Avis du vol entre Frankfurt et Paris en classe Economique avec Air France Hop

Bonjour à tous,
Suite et fin du LON-PAR via MAD et FRA, long détour qui devait me permettre de voir un très bon ami à Madrid et qui m'aura permis d'ajouter un nouvel appareil et une nouvelle compagnie à mon tableau de chasse: le Boeing 787-9 de LATAM en Affaires.
Après cet excellent vol, retour sur quelque chose de beaucoup plus classique avec ce FRA-CDG en Embraer HOP! Vol qui ne sera pas désagréable pour autant.
Rappel du routing:

1. LTN-MAD, EasyJet Airbus A319, Economique, 07 Octobre 2016
2. MAD-FRA, LATAM Airlines Boeing 787-9, Affaires, 07 Octobre 2016
3. FRA-CDG, HOP! Embraer E190, Economique, 07 Octobre 2016 C'EST ICI
4. ORY-FDF, Air Caraibes Airbus A330-300, Economique, 10 Octobre 2016
5. FDF-ORY, Air Caraibes Airbus A330-300, Economique, 04 Novembre 2016
6. PAR-LON…

C'est aussi, déjà, mon 40e FR et ma 15e compagnie reportée ici depuis mon tout premier FR le 15 Décembre 2011. Dur dur d'imaginer faire un voyage sans FR et ne pas joindre de photos au plaisir de prendre l'avion!
Ce 40e Flight Report commence donc là ou s'était terminé le vol en 787: mon vol vers CDG part des portes D au Terminal 2, et est prévu à l'heure.

L'inconvénient de ce routing est qu'il faut bien entendu récupérer ma valise après chaque vol, ce qui sera fait sans encombre. Il faut ensuite prendre le piti train vers le Terminal 2 d'ou partira mon Embraer.
L'enorme FIDS qui commence à être bien connu ici:

Il me faut donc re-re-déposer ma valise. Il n'y a absolument personne et le contact sera agréable avec un personnel très souriant. Le tout est expédié en deux minutes. J'ai mon invitation aussi pour le salon Iberia - Sala Velaz… oups non, trompé de FR. C'est comme si je commencais à avoir l'habitude!
Pas de salon, mais je connais ma porte d'embarquement, qui sera la D24, qui signifie paxbus.
Re-filtres et cette fois-ci ce sera plus long car plus de monde. Ce sera fait en 10 minutes et après une dizaine de minutes de marche grosso modo, me voici à ma porte.

J'ai 1h30 à tuer avant l'embarquement, ce qui sera fait sans difficultés grâce au Wifi de l'aéroport.
L'embarquement est appelé à l'heure. Les BP sont scannés par un homme ultra sympathique et ce avec chaque passager. Et on sent de suite que ce n'est pas forcé, et cela met de bonne humeur avant le vol.
On passe d'abord dans une salle ou on patiente une quizaine de minute, me permettant d'observer le 747-8 de Korean au départ, avant d'être dirigé vers les paxbus.
Après un trajet assez court, pendant lequel on passe en revue notamment un A330-200 d'Etihad et un A380 d'Emirates (pas de photos à cause des conditions difficiles), on arrive au pied de notre appareil.

C'est le F-HBLG, MSN 254 âgé de 7.6 ans.

L'accueil à bord est sympathique de je m'installe à mon siège dans une cabine configurée en 2-2. Les sièges sont en cuir et confortables pour un vol de cette durée.
Le pitch est très correct pour un vol si court.

Le test Horatius, bof bof par contre.

La vue du siège

On repousse à l'heure et compte tenu de notre localisation il faut un roulage assez long pour rejoindre notre piste. On décolle face au Sud.
Le reste du vol se déroulera sans histoire.
Les consignes de sécurité pour cet Embraer 190:

Le magazine de bord, qui n'est autre que l'Air France Magazine

La collation est servie et on a le choix du sandwich! Le steward qui s'occupe de la moitié arrière de la cabine, ou je suis, est très souriant et agréable.
Ce sera un chèvre miel pour moi, et il s'avérera très bon

Et j'attaque la collation sous 80 dB. Retour à un niveau plus classique après un confortable 70 dB dans le Dreamliner. Ce niveau est comparable avec ce que j'avais mesuré à bord de l'A319 du LTN-MAD.
Mesure à prendre avec prudence puisque c'est un smartphone.

Peu après la descente est entamée. Les nuages sont bas mais on devine rapidement la ville lumière.
L'orientation de ce soir est parfaite, on atterrit face à l'est, sur la 09R et étant du coté droit de l'appareil, j'ai droit à de superbes vues sur Paris de nuit. Je tente quelques photos mais le résultat n'est pas exceptionnel. On devine tout de même facilement la tour Eiffel.

Et le Stade de France, ou à ce moment même les Bleus étaient en train de martyriser la Bulgarie 4-1.

Atterrissage en douceur à l'heure, mais freinage énergique. Le roulage est court et on arrive rapidement à notre poste au Terminal 2G.