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Bonsoir, cher lectorat, et bienvenue sur ce troisième récit de ma petite série bordelaise !
Pour un rappel de la création du routing, c'est là :
Un pavé résumé en trois lignes (plus efficace, moins passionnant) :
Encore une fois, Air France part en vrille sur le prix du surclassement domestique, à 199€. Avec mon changement de vol la veille du départ, je n'ai pas beaucoup de choix si je veux une place au hublot, à l'avant, et avec un siège du milieu libre ! Ca sera le 4A pour moi donc.
Encore une fois, grande déception chez les amateurs d'inédit, mais la relation Paris CDG - Lyon a déjà été reportée. Eh oui, étonnant je sais. Déjà 50 fois en Y pour être précis, dont 6 fois par moi.
Petite stat de mon logbook : Il s'agira de mon 25e vol en A321, 2 chez Austrian, 2 chez Finnair… Et 21 chez AF. Oui, ça fait beaucoup de vols AF. Accessoirement, ce vol me fera dépasser les 17.000 kilomètres parcourus en A321, (en distance théorique, évidemment). Soit une moyenne d'un peu moins de 700 kilomètres par vol.
Allez, allons-y !
Je vous avais laissé devant le tableau des correspondances…
Pour un peu plus de clarté, direction le panneau des départs du 2F, un peu moins fourni. Mon vol est prévu dans 3h40, de la porte F30. Petit soucis sur l'écran, certains vols du matin sont toujours affichés alors qu'ils sont bien partis…
Le salon AF me tend les bras pour occuper cet après-midi (et travailler, accessoirement) !
L'accueil électronique est quelconque, heureusement des agents sont aussi là pour saluer les passagers. Le salon est bien rempli, et en contre-jour.
Direction l'étage comme à mon habitude, la vue sur le tarmac est plutôt agréable, et c'est un peu moins rempli qu'en bas.
Petit tour de l'offre, avec le derrière des bouteilles d'alcools forts (indécent, je sais).
Le produit de la vigne est bien représenté, avec champagne, vins blancs et rouges. En rouge on a aujourd'hui du Saint-Joseph de 2019 et du Médoc de 2015.
En soft, le choix est assez réduit. La machine à café et la fontaine à eau sont fonctionnelles.
Les snacks sucrés et salés font un peu peine à voir. On peut noter qu'ils sont posés sur des plaques chauffantes que je n'ai jamais vu être utilisées…
Heureusement, du côté des buffets, c'est mieux fourni, avec un joli bar à salades et du gaspacho.
De l'autre côté, charcuterie, sandwichs, cakes salés, et fromages (un peu vides, mais qui seront vite réapprovisionnés).
Pains, brioches et d'autres machins.
Des madeleines salés, et en plat chaud, des pâtes au saumon.
On trouve aussi du riz, des pois gourmands et du poulet…
Dernier plat chaud disponible à l'étage, une ratatouille !
Le sucré fait bien envie aussi !
Bref, voici ma petite sélection (il va sans dire que le verre de vin sera moult fois rerempli. Dommage que ça ne se fasse pas d'emmener la bouteille avec soi jusqu'au fauteuil).
Le BP du vol, on peut noter que le système a bien intégré le déménagement d'Air France à Lyon au terminal 1.
J'enchaîne les réunions tout en picolant tranquillement, avec une vue magnifique… Que demander de mieux ?
Le tout est bien bon, comme en témoigne l'état de mon plateau.
Je pars vers ma porte d'embarquement, cinq minutes avant l'heure prévue d'embarquement… Mais le FIDS du salon indique un retard de 15 minutes. Flemme de me rasseoir, j'irai profiter du T2-F à la place !
Avant de quitter le salon, remarquons la présence du magazine Air France.
La cathédrale de verre est toujours charmante, mais la climatisation semble faiblarde, il fait très chaud sous la verrière…
Le nombre de personnes présentes n'aide sans doute pas à maintenir une température acceptable…
Notre embarquement est annoncé retardé de 15 minutes, confirmant les informations du FIDS, et un appel est fait pour mettre des bagages en soute, le vol étant complet. Et curieusement, pour la première fois de ma carrière d'avgeek, il y a tellement de volontaires qu'une file assez longue se forme !
L'embarquement est finalement lancé à 17h25, avec les familles, assistance en premier, suivi des passagers Skypriority et des passagers ayant enregistrés leurs bagages en soute.
Notre A321 du jour sera équipé de Wifi !
Et voilà la porte de l'appareil, F-GTAX, un A321 livré à Air France en 2009. C'est la troisième fois que je vole à son bord, toujours entre Paris et Lyon (ou inversement), une fois en mai 2022, et une fois en juin 2022. On se fréquente souvent ces temps-ci !
L'accueil est sympathique, la cabine de cet appareil est une Domestique, sans rideau de séparation des classes.
Je m'installe rapidement à mon 4A, le pas est relativement généreux, grâce au siège slim.
Le nettoyage n'est pas parfait, la lingette nettoyante d'un passager précédent a été laissée dans la pochette du siège (bon, faut avouer qu'elle est bien cachée).
Le plafonnier, classique.
La ceinture siglée, aussi un classique appréciable.
Les sièges sont équipés de prises USB (avec un petit boîtier qui prend un peu de place au niveau des pieds).
L'embarquement se termine par du personnel Air France, j'hérite en 04B d'une hôtesse qui rentre à son domicile, l'appareil est vraiment bien complet, que ce soit en éco ou en Business.
La traditionnelle safety card…
Et son verso. Alors que la cheffe de cabine annonce l'embarquement terminé, une hôtesse vient voir les passagers assis en Business en 2A et 2B, en leur demandant leurs BP. Il s'avère qu'ils ne sont pas installés au rang 02, mais au rang 21… Tentative de gruge, ou erreur de "bonne foi", je ne saurais dire !
Le cockpit prend la parole pour nous annoncer un court vol de 45 minutes aujourd'hui, mais que nous devons patienter en raison d'un no-show, le bagage du passager manquant doit être déchargé.
Il reprend la parole quand la porte cargo est fermée, nous pouvons repousser finalement à 18h11, avec 31 minutes de retard.
A côté de nous, un 737-800 KLM met un peu de couleur au 2F !
De l'autre côté, un A320 AF qui part aussi pour Amsterdam, théoriquement 5 minutes après le vol KLM. Curieux d'avoir deux vols aussi rapprochés…
On part en roulage vers l'ouest, l'occasion d'apercevoir la dérive d'un sublime CS300 airBaltic au 2D !
On s'arrête quelques instants pour céder la priorité à un 787-8 de Royal Air Maroc qui arrive de Casablanca.
Du côté des terminaux 2A et 2C, pas mal de variété de dérives, Ethiopian, El Al, Air Austral, British Airways ou encore Air India…
On laisse ce bel A330-200 MEA décoller…
… Puis on s'aligne sur la 08L, alors qu'un A330-300 de la Turkish est en finale sur la 08R !
On s'élance à 18h25, devant le terminal 2E…
… Et décollage devant le 2G !
On aperçoit Saint-Mard juste après le décollage.
On vire vers le sud, passant au large de l'aérodrome de Coulommiers - Voisins, au centre de la photo, reconnaissable à ses nombreux et anciens points de parking bétonnés qui disparaissent petit à petit au milieu des champs, ils datent du temps où c'était encore une base militaire…
Au centre de l'image, la raffinerie de Grandpuits, bloquée récemment par la grève de Total, bien qu'elle soit en cours de conversion vers du bioraffinage (le site servant toujours de lieu de stockage et d'expédition en attendant la fin de la conversion).
Un peu plus au sud, la Seine commence ses méandres au travers de la forêt de Fontainebleau, avec les communes de Thomery, Champagne-sur-Seine ou encore Saint-Mammès.
On peut remarquer dans la forêt la vaste "tranchée" formée par le passage de plusieurs lignes à haute tension, qui aboutissent au Chesnoy, un poste électrique permettant de redistribuer l'électricité provenant de plusieurs lignes haute tension. A côté, outre la centrale thermique de Montereau (qui est donc relitée au poste électrique), on trouve aussi l'important laboratoire EDF des Renardières, qui permet de faire des essais nécessitant une grande puissance, comme vérifier la résistance d'un avion (et de ses composants) à un foudroiement. Un joujou qui semble fort amusant en somme !
Nemours, le long du Loing, qui abrite en son centre un remarquable château médiéval du XIIe siècle très bien conservé, et dans ses environs de nombreux sites préhistoriques.
L'autoroute A6 longe la ville et, anecdote inutile s'il en est, c'est dans la station-essence au sud de la ville que ma brave titine a reçu son premier plein de SP95, lorsque j'ai fui Paris pour retourner en zone libre Beaujolais. Je vous avais prévenu que c'était inutile.
Moins de dix minutes plus tard, on aborde déjà le Morvan, que l'on peut repérer avec ses parcelles d'agriculture plus traditionnelles, souvent dédiées à l'élevage : Elles sont plus petites, de formes disparates, et séparées par des haies, des arbres… Ce qui leur donne, par ces temps de sécheresse, un aspect plus vert et moins sec.
Au fond sur la droite, la zone plus montagneuse où la forêt règne, avec notamment de vastes parcelles sylvicoles d'où sont originaires de nombreux sapins de Noël.
Le commandant prend la parole peu après, pour annoncer notre arrivée en croisière. La descente commencera dans cinq minutes, pour un atterrissage prévu à 19h05 et une arrivée en porte 19h10.
Le service commence un peu plus tard que d'habitude sur ce court vol. Il faut noter cependant que l'équipage a pris le temps de faire chauffer les biberons de plusieurs bambins dès que les PNC ont été libérés, tout le monde aura donc droit à sa collation !
Pour ma part, ça sera un Coca pour accompagner la galette bretonne. Le choix des boissons est complet, c'est bien celui de l'après-midi…
Après cinq minutes de croisière à 27.000 pieds, on débute notre descente, au niveau de Montceau-les-Mines.
Simple hameau de quelques fermes regroupées autour d'une auberge jusqu'à la Révolution, Montceau est devenue en quelques décennies une véritable ville, suite à la construction du canal du Centre, puis de l'exploitation industrielle des gisements de charbon (auparavant exploité de manière très "artisanale" depuis le Moyen-Âge). Oui, vu le nom, je suis sûr que vous le n'aviez pas vu venir.
Bref, la dernière mine souterraine a fermé en 1992, et la dernière à ciel ouvert en 2000.
Porte-gobelet fonctionnel, c'est validé ! Je n'ai pas testé le Wifi sur ce vol, trop occupé que j'étais à essayer de reconnaître chaque ville et chaque paysage aperçu… Un quasi 100% sur ce vol, je connais bien ma ligne "navette" !
Là par exemple, facile, des massifs successifs orientés nord-sud, derrière une vaste plaine arrosée par une large rivière… Il s'agit bien entendu de la limite entre le sud du Charolais (à gauche) et le nord du Beaujolais (à droite). Au centre, un peu en arrière-plan, c'est bien entendu Mâcon, logée le long de la Saône.
Et en bas à droite, la commune de Monsols, surplombée par la forêt recouvrant le Mont Saint-Rigaud, point culminant du Rhône et du Beaujolais, à 1.009 mètres d'altitude.
En 600 de notre ère, une chapelle, puis un prieuré, fut édifiée à la place d'un antique autel romain dédié à Jupiter. Des moines y ont vécu jusqu'au début du XVe siècle, il n'en reste rien aujourd'hui… Si ce n'est une source dont la légende locale dit qu'elle sort de l'endroit où un des derniers moines fut enterré. Ce dernier avait des dons de guérison, qu'il transmet depuis à l'eau qui coule de cette source. Rhumatismes, stérilité féminine et j'en passe seraient miraculeusement soignés par quelques gorgées de cette eau.
Ce qui n'est pas une légende, par contre, c'est que ça attire des pèlerins en quête d'un miracle ! (Bon, on n'est pas à Lourdes hein, s'il y a 100 personnes qui y passent les jours de beau temps c'est déjà bien)
Bon, là, c'est encore plus facile pour moi, puisqu'il s'agit de ma patrie, Villefranche-sur-Saône…
La vue est vraiment dégagée, on aperçoit, loin derrière la plaine des Dombes, les sommets enneigés des Alpes, dont le majestueux Mont-Blanc ! Une vue assez habituelle de mon ancien chez moi, qui me manque depuis que je suis dans l'agglomération lyonnaise…
Poursuivant notre descente, on approche de Lyon, au-dessus de la plaine des Chères. Vers le centre de l'image, le Mont Verdun, premier relief prononcé des Monts d'Or, et siège de la base aérienne (mais souterraine) 942.
Lyon apparaît enfin, avec le Rhône et la Saône, la Presqu'île au milieu, qui se prolonge sur la gauche sur Croix-Rousse, puis Cuire et enfin Caluire.
La fameuse confluence, qui a donné son nom au salon de l'aéroport de LYS, le port Édouard Herriot au centre/à droite le long du Rhône… Juste en amont de la confluence sur la Saône, le bâtiment vert vif est celui de la chaîne d'information Euronews.
On bifurque vers l'est, passant au-dessus de l'A46-sud qui serpente vers Saint-Symphorien-d'Ozon. Sur le centre-gauche, on peut apercevoir l'aérodrome de Lyon-Corbas, qui ne comporte que des pistes en herbe et est donc peu visible.
On vire une dernière fois pour s'aligner sur la piste de LYS, autour de Diémoz.
Toucher sur la 35R à 19h08, après 53 minutes de vol.
La plateforme lyonnaise, avec la tour de contrôle, la gare TGV, et les différents terminaux devant.
Roulage vers le terminal, avec un A320 Volotea qui décolle pour Olbia de la 35L (piste qui a rouvert depuis quelques jours), et l'église de Saugnieu au fond.
Dernier virage sur le terminal 1, avec un CRJ900 Lufthansa qui est arrivé juste avant nous en provenance de Münich. Derrière, bien caché et peu visible, un A320neo Sky Express qui fait une rotation vers Heraklion. La compagnie crétoise dessert Lyon en été depuis 2021.
Et arrivée au bloc à 19h13, avec donc 28 minutes de retard !
Le débarquement se fait rapidement, dans une passerelle sponsorisée par l'agent orange…
Vue sur notre appareil et le tarmac. C'est la première fois que j'arrive dans le bâtiment du T1, il me semble (auparavant c'était uniquement en paxbus ou au satellite D), le fait d'avoir le circuit d'arrivée qui n'est pas séparé des départs est un peu surprenant, quand on est habitué au T2 !
Direction la sortie, par le couloir qui amène aussi aux portes F et G.
Dernier regard sur notre A321, entre deux bandes des vitres…
Arrivée en salle des bagages à 19h21, la livraison commence dès 19h24, soit seulement neuf minutes après notre arrivée au bloc.
En attendant, petit coup d'oeil sur un coin dédié aux transports en commun dans la salle de livraison, avec un écran indiquant les prochains départs TCL, mais aussi des cars grandes lignes (Blablacar et Flixbus).
J'aime beaucoup le départ de 23h30, avec la destination "A définir"…
Des bornes permettent aussi d'acheter ses billets Rhonexpress, Flixbus et Blablacar, un bon point pour LYS de proposer ce service regroupant les différents transporteurs !
Ma valise sort enfin après 7 minutes, le respect des priorités n'est pas trop là, encore une fois… Direction le parking P3 sans plus attendre, avec une petite photo du T1 sous ce beau ciel bleu !
Je retrouve ma titine qui m'attends sagement, il m'aura fallu 24 minutes entre l'arrivée au bloc et mon arrivée devant ma voiture, c'est plutôt correct.
Je vous laisse ici, avec la trace radar du vol, et son altitude de croisière de 27.000 pieds habituelle, assez basse, qui permet d'avoir une meilleure vue sur les paysages !
Merci à tous pour votre lecture et vos éventuels commentaires !
On se retrouve prochainement pour un routing un peu plus original, et surtout, sans aucun sens (mais avec un peu d'inédit !) :)
Un vol navette assez classique (comme toujours), avec un équipage sympathique, un cockpit pas avare en annonces, et un service bon pour un vol domestique européen, même si la prestation reste assez anecdotique. Petit + pour le réchauffage des biberons, sur un vol si court.
A CDG, pas grand chose à redire, si ce n'est que le 2F a du mal à lutter contre la canicule, mais vu sa surfréquentation et son architecture, c'est malheureusement assez prévisible.
Le salon est toujours OK, selon moi un très bon salon Schengen, avec différents plats chauds, du froid, du liquide, bref, de quoi se faire plaisir. Sa taille est suffisante pour accueillir tous les passagers, c'est parfois limite mais ça passe toujours.
LYS est un peu moins fluide quand on a un bagage en soute, avec l'absence de respect des priorités pour les bagages, mais ça reste accessoire. Accès cher et pas forcément efficace selon là où on se rend, il serait top d'avoir des lignes de bus "Express" comme on peut trouver dans d'autres villes, afin de permettre une desserte complémentaire sur l'agglomération et la région.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 79 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Lyon (LYS).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 9 minutes.
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10 Commentaires
C’est une chance d’avoir ce genre de météo et de ne « planer » qu’au FL270. C’est impeccable pour bien suivre le trajet.
Ça méritait d’être précisé ! C’est donc une très bonne adresse j’imagine.
Et là, je peux voir ma maison. Si ça c’est pas la classe !
Je ne suis pas convaincu, je connais mieux dans le coin ! ?
Et moi, la mienne sur une des photos précédente… Le soucis du détail, notre camarade ferrovipathe est vraiment très fort ! ???
La météo permet de rendre le report un peu plus intéressant, en effet :D
Pas certain, je m'y suis arrêté surtout parce que je voulais décompresser après les bouchons et fous du volant parisiens :P
Idem pour moi, en plissant les yeux ! :D
A bientôt !
Une prestation tout à fait classique sur ce vol domestique sur une ligne si peu reportée ! ;-)
L’offre du salon est plutôt correcte avec des buffets bien réapprovisionnés. Le lounge est toujours sympa bien que très fréquenté, il est trop souvent difficile de trouver une place assise à moins de partager une table avec des inconnus.
À bord, le nettoyage laisse un peu à désirer, une cabine bien connue et un équipage sympa qui plus est. Un petit walk of shame pour les 2 resquilleurs qui s’étaient mis en J, ça me fera toujours sourire ! :-)
Sympa les vues avec toutes les explications comme toujours sur tes FR, je note quand même que tu as omis de préciser que Nemours était la plus belle ville de France ! Je ne t’en veux pas, rassure toi, surtout, que tu as dit tout ce qu’il y avait à dire… Sauf qu’il s’agissait du domicile d’un éminent FRiste.^^
Merci également pour cette anecdote inutile à propos de la station service… Tu t’es fait enfler, c’est pas la moins chère ! ;-)
À bientôt !
Oui, j'aime avant tout faire découvrir des petites lignes inédites sur FR, tu l'as bien constaté :P
J'aime bien ce salon pour son offre qui ne me déçoit jamais (sans non plus jamais surprendre, c'est là que c'est moins cool :) ), mais il est vrai que c'est souvent compliqué d'y trouver une place isolée... C'est pour ça que j'aime bien la zone au fond de l'étage, avec les rangées de 3 sièges, il y a en général moyen d'y trouver une rangée avec un peu d'espace libre.
J'aime beaucoup aussi le walk of shame, même s'ils n'auraient pas gagné grand chose à voyager à l'avant, sur du domestique ^^
Et c'est bien noté, j'ajoute le domicile d'un FRiste tout aussi ferrovipathe que moi dans la liste des qualités de Nemours !
Quand on vient de lâcher de nombreux milliers d'euros pour une voiture neuve, le prix de l'essence parait dérisoire à côté :P
A bientôt !
Héhé, je me suis permis un petit "Où est Charlie" sur cette description ! ^^
Le salon est en effet très bien, à mon goût, mais manque en effet de place... Après c'est mieux que les deux anciens salons, qui étaient clairement moins adaptés. Après je n'ai jamais du rebrousser chemin faute de place assise, donc ça passe encore !
Les A321 se font en effet bien présents sur le hub lyonnais, mais sur les derniers vols que j'ai pris, le remplissage n'était pas au rendez-vous, 50 à 70% de l'A321 environ seulement... Espérons que AF ne profite pas de cela pour réduire la voilure !
L'offre en éco est sympa, celle en J est en effet... ridicule. Et je suis étonné pour le no photo à Lyon, je n'y ai jamais eu droit personnellement !
Les tout derniers CRK font encore de la résistance sur les Lyon - Marseille et Marseille - Amsterdam, mais dur de dire jusqu'à quand... Il n'en reste que deux en service actuellement, sans doute pour seulement une semaine...
A bientôt !
Vol navette aussi célèbre que les CDG-AMS ou les EAP-FRA ?.
Mais chaque vol reste unique.
remarquable château médiéval du XIIe siècle => voilà une information de la plus haute importance pour moi !! On ne sait jamais si je visite Nemours un jour !! N’est ce pas TangoBravo380 ?
Il y a bien une galette sur les vols domestiques , j’avais douté avec le FR de Christophe.
Un vol A définir ?? les lyonnais ont de l’humour !
A bientôt
Il se pourrait bien que ce jour arrive courant 2023 ! Stay tune ! ?
Il faudrait faire un petit classement des meilleurs vols navette du site, tiens ^^
Mais en effet, je suis bien d'accord, chaque vol réserve son petit lot de surprise... :)
Je n'avais pas non plus l'info pour le château de Nemours, j'avais tendance à classer la ville comme une "banale ville de lointaine banlieue" (je ne le dis pas trop fort, Ben pourrait sortir le fouet !).
Sur le domestique le sucré varie selon les périodes de ce que j'ai constaté (comme avant avec le sucré salé), en ce moment la galette est à l'honneur :)
A bientôt !
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