'avoir un hublot. Surprise, le plan cabine est passé des 25 rangs de l'A319 à 30 rangs ! Vérification faite sur flightradar, c'est effectivement un A320 qui a remplacé au pied levé l'A319 prévu sur ce vol jusqu'à il y a quelques heures. Je change donc de siège et me met en 28C, une rangée totalement libre, comme la 27, la 29 ou la 30.
Un peu après, je repars chercher mon billet au comptoir… En chemin, le FIDS, un peu vintage, que j'aime bien. A cause d'une tempête de neige, les vols pour Helsinki sont annulés.
Les comptoirs viennent d'ouvrir, je suis le premier à passer. Les agents sont en pleine rigolade, je les dérange donc un peu, et je le ressens bien… Mais je récupère mes billets sans soucis, billets que voici :
Après des adieux déchirants avec Madame, je passe le PIF, en quelques minutes malgré le flux de passagers un peu plus dense que précédemment, grâce aux 4 files PIF ouvertes. Les agents sont cordiaux.
La partie airside est séparée en deux ailes, pour moi c'est direction la partie à tribord. A noter que des travaux sont réalisés au niveau de la jonction entre les deux ailes, ce qui réduit l'espace disponible…
Le vol pour BRU part de la porte A11, la première porte après les contrôles. Sur cette photo, quasiment l'intégralité des sièges disponibles à cette porte : Pour un A320, c'est bien trop peu…
Je tente un peu de spotting, mais les pare-soleil ne facilite pas la tâche… La météo est à la pluie depuis quelques heures maintenant. On distingue néanmoins un Embraer ERJ190 d'UIA, ainsi qu'une tripotée d'Airbus Small Planet à gauche, dont l'appareil loué à Sky Angkor Airlines déjà aperçu lors de mon arrivée.
A part une boutique type WH Smith, il n'y a rien à faire à proximité de ma porte, je continue donc ma découverte de la zone airside.
On trouve un peu plus loin, un café-snack, et un espace publicitaire… Pas convaincu qu'il y a une masse d'acheteurs de chariots élévateurs, mais pourquoi pas, ça change des voitures ! (Et ça amuse les enfants)
Encore après, l'habituel duty-free séparé en deux parties, une parfums et une alcools, cigarettes et nourriture. Un vol embarque, pour une destination que je n'ai pas notée, mais qui probablement Copenhague, vu l'heure. Sur la gauche, un bocal à fumeurs. Tout au fond, une baie vitrée donnant sur le dépose minute me permet de faire un dernier au revoir à ma douce et tendre… A noter qu'il n'y a que peu de sièges disponibles là encore.
La vue sur le tarmac n'est pas tellement plus dégagée ici… Devant les hangars, un 737 de Transaero.
Je pars visiter l'aile opposée, mais c'est la même en encore moins fournie : Un duty-free et un café-snack. Et toujours aussi peu de sièges. Quant à la vue… Mis à part un CRJ900 SAS et un antique paxbus… "Circulez y'a rien à voir".
Bon, je me résigne à attendre debout face à ma porte. C'est bien chargé, et je suis loin d'être le seul à attendre debout. C'est vraiment un gros problème de cet aéroport… Il manque au moins 3 ou 4 fois plus de places assises.
Passage aux WC, qui sont bondés et aussi sales que ceux avant les contrôles… Quand je ressors, la queue s'est déjà mise en place, à 16h35, alors que l'appareil n'a pas encore atterri. Je comprends les passagers, quitte à attendre debout, autant se mettre en bonne position pour monter à bord.
Finalement, l'appareil arrive en porte à 16h45, sous le mélange de neige et de pluie qui s'abat sur l'aéroport. Il a un retard de 10 minutes à l'arrivée, sans doute dû au changement inopiné d'appareil. Il s'agit de l'Airbus A320 OO-SNH, livré neuf en 2004 à Vueling, avant d'atterrir à Brussels Airlines en 2016. Aujourd'hui, il a effectué une rotation vers ses premiers amours, Barcelone, avant de partir vers Vilnius.
Détail amusant (du moins à mon sens, mais j'ai un sens de l'humour spécial, parait-il), un autre A320 a porté cette même immatriculation (OO-SNH), un appareil livré neuf à la Sabena en mars 2001, quelques mois avant la faillite… Après un passage dans plusieurs compagnies, dont également Vueling, il est actuellement stocké au Southern California Logistics Airport, après la faillite de Monarch Airlines, la dernière compagnie pour laquelle il a volé. On ne peut pas dire qu'il porte bonheur, cet avion là…
Bref, voilà la bête !
Maintenant que l'appareil est arrivé, je me met moi aussi dans la file qui grandit sans cesse.
J'aperçois, à travers une boutique, le débarquement, qui semble prendre des plombes… La queue bloque totalement l'accès à la boutique, et arrive derrière jusqu'au niveau des contrôles PAF pour passer en zone hors-Schengen… Mais les agents ne bronchent pas, ils sont sans doute habitués…
A 17h, avec 15 minutes de retard, l'embarquement est lancé avec les passagers prioritaires et les familles avec enfants. Les annonces sont d'ailleurs particulièrement inaudibles, la musique diffusée dans le magasin couvrant quasiment totalement la sono…
L'embarquement prend du temps, un des deux scans des cartes d'embarquement n'arrête pas de planter… Au moins, je constate qu'aucun passager ne tente de resquiller la file, c'est appréciable.
Finalement, à 17h10, je suis enfin dans l'aveugle passerelle.
Presque instant porte, suivi d'un accueil souriant en français !
Après une dure traversée de la cabine, me voici enfin à ma rangée, libre… Pour le moment. Notons que les rangs 29 et 30 n'ont pas de hublot (ou quasiment pas pour le 29).
La cabine se remplit doucement…
Je m'installe à mon siège. Première impression : C'est serré ! Heureusement que le porte-revue est en haut du siège…
Sans surprise sur une cabine récente, les sièges sont du type extra-fins.
Ceinture non siglée…
Et en plus, une miette de biscuit est coincée dedans. Intolérable !
La moquette est propre, mais pas impeccable sous la rangée devant moi…
Et malgré le filet au lieu de la pochette, il reste quand même un bout d'emballage coincé dedans.
Voilà pour l'instant "fée du logis".
17h20, l'embarquement est annoncé terminé et l'annonce de bienvenue est réalisée en français, néerlandais et anglais. Le temps de vol est annoncé à 2h15. Et devinez-quoi ? Pas de voisin ! Alors que le reste de la cabine est bien rempli, il reste une petite vingtaine de sièges à l'arrière… Je m'installe donc au hublot, du moins mon buste, mes jambes sont au niveau du siège du milieu histoire de pouvoir survivre au vol.
Dehors, le temps ne s'arrange pas et la vue n'est pas des plus passionnantes. A l'intérieur, de nombreux bébés pleurent… Arg.
Les coffres à bagages sont fermés, l'occasion de vous montrer le plafonnier classique des Airbus…
Les démonstrations de sécurité sont réalisées, avec un speech et une gestuelle assez travaillés et détaillés. Quel meilleur moment pour vous présenter la notice de sécurité ?
Et son verso :
Nous repoussons finalement à 17h26, avec 11 minutes de retard. Derrière nous se cachait donc un A320 Wizzair…
Mais aussi le 737 Transaero, ainsi qu'un A320 tout de blanc vêtu.
Mise en marche juste après, nous commençons à rouler vers la piste. L'aéroport fait vraiment vieillot, même de l'extérieur…
Devant l'aéroport, un 737-800 Ryanair squatte une place pour passerelle, mais utilise comme d'habitude un escalier mobile ainsi que son escalier incorporé… Il partira vers London Stansted d'ici quelques dizaines de minutes.
Un autre Ryanair sauvage apparait ! Au second plan celui-là, il partira vers Beauvais dans moins d'une heure. Devant lui (enfin derrière lui mais devant sur la photo), le 737-700 EI-TVG d'un opérateur privé (Hansel Prime à priori), sans doute en configuration "VIP" vu la disposition des hublots…
Alors que nous approchons de la piste, un point lumineux apparait au-dessus de l'aile…
Il s'agit de HA-LWP, un A320 Wizzair qui atterrit tant bien que mal en provenance de Dortmund. Il a l'air d'être assez secoué par le vent qui souffle un peu de côté.
Une fois le Wizzair dégagé, nous nous alignons sur la piste 19.
Et nous nous élançons, à 17h35 ! Le vent de travers est assez violent, on sent bien les bourrasques qui vont virer l'appareil et les corrections de trajectoire des pilotes…
Nous décollons finalement, un des décollages les plus turbulents que j'ai connu !
On ne peut pas dire que les abords de l'aéroport soit très charmants… Mais les pilotes ne s'attardent de toute façon pas bien longtemps !
Au bout de la piste se trouve un petit "lotissement"…
On entre dans les nuages rapidement, qui sont tellement denses que par moment je n'aperçois plus du tout l'aile (forcément, le temps de déclencher, on la voyait à nouveau).
A la sortie de la couche nuageuse, les turbulences se calment enfin…
Le pilote prend la parole pour nous souhaiter la bienvenue à bord, nous redonne la durée du vol mais ajoute aussi l'altitude de croisière, qui sera de 38.000 pieds. L'équipage commercial prend ensuite le relais, et annonce le début du service BoB dans quelques minutes.
Même si le catalogue indique que les plats chauds ne sont servis que sur les vols de 2h30 ou plus, et que celui-ci est indiqué à 2h25, le CCP précise que nous aurons bien droit à l'offre de plats chauds, qu'ils vont passer d'abord pour prendre les commandes de ces plats et feront ensuite le reste du service. Chic alors ! Par contre, ils ne prennent que le cash, les machines à CB n'étant pas fonctionnelles exceptionnellement.
Voyons voir ce qui se passe devant moi…
Tablette ouverte, on voit un peu mieux quelques Schtroumpfs se balader sur le magazine de la compagnie…
La tablette est à peu près propre.
Voilà donc de quoi s'occuper un peu…
Mais avant tout, même si ce n'est pas dans mes habitudes, inclinons un peu ce siège… Sinon le dossier de celui de devant est vraiment trop proche, c'en est oppressant. L'inclinaison est plutôt symbolique, mais c'est toujours ça de pris.
Allez, puisque le service va débuter d'ici peu, voyons voir la carte du BoB.
Commençons par les plats chauds, puisque c'est ce qui est à commander en premier. Moi qui ne suis pas friand de BoB, j'ai faim, et la perspective de manger des frites à 10.000 mètres d'altitude me fait très envie. Partons donc sur ça !
Le steward passe à ma hauteur, je lui fait signe que je veux commander des frites, et… "Sorry, we don't have that anymore". ARG ! Quelle idée ! Le seul élément différent des autres BoB, et qui a beaucoup de succès vu le nombre de personnes que j'ai entendu ou vu en demander, c'est dommage de ne plus en avoir tout de même… Ils ont perdu un bon nombre de ventes !
Bon, je passe sur les autres plats chauds, qui sont basiques et pas tentant. Voyons donc le froid… Les sandwichs et assimilés d'abord ! Rien qui ne donne envie…
Les snacks… Pourquoi pas, je me laisse tenter par l'antipasti pour avoir un truc à grignoter pendant ce long vol !
Je l'accompagne, comme le propose le menu, de vin rouge. Je n'ai aucun espoir quant à la qualité du vin, donc je ne peux pas être déçu ^^
Voilà donc le plateau tel que servi, par un équipage très souriant et sympathique. L'un d'eux chantonne même en préparant des plats…
Ce qui me servira de vinasse…
Une fois ouvert, ça donne ça. Au final, c'est comme je l'imaginais : Pas spécialement beaucoup de goût, mais ça se laisse manger. Le vin quant à lui est très plat, aucun relief, un peu terreux… Mais au moins il n'agresse ni la gorge ni l'estomac.
Le paysage est assez joli…
L'occasion de faire, une fois n'est pas coutume, une petit photo signature !
Nous survolons la Vistule au niveau de Bydgoszcz…
Puis l'aéroport de Bydgoszcz (en bas de la photo).
Voilà un bon moment pour aller aux toilettes ! Les deux WC ne sont pas situés avant le galley arrière comme souvent, mais sur le côté droit de ce galley… Ca permet de gagner de la place pour une rangée supplémentaire.
Par conséquent, c'est pour le moins très étroit ! Mais propre, malgré le ballet incessant de passagers. C'est le principal.
La cabine, très remplie et peu endormie, est assez bruyante, même si ça reste acceptable en fond de cabine. La jeune femme en jaune discutera quasiment une heure avec une amie, ainsi, au milieu de l'allée… Elle a beau être sans doute tout à fait charmante, ça m'aurait profondément agacé à la place du passager devant, d'avoir quelqu'un qui parle au-dessus de ma tête pendant tout ce temps…
Bref, je retourne à ma place alors que les PNC entame un deuxième service de BoB (encore plus de passages que chez Easyjet !). Un peu de lecture pour continuer ce vol agréablement !
Je m'endors un peu après, et me réveille une demie-heure plus tard, quand le cockpit annonce un atterrissage dans 20 minutes, à 18h40. Nous sommes dans les nuages…
On atteint le bas de la couche nuageuse à hauteur de Diest seulement, après plus de 10 minutes dans la purée de pois.
Rotselaar
La N26, qui file vers Louvain…
Le sol se rapproche dangereusement… Kasteel Ter Ham, à Steenokkerzeel.
La tour de contrôle apparait enfin…
… Suivie de la piste 19 que nous survolons de quelques mètres…
… Avant de nous poser sur la 25R, devant la jetée A, à 14h40 !
Nous sortons par un taxiway "rapide"… Beaucoup de frangins SN dans les parages, forcément ! Le CCP nous souhaite la bienvenue à BRU, et nous indique une arrivée en porte A50.
Nous arrivons en porte, à côté d'un Embraer 190 Finnair, et d'un Embraer 195 Air Europa.
Parking position à 18h43, seulement 3 minutes après l'atterrissage, et avec 3 minutes de retard. Nous avons rattrapé 8 minutes en vol donc…
Le débarquement n'est pas très rapide, mais comme je ne suis pas spécialement pressé, je laisse la foule se bousculer, et sors dans les derniers dans la passerelle vitrée…
Le problème de BRU, c'est que le terminal n'est pas très spotter-friendly ! Le nez de notre appareil, qui va repartir vers Copenhague peu après.
Autre problème, pas d'écrans avec les correspondances à chaque porte, il faut fouiller un peu pour les trouver…
Ah, voilà enfin un écran ! Mon prochain vol est donc prévu à l'heure, des portes A (logiquement).
C'est donc ici que je vous laisse, avec la trace radar de ce vol en prime ! On se retrouve dans quelques jours pour le vol BRU-LYS…
Pour finir, un petit bonus sur Vilnius, et sur mes péripéties dans cette ville !
Ça a donc été un week-end de visite en extérieur (et sous la pluie en fin de week-end) uniquement, mis à part pour les (très) nombreuses églises, qui étaient bien évidemment toutes ouvertes. Voilà pour les "péripéties". Retenez-donc de ne pas aller visiter Vilnius à Pâques, et tout se passera bien, car mis à part cela, la ville est très belle, joli contraste entre le cœur historique et les abords plus modernes, le tout teinté d'un brin de soviétisme…
Commençons donc notre petite promenade par la grande place de la cathédrale, avec (logiquement) la cathédrale au fond, et son beffroi séparé sur la gauche. Devant, la statue du grand duc Gediminas. C'est sur cette place que se terminait (ou commençait, c'est selon) la chaîne humaine de la Baltique (la Voie balte), reliant Tallinn à Vilnius, en 1989, pour réclamer l'indépendance des pays baltes.
Juste derrière la cathédrale se trouve le palais des Ducs de Lituanie. Le premier bâtiment fut construit au XVe siècle, et fut détruit en 1801 par la Russie (le bâtiment avait déjà été endommagé par plusieurs guerres successives). Un nouveau bâtiment a été reconstruit à partir de 2002, le chantier est encore en cours… La reconstruction a fait débat, et on le comprend, car financée par les pouvoirs publics, alors que de nombreux bâtiments historiques "authentiques" tombent en ruines.
Le bâtiment abrite un musée d'histoire, que je n'ai donc pas pu visiter…
En allant vers le sud, on arrive rapidement dans la vieille-ville, qui regorge de beaux bâtiments colorés, parfois malheureusement un peu décrépis…
On peut également s'aventurer dans les ruelles du quartier juif de la capitale, qui a, comme partout en Europe, beaucoup souffert pendant la deuxième guerre mondiale. Deux ghettos ont existé, le Petit ghetto au nord, et le Grand ghetto au sud… La communauté juive de Lituanie a été une des plus décimée pendant la guerre, avec plus de 90% de morts.
En continuant vers le sud, on atteint bientôt quelques quartiers d'habitation qui font très soviétiques, avec ces immeubles identiques (mis à part les couleurs) et le parc avec les aires de jeux pour enfants devant.
On arrive rapidement à la limite sud de la vieille ville, avec l'église Saint-Thérèse sur la gauche, et au bout de la rue sur la droite de cette église, la Porte de l'Aurore, seule porte restante des murailles de la ville. C'est également un lieu de pèlerinage, la porte contient en effet une icône de la Vierge, qui aurait été à l'origine de plusieurs miracles…
Si l'on remonte un peu vers le nord, on trouve sur la gauche la porte fortifiée du monastère de la Sainte-Trinité, de l'Église grecque-catholique ukrainienne.
L'église, au centre du monastère, est malheureusement en piteux état. L'extérieur a été en partie rénové récemment visiblement…
Mais l'intérieur est très abîmé, avec des trous dans les murs et dans le sol notamment. Des panneaux expliquent l'urgence d'entreprendre une restauration pour éviter que le bâtiment ne s'effondre, mais que malheureusement les fonds manquent.
On trouve également une expo photo, uniquement accompagnée de légendes en ukrainien, sur l'invasion de la Crimée par la Russie en 2014 (du point de vue ukrainien, est-il besoin de le préciser…).
Devant l'autel, des tapis cachent la misère. Une curieuse trappe est ouverte…
… Qui mène à une petite chapelle souterraine.
Repartons maintenant à l'autre bout de la vieille ville, pour une petite balade le long de la Vilnia… En quelques minutes, on passe ainsi de la ville au calme du Kalnų parkas ("parc des collines" en traduction littérale). Les néerlandais ne s'y sont pas trompés, puisqu'ils ont installé leur ambassade le long de la rivière, c'est le bâtiment blanc que l'on aperçoit derrière les arbres au fond.
C'est très paisible, beaucoup de familles s'y promènent sous le soleil…
Si vous vous sentez d'humeur sportive, grimpez une centaine de marches jusqu'au haut de la colline des Trois Croix. Elle tient son nom de (vous ne devinerez jamais) trois croix en bois qui ont été érigées là au XVIIe siècle, à l'endroit où, d'après la légende, des moines franciscains auraient été décapités au XIVe siècle. En 1869, les croix s'effondrent, et le pouvoir tsariste en place interdit leur reconstruction.
Elles furent finalement reconstruites en 1916, sous l'occupation allemande pendant la première guerre mondiale, puis dynamitées par les soviétiques en 1950. Enfin, en 1989, trois nouvelles croix sont construites en haut de la colline.
Quelques mètres plus bas, les restes des croix de 1916 dynamitées sont disposées, ce que l'on voit sur cette photo… On distingue les "nouvelles" croix en haut derrière les arbres.
Le monument est certes joli, son histoire intéressante, mais le plus grand intérêt pour moi est la magnifique vue que l'on a sur Vilnius de là-haut… Cela dit, je déconseille fortement d'y aller le soir comme nous l'avons fait… Puisque Vilnius est à l'ouest de ce monument ! On se retrouve donc avec un très beau contrejour…
… Contrejour qui conclut en beauté (ou pas) ce bonus ! Si vous voulez en découvrir un peu plus, je ne puis que vous conseiller la lecture du FR de LGaddict, ou au moins de son bonus sur Vilnius !
A très bientôt pour le dernier opus !
Merci Robin pour ce FR,
Un aéroport "vintage" et bien marqué par l'architecture communiste imposée dans ce pays après la seconde guerre mondiale.
Les lituaniens étaient mieux lotis sous la coupe des Polonais avant la guerre mais bref!
Absence de voisin idéale car le confort est tout de même rudimentaire avec ces planches à repasser!
Plateau plutôt correct donc parfois mieux vaut payer pour une prestation de meilleure qualité.
Survol en effet de Bydgoszcz et son aéroport, ville ou est massivement implantée l'Otan afin de défendre la Pologne contre les "amis" de l'est...
Bonne journée à toi et à bientôt
Salut Benoit, merci pour le com' :)
L'aéroport est vintage, mais qui est bien trop petit pour l'explosion du trafic aérien malheureusement.
Il est certain que les lituaniens n'ont pas été très bien lotis sur beaucoup de plans pendant la période communiste...
Confort très limité oui, le changement d'appareil en dernière minute m'a permis de passer un agréable vol, mais aussi de faire rentrer des sous dans le BoB SN, car si j'avais voyagé entassé sur une rangée complète, j'aurais plutôt essayé de dormir pour que le vol passe plus vite !
Voilà un grand débat... Je ne regrette pas les 10€ investis en effet, pour un snack en vol c'est raisonnable. Mais je maintiens que je préfèrerais payer plus de base et avoir d'office un petit repas servi à bord !
Même si on le voit mal sur la photo, je trouvais en effet que l'aéroport ressemblait énormément à une base militaire, j'ai été surpris de voir en faisant le FR que c'était un aéroport civil également !
A bientôt :)
Salut Robin
Cet aérogare de Vilnius a bien changé, on se croirait entrer dans le hall de l'hôtel de ville...
J'ai connu l'ancienne en 2000 et la nouvelle en 2012.
Quoi pas de frites à bord !!! Et dire que c'est l'image de marque du BoB de la compagnie Belge !
C'est quoi la sauce au milieu des victuailles ?
Cabine connue et ressemblant à celle des A320 de tante Lüfthi
Un vol relativement long, mais la météo n'était pas extraordinaire.
Vilnius est une ville sympa, nous avons fait les mêmes photos... La colline des 3 croix offre une belle vue de jour sur la ville
Merci pour ce FR, à bientôt !
Salut Hervé !
L'aérogare de Vilnius est pour le moins particulière, entre l'entrée soviétique, et le reste style années 90 pour finir au niveau des portes d'embarquement sur du plus moderne très vitré...
J'étais bien déçu, c'est très dommage pour SN de ne pas avoir assez de stock de frites, c'est ce que tous les gens voulant manger chaud demandaient...
C'est du houmous ! Pas spécialement beaucoup de goût, mais ça je m'y attendais un peu ^^
Je n'ai pas eu le plaisir d'avoir une cabine aux couleurs de la Belgique, comme tu avais eu sur ton BRU-GVA malheureusement !
Météo pas au top, mais avec quand même des trous dans la couverture nuageuse par moment, ce qui a pu m'occuper un peu.
J'ai bien aimé Vilnius, j'étais bien déçu de ne pas pouvoir visiter un peu les musées pour en apprendre plus...
A bientôt, merci pour le commentaire :)
Merci Robin pour cette découverte de VNO.
Le plan de l’aéroport ressemble à une fusée.
Un chariot élévateur : il n’y avait pas moyen de le gagner comme les jolies voitures de Dubai?
quitte à attendre debout, autant se mettre en bonne position pour monter à bord => pratique de plus en plus courante en raison de la politique payante des bagages en soute et si l’on veut de la place pour le sien il faut arriver parmi les premiers.
Bien vu le changement de place.
Grr pas de frites à bord c’est bien le produit phare de SN.
A bientôt
Hello Valérie, merci pour le commentaire :)
Effectivement, ça a un petit air de fusée (entre autre)... Ça fait le lien avec la destination, avec la fusée de Tintin cachée à BRU ^^
Je n'ai pas vu d'endroit pour s'inscrire à un tirage au sort malheureusement ! Au moins c'est plus fonctionnel que les exubérants bolides de Dubaï.
Oui, la guerre des coffres à bagages oblige à faire le pied de grue devant la porte si on ne veut pas se retrouver avec sa valise au rang 31 alors qu'on est assis au rang 5... Bon, sur ce vol il n'y a pas eu trop de soucis vu qu'on a gagné 4 mètres de cabine avec le passage de l'A319 à l'A320 !
Je tente d'être toujours attentif au plan de cabine en dernière minute, parfois on tombe sur des bonnes surprises :)
Pas de frites sur SN alors que, dès la réservation du billet, je me faisais une joie de m'en envoyer un cornet a 10000m d'altitude ! ^^
A bientôt !
Merci Robin pour cette belle découverte de VNO.
Je dois avouer que je n'ai pas compris grand chose au plan de l'aéroport. Mais il n'en reste pas moins intéressant.
A bord, le bob ne fait pas spécialement envie, je ne sais pas si j'aurais pris quelque chose, peut ête les frites.
A bientôt !
Salut Steph', merci pour le commentaire !
Il faudrait un plan pour expliquer le plan ! Même en ayant été dans l'aéroport j'ai mis un petit temps à me repérer sur ce plan, donc je pense que ni toi ni moi ne sommes à blâmer pour cette incompréhension :P
Le BoB n'est pas plus tentant que ça effectivement, je me suis laissé aller parce que j'avais envie de grignoter quelque chose (et que je pouvais m'étaler, aussi).
A bientôt !
Bonsoir Robin et merci pour ce nouveau vol.
Ca commence bien avec cette enchère abusive pour 2 heures de vol...
J'aime bien les points cardinaux sur le sol de l'aérogare, vue de haut inhabituelle.
Les sièges semblent particulièrement minimalistes, l'assise m'a l'air très courte et bien fine! Avec ces couleurs bleues et les têtières rouges, la cabine ressemble d'ailleurs pas mal à l'avant des appareils AF.
Dommage effectivement pour le BoB.
Joli bonus de Vilnius et les mêmes sensations que celles que j'avais eu en la visitant en Février dernier.
Merci encore et à bientôt.
Merci Mathieu pour le com' et la lecture :)
Quand j'ai vu ce prix là, j'ai un peu halluciné, surtout que la J de Brussels Airlines n'est pas vraiment la meilleure d'Europe...
Et bien... Je n'avais même pas remarqué ces points cardinaux, du coup merci de l'avoir pointé ^^ Visiblement c'est aussi répété sur le sol devant les portes des WC !
Effectivement, il y a une petite ressemblance avec AF... L'assise n'est pas spécialement inconfortable, du moins pas plus que celle des sièges d'AF, mais ça reste moyen.
En février Vilnius doit avoir encore plus de charme sous la neige !
A bientôt :)
Merci pour ce FR.
VNO est un aéroport assez surprenant, j'aimerais bien y faire un tour cet été, surtout si TK propose des bons tarifs (j'ai une certaine envie de les reprendre maintenant que je suis *G).
Rien à espérer de SN, enfin le changement d'appareil a permis un gain de confort. Pas de frites à bord, c'est un scandale !
Quel courage de se coltiner toutes ces navettes pour aller là-haut, les miennes vers Vienne m'emm******, surtout quand les compagnies pratiquent un certain racket tarifaire m'obligeant parfois à ruser un peu (teasing...)
Merci pour le com' Carl !
VNO vaut le coup d'oeil, même s'il n'est pas très bien fait, il a au moins le mérite d'être unique, comme aéroport...
SN est une compagnie low-cost comme une autre, elle a le mérite d'offrir des tarifs très sympas, c'est son seul avantage... On ne la prend pas pour le plaisir de voyager, juste par nécessité !
J'ai pratiqué les navettes vers Vienne l'an passé, avec AF et OS qui ont le gros du marché et se permettent des tarifs... Pas donnés... Mais au moins c'est possible de le faire en vol direct depuis Lyon, que les pays baltes... Faut aimer les correspondances.
A+ :)
Merci Robin pour ce FR !
Un vol à un prix raisonnable surtout si l'on part du principe que SN n'est pas un low-cost mais hélas tout montre que c'en est une.
220€ l'enchère minimale pour un surclassement en J, il fallait oser, je doute qu'ils aient eu beaucoup de succès.
VNO semble être un mélange de styles de différentes époques, au moins c'est original.
Dommage de ne plus proposer de frites à bord, le produit qui devait avoir du succès et une vraie spécificité pour Brussels Airlines.
Un pitch serré, pour un vol de quand même 2h30, cela doit être un peu désagréable. Heureusement que l'appareil n'était pas plein.
Merci également pour le bonus.
A bientôt pour le dernier vol !
Hello Stéphane, merci pour le commentaire :)
Tarif tout à fait correct pour traverser les 3/4 de l'Europe, effectivement. Mais SN est une low-cost, la preuve, elle va sans doute finir intégrée dans Eurowings (malheureusement)...
La J n'avait pas l'air bien remplie. Je ne comprends pas trop ce concept, pourquoi proposer un tarif aussi élevé, entre vendre 1 place à 220€ et 5 à 100€, je pense (sans doute naïvement) que les 5 places sont plus rentables pour la compagnie ^^
VNO est un beau mélange des genres en effet. Original, ça pourrait être plus sympa si c'était un peu mieux entretenu, indiqué, et surtout, plus grand !
Dommage en effet, sur un vol de 2h30 de fin de week-end prolongé, il y avait pourtant de fortes chances d'avoir de la demande sur le produit spécifique de SN...
Je me suis essayé à rester bien calé sur un seul siège pendant un bout du vol, c'est vraiment pas confortable, heureusement que je pouvais m'étaler...
A bientôt ;)
Merci Robin pour ce FR.
Voilà une route sur laquelle je n’aurai pas parié un centime. BRU VNO sonne vraiment improbable.
On ne peut pas dire que VNO landside manque de cachet. Quels contrastes !
Mais finalement il ne fait pas bon arriver en avance à l’aéroport. Beaucoup de remarques négatives dans ton récit.
« Intolérable ! » tu as reçu combien de miles ?^^
Dommage pour les frites mais en 28A, il ne fallait pas rêver...
Merci Quentin pour le com'
SN se place sur la seule destination balte non desservie par une compagnie balte (Riga a BT vers BRU, Tallinn a Nordica), c'est logique quelque part... Mais quand BT ou EE mettent des modules de 80-90 places, SN envoie un module qui fait le double !
Ah ça, landside, VNO est vraiment unique comme aéroport ! On a de tout, même si le résultat final n'est pas concluant du tout...
J'espère qu'une fois les travaux terminés, ça sera plus accueillant airside...
Entre cette horrible miette et les frites manquantes, la compagnie belge a beaucoup à se faire pardonner ^^
A+
Merci Robin pour ce FR ;-)
Je vois que tu es toi aussi un grand fan du bâtiment historique de l'aéroport de Vilnius: dehors on dirait une gare, et à l’intérieur, on se croirait aussi dans une gare voire une station de métro à Moscou^^^
Dommage pour les frites indisponibles, j'aurais bien aimé voir comment elles étaient préparées, et surtout si ça sent beaucoup autour^^^
Merci aussi pour cette visite de Vilnius, qui complète fort bien la mienne, et là encore, merci pour le lien vers mon FR KUT=>VNO ;-)
Hello Philippe, merci pour ton com' !
Oui, ce bâtiment est vraiment très sympa ! Mais un petit peu bordélique sur les bords ^^
J'aurais beaucoup aimé tenter l'expérience aussi... C'est quand même dommage pour un BoB qui n'a que ça d'original.
Mais de rien ! Je pense y retourner en janvier pour approfondir la visite, l'occasion de faire un nouveau bonus peut-être :)
A bientôt !