Avis du vol entre Cebu et Manila en classe Affaires avec Philippine Airlines

Bonjour à tous,

Si vous deviez envisager un séjour balnéaire à Cébu, je conseille l’hôtel Mövenpick situé en bord de plage, le personnel est extrêmement sympathique, une équipe mené par le directeur et le chef cuisinier très proche des clients. C’est avec le cœur gros que je quitte cet établissement…

ceb landside

Après une bonne demi heure de route, le Grab me dépose devant les portes du terminal dédié aux vols nationaux.

La signalétique indique le chemin à suivre pour se rendre aux comptoirs.

Comme souvent je suis en avance, je déteste courir lorsque je suis en vacances ! Le FIDS informe que le départ de mon avion n’est pas retardé.

Un contrôle des billets ou des BP, et un scan bagages sont de mise avant d’entrer dans le hall, pas d’attente lors du passage de l’étape.

Ce n’est pas le cas des banques PR concernant la file économique. Cela étant, je ne suis pas concerné ayant entre les mains un billet « Affaires ».

Le tapis rouge est déroulé et l’espace  vide, va bene…

La sympathique agente enregistre ma valise et me délivre la carte d’embarquement, l’opération n’a pris que quelques minutes. il ne me reste plus qu’à rejoindre le PIF situé au fond du concourse.

Au passage, la vue sur la salle des arrivées attire l’œil.

À droite se trouve un fast track, mais bizarrement aucune indication mentionnant les personnes autorisées à l’emprunter n’est écrite, je fais la queue avec Monsieur tout le monde, et me retrouve airside en moins de dix minutes.

CEB airside

Évidemment les boutiques abondent, les allées sont lumineuses et bien entretenues.

Chevelan souhaite tester le salon PR, il n’y a qu’à suivre le fléchage…

Le plaza Premium se trouve droit devant, le Mabuhay Lounge à gauche.

Mabuhay Lounge

L’accueil de la part de la maîtresse des lieux est fort agréable.

 La salle à manger est située juste après l’accueil, le buffet est au fond de la salle.

Je me trouve un siège dans cette petite pièce, la dame haute en couleur assise en face possède trois téléphones, elle n’est pas vraiment discrète…

… Alors qu’il existe deux espaces spécialement réservés !

Faisons un tour au buffet, pas d’alcool ici.

Jus et tireuse à bière.

Deux potages au menu.

L’offre solide.

Mon choix relativement léger.

Boarding Pass siglé PR.

En salle d’embarquement

Je quitte le salon dix minutes avant l’heure théorique d’embarquement.

La bête du jour attends patiemment d’absorber sa cargaison de passagers.

La porte 11 se trouve au fond du terminal.

L’appel est lancé avec dix minutes de retard, les priorités sont respectées.

Il faut suivre l’escorte qui en a profité pour aller au ravitaillement.

Du monde dans la passerelle, aurais-je lambiné en chemin ?

Pas besoin de préciser la nature de l’accueil qui m’est réservé en porte ! Autorisation accordée de ne pas flouter la très gracieuse hôtesse.

la vie a bord

Je ne m’aventure pas loin dans la cabine…

Je trouve qu’elle a beaucoup de classe, pour ne pas dire chic.

Mon siège au 1A. L’espace devant le rideau est full aujourd’hui.

Le pas(ternel) me convient.

Une prise est disponible sous l’accoudoir.

Belle vue sur Air Asia en instance de départ.

Mini tablette pivotante pour déposer un verre, par exemple.

Plafonnier sobre et immaculé.

L’aumônière contenant le sac vomito et la fiche sécurité.

Histoire de leur faire prendre l’air…

Une boisson de bienvenue est proposée, je choisi de l’eau au milieu de jus de pomme et d’orange. Un oshibori froid accompagne le verre, j’ai pour voisin un vieux monsieur chinois sans gêne qui se calmera après un reproche reçu par sa femme, assise de l’autre côté de l’allée.

Nous repoussons avec quelques minutes de retard, les démonstrations de sécurité étant réalisées manuellement.

Nous laissons freiner cet A320 d’Air Asia, avant de pénétrer sur la piste.

C’est parti pour 1h20 de vol, les diverses annonces de l’équipage sont distillées uniquement en anglais.

Bye, bye Cébu !

La météo est clémente lors de la montée.

Mais les nuages apparaissent rapidement.

Le rideau est à présent tiré.

a table !

Une nappe en tissu blanc est disposée sur la tablette quelques minutes plus tard.

Le plateau tel que déposé. Pour rappel, il s’agit d’un vol domestique d’une heure quarante…

Le plat de résistance composé de poulet, crevettes, pâtes et légumes est excellent.

Je carbure à l’eau, ayant toujours des problèmes récurent de remontées gastriques… Les fruits sont mûrs et rafraîchissants. Les PNC sont très efficaces, avec le sourire aux lèvres durant tout le vol.

Je termine ce bon repas avec un café assorti d’un chocolat.

Le voyage se poursuit tranquillement, mais la descente est mouvementé.

Le paysage me rappelle l’Ecosse, il ne manque plus que les moutons, kilts et cornemuses…

atterrissage à manille

La tentaculaire capitale Philippine est en vue.

Les maisons basses, entrepôts et bidonvilles abondent dans la grande banlieue de Manille…

Mais aussi de beaux parcs.

Passage au dessus du péage d’une autoroute, comme celui de Saint Quentin-Fallavier sur l’A43, avant d’atterrir à LYS.

Nous touchons avec douceur la terre ferme…

Le taxi s’éternise… Passage devant un cargo de DHL, bien seul sur son parking.

Nous contournons le terminal où attendent un A330 de la Major locale et un petit A320 ?

Nous irons parquer à l’ombre de cet autre géant des airs.

Quelques minutes s’écoulent et le finger ne bouge toujours pas !

débarquement

Bon, et bien le débarquement s’effectue par la droite, c’est assez rare… Pas de passerelle mais un escabeau synonyme de paxbus. j’en profite pour réaliser un fuselage shoot.

Bienvenue dans ce confortable bus qui n’est pas réservé aux passagers de la Business Class.

Allez on se dépêche !

Je comprends que l’avion que je viens d’emprunter, doit repartir vers une destination internationale ! Il est stationné au terminal idoine, les bus rapatrient les passagers vers le terminal domestic situé très loin de là… en tout début de trajet je remarque un B787 de ZIPAIR, compagnie japonaise basée à Tokyo.

Ici, le domaine de Philippine Airlines.

Après un bon quart d’heure passé sur le tarmac, la foule est lâchée directement dans la salle de livraison des bagages.

Une zone réservée aux bagages prioritaires est matérialisée par un tapis et un cordon rouge, c’est la première fois que je vois ça !

Effectivement ma valise arrive dans les premières, elle est récupérée par un employé spécialement détaché pour cette mission, il me donne mon bien en me demandant le reçu remis lors de l’enregistrement à Cébu.

Me voilà dehors, je saute dans un taxi que je prépaie dans un guichet.

Mon hôtel est rejoint après une heure de route, dans l’enfer de la circulation de la capitale du pays, un orage tropical n’arrangeant pas les affaires de mon driver !

Merci de m’avoir lu, à bientôt pour la suite…