Bien le bonjour, Messieurs-Dames !
Dernier opus de ce voyage en Ukraine (qui commence à dater maintenant…), pas le plus passionnant… Comme d'habitude, retour sur la création du routing dans la balise spoiler ci-dessous. Et pas de bonus à prévoir en fin de report, rassurez-vous !
Avec dix jours de voyage prévus, on se prépare un petit programme permettant de visiter Lviv, Odessa et Kiev, avec forcément des vols intérieurs sur la fameuse Motor Sich, et ses antiquités d'ex-URSS dans sa flotte. S'y ajoute également un trajet en train de nuit, car je suis travelgeek avant tout, et passer à côté de cette expérience me semblait très dommage…
Pour rallier l'Ukraine, je n'hésite pas trop, Air France proposant de bons tarifs à mes dates (en même temps, qui va en Ukraine en janvier), et un très bon service, la compagnie nationale française me transportera donc jusqu'à Kiev. Pour les vols intérieurs, je choisis finalement de faire le Kiev - Lviv avec Motor Sich, vol prévu en Antonov AN-24, et Odessa - Kiev, vol prévu en Antonov AN-140, mais en général effectué en AN-24 ou Yakovlev Yak-40 (un seul Antonov AN-140 est encore en état de vol chez Motor Sich, et ses sorties sont plutôt rares, donc l'avoir sur ce vol me semblerait peu probable… Mais on ne sait jamais !). Entre Lviv et Odessa, ça sera donc un train de nuit qui me transportera (le trajet fera évidemment l'objet d'un petit bonus).
Le routing prévu ressemblera donc à ça :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3
- 405/01/2019 - Ukrainian Railways (Укрзалізниця) 012 Л - Kupé (2de classe) - Lviv → Odessa en Sleeper train (rénové)
- 5
- 6
- 712/01/2019 - Air France AF7648 - Économique - Paris CDG → Lyon en Airbus A321
Rien de bien excitant sur ce dernier vol du programme, un banal post-acheminement jusqu'à Lyon. Au moins, l'accès au salon nous permettra de patienter confortablement pendant les 3h et quelques de correspondance…
Lors de l'enregistrement, AF nous propose le rang 1. Allez, soyons fous ! Je change juste mon siège pour passer du 1B au 1C : Désormais habituelle technique du siège du milieu, et en plus, le 1C a l'avantage d'avoir un pitch plus grand, grâce à l'allée qui est juste à côté.

Rentrons à la maison !
Nous nous étions laissés à la sortie du vol en provenance de Kiev, dans les couloirs du terminal 2E-L. Plusieurs autres vols sont à l'arrivée en même temps, ça laisse présager un peu d'attente au PIF de correspondance !

En effet, quand nous arrivons, il y a pas mal de monde, y compris dans l'accès N°1.

Certains agents sont souriants, d'autres rabrouent un peu les passagers… Un passager chinois en fera les frais. J'apprécie encore moins cela en sortant d'un vol ! Nous passons l'obstacle après plus de dix minutes, je trouve cela assez moyen pour une file prioritaire…

On emprunte ensuite le couloir de correspondance vers le 2F, la PAF est passée immédiatement, les policiers attendent le client !

Notre vol pour Lyon part des portes F1, à l'opposé de là où débouche la jetée donc.

Le PIF du 2F est bien calme en ce samedi soir…

33 minutes après notre arrivée au bloc en provenance de Kiev, nous arrivons dans le terminal 2F-1. Je trouve le panneau pour le salon assez mal placé, et pas forcément bien clair…

Le 27 mars 2011, il y a presque huit ans, j'ai découvert pour la première fois cette cathédrale de verre et d'acier (pour un vol vers Marseille), mais je la trouve toujours aussi belle qu'au premier jour ! Madame est plutôt convaincue également, même si je lui explique les soucis de place que cette disposition génère…

Nous empruntons les étroits escalators pour descendre d'un étage, direction le salon ! L'accueil est cordial, on nous propose une coupe de champagne, offre que nous déclinons poliment, à la surprise de l'hôtesse du salon. Que voulez-vous, nous préférons les produits de la vigne quand ils ne pétillent point…

Même si l'étage 1 est peu fréquenté, nous descendons à l'étage inférieur. Le buffet salé est bien achalandé, même s'il n'y a pas de crevettes, chères à un certain membre du site…

C'est aussi bien rempli du côté du sucré !

A côté des classiques alcools, on trouve chips et viennoiseries !

Dans le frigo, quelques softs, de la bière, des emprésurés Malo. La fontaine à jus de fruits sur la droite est fonctionnelle.

Tout comme la kawateuse. On trouve aussi du thé, que l'on peut accompagner de citron, pour plaire à la clientèle russe, ou d'un nuage de lait, pour plaire à la clientèle britannique et à moi-même.

Notre sélection, assez légère, que l'on accompagne d'un petit (gros) Martini pour fêter la fin des vacances !

Le salon est bien peu fréquenté à l'étage inférieur, avec seulement 3 clients…

Nous avons vue sur le tarmac, plus précisément sur une nacelle élévatrice Loxam ! La livrée est colorée, bien loin de l'eurowhite des appareils AF juste derrière…

Un bout de l'offre de presse, correcte.

Avant de quitter le salon, passage aux WC qui sont propres. Il manque un bout de faux-plafond dans une des cabines, et le tuyau d'aération qui passe dedans conduit bien le son en provenance de l'extérieur, je peux ainsi profiter de la conversation au langage fleuri d'agents de pistes qui doivent se tenir à côté de l'ouverture…

Quelques minutes avant le début de l'enregistrement, nous quittons le salon, le personnel prend le temps de nous saluer. Si l'on omet le problème du manque de places en heures de pointe, il ne manque que quelques plats chauds et des fauteuils plus confortables à ce salon pour être vraiment bon !

Nous partons aujourd'hui de la porte F29. Nous nous mettons dans la file Skypriority, une dame tente de se glisser devant moi, mettant en avant son billet siglé Skypriority. Je la remet à sa place gentiment, je ne m'amuse pas à faire la queue ici pour le plaisir de me faire recaler !
A 20h55, l'embarquement des PMR et passagers avec enfants en bas-âge est lancé, tandis qu'une agente vérifie l'éligibilité des Skypriority pour fluidifier l'embarquement.

A 21h, l'embarquement prioritaire est lancé, je passe en troisième position… J'aime beaucoup les passerelles du 2F !

Il est juste dommage que dans la dernière partie, elles soient souvent couvertes d'un film assez peu gracieux. Impossible donc de voir le nez de notre A321 du jour, F-GTAU. Sorti d'usine il y a tout juste dix ans, il a effectué toute sa carrière sous les couleurs d'Air France, et il revient tout juste de München.

Arrivée en porte, l'accueil est très souriant.

On s'installe au rang 1, le pitch est un peu court, mais comme prévu, l'allée me permet d'étirer mes guiboles. Peu d'inquiétude pour la place du milieu, d'après le plan cabine consulté peu avant sur l'appli, les rangs 1 à 6 côté gauche sont intégralement vides, mis à part nous deux. Il faudrait vraiment que l'on tombe sur quelqu'un de particulièrement vicieux pour que l'on récupère un voisin…

L'accoudoir côté couloir est plein, il contient la tablette rétractable. Les autres sièges disposent d'une tablette fixée à la paroi.

On dispose de deux hublots, mais le plus à l'avant a été raccommodé de la manière la plus propre et simple qui soit : Avec du scotch.

Maintenant que je sais que cette compagnie va disparaitre, j'aimerais bien voler à bord… Mais c'est plutôt mal parti pour ! Cet A321 là part à Lisbonne…

L'embarquement se poursuit tranquillement, la cabine reste assez clairsemée…

C'est l'habituelle cabine Europe qui nous accueille aujourd'hui. Je ne vous la présente pas à nouveau, les prises USB dans les accoudoirs sont fonctionnelles dès l'embarquement.

Aux premiers rangs, des coussins, utilisés en cabine J, sont disposés, délicate attention.

L'embarquement se termine à 21h20, mais l'agente en porte arrive avec une liste de trois noms à appeler, dont celui de Madame. L'avantage d'être au premier rang, c'est que l'on entend tout des discussions dans le galley avant !
Il s'avère donc qu'un des deux portiques dysfonctionnait, et les premiers passagers n'ont pas été enregistrés par le système. Un double recomptage est demandé, pour s'assurer que les 146 passagers prévus sont bien à bord. Taux de remplissage de 72% donc.
Pendant l'attente, l'hôtesse remarque que je tousse beaucoup (les joies de l'Ukraine en hiver !), elle m'apporte un verre d'eau sans que je n'ai à demander quoique ce soit. Je m'occupe en lisant la presse récupérée au salon.

Le cockpit réalise une annonce, nous donnant notamment la météo à destination, et la durée de vol, de 40 minutes. Il nous assure que nous allons partir bientôt, un bagage doit être déchargé de la soute. Il s'avère en fait que c'est la valise du passager étant passé en premier. Comme il n'a pas été enregistré par le système initialement, et que l'embarquement a été clôturé, le passager doit venir reconnaitre sa valise, et voyager avec en cabine, car le système refuse qu'elle soit chargée en soute (c'est du moins ce qu'expliquera un agent au sol aux PNC). Le pauvre passager n'y comprend pas grand chose, le commandant viendra s'excuser auprès de lui…
Nous repoussons finalement à 21h30, avec seulement 5 minutes de retard, les démonstrations de sécurité sont réalisées, en français et en anglais.

La notice de sécurité, qui affiche le logo Wifi autorisé. Malheureusement, cet A321 n'est pas encore équipé, mais ça doit arriver prochainement !



Les lumières sont ensuite totalement éteintes pour le roulage, un moment que j'apprécie beaucoup, encore plus dans une cabine silencieuse comme ce soir-là…

Je sous-traite les photos de l'extérieur à Madame, qui est au hublot ! La tâche n'est pas aisée, il fait nuit, et en plus il pleut…

Le terminal 2D à gauche, en face, les positions de parkings utilisées notamment par AF.

Les deux taxiways reliant l'est du terminal 2 aux pistes nord.

On longe ensuite la ferme Hop! du 2G…

On prend finalement notre envol à 21h40 de la piste 26R.

Paris luit au loin… Vous m'excuserez, j'apprécie de détailler ce que l'on peut voir sur les photos des paysages, mais là j'ai bien du mal !

Dans le quart inférieur gauche, le parc des expositions de Villepinte, tandis que nous commençons à traverser des bancs de nuages.

Nous survolons ensuite Le Bourget, mais les nuages réduisent la visibilité sur l'aéroport, sur la droite de la photo.

On vire vers le sud-est, longeant les limites de la capitale… Tout en bas à gauche, la tour Eiffel illuminée.

La cabine est à moitié rallumée à ce moment là, l'équipage se met en branle pour préparer la collation. L'occasion de jeter un oeil au contenu de la pochette, fixée à la paroi. Outre la lingette rafraichissante, récupérée à l'embarquement, on trouve la notice de sécurité, le doggy-bag, Air France Madame, et le magazine de la compagnie.

La une n'a pas changé par rapport à notre vol en provenance de Kiev, c'est toujours le Kenya qui est à l'honneur…

La cabine est un peu trop sombre pour ce genre de clichés, mais voici tout de même la carte du réseau…

Et la flotte du moment !

Rapidement, les trois trolleys sortent de l'antre, pour l'habituel sucré-salé d'Air France. Madame me copie, avec le chocolat chaud accompagnant le fameux cake citron-pavot…

Le temps de laisser refroidir un peu le chocolat brûlant, et c'est vite avalé… Le marathonage est complexifié par la présence de la petite cuillère, qui dépasse de l'empilement.

Comme nous sommes servis en premier, ça me laisse le temps d'explorer le galley avant. Porte 1L…

… Et 1R. C'est bien rangé !

Passage aux WC, qui sont propres, mais comme je suis le premier à les utiliser depuis le départ, je n'en espérais pas moins !

L'auteur de ces lignes immortalisé dans un miroir immaculé.

Notre descente débute à 22h, 4 minutes après notre arrivée à l'altitude de croisière. Elle sera assez turbulente. Le cockpit annonce le niveau 100 à 22h10. La chef de cabine explique toutes les actions qu'elle réalise à une hôtesse en formation, c'est assez intéressant à écouter…
Madame reprend la main pour les photos de l'extérieur, mais il n'y a pas grand chose à voir. La vallée de l'Azergues, au niveau de Chambost-Allières, n'est pas le coin le plus urbanisé de France…

Mais Madame n'étant pas rompue à la reconnaissance des villes vues du ciel, elle ne prendra pas de cliché de ma ville, que nous avons pourtant survolé à environ 6000 pieds… On arrive donc directement à la Villette-d'Anthon, juste au nord de LYS.
Quelques soucis ont visiblement été rencontré dans le galley arrière, la préparation finale de la cabine est effectuée assez rapidement, alors que le cockpit demande à l'équipage de se préparer pour l'atterrissage. Au moins nous avons échappé à l'annonce de l'atterrissage "imminent" !

Nous touchons le sol à 22h19.

L'équipage réalise l'habituelle annonce d'arrivée, alors que nous roulons vers notre porte. Au loin, des appareils Easyjet passent la nuit face au terminal low-cost du 1B.

Pour nous, c'est à droite, au terminal 2, où le Boeing 737-700 KLM est déjà en porte, il est arrivé avec plus de vingt minutes d'avance d'Amsterdam…

La routine habituelle de LYS se met en place, notre appareil est parqué à la dernière porte du bâtiment principal du T2, la Q06, comme tous les jours.

Arrêt des moteurs à 22h22, 13 minutes d'avance sur l'horaire prévu. L'approche par le nord facilite la ponctualité !

Instant Danette, pour une fois, je participe, histoire de me réveiller un peu avant de prendre le volant…

Nous sommes rapidement libérés, direction la passerelle.

Le cheminement d'arrivée à LYS nous fait remonter le terminal 2 par le couloir longeant la baie vitrée…

Le 737 KLM est déjà endormi.

Quelques volées de marche nous amènent au rez-de-chaussée…

On débouche dans la salle de livraisons des bagages…

7 minutes après notre arrivée en porte, nous voilà à l'arrêt de bus pour le parking éloigné P5.

L'écran d'informations affiche un temps d'attente pour le moins… étonnant.

Au moins, nous avons une belle vue, avec la gare TGV qui semble prendre son envol dans le noir…

Mais finalement, nous n'aurons qu'à attendre six minutes pour que le bus arrive.

A 22h40, nous voilà arrivés au parking. Ca roule bien le samedi soir, on arrivera donc à 23h20 chez moi.

Et c'en est donc fini de ce périple ukrainien, je vous laisse avec la trace radar du vol…

On se retrouve très bientôt pour un nouveau périple, j'ai un bon retard d'écriture de FR à combler !
N'hésitez pas à commenter
:)
Merci Robin pour ce FR clôturant ta belle série,
Un passage numéro 1 bien long à passer comme souvent à CDG...
Au salon, pour une fois je trouve l'offre bien renouvelée alors que c'est souvent le vide^^
Bien joué d'avoir replacé la PAX qui tentait de griller tout le monde...la politesse a encore une fois ses limites :-)
Bonne soirée à toi et à bientôt !
Je passerai ton bonjour à la belle Ukraine dans 10 jours :-)
Merci pour ton commentaire Benoit !
Il est assez dommage de ne pas avoir plus de personnel pour ce PIF de correspondance... En plus, il est assez facile de prévoir les pics de fréquentation pour ce genre de PIF.
En heures creuses, c'est souvent bien approvisionné ! Dommage que ça pêche en heures de pointe...
La PAX a vu deux jeunes avec des sacs à dos, elle s'est dit que c'était pas possible qu'ils soient en Skyprio... Manque de pot, c'était le cas :)
A bientôt, j'ai hâte de lire tes FR sur l'Ukraine !
Salut Robin,
Merci pour le partage de ce dernier opus.
Quelles jolies attentions de la part de l'équipage, voilà comment transformer un simple vol domestique en vol agréable.
A bientôt !
Hello Stephan, merci pour ton commentaire :)
L'équipage, c'est ce qui fait toujours la différence sur ce genre de vols avec prestation assez réduite... :)
A bientôt !
Un très bon vol de retour, pour clore en beauté un magnifique voyage.
Petit en cas au salon !? Vous avez dévalisé le buffet ^^
40 minutes de vol ? Il ne s'agirai pas plutôt de 50 ? :))
Tu avais choisi de laisser ton bolide au P5, vive les joies de la navette !
Merci Robin pour ce récit, à bientôt...
Ce dernier vol permet de finir en beauté en effet, AF a été très bonne sur toute la ligne pendant ce périple !
C'est surtout Madame qui a dévalisé, j'ai été plus raisonnable, sauf sur le Martini ^^
39 minutes de temps de vol effectif pour être précis ! L'approche directe par le nord aide à réduire le temps de vol...
La navette était bien efficace, le P5 est un bon plan quand les tarifs réduits du P0/1/2 ne sont pas si réduits que ça ^^
Merci pour ton commentaire, à bientôt !
Merci Robin pour le partage !
Il n’y a rien de plus désagréable que d’arriver dans aéroport et de tomber sur un agent qui fait la tête. La première impression du pays pour les touristes en prend souvent un coup
Un passage au salon, de la presse pour la lecture, un siège au rang 1 et sans voisin… Tout est fait pour apprécier ce vol
Mention spéciale pour l’équipage qui semblait être particulièrement attentionné
A bientôt
Merci pour ton commentaire Hugo !
Les agents désagréables au PIF, j'ai vraiment du mal, surtout quand c'est totalement gratuit... Là c'était un passager chinois qui était un peu lent à sortir ses liquides, qui s'est fait houspiller pour le faire "accélérer"... Cet agent ferait mieux d'aller bosser dans l'armée plutôt qu'au contact d'une clientèle.
L'équipage était très bon en effet, une fois passé l'obstacle du PIF, le parcours AF était appréciable...
A bientôt :)
Merci Robin pour le FR.
Une PNC attentionnée c'est tellement mieux.
Comme le dit Hervé tu as fait un bien beau voyage.
La technique du siège neutralisé à fonctionné , tant mieux.
A bientôt
Merci pour ton commentaire Valérie :)
Les petites attentions sont toujours les bienvenues de la part d'un équipage, c'est cela plus qu'un programme fidélité qui fera revenir les clients à bord...
Le siège du milieu libre est plus facile à avoir quand le taux de remplissage ne dépasse pas les 70% comme ce soir là !
A bientôt :)
Merci Robin pour le FR.
"conversation au langage fleuri d'agents" pas grave, ils ne parlent pas anglais, la réputation du pays est sauve !
"de la manière la plus propre et simple qui soit : Avec du scotch" mais quelle image cela donne de la compagnie...
A part cela un petit vol en decrescendo pour revenir au train train quotidien !
Merci pour la lecture et le com' Quentin :)
La conversation avait le mérite d'être plutôt amusante, sans savoir le contexte, l'imagination essaie de trouver une situation qui colle à la vulgarité proférée :P
Le scotch a le mérite d'éviter que le hublots ne tombe sur les genoux du passager, mais ça ne fait vraiment pas sérieux... Au moins ils ont utilisé du scotch blanc !
Vol relaxant avant le retour à la réalité... Presque trop relaxant, j'avais bien du mal à rester éveillé en conduisant sur le chemin du retour.
A+ !